Burkina Faso : Une délégation de la Banque mondiale chez le Premier ministre
Le Premier ministre burkinabè, Albert Ouédraogo, a effectué une séance de travail avec une délégation de la Banque mondiale, ce lundi 28 mars 2022 au sein de la Primature à Ouagadougou.
A la sortie de cette séance de travail, Clara De Sousa, directrice des opérations de la Banque mondiale pour le Burkina Faso, a expliqué que cette rencontre a permis aux deux parties (gouvernement burkinabè et la Banque mondiale) de revoir les priorités, tout en tenant compte du contexte actuel du pays.
« Cette séance s’est bien déroulée. Nous avons échangé sur la situation actuelle du Burkina Faso. Il s’agit de voir comment nous pouvons ensemble redéfinir les priorités, afin de renforcer note coopération qui est pérenne », a-t-elle martelé.
Pour elle, il a été question de reprioriser les activités menées par la Banque mondiale au Burkina Faso en vue de mieux répondre aux besoins du moment, en tenant compte des domaines d’intervention de l’institution de Bretton Woods comme la santé, l’énergie l’éducation, l’agriculture etc.
Patricia Coulibaly (Stagiaire)
Lefaso.net
Vos commentaires
1. Le 31 mars 2022 à 11:33, par epi En réponse à : Burkina Faso : Une délégation de la Banque mondiale chez le Premier ministre
La posture du PM sur la photo n’est pas adaptée ou bonne. il est affaissé on dirait quelqu’un qui est épuisé ; il n est pas dans une posture d’écoute de son interlocutrice. Pour des apparitions publiques et officielles, rien ne doit être laissé au hasard. Dans le cas d’espèce, la position de la visiteuse est plus adaptée.
2. Le 31 mars 2022 à 13:57, par Dibi En réponse à : Burkina Faso : Une délégation de la Banque mondiale chez le Premier ministre
On espère que Damiba sait ce qu’est le FMI- Banque Mondiale ? Tout comme toutes les autres structures réseautiques de l’impérialisme français : Bases militaires, Franc CFA -CEDEAO- UEMOA, Conseil de l’Entente, classes politiques bourgeoises compradores, G5-Sahel Barkhane, la BCE, le Club de Paris,.. .
Tout ça, on va le dire à Damiba : C’est la corde qui soutient le pendu ! Il faut qu’il le sache, au lieu de se laisser biberonner par des pourritures, des prédateurs et des médiocres ! Cela risque de lui coûter cher.
Na an lara, an sara !
La patrie ou la mort !