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Le Parc Bangr-Wéogo appelle au dialogue entre conservateurs de la faune et chasseurs

Publié le vendredi 7 juillet 2006 à 08h28min

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L’activité chasse constitue en réalité un élément d’un ensemble de la trilogie homme-culture-nature où la culture apparaît comme un trait d’union entre l’homme et la nature.

Dans nos sociétés traditionnelles, cette trilogie homme-culture-nature est considérée comme l’ensemble des connaissances acquises surtout par initiation. Comme on parle aussi de culture littéraire, de culture artistique, on parle aussi de culture en matière de chasse.

La culture "dozo" est par exemple considérée comme l’ensemble des phénomènes matériels et idéologiques propres à ce groupe social organisé. D’ailleurs, n’est-ce pas cet héritage culturel qui a engendré les chasseurs dits modernes de notre temps ? Le Parc urbain Bangr-Wéogo à la recherche d’un dialogue permanent entre chasseurs et conservateurs des ressources fauniques, a appelé à l’institutionnalisation des journées du chasseur lors de la 1re édition c’était les 10 et 11 juin 2006.

Aussi paradoxale que puisse paraître cette rencontre, un dialogue entre conservateurs du patrimoine faunique et chasseurs s’inscrit en droite ligne de la nouvelle comptabilité environnementale. Ce dialogue commence en plein centre de la ville de Ouagadougou qui entretient le premier parc urbain de l’Afrique de l’Ouest

Sidwaya

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Vos commentaires

  • Le 7 juillet 2006 à 13:06 En réponse à : > Le Parc Bangr-Wéogo appelle au dialogue entre conservateurs de la faune et chasseurs

    j’ai visité ce parc mais j’ai été vraiment déçu car on nous avait dit qu’il y avait beaucoup d’animaux en liberté. Une fois dedans, nous n’avons rien vu malgré le dévouement du guide pour les amener vers nous. Nous nous sommes contentés d’admirer des milles pattes, des oiseaux et des chauves-souris. Mais on n’était pas allés pour ça. Alors, mesieurs les gérants, faites un effort, car pour l’instant le service n’est pas à la hauteur du prix que vous demandez. Ismaël

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