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Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

Publié le lundi 7 décembre 2015 à 01h53min

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Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

Consécutivement aux résultats des élections du 29 novembre dernier, la consternation a cédé le pas à une tendance au désespoir chez bien de concitoyens en lutte. Le présent propos expose les motifs pour le peuple insurgé Burkinabè de croire encore lui-même et de garder le cap du changement véritable jusqu’à la victoire.

Le 29 novembre dernier le peuple du Burkina Faso était appelé à élire le Président du Faso. Pour une fois, il ne s’agissait pas de sanctionner ou valider la gestion d’un Président candidat à sa propre succession. Le choix était entre des prétendants tous étrangers à la charge de Président du Faso.

Au regard des offres politiques multiples mais semblables en ce qu’elles manquaient de courage politique et d’imaginaire, j’étais de ceux qui ne trouvaient dans aucun des candidats l’homme qu’il faut au Burkina nouveau post-insurrectionnel. Cependant, il fallait tout de même que les Burkinabè aillent aux urnes. Car, l’option de boycott, en tant que rejet structurel d’un mode d’organisation politique ou marque de déficit de confiance dans la transparence d’une consultation électorale, était pour moi sans objet. Mieux, bien souvent, il est un fait que partout où les peuples n’ont pas été à mesure de choisir pour le meilleur, ils ont dû choisir pour le moindre mal en définitive.

En ce sens, les élections du 29 novembre étaient un appel au compromis avec notre histoire politique récente au Burkina : élire le candidat le moins susceptible de faire du « Blaise » sans « Blaise ». Cela s’inscrivait raisonnablement en droite ligne des opinions de citoyens qui appelaient à « Voter Tout sauf MPP », sachant que « Tout » excluait d’office certains candidats figurants. Et que nul n’est besoin de rappeler que le MPP est né non d’un désaccord idéologique avec le CDP ou avec la façon dont Blaise faisait la politique, mais plutôt d’une disgrâce de Salif Diallo, Simon Compaoré et Roch Kaboré au sein du CDP.

Rock Kaboré élu Président du Faso, cela m’a peiné, comme beaucoup d’autres, surtout quant à l’avenir que cela augurait pour mon pays. C’est une fausse note, une compromission dans l’ascension vers le Burkina des aspirations nées de l’insurrection populaire. La crainte est bien réelle qu’autant Blaise régnait et sa famille gouvernait, Roch Kaboré règne alors que Salif Diallo et ses inconditionnels gouvernent le Faso. Aussi, sommes-nous nombreux, j’en suis sûr, à nous préoccuper du tâtonnement et de l’improvisation que cela présage à la tête de l’Etat.

En effet, l’opposition farouche du MPP au CDP n’est pas la preuve d’une vision pour le Burkina tout autant que gagner des élections n’assure point qu’on soit à mesure de transformer le Burkina ou qu’on cherche même à le transformer. De même, pour ceux qui arguent de l’expérience de Roch Kaboré à la tête de certaines institutions de l’Etat, il convient de relever que le cumul de plus d’une vingtaine d’années d’expérience au pouvoir n’a pas suffit à Blaise à faire l’affaire du Burkina. En conséquence, l’expérience assez souvent mal perçue comme le temps passé à une fonction n’en est rien en vérité. Elle est le nombre de succès engrangé dans le temps passé à une fonction ou des leçons tirées des échecs connus dans le temps passé à une fonction. De succès, je n’en connais pas tellement de Roch Kaboré. Des échecs, j’en connais. Mais rien n’indique que des leçons, les vraies, aient été tirées.

L’inquiétude pour notre avenir est légitime. Cependant, elle ne doit pouvoir autoriser de désespérer dans le peuple Burkinabè comme beaucoup de propos tendent à le laisser penser. Des propos de dépit tels ceux qualifiant de mouton le peuple Burkinabè ou soutenant que les martyrs sont morts pour rien ou encore qu’en Afrique les révolutions ne servent qu’à chasser les dirigeants pas les systèmes et que finalement il ne servirait plus à rien de lutter ressemblent fort à une tendance à une capitulation qui est bien discutable.

D’abord, le peuple Burkinabè vient de loin et la démocratie électorale véritable ne faisait que reprendre le 29 novembre dernier plus de trente sept ans après ses lointains débuts qu’on peut situer à l’élection présidentielle de 1978. Ainsi, il était évident que vingt sept ans de clientélisme électoral, d’achats de conscience et de manipulation politicienne des autorités coutumières à des fins électoralistes avec Blaise Compaoré ne s’effaceraient point du tout en un jour d’insurrection encore moins une année de transition. Cela ne devrait donc pas surprendre que d’anciens collaborateurs aient pu utiliser cet héritage funeste de Blaise Compaoré pour rafler des voix au soir du 29 novembre.

Ensuite, pour tous les acteurs de changement véritable le sacrifice des martyrs devrait sonner comme un appel à la persévérance dans la lutte jusqu’à la victoire. Parce que des frères sont tombés pour tous, tous devraient désormais vivre debout en leur honneur. Pour qu’advienne le changement doit continuer le travail d’éveil des consciences encore endormies et proies faciles aux manipulations identitaires de politiciens en mal d’imaginaire. La veille citoyenne doit être en alerte maximale pour renforcer les dirigeants vertueux et demander des comptes aux vicieux.

Enfin, un signe d’espoir provient de l’Assemblée Nationale. Le parti présidentiel ne réunit pas suffisamment de députés pour satisfaire les majorités qualifiées généralement requises pour le traitement de certaines questions essentielles se rapportant à la Constitution. Bien évidemment, des alliances pourraient se tisser pour tendre vers la réunion de ces majorités mais ce sera tant pis pour ceux qui perdraient ainsi leur âme en plus d’avoir perdu les élections. Les forces sociales du véritable changement elles, devraient préserver leur âme puisque c’est ce qui vaut par-delà tout.

Grihobou Roland Nombré
Diplômé de Master en Droit International (Université de Houston)

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Vos commentaires

  • Le 6 décembre 2015 à 18:59, par Danton En réponse à : Roch a été élu. Point.

    Les pseudo-théoriciens de la Science politique n’ont qu’à garder leurs thèses pour les amphis, ce serait mieux. Monsieur Nombré, vous vous dites« peiné » par l’élection de RMCK ? C’est votre droit, mais vous feriez mieux de sortir de cette peine puisque 53% des électeurs ont décidé. Soyons un peu fair-play à la fin. Vive le Burkina Faso !

  • Le 6 décembre 2015 à 19:12 En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Vous racontez des balivernes. Et la transition. Qui des chefs de la transition ne doit à Blaise. Du president au dernier des militaires Je vous passer pour être des héros doivent tous la fulgurance de leur carrière à Blaise et ou à ses valets.

  • Le 6 décembre 2015 à 19:22, par Burkindi En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Je crains qu’il ne faille désespérer de ton avenir plutôt...N’importe qui s’érige en parangon de la vertu, donnant des leçons à tout le monde.

  • Le 6 décembre 2015 à 20:08, par Sidzabda En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    "De succès, je n’en connais pas tellement de Roch Kaboré. Des échecs, j’en connais" cette phrase traduit à elle seule votre limite et votre haine pas pour Roch mais pour le pays surtout que vous dites que ceux qui vont acepter cette alliance sont ceux qui ont perdu les élections. dans quelle situation vous voulez voir le Burkina Faso : instable, ingouvernable, guerre civile ou tribale. mais je vous comprends car vous n’êtes pas au pays et votre souhait c’est de voir les pires maux s’abattre sur votre pays que vous avez tourné dos. mais heureusement que le Ciel n’a jamais abandonné ce pays et vos souhaits se réaliseront seulement pour vous et pas pour le Burkina.

  • Le 6 décembre 2015 à 20:10 En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Des Burkinabè ont toujours bien lutté et sont encore debout et le resteront. Mais, ils refusent la médisance systhematique dont certains font montre. On se connait tous. Calmos.

  • Le 6 décembre 2015 à 20:35, par pol En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    continuez de rêver car vous n’avez jamais su pourquoi il y a eu insurection.

  • Le 6 décembre 2015 à 20:36, par sawadogo yacouba En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Je ne vais pas perdre mon temps à revenir sur votre argumentation bidon juste des démarches pour berner certains esprits fragiles comme vous-même M. Nombré. Si votre candidat n’a pas été élu ce n’est pas la fin du monde ou si vous n’aviez pas de candidat et vous-même ? A travers une candidature indépendante vous pourriez bien réussir.Il faut reconnaître que le président Compaoré a commis une erreur politique en pensant que seul lui peut diriger le pays : c’est archi-faux. Pour diriger il faut savoir placer les hommes qu’il faut à la place qu’il faut et le pays regorge d’hommes capables de conduire les hommes .Vous parlez comme si vous avez entre vos mains et votre tête l’unique vérité que les autres burkinabè doivent accepter.Arrêtez d’infantiliser les gens par vos délires stupides que vous appelez réflexions, analyses ou point de vue .Apportez vos contributions mais ne nous ramenez pas en arrière avec des idées que seul vous connaissez les finalités. Enough is enough. Stop bothering us !

  • Le 6 décembre 2015 à 21:09, par steve En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Belle analyse à certains égards mais partisannes et irrespectueuse du choix du peuple.
    Ce qui épouvantable dans cette analyse c’est que tout laisse à croire qu’aucun candidat n’incarne les aspirations d’un changement réel selon l’auteur. Donc le peuple a voté un président par défaut. Le peuple était contraint de voter le moindre mal si encore il est capable de différencier le bien et le mal. Il faut tout de même avoir du respect pour l’expression démocratique du peuple aux urnes. Les intellectuels c’est la gangrène de la démocratie. Qu’avons nous fait au Faso pour éclairer le burkinabè qui vit son quotidien. Cette question mérite une réponse.

  • Le 6 décembre 2015 à 21:12, par komi T. En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Bonsoir monsieur Nombré. C’est bien de pouvoir se faire lire pour une thérapie . Je vais m’y deployer. Je peux comprendre l’amertume et le désaroi suite à l’élection de Roch Marc Christian Kaboré au vu des raisons que vous avancez, cependant 55% d’autres burkinabè étaient aux anges à la proclamation provisoire des résultats. C’est cela la démocratie . Chacun donne son point de vue et à la fin tout le monde est d’accord . Pour que l’on avance il faut un consensus et cela se fera à l’Assemblée dans laquelle la transparence doit être de mise afin que l’on connaisse ceux qui empêchent d’avancer. Ne peignez, de grâce, pas le diable sur la muraille . Soyez serein. Tout ira bien.

  • Le 6 décembre 2015 à 21:19, par gondwanais lamda En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Il y avait 14 candidats. Rock a été élu. c’est le choix du peuple. sans oublier que l’auteur de cet écrit pouvait se présenter comme candidat indépendant ; la au moins une fois élu il pourrait mettre en pratique lui son programme. ;

  • Le 6 décembre 2015 à 21:44, par Phoenix En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    D’apres vous
    ki pouvais porter vos espoirs ? L’analyse semble correcte mais c seulema pr mieux remettre en cause le choix du peuple. Vos analyses partisanes sont suffisantes maintenant.

  • Le 6 décembre 2015 à 21:48, par RV En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    J’espère que vous serez candidat en 2020 pour faire une meilleure offre ! Franchement, tous les candidats méritent des encouragements au regard des efforts fourni.

  • Le 6 décembre 2015 à 22:05 En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Positivons et donnons une chance à la nouvelle équipe. Mais que chacun apprenne à assumer toutes ses responsabilités en dépit du principe de la collégialité gouvernementale.

  • Le 6 décembre 2015 à 22:22, par Wendgomde Felix En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Cet ecrit de Mr Nombre retentit comme une inquietude. Inquietude que ca ne soit pas un changement mais un remplecement. J’avoue partager cette inquietude surtout apres le reportage que je viens de voir sur chaine de television Locale. En effet, Une personnalite, membre influente du parti desormais au pouvoir recevaient des petits commercants et nous avons constate que certains grands operateurs economiques ne se sont pas gener pour s’adonner a des pratiques propres a l’ancien regime. Le journaliste dans son analyse s’est demande si nous ne sommes pas en train de retourner a la case depart avec une rapidite fulgurante. Pour notre part, nous pensons que le parti a en son sein des gens vigilants et les OSC et l’opposition assureront une veille republicaine.

  • Le 6 décembre 2015 à 22:27, par Troll En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Pessimisme amer partagé !

  • Le 6 décembre 2015 à 22:30, par Tchamba En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Un peu de respect aux 53.49%de burkinabè qui ont porté leur choix aux leaders du MPP. vous autres qui continuer à entretenir les germes de la division pour que le Burkina ne retrouve jamais la paix pour se concentrer aux chantiers, ne verrez pas vos idées noires triompher. qu’est-ce le Burkina vous a fait pour que vous lui souhaitez tant de malheur. vous autres vous êtes si patriotes que vous préférez quand transmettre votre savoir à l’extérieur au détriment de vos frères. pardon laissez nous , nous entendre pour amener notre faso vers le développement. ce n’est pas parce que vous pensez que vous êtes à l’abri qu’il faut chercher à brûler le pays. revenez on v lutter ensemble

  • Le 6 décembre 2015 à 22:42 En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Chapeau bas. Ce sont les élections record en matière d’achat de conscience.

  • Le 6 décembre 2015 à 22:51, par justement juste En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Franchement en te lisant j’ai eu l’impression que c’est moi même qui parlais. Tellement tu as traduit ce que j’ai ressenti et pensé après ces élections. C’est dire que nous sommes nombreux à penser ainsi et que la lutte pour le vrai changement va aboutir.
    Est ce que vois savez que Dieu est vraiment avec le Burkina ? On a chassé Blaise et ses vasseaux. On a eu le RSP. Comment pouvait on avoir les rescapés qui nous ont feinte pour se cacher dans l’opposition si ces derniers n’accedaient pas au pouvoir ? C’est une manière pour Dieu de nous les livrer sur un plateau d’or. On les attend au tournant. Sauf si c’est pas burkinabé. Wait and see !

  • Le 6 décembre 2015 à 22:55, par KabSid En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    En démocratie la majorité gouverne et la minorité s’oppose. C’est aussi simple. Tout démocratie doit respecter ce principe même si la vérité n’est pas forcément toujours du côté de la majorité. Le Burkina n’a pas deux peuples et c’est le même peuple insurgé qui a choisi librement qui doit présider. Respectons ce choix et prions pour le bonheur de notre cher patrie au lieu de présager des mauvaises augures.

  • Le 7 décembre 2015 à 00:58 En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Très belle et pertinente analyse.
    A l’annonce des résultats j’ai pensé à nos valeureux martyrs. Oui 53% a choisi. Mais je ne pense pas que la moitié des insurgés a voté (Parce trop jeune ou ne se reconnaissant dans aucun des candidats).
    En réalité c’est l’ancien système qui sort vainqueur puisque le CDP a 18 députés et le MPP 55. Ces deux partis ont utilisé les mêmes rouages et méthodes pour les élections.
    Peut on ignorer que Salif est impliqué dans des dossiers de crimes de sang et économique ?
    Peut on oublier le dossier de la réfection de la Mairie de Ouaga sous Simon ?
    Peut on oublier que Rock a soutenu l’art 37 ?
    Peut on oublier qu’ils ont quitté le CDP non par divergence idéologique mais parce que n’étant plus aux postes juteux du parti ?

    Notre salut est dans la vigilance du peuple et de la société civile.
    LA LUTTE CONTINUE

  • Le 7 décembre 2015 à 01:02, par soré En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    bien dit mon compatriote.

  • Le 7 décembre 2015 à 01:27, par et pourtant En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Je n ai pas suppporte la candidature de rock mais il est mon president et a mes Benedictions. Pour le rest , metons ns ensemble malgre nos differences pour travailler ensemble. Le fair play est l une des lois de la democratie.

  • Le 7 décembre 2015 à 02:56, par Ali En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    En fait, tu ne comprends rien. S’appeler Nombre et fustiger les RSS n’est pas etonnant. Les Burkinabe sont encore lucides. C’est seulement ton point de vue. Et cela n’engage que toi et Zephirin Diabre. Donne moi une raison qui puisse me faire croire de la saintete de ton candidat.

  • Le 7 décembre 2015 à 03:17, par vérité no1 En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    @Nombré, aux prochaines élections, tu prends tes fesses et tu viens te présenter ! C’est très simple !!!!! C’est un UP....!!!!! Webmaster, laissez passer, nous sommes en démocratie !

  • Le 7 décembre 2015 à 06:13, par citoyen 1 En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    une question à M. Nombré : avez-vous participé activement à l’insurrection ? eh, bien, sachez que les insurgés se trouvent dans tous les camps aussi bien dans le camps de ceux qui ont remporté les élections que dans les autres camps. Si vous n’avez pas participer à cette lutte historique, alors vous êtes indigne pour donner des leçons aux électeurs burkinanbè dont la maturité politique a été suffisamment démontré et reconnu par les monde entier.

  • Le 7 décembre 2015 à 06:32, par Kalkuto En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    On peut se faire élire facilement par du bétail électoral en campagne et perdre facilement le pouvoir en ville suite à une insurrection. ça va pas tarder.

  • Le 7 décembre 2015 à 06:40, par Le direct En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    A vous lire, on sent de la jalousie et de la haine pour le PF.Mais sachez que vous ne vivez pas les mêmes réalités que nous.Je vous comprends puisque vous avez soutenu un candidat malheureux.Tais-toi jaloux nous on avance.

  • Le 7 décembre 2015 à 06:46, par arche En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    j’aimerais dire aux partisans de Rock qu’ils doivent respecter la différence des points de vue. même si Rock était élu avec 90% des votants, il est loisible à un burkinabè fusse_t_il à l’étranger, de dire qu’il désapprouve le choix des votants.
    Vous semblez être nationalistes mais vous souffrez d’entendre autre écho. Comprenez que tous les hommes intègres ne peuvent encensés votre candidat. si vous n’êtes pas tolérants envers Mr Nombré, vous montrez que vous êtes dangereux pour le peuple que Nombré.
    Mais entre nous qui est Rock ? sinon la marionnette de Salif Diallo qui, d’ailleurs ne s’en cache pas car il a dit ceci :" je vais installer Rock, s’il déconne je vais le chasser". C’est Salif qui a le crachoir depuis les résultats : il invite ADO à l’investiture pour cacher son conflit avec Soro, il dit comment le CDP et l’ADF/RDA doivent se comporter s’ils veulent avoir les grâces du MPP. C’et lui qui est allé au Caméroun noyer des contacts pour le financement de Rock. il en a fait de même avec un ivoirien proche de ADO.
    Celui qui fait peut défaire. C’est en ce sens que Salif sera le véritable président et l’autre une vraie marionnette. Je n’en suis pas fier pour mon peuple mais c’est la,triste réalité.
    Trouvez moi ici et maintenant des raisons qui laissent entrevoir que la gestion de Rock ne sera celle dictée pas Sieur Diallo Salif ? Sachons raison gardée et restons tolérants des points de vue des autres burkinabè. c’est cela aussi le "vivre ensemble".

  • Le 7 décembre 2015 à 06:50, par Ghost En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    You’re not supposed to be blind with patriotism that you can’t face reality. Wrong is wrong, no matter who says it.

    Malcolm X

  • Le 7 décembre 2015 à 07:01 En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Pensiez vous qu’un candidat nouveau allait émerger en une année de transition ? alors que le régime Compaoré a fait 3 décennies au pouvoir en faisant le vide générationnel car la classe politique actuelle est surreprésentée par les + de 50/60 ans. Le mandat de Roch est un mandat de "transition" qui doit permettre l’émergence de jeunes (30/40 ans) non mouillé politiquement par l’ancien régime. Roch et son équipe est prévenu. S’il ne se met pas au diapason des aspirations de son peuple, il sera balayé en 2020 démocratiquement.

  • Le 7 décembre 2015 à 07:02, par Jo Lapin En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Chers amis, avant de jeter l’anathème sur l’analyse de notre concitoyen, commençons par le lire attentivement sans a priori. Ensuite nous garderons ce qui nous semble objectif et ce que nous pensons peu recevable. La démocratie c’est le nombre, mais c’est aussi au-delà du nombre. Autant la minorité peut se tromper, autant la majorité n’est pas la vérité absolue. Soyons plus profonds que ça.

  • Le 7 décembre 2015 à 07:24, par korokie En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    C’est quelle analyse bidon ça ???? Vous renoncez au choix de 53% des Burkinabé sur la base d’un programme qui leur a ete largement expliqué ds les 368 communes et villages ?????vous pensez donc qu’ils ne savent pas ce qu’ils veulent ? Un peu de respect !!!!! Comment faut il vous faire comprendre que les leaders du MPP ont definitivement rompu avec le CDP ? Il y en a qui ont du mal a digerer leur defaite !!! Pardon, regardons en face maintenant au nom de nos martyrs et laissons ces gens là travailler. S’ils font du n’importe quoi ils auront le peuple en face d’eux et, en ce ment vous viendrez prendre le pouvoir aux peochaines elections si vous pensez que c’est facile de gerer un peuple après insurection qui n’attend que de meilleurs conditions de vie !!!!! Paaaarrrrdon !!!!! Regardons en face.

  • Le 7 décembre 2015 à 07:25, par phil En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Je souhaiterais juste que l’on ne perde pas de vue que monsieur Nombré donne ici son point de vue. Etre d’accord ou pas est un choix, mais la courtoisie voudrait que l’on évite des propos quasiment injurieux. Soyons objectifs et patients : l’avenir lui donnera tort ou non. Du reste, chacun de nous, conscient que rien ne doit entraver notre marche vers plus d’équité et de justice, est plus que jamais en veille, et en temps opportun notre nombre rappellera notre force. Pour le moment, observons.

  • Le 7 décembre 2015 à 07:30, par Nato En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Un haineux. Négativiste. On avance ici.

  • Le 7 décembre 2015 à 07:39, par justement juste En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    SVP 53% de la population n’a pas voté pour Rock. C’est 53% de 3.000.000 de burkinabés votants. Sinon nous sommes 18.000.000 actuellement. Donc il est élu par moins de 10% des burkinabès. Cependant le jeu démocratique nous oblige tous à le reconnaître comme notre président. Je lui souhaite d’ailleurs beaucoup de réussite pour le bonheur de nous tous. Mais comme entre notre souhait et la réalité ilya souvent un fossé, le premier ne doit pas caché le second sinon on peut être surpris. Donc permettez aux burkinabé clairvoyants de tirer sur la sonnette d’alarme. Vous ne pensez pas qu’il n’y a que cela qui peut obliger les nouveaux dirigeants à se surpasser en voulant démentir les propos de leurs adversaires ? C’est la démocratie qui gagne. En tout cas nous sommes prêts à chasser Rock s’il veut gérer dans la continuité et non dans la rupture. C’est clair et net. Blaise qu’on a chassé était élu à combien pour cent. Que ceux qui ont des cerveaux pour réfléchir réfléchissent.

  • Le 7 décembre 2015 à 07:50, par Minnayi En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Je partage cette inquiétude sur certains points notamment le sentiment de faire du nouveau avec de l’ancien. Personnellement, je me demande ce que ce trio RSS peut nous apporter de nouveau qu’on ait déjà. Bref, je suis très réservé à me réjouir et j’attends de voir. Et les gens oublient très vite. Que faisons-nous des multiples rapports qui impliquent Simon ou autres ? Même dans la liste nationale MPP élus aux législatives figure quelqu’un qui est en prison présentement. Et on parle de changement ?

    Pour ce qui concerne les alliances, notamment avec l’UNIR/PS, je suis très surpris d’entendre dire que le MPP et ce dernier sont de la même idéologie. De toute façon cette alliance a lieu, c’est la fin officielle de l’UNIR/PS.

  • Le 7 décembre 2015 à 07:55, par Red Rouge En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Nombre
    Ton opinion et ta sensibilité politique sont faciles a deviner.
    À ta suite, dans la posture confortable d’intellectuel critique j’exprime ma déception que la véritable Révolution Démocratique et Populaire ne couronne pas l’insurrection de 2014.

    Ceci dit arrête, arrêtons de rêver sans s’ engager.

    Nous avons 5 ans pour militer, conscientiser le Peuple.
    Rentre au pays ! Ou alors aide nous a réviser les listes pour que la Majorité des burkinabe de l’ intérieur et de l’extérieur puisse voter en 2020 et toutes les fois prochaines,pour de bons gouvernants ; en toute démocratie et suivant les principes républicains.
    Construire oui, critiquer d’accord mais Decourager NON !
    Par Red Rouge

  • Le 7 décembre 2015 à 08:02, par Kam Ignace En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Prenons patience. le peuple Burkinabé est assez mûr, a assez grandi. Il a pesé le pour et le contre avant et a porté son choix à Roch. Jugeons-le à la fin de son mandat.

  • Le 7 décembre 2015 à 08:04, par ZAMPA En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Arrêtez vous critiques bidons M.NOMBRE a fait son analyse et donner son point de vu.Peut-être si M.RMCK ou SALIF DIALLO lisent son écrit ils peuvent tirer certaines vérités et corriger certaines choses.Je pense que nous sommes dans un état de droit et il faut éviter de jeter les idées des uns ou des autres du revers de la main.Dans tous les cas le nouveau président n’a pas encore pris fonction ;nous sommes entrain de mettre les bœufs après la charrue.Nous avons en face de nous 05 ans pour pouvoir le juger.Dans tous les cas les réalités du peuple sont toujours là.M.HERVE KAM du balai citoyen l’a bien dit"ce même peuple est toujours là"L’analyse de M.NOMBRE donne à réfléchir ;même si je suis du MPP,il y a des points dans son écrit qu’il ne faut pas rejeter.

  • Le 7 décembre 2015 à 08:10, par hervos one En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    je commence à penser que les Burkinabé ne sont finalement pas différent des autres africains, et ne voient pas plus loin que leurs estomac et leurs nez,et manquent vraiment de conscience politique ou tout simplement d’intelligence.qu’est ce qui nous empéchait de faire une rupture avec ce système.croyez vous que RSS assez bête pour enterrer un tel système au risque de se détruire eux même.
    il est temps que les africains inventent leur propre mode de scrutin comme le préconise Laurent BADO le droit de vote est accordé a tout citoyen ayant un niveau minimum d’instruction scolaire pour mieux analyser le paysage politique.

  • Le 7 décembre 2015 à 08:16, par salou En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Bel écrit. Je valide l’argumentaire. MPP c’est une copie des méthodes CDP. Dans 1 scénario bis Salif = Francois (ROCH va régner et Salif sera à l’oeuvre machiavelique).

  • Le 7 décembre 2015 à 08:22, par DAWANZIRI En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    voilà encore un autre haineux négativiste. mon frère dit nous quelle pierre toi tu as apporté pour construire ton pays. ceux que tu critique en ont apporté plus que toi. c’est la démocratie et on vote qui on veut PIAAAANNNN

  • Le 7 décembre 2015 à 08:31 En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Difficile d’avoir un homme nouveau après 27 ans d’errance. Comme après toutes les révolutions il y a une période de tâtonnements. Il y aura des tentatives de restaurations surtout avec l’environnement international actuel. Le peuple doit rester vigilant. Ceux qui peuvent continuer la conscientisation doivent le faire et éviter des dérives préjudiciables.

  • Le 7 décembre 2015 à 08:35 En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    D’accord pour l’expression des opinions minoritaires..mais dans les règles du jeu. C’est pendant la campagne qu’il fallait exprimer son opinion et faire en sorte qu’elle triomphe. Une fois que le PEUPLE SOUVERAIN s’est exprimé, il faut "se soumettre ou se démettre"

  • Le 7 décembre 2015 à 08:38, par L’alternateur En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Bonjour chers internautes
    avec un score de 53% sans le CDP et l’ADF que les RSS ont persécuté en complicité avec la transition bâtarde ; nous sommes qu’au début de la lutte pour chasser les traîtres de n’importe quelle des manières . Même si l’ADF avait présenté un singe ; nous aurions eu notre deuxième tour . Cependant l’avenir pour ceux qui viennent d’accéder par effraction au pouvoir sera extrêmement douloureux ; Mais avant il est impératif de faire le bilan de cette transition bâtarde qui vient de borner à ouaga 2000 30 HA de terre pour se partager sans compter les razzias déjà effectués au trésor public et dans les mines . Nous verrons tous leur déclin sous nos yeux surtout le général de la division et de la soustraction

  • Le 7 décembre 2015 à 08:49, par Le citoyen En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Cher M. Nombré, votre écrit ne nous surprend guère. Puisque vous voulez qu’on en parle, parlons-en. Vous dites que les burkinabè doivent transcender les manipulations identitaires de politiciens en mal d’imaginaire. Suis tout à faire d’accord avec vous, mais à commencer par vos "sâam bissi" qui, partout où ils sont, nous affiche "sans pudeur" cette tendance identitaire que vous décriez tant. Fort donc de ce constat, comprenez donc que la majorité des burkinabè ait préféré X au lieu de Y.
    En entendant que cette vision identitaire soit bannie de notre démocratie en marche, je souhaite que les siens mettent assez d’eau dans leur vin pour qu’ensemble, d’où que nous venons, puissions construire notre très chère patrie ensemble.
    Bel article M. Nombré !!!!

  • Le 7 décembre 2015 à 08:49, par OUEDRAOGO Souleymane En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    M. NOMBRE.
    Notre monde est plein de gens minables, méchants et sans vergogne. C’est pourquoi votre analyse est difficile à comprendre pour pas mal de gens. Les gens comprenne toujours en retard, voilà pourquoi le monde est ce qu’il est et l’Afrique restera toujours pauvres. Pauvre financièrement, moralement et intellectuellement.
    SANKARA a contribué à éveiller les consciences. Où nous en sommes avec l’idéologie de Thomas SANKARA ? Pendant l’insurrection, les milliers de jeunes (les OSC) qui se réclamait SANKARISTE, ou êtes-vous ?
    L’analyse de M. NOMBRE n’est pas contre la personne de RMCK, mais contre un système. Où est le mal, de demander d’être gouverné par des dirigeants intègres, qui ont l’amour de leur peuple ? Celui qui est en avance par rapport à son temps est toujours incompris. N’est-ce pas ?
    Réveillons-nous !!!!!!!

  • Le 7 décembre 2015 à 08:54, par Bédjou En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Mr Nombré, votre analyse est très belle et bien argumentée ; j’y adhère pleinement car elle colle véritablement à la réalité, au vécu. La corruption électorale a pleinement fonctionné, sous des formes bien déguisées. Pour éviter toute crise, et donner par là raison à Blaise et ses partisans, le peuple a accepté les résultats, car ce n’est pas la fin du monde. Alors le peuple ne fera rien pour faire échouer le président élu, mais il restera aussi vigilant et se fera entendre car il n’acceptera plus les méthodes vomies et rejetées de l’ancien régime.

  • Le 7 décembre 2015 à 09:20, par SIGUIDAN En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Mon cher, c’est le même peuple là qui a sanctionné les autres candidats pour accorder sa confiance au MPP. Ce peuple mur là sait mieux que tous les prédicateurs spéciaux de son avenir, qui peut conduire sa destinée. Vous auriez pu battre campagne pour rafler les deux scrutins. En racontant des contre vérité sur le départ des RSS du CDP vous vous discréditez lamentablement car tout le monde sait à quels jeux jouait l’UPC avec le CDP qui appelait ouvertement à voter pour elle afin qu’elle puisse veiller sur ses intérêts une fois au pouvoir. Le CDP pense à tord ou à raison que Le RSS au pouvoir il n’ y aurait pas de cadeau pour eux, pourtant c’est la justice qui sera appliquée à la lettre. Donc parler comme si vous n’étiez pas au Faso lors de la campagne c’est faire preuve de malhonnêteté intellectuelle du haut de votre Diplôme de Master en Droit International.Pardon arrêtez de nous faire croire à vos balivernes auxquelles vous même ne croyez pas.

  • Le 7 décembre 2015 à 09:23, par P En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Je comprends votre désespoir mais c’est la volonté de la majorité qui l’ emporte.mr nombre soyez tranquille les choses vont changer.même si blaise compaore revenait au pouvoir aujourd’hui il changerait de façon de diriger. Les mêmes causes reproduisent les mêmes effets. Le nouveau président va certainement tirer les leçons.

  • Le 7 décembre 2015 à 09:30, par Nabiga01 En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Mr. Nombré, faites pardon. Ne semez pas la haine et la division ! A vous lire, on sent que c´est vous la source du tribalisme. J´espère que Zeph ne valide pas ce que vous venez d´écrire. Que Dieu vous pardonne et vous éclaire. Vive le peuple burkinabe, vive la Démocratie.

  • Le 7 décembre 2015 à 09:30, par Idriss En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Justement Juste (internaute n°18), merci pour cette analyse lumineuse. En effet l’ascension de ces gens est peut-être bien dans un plan divin de débarrasser notre cher pays des derniers boulets. Soyons tous au tournant pour la suite de l’aventure.

  • Le 7 décembre 2015 à 09:32, par acerbe En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Mr Grihobou, le peuple a choisi son président, un peu de décence et respectez ce choix si vous êtes démocrate....n’en vous déplaise. Bravo à Rock....

  • Le 7 décembre 2015 à 09:34, par NIKIEMA En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Pourquoi tant de haine Monsieur Nombré ? Parce que Zéphirin n’a pas gagné ? Vous me dégoutez.

  • Le 7 décembre 2015 à 09:43, par yaniyel En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Vous avez tous raison mais la question est de savoir pourquoi et dans quelles intentions ces deux grands partis ont distribué des milliards aux populations pour être élus ?
    Cette pratique n’augure rien de bon pour un réel changement.
    Mais osons croire le contraire.

  • Le 7 décembre 2015 à 10:08, par Urbain Lamoussa En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Le triomphe de la démocratie doit laisser derrière elle toute tentative d’analyse allant désespérément contre son avenir ou suscitant des interrogations pareilles. Respectons le choix de cette majorité parce qu’elle a dû elle aussi réfléchir

  • Le 7 décembre 2015 à 10:18, par mninda En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Encore des bissateries haineuses. Franchement ,on se demande ce que veulent certains burkinabé ? Ainsi donc les 53 pour cent de burkinabé qui ont voté ROCK seraient des idiots .
    Mr Nombre cachez au moins un tant soit peu votre haine qui ne peut se justifier que par votre instinct tribaliste .Minable

  • Le 7 décembre 2015 à 10:18, par Vérité En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Je constate qu’il y a une race de burkinabè qui n’ont que l’injure et la calomnie à la bouche dès qu’ils ne sont pas d’accord avec les opinions d’un autre burkinabè. C’est son droit absolu d’avoir des inquiétudes. A défaut de ne pouvoir le rassurer sur ses inquiétudes il faut donner aussi son point de vu contradictoire. Pour moi en tout cas je partage ces mêmes préoccupations mais personne, y compris ceux qui déversent leur haine sur Mr Nombré ne peux dire exactement ce que le Burkina deviendra dans 05 ans. Nous souhaitons le progrès pour notre pays mais au vu des résultats des élections qui nous ramènent ceux qu’on a déjà vu à l’œuvre nous avons des raisons de nous inquiéter. SIMON même a dit qu’il faut faire en sorte que le changement sois au rendez-vous ; il s’agit bien sûr d’un changement qualitatif.
    Et puis il ne faut pas faire trop de fixation sur les taux des différents candidats parce qu’il n’y avait que 5,5 millions d’inscrits sur 18 millions de burkinabè et plus de 2 millions qui n’ont pas voté. c’est la loi de la démocratie et il faut l’accepter comme tel et penser surtout à l’avenir. Soyons surtout tolérant envers les autres même si nous ne sommes pas d’accord avec leurs idées. peace and love !

  • Le 7 décembre 2015 à 10:29, par best of best En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Rock a gagne les election arretez vos errement tt le monde au usa n’ont elu obama mais il est president

  • Le 7 décembre 2015 à 10:34, par tengen-biga En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Un écrit plein de rancoeur et de ressentiment.
    Lorsqu’on accepte les règles du jeu, on accepte les résultats.
    Refuser, comme vous le faîtes, c’est perdre de la pire des manières.
    Ainsi, vous ne voulez pas que le MPP soit au pouvoir.
    Mais s’il est élu, on se tait.
    Sinon vous n’êtes pas démocrate.
    Et vous serez combattu comme les auteurs du coup d’Etat.

  • Le 7 décembre 2015 à 10:36, par Wata En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Je me demande si ceux qui reclament le respect de 54 pour cent des votants avaient respecter les 85 % de Blaise et s ils savent que Rock a ete vote par 2 millions de burkinabe sur 17 millions en realite.
    soyons tolerants et intelligents pour accepter les critiques quels qu ils soient.

  • Le 7 décembre 2015 à 11:03, par Le Faso D’abor En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    A écouter certains Burkinabé on est écoeuré ! C’est à se demander si on vit sur la même planète ! Ils se complaisent en effet dans des thèses bidons pour traiter du Burkina ! Ils oublient d’où le Burkina est venu ! On est passé à coté du pire ! Et il faut remercier Dieu pour tout.
    Par ailleurs, les idées negatives fondées sur le passé des nouveaux tenants du pouvoir ne trouvent leur justificaction que dans le militantisme débridé des perdants !! Réveillons nous pour admettre que le peuple a choisi !! Et le peuple n’est pas idiot !! La majorité a choisi et les perdants doivent se soumettre dans le silence !! Nous avons tous gangé ! Mais ces tonnaux vides qui, à longueur de journée, dévisent des lendemains tristes pour le Burkina doivent se taire à jamais. Il faut plutôt encourager ces nouveaux dirigeants à s’amender et nous conduire dans l’éthique vers un bond qualitatif !! A défaut de cela vous passez votre temps à voir l’appocalypse !! Roch a échoué par le passé donc il échouera demain : !! Quelle platitude dans le raisonnement. Dites moi qui n’a jamais échoué ? Au contraire, l’échec est une opportunité de s’amender et d’aller à des étapes supérieures !! Sans être un grand partisan de Rock j’aimerais que tous autant que nous sommes, nous acceptions la décision du peuple et accompagnions ces gens à travers nos comportements, nos paroles et nos actes quotidiens ! La colère d’avoir perdu les élections ne doit pas nous envahir au point de nous rendre myopes, grincheux, aigris et blafards. Le Burkina est notre maison commune et personne n’a plus le droit à le diriger que l’autre !! Les élections ont tranché ! Ravalons notre fierté et notre désir d’etre à la place de Rock et accompagnons le !! C’est de cela que les Sankara, Zongo et les martyrs seront fiers !!

  • Le 7 décembre 2015 à 11:04, par zirisaaya En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    les burkinabés ont tout fait pour ne pas semer la graine de "l’ethnicisme". Mais c’est à croire que certains auteurs des écrits pensent que les autres sont dupes.Monsieur NOMBRE, votre article frise le ridicule et de manque de considération pour le peuple tout entier. Vous ne pouvez être emmuré dans votre tour d’ivoire et avoir le changement que vous escomptiez. Qu’ avez-vous fait comme sensibilisation dans votre village pour " éclairer" l’électeur que vous considéré comme "non éclairé".Les causes profondes de l’insurrection, c’est d’abord la gestion du pouvoir par une seule famille égoïste qui a exacerbé les clivages socio-politiques. Ce qui a entraîné un malaise dans toute la classe politique. La création de la FEDABC qui excluait les fondateurs de l’ODPMT et du CDP du pouvoir ; la création du SENAT avec pour président François COMPAORE pour la révision de l’article 37. Reconnaissez que la force de l’opposition est venue du départ des caciques du CDP et ça c’est l’oeuvre de DIEU. Sinon le résultat aurait pu être autre. Ce n’est pas évident que ceux sur qui vous comptiez pour le changement feraient mieux que ROCK. Je pense aussi que le peuple BURKINABE doit tourner la page des rancunes et aller à la réconciliation nationale et à l’apaisement des cœurs. Faisons la paix bien sûr après les dossiers pendants en justice. Le nouveau président doit pouvoir prendre en compte les aspirations du peuple qui l’a élu notamment bonne gouvernance économique sociale et politique. Reconnaissez qu’il a du mérite sinon le peuple ne lui aurait pas fait confiance à moins que vous ne pensiez être plus intelligent et lucide que le peuple.

  • Le 7 décembre 2015 à 11:06, par TOE Magloire En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Le problème du Burkinabé actuellement, c’est que tout le monde se croit connaisseur et intègre pour juger et condamner l’autorité qui commet la moindre erreur ! Ils ignorent que eux même ne sont pas parfait parce qu’il suffit qu’on les promeut à des postes de responsabilité pour découvrir tout de suite leur vraie nature. Les exemples il y en a assez. Il n’y a pas d’homme qui n’a pas péché et qui ne péchera pas. Le plus important c’est de les reconnaître et se repentir. Arrêtons de manifester les sentiments de jalousie car nul n’est parfait. N’importe qui peut tomber, seulement il faut savoir se relever. Respectons le choix du peuple qui est le choix de Dieu. Avec tout ce qui s’est passé depuis octobre 2014, les nouveaux dirigeants sont bien conscients de ce qui les attend. Ils ne peuvent pas faire autrement que ce que même ceux qui ne les ont pas votés attendent.
    Que le tout puissant les assistent.

    Mes frères !
    Sachez que ce n’est pas un président qui change la destiné d’une nation, mais la volonté d’un peuple uni !
    Dieu bénisse le Burkina Faso !

  • Le 7 décembre 2015 à 11:23, par ka En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Mr. Nombré, en parcourant ton analyse pertinente, j’ai compris tes questions envers les trois trios RSS, mais souviens-toi que le peuple, plutôt les 5 millions d’électeurs le 29 Novembre 2015 te posaient aussi une seule question dont tu ne pouvais pas répondre : ’’’’’Qui voter parmi les 14 candidats ?’’’ Plus la moitié a pointé leur doigt sur un individu capable d’ouvrir le chemin de l’alternance politique et économique du pays avec sa jeunesse : Alors les 100% du peuple Burkinabè doit prendre celui qui a été choisi, comme leur guide durant les 5 ans à venir. C’est aussi ce qu’on appelle la démocratie d’un pays qui avance. Nous, nous sommes sur place, et nous voyons le quotidien de notre vie, et celle du pays que nous aimons, et nous avons décidé que c’est quand même une personne d’entre les trois qu’on accuse de tous les crimes qui doit encore prendre le volant des affaires de l’état, alors c’est ainsi la vraie démocratie. La transition a eu raison de s’abstenir au vote de nos compatriotes à l’étranger, et avec raison : Si tu étais un responsable d’un bureau de vote aux Etats Unis, nous serons à la case du départ, car le Burkina sera à feu et à sang à cause des résultats que tu n’accepteras pas, comme ce fut le cas de la Cote d’Ivoire avec GBAGBO. Ce n’est qu’un exemple parmi d’autres. Mon frère Nombré, un représentant du peuple ne peut plaire à tout le monde, mais Roch Kaboré a réussi à avoir plus que la moitié du peuple Burkinabé qui lui confie leur destin, qu’on le veut ou pas, c’est lui le président de tout le peuple Burkinabé. Pour le vieux Ka, ce n’est qu’une vraie alternance politique et économique du Burkina avec sa jeunesse qui commence. L’article 37 a été verrouillé par les députés en herbe dont 60% étaient de la jeunesse : cette jeunesse est l’avenir du Burkina, et si en 2025 Roch Kaboré est encore au pouvoir et insiste pour un troisième mandat, il sera chassé comme Blaise Compaoré par la même jeunesse, c’est ça aussi la démocratie comme chez vous aux Etats Unis.

  • Le 7 décembre 2015 à 11:41, par kzal En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Internaute N°56, Mme ou Mr Wata, soyez plus intelligent ! Vous ferez mieux de vous taire si vous n’avez rien à dire.Trop stupide comme comparaison. C’est la crédibilité qui est à respectée ici et non le score. 54% des burkinabés remplissant les conditions de vote ont choisi RMCK comme PF au cours d’une élection que tous sauf Mr Nombré et vous, ont reconnu transparents et crédibles. La haine et la jalousie vont vous détruire pendant que le Burkina et ses honnêtes citoyens avanceront vers l’émergence.

  • Le 7 décembre 2015 à 12:08, par ladebel En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Nombre calmez vous, pourquoi cette haine contre Roch KABORE ? les Burkinabé ne sont pas bête, ils savent et de la manière ce qu’ils veulent. soit honnête avec toi même et ne te ment pas. Dans ce lot de candidats si tu choix pas Roch qui tu va choisir ?

  • Le 7 décembre 2015 à 12:08, par NulNePeutVaincreLePeuple En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Nul ne peut vaincre le peuple et ça tout le monde le sait maintenant. Le peuple a confié le pouvoir au Président Roch et nous allons l’accompagner pour qu’il mettre en oeuvre le programme qu’il a soumis au peuple. Mais il y a un mais car il va falloir travailler à améliorer les conditions de vie de la population. Le peuple ne tolérera plus que les caisses de l’Etat soient pillées par quelques individus auquel cas le peuple se mettra à nouveau dans les rues pour le vrai changement. Alors ne dites pas que ’si je savais’ car vous le savez déjà. Pour l’opposition nous les soutenons également car nous voulons une vrai opposition et une vrai société civile pour toujours attirer l’attention de la majorité. Plus rien ne se fera comme avant !

  • Le 7 décembre 2015 à 12:19, par lassane En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Personne ne conteste à Mr Nombre le droit à la critique .En politique la critique doit porter sur les projets et programme de société .Mais tout le monde aura remarqué que Mr Nombre s’est plutôt livré à des attaques personnelles,des insinuations ,des affirmations gratuites fondées sur la rumeur à la limite de la diffamation .Comment peut on s’acharner ainsi contre une personne qui n’a même pas encore commencé à travailler ? Non chers frères ,il est temps à présent d’élever le niveau du débat politique pour le mettre au niveau ou le monde entier a placé le BURKINA Faso après ces élections .Stop maintenant aux intrigues ,à la délation tous azimuts ,à l’empoisonnement du climat social et de la cohésion nationale ,parce que simplement notre candidat ou parent n’a pas gagné l’élection présidentielle .Et puis le comportement de tout homme est fonction du niveau de responsabilité que l’on occupe .Travailler sous ordre de Blaise COMPAORE et assumer soit même directement la haute fonction de président du Faso sont deux choses totalement différentes .On ne peut donc pas partir de ROCK exécutant de la volonté de son supérieur en son temps pour juger ROCK disposant de toutes les cartes en main pour imprimer sa marque à la marche du pays .Il a un mandat que le peuple lui a confié .C’est le même peuple qui lui retirera son mandat en 2020 s’il n’est pas satisfait de son travail .Point final .

  • Le 7 décembre 2015 à 12:35, par Sylvanus En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Bonjour monsieur NOMBRE, et félicitation pour votre écrit. Courage surtout, car les jours du Faso des ténèbres et de la médiocrité sont désormais comptés grâce à des téméraires comme vous.

    Au fur et à mesure que je parcourais votre écrit, je me disais, voilà un monsieur qui va se faire "smatcher" par les internautes parce qu’il risque de ne pas être compris et surtout d’être traité de partisan. Et vlan, mes craintes se sont avérées lorsque j’ai survolé les 20 premiers commentaires. C’est dramatique, mais c’est ça aussi le Burkinabé. En tous les cas, voilà mon analyse.

    Dire que vous êtes partisan, c’est vrai, mais qui ne l’est pas ?
    Dire que RMCK a été élu par 54% des électeurs ne veut pas dire qu’il est plébiscité, ni que 54% des électeurs ont fait le mauvais choix. Les exemples sont légions qui montrent qu’on peut faire du 80-99% tout en étant mal élu. A contrario on peut être un élu de compromis et vers la fin de son mandat on a le plébiscite de tous.

    Dire que RMCK est le plus mauvais des choix c’est faux, mais c’est erroné aussi de penser que parce que la démocratie a parlé (54%), il est un choix qui est en harmonie avec l’insurrection populaire.

    Personne n’est Dieu pour prédire le malheur pour les Burkinabé pour leur choix, mais personne aussi n’a le droit de traiter comme bcp l’ont fait l’auteur de cet écrit dont je loue la démarche et le courage.

    Vous n’avez pas dit que vous êtes "moutons" ? Continuez dans cette médiocrité en voulant décourager tous ceux qui usent de leur temps pour vous donner à réfléchir. Beaucoup oublient que jusqu’à ce que Blaise attrape ses jambes à son cou, les commentaires de ceux qui disaient qu’on fait ceci ou cela (on modifie l’art.37) et puis il n’y aura rien étaient les plus nombreux. Avant la dissolution du RSP ceux qui disaient qu’il faille laisser cette décision au prochain gouvernement "démocratiquement" élu, et d’autres commentaires du genre étaient également les plus nombreux. La suite on la connait. Mais où est passé ce beau monde ? C’est à croire que c’est les même d’hier qui sont là aujourd’hui !

    Bref, peut-être que c’est faute d’avoir été convaincu par les autres candidats que bcp de Burkinabé ont choisi RMCK. Peut-être c’est parce qu’ils ne font pas confiance à un B.. ou à un P.. qu’ils ont choisi le M... Peut-être encore que bcp ont réitéré leur ancien choix (à défaut de CDP on choisi MPP), d’ailleurs vous remarquerez que dans les anciens fiefs du CDP les deux postes de député ont été partagés 50-50 entre CDP et MPP. On voit bien que tout est plausible dans les hypothèses de Mr NOMBRE. D’où vient alors cette animosité à son égard, c’est ce que je ne comprends pas. C’est tout.

    De grace, mettez un peu d’eau dans votre vin, sinon vous finirez par vous saouler vous même et personne ne voudra vous guider jusqu’à chez vous.

  • Le 7 décembre 2015 à 13:22, par ils refusent de voir En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Roch Kaboré a été élu par les insurgés. Les RSS ont des OSC avec des milliers d’insurgés qui les suivent et qui répondent à tout mot d’ordre dans la rue comme dans les urnes. vous montrez que vous ne savez vraiment pas qui sont les vrais artisans de l’insurrection et de la fuite de Blaise. les insurgés se reconnaissent parfaitement dans la victoire de Roch
    Chers CDUPCistes, je vous assure que si vous ne sortez pas de votre ignorance la désintégration de votre parti sera bientôt déclenchée

  • Le 7 décembre 2015 à 13:37, par Jonassan En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    C’est des gens comme vous qui ont fait perdre votre candidat. Le bon coeur défend le programme de son candidat mais à ne voir que du mauvais chez autrui on finit dans l’amertume, l’aigreur et la haine.

  • Le 7 décembre 2015 à 13:48, par Bossonon Bilé En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Mr Nombré, il faut rentrée au pays et présentez vous aux prochaines élections, puisque vous ne trouvez pas parmi les candidats celui qui incarne les aspirations du peuple. Il faut rentrer faire ta campagne de sensibilisation. Ton point de vue est totalement absurde, tu es loin des réalités du pays. Le peuple a combattu l’article 37 et le Sénat et a obtenu le départ de Blaise. Si Blaise était tjrs au pouvoir jusqu’aux élections sans y participer, son dauphin serait élu par le peuple avec un meilleur score. Ne vous moquez pas du peuple dans son choix.

  • Le 7 décembre 2015 à 13:53, par adenise@yahoo.fr En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Je partage le point de vue de Mr NOMBRE. Mais pour avoir l’esprit tranquille je me suis résolu a ceci : "moins de 47% des votants sont vraiment patriote et ont à cœur le progrès du Burkina". Comme on est en démocratie où la majorité n’est pas forcement la partie qui a raison mais qu’on donne toujours raison, on ne peut qu’accompagner cette masse pour le bien du pays. C’est décevant, vraiment pitoyable mais qu’est ce qu’on peut bien faire...?

  • Le 7 décembre 2015 à 13:54, par charles En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    ROCH = président de l’exclusion, président des pyromanes pilleurs. C’est avec le mouvement des pyromanes pilleurs (MPP) que le BF est tombé dans l’ethnicité. Le MPP a divisé le BF, divisé des familles. Quel sera notre avenir dans tout ça ?

  • Le 7 décembre 2015 à 14:43, par Soyons Fair-play En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Merci à M. NOMBRE pour avoir dit tout haut ce que nombre de Burkinabè pensent tout bas ! Chers Internautes, rassurez-vous, ce ne sont que ses constats et réflexions dont la substance de certaines valent leur pesant d’or surtout au début de ce mandat crucial de relance du système démocratique de notre cher Faso. J’espère et je suis convaincu que les Responsables du MPP liront entre les lignes et saisiront la balle au rebond pour donner le bon cap au navire Burkina Faso surtout en toute clairvoyance et avec une bonne ouverture d’esprit. Chers Internautes, travaillons à ce que le changement voulu et amorcé se poursuive et que les valeurs républicaines prévalent désormais ! Continuons à élever le niveau des débats dans ce forum, à nous tolérer les uns les autres, à cultiver l’esprit critique et à contribuer par des réflexions constructives. Vos contributions multiples et variées ont permis de surmonter les temps difficiles que nous venons de passer et que nous voulons à jamais loin derrière de nous ! Que Dieu continue de bénir et de protéger le Burkina Faso ! Amen !

  • Le 7 décembre 2015 à 14:50, par Burbur-sob En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Je voudrais rappeler à ceux qui mêlent beaucoup chose en déclarant que l’élection de Rock est une décision de Dieu, que Blaise Compaoré a été élu à plus de 86% (si je ne m’abuse). Et donc parallélisme de forme, si Rock est choisi par Dieu à 53%, Dieu devait alors avoir plébiscité Blaise. Par conséquent, pour l’avoir chassé, nous avons donc péché.

    Juste pour dire aux intervenants que l’élection reste un choix à un moment donné, alors laissez Dieu là où il est. Il est bon pour tous !

  • Le 7 décembre 2015 à 15:01, par abdoul En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Cet écrit est mal venu, soyons vrais avec nous mêmes. M. Nombre aurait dû faire son papier avant les elections. Maintenant que le peuple a choisi, ce meme peuple insurge, vous ecrivez qu’il a mal choisi ! Ou etiez-vous ? Qu’avez-vous fait ? Depuis houston, connaissez-vous les defauts de Roch mieux que ceux qui le cotoient ici au pays ? Cet ecrit n’est rien d’autre qu’un appel a empecher les nouveaux elus de travailler. Votre souhait est que ceux qui semblent vouloir l’aider en s’alliant a lui ne le fassent pas ? Qu’avez-vous contre lui depuis houston ? Le peuple l’a elu. Le peuple le jugera. Ou est le probleme ? Votre papier sent l’aigreur de la deception. Si Roch nous decois, rassurez-vous, il partira. Donc ne cherchez pas a envenimer le climat.

  • Le 7 décembre 2015 à 15:21, par Remalia En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Mr Nombré a écrit son mémoire pour la soutenance au Burkina. Houston n’est pas meilleur que Burkina ( l’homosexualité, la bestialité, le lesbianisme etc...s’y trouvent approuvé par des hommes de droit comme vous. Ici les burkinabès ont l’esprit pur pour faire un bon choix. Rock est le choix de Dieu exprimé par le peuple et Dieu le guidera.

  • Le 7 décembre 2015 à 15:56, par Adama Nitiema En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Celui qui aime son peuple, aime les autres peuples, avait dit Thomas Sankara.

  • Le 7 décembre 2015 à 15:59 En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Mr NOMBRE,

    Vous n’êtes pas seuls à être peiné. Il y en a beaucoup d’autres comme moi.

    Ma souffrance fut grande et disparaît très lentement. C’est bien dommage pour nous car même sans être surprise, j’espérais quand même une autre personne pour un vrai changement.

    Ce que je déplore jusqu’à présent, c’est le non respect de loi interdisant les gadgets et la distribution d’argent.
    Le MPP a fait fi de cela. L’argent, il en a donné à nos pauvres jeunes qui veulent pourtant un vrai changement ; à nos parents dans les villes et villages... L’essence également a été servi à qui était prêt à défendre aveuglement la cause du MPP... Je me demande si cette campagne du MPP n’a pas été plus budgétivore que celles de Blaise dans le temps. Je me disais surtout que si le MPP fait fi à la loi, ce n’est étant au pouvoir qu’il la respectera. Et je me suis bien posé la question sur le grand muet de l’équipe de la transition.

    Comme vous je garde espoir surtout avec la configuration de l’assemblé car au Burkina, il y a encore et toujours des Hommes intègres qu’on ne peut pas "acheter" ; comme celui qui a présidé nos actions jusqu’au départ de Blaise.

    Oui Mr NOMBRE, nous sommes nombreux à être peinés mais le Burkina est béni et je garde espoir pour un lendemain meilleur...

  • Le 7 décembre 2015 à 16:37, par wentoin En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    La campagne est bien terminée le 27 novembre 2015 à 24 h. Il y a eu 14 candidats tous terriens. Beaucoup d’arguments pareils ont précédé le vote. Il y a eu un gagnant ROCH qui sera président de tous les burkinabés. Les autres candidats ont mêmes reconnu et félicité le gagnant. Si tu n’es pas de cet avis, insurge toi contre toi-même, car ton amertume pourrait te détruire. Dieu aime le Burkina. Martin Luther disait qu’il a choisi l’amour car la haine est un fardeau trop lourd à porter. Un bon conseil, apprend à garder l’équilibre, à prier pour toi même et pour les tiens. As-tu essayé de prédire ce qui est arrivé au Burkina ? Ensemble soyons humbles, surtout dans nos universités.
    Sans rancune.

  • Le 7 décembre 2015 à 18:58, par vérité no1 En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Je reviens sur Nombré avec une analyse détaillée pour démontrer qu’il a 1000 fois tord. La loi en Virginie ne me permet pas de conduire et utiliser mon laptop. D’ailleurs ton Master en droit international veut dire quoi ? Tu sais combien de Master degree la plupart d’internautes possèdent ? Toi et Djibo, cessez de faire vos malins.

  • Le 7 décembre 2015 à 19:57, par ils refusent de voir En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    vous avez entendu dire que Roch a été élu par 53 % des 3millions de votants sur 17 millions de Burkinabé et que ce nombre serait insuffisant, mais moi je vous dit que seulement 47% de 3 millions soit seulement 1million 400mille sur 17 millions de Burkinabé n’ont pas voté Roch. comme qui ne dit rien consent, Roch est donc adoubé par 15 millions 600mille Burkinabé. c’est ça qui est la vérité
    il faut que les CDUPCistes changent

  • Le 7 décembre 2015 à 20:01 En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    M. Nombre, les gens n’aiment pas la vérité mais la vérité triomphe toujours. Continuez votre combat pour l’eveil des consciences.

  • Le 7 décembre 2015 à 20:05, par barbouilli En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Pauvres Burkinabè !
    Parce que c’est votre nouveau Président, on ne doit plus s’inquiéter ???
    Où est votre DEMOCRATIE ???
    C’est très terrible pour des gens qui croient avoir été démocrates !!!
    Je m’inquiète même plus que l’auteur de cet article !
    De toutes les façons l’avenir nous départagera !!!

  • Le 7 décembre 2015 à 20:16, par Vrai En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Ablassé avait raison. Il a parlé mais c’est Rock qui en a profité.
    Ce pays appartient à tous les Burkinabè mes chers !!!
    Il n’y a pas d’avenir pour la monarchie déguisée ici !
    Jamais !!!
    On verra s’il va réussir !!!
    Bonne chance à lui !!

  • Le 7 décembre 2015 à 20:52 En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    je pense la meilleur facon derompre avec ces dictzteur etait d’eviter les retournement de veste car cela n’enlève rien a l’habit.

  • Le 7 décembre 2015 à 20:58, par Rasta yaa Clair En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Belle analyse, opinion partagé. A moins qu’on ne refuse de voir la réalité de cette élection, c’est clair que ça ne sent pas bon !

  • Le 7 décembre 2015 à 22:12, par william En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    que vous soyez intelo, j’en convie s. mais si vous avez le courage de vos arguments, dites nous pour qui vous bpssez(pas pour le peuple burki abé en tout cas mais roch lui, oui !) et où etiez vous les 30 et 31 octobre 2014( rocko et zeph dans la rue). le diable incarné ne mettra jamais le feu au faso. demandez a votre devancier diendierose et compagnie. slt !

  • Le 8 décembre 2015 à 02:05, par Diallo Serge En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Article d’une mediocrite intellectuelle et d’un aveuglement moral a la hauteur de son auteur ! Diallo au sahel

  • Le 8 décembre 2015 à 06:45, par vérité no1 En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Mr Nombré,
    Je tiens d’abord à vous offrir mes sincères remerciements pour votre extraordinaire contribution à la construction d’une démocratie participative, apaisée et efficiente. J’ai lu avec attention votre écrit ; sans pour autant être un perturbateur de pluralité et de diversité d’opinions, permettez-moi Mr Nombré de vous faire savoir que Rock a fait preuve d’abnégation en acceptant claquer la vilaine porte du CDP au moment même où on pouvait entendre des crépitements d’armes automatiques et des grenades. Où étiez-vous quand Rock quittait le CDP ? Aviez-vous félicité son départ oui ou non du CDP ? C’est justement là que votre honnêteté est en jeu. Allons dans le vif du sujet.
    Depuis une vingtaine d’années, l’abstention est un comportement qui se développe dans toutes les démocraties occidentales sauf celles qui ont mis en place le système du vote obligatoire comme l’Italie, la Belgique et la Grèce.
    J’ai constaté que vous confondez la participation électorale à la mobilisation électorale. Votre problème semble être basée sur la mobilisation électorale qui est tout simplement le nombre de votant sur le nombre d’électeurs potentiels. Rock a eu un bon taux de participation comparé aux taux des democraties occidentales. Pourquoi le taux de mobilisation a été faible ? La réponse est claire : La transition ne pouvait pas prendre le risque de faire voter les Burkinabe de l’étranger à cause de la RCI qui demeure un bastion de Blaise d’où une possibilité de fraude massive. Un adage français dit que dans le doute, abstiens-toi et la transition a fait le bon choix. Mr Nombré, retenez ceci : Quand un arbre tombe, on l’entend ( les quelques erreurs de Rock), quand la forêt pousse, pas un bruit (les exploits de Rock). Je vous souhaite bon courage dans votre carrière professionnelle. vérité no1 depuis Silver Spring.

  • Le 8 décembre 2015 à 11:18, par Prince En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    La beauté et le fardot de la démocratie est qu’aucune idée ne peut prévaloir sans l’appui de la majorité. Ici, le peuple dans sa majorité a choisi ROCK. CEPENDANT il n’ya pas lieu de mepriser cette majorité. Ni ignorer, la minorité qui aspire au vrai changement (personne et système). Le combat doit juste continuer et de façon républicaine. C’est a dire sensibiliser d’avantage la population pour la faire comprendre les enjeux réels de la politiques. Ainsi elle votera utile ! Sachez que seul les peuples décident aujourd’hui des enjeux et non une minorité, peu importe la droiture de sa cause. Restons tous républicains et démocrate dans nos analyses et commentaires. Il s’agit de l’avenir du Burkina Faso.

  • Le 8 décembre 2015 à 11:26, par kad En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    soyons sérieux Mr Nombré, Rock mérite d’être élu comme tous les autres candidats car le MPP à beaucoup contribuer à l’insurrection comme tous les autres.Le parti qui a occasionner l’insurrection et putsch est actuellement bien placé sur le plan politique et ce fait ne vous dire rien. Je pense que ceux qui ont lutté avec nous mérite qu’on leur face confiance et qu’ont les accompagne afin que les responsables de l’insurrection et du putsch soient vaincu à jamais.

  • Le 8 décembre 2015 à 12:33, par Naboho Lassina En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Tout le peuple conscient a suivi comment la campagne s est déroulé ainsi que les élections.On ne prend pas la bouche de son ami, pour manger le piment.Sachez que Dieu est témoin de tous les actes et tranchera au moment opportun.merci

  • Le 8 décembre 2015 à 14:39, par yves En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Belle analyse. Conclusion : On a remplacé Blaise par Roch et le même système continue. Attendez voir ; vous verrez beaucoup de politiciens et OSC du tube digestif agrandir les rang du MPP. On reviendra à la case départ ; avec un méga grand parti : pitié pour le Faso. Même Me Sankara veut aller manger à la soupe avant de disparaitre, lui qui prônait la rupture totale

  • Le 14 décembre 2015 à 11:26, par Rod En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Bel écrit Monsieur Nombré !

    Comme le dit le dicton : "A défaut de ce que l’on veut, on se contente de ce que l’on a". Cette élection de Rock, moi je la vis comme un mariage forcé...OUI 5 ans de vie commune avec un homme que je n’aime pas et que je n’ai point choisi...Mais malheureusement c’est cela la démocratie ! Je vais l’appeler MON PRÉSIDENT pendant 5 longues années...Et qui sait peut être 10 années...

    Tout d’abord, chapeau pour cette accroche sociologique que je partage entièrement. "Ainsi, il était évident que vingt sept ans de clientélisme électoral, d’achats de conscience et de manipulation politicienne des autorités coutumières à des fins électoralistes avec Blaise Compaoré ne s’effaceraient point du tout en un jour d’insurrection encore moins une année de transition" .

    Pour ceux qui te critiquent systématiquement et mécaniquement de façon négative sans chercher à comprendre le fond de ta pensée, tout simplement parce que tu ne vois pas les choses comme eux, ne t’en fais. On écrit pour l’histoire et non pour le présent...Ils te reliront un autre jour avec plus de recul et de remords, quand ils se dé-soûleront de la dose de discours alcooliques qu’ils ont ingurgité...Retiens une chose : Les néo politiciens arrivistes burkinabé ont peur de la classe intellectuelle qui ne laisse pas son mémoire se dissoudre dans des illusions politiciennes béates portées par des discours factuels et fallacieux du moment...Malheureusement avec cet écrit on voit que tu fais partie de cette classe...de ceux qui ont lu et compris l’histoire de ce pays...Et qui continuent de rester lucides, même face à une grande déception électorale...OUI notre espoir était peut-être trop grand pour se voir réaliser de si tôt (un an après l’insurrection !)...Mais comme on le dit : "Les plus grands désespoirs naissent des plus grandes espérances"...

    Amitiés !

  • Le 16 décembre 2015 à 05:47, par Syl20 En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Salut et felicitation pour ton écrit sensibilisateur et osé.Osé en ce sens que nombreux sont ceux qui pense comme toi mais refusent de s,extérioriser parcequ,ils ne veulent pas etre victimes des injures venant des personnes depourvues de conscience parceque tué au profit de leurs interets égoistes que le MPPa acheter comme une marchandise au marché de goughin pour repondre a tous propos allant aleur encontre.Tu es donc la voix des sans voix !!!.A ces commentaires je dis tant pis pour ceux pour ceux qui ne savent pas lire entre les lignes.Eneffet une analyse se degage toujours d,un constat ou d,un fait donné et tu as bien fait de signifier que la conquete du pouvoir par le MPPna rien avoir avec la soif d,un changement veritable mais plutôt pour choquer ses anciens collaborateurs du CDP.par consequent qui dit MPPdit tatonnement improvisation car il ne s,agit pas seulement d,etre capable de mobiliser des fonds mais il faut savoir quoi en faire.L,experience dont parle RMCK N,EST PAS SYNONYME DE SAVOIR FAIRE mais plutôt de la bouffe.J,ai honte a sa place lorsqu,il affirme que pour gerer un pays il faut necessairement une experience de 27ans si non plus !!!.Rappelons a ce Monsieur que Sankara est venu du néant sans experience aucune et a atteind l,autosuffisance alimentaire en 4ans.Encore faisons lui savoir que pour developper un pays il faut d,abord les valeurs telle l ;EDUCATION(l,integrité),la vision et la conviction dans ce qu,on veut faire.A voir les commentaires de ces individus aveugles,ces brebis galeuses,ces vendus,il faut noter l,existence d,une maladie appelée la MYOPIE INTELLECTUELLE OU ENCORE LE SOUS DEVELOPPEMENT INTELLECTUEL au BURKINA FASO.Ces vendus qui ne le savent pas ils doivent savoir que c,est nous qui avions posé les jalons de l,insurrection manifestement par notre presence effective a la première convocation du CFOB.Il faut noter que ce jour on pouvait nous compter du bout des doigts et nous,nous etions present parceque nous étions convaincus,optimistes que la lutte payera un de ces jours,comme le disait THOMAS SANKARA « la revolution democratique a besoin d,un peuple de convaincus et non d,un peuple de vaincus ».Chaque burkinabé conscient de loin ou de près a apporter et continue d,apporter sa pièrre pour le redressement de ce pays.Pour ceux qui ne comprennent pas francais « etre peiné » ne signifie pas qu,il a eu fraude dans cette election et qu,il faut annuler c,est plutôt que ses attentes n,ont pas été au rendez vous.Cet ecrit est une interpellation faite a la jeunesse consciente de rester en aleurte et continuer le combat sans relache,c,est a dire conscientiser la jeune generation et desintoxiquer les intoxiqués.
    Tout critique doit s,accompagner d,un argumentaire et d,exemples a l,appui,mais helas ceux qui ont l,eau dans leur tete confonds argumentation et injures ce qui est vraiment deplorable si seulement leurs enfants pouvaient les lire demain !!!!!!!!!!!
    Cette victoire de MPP n,honore en aucune manière la mémoire des martyrs parceque avec MPP bonjour le meme système,la gangrène de la corruption,la dependance de la justice etc…………………
    TU dois savoir que ceux qui te jalousent vont toujours se cacher sous un autre nom pour t,injurier chaque fois que tu feras une publication !!!mais surtout ne baisse pas les bras parceque ces commentaires bidon ne fond que tegrandire.
    VOICI la ou je suis pas trop d,accord avec toi « quand tu dis que aucun des candidats ne repond a tes aspirations je dis non en ce sens que parmis un lot de mauvais on peut toujours extirper un moins mauvais »

  • Le 16 décembre 2015 à 16:40, par en vérité je vous le dis En réponse à : Burkina Faso, les élections de la compromission : Faut-il désespérer de l’avenir ?

    Répondre à ta question monsieur Nombre je dirai non car Au BF le désespoir n’est plus de notre vocabulaire pour dire dans notre tête car celui qui cultive le désespoir n’a plus sa place aux pays des hommes intègres.Si tu aimes ton pays propose plutôt des bonnes suggestions au nouveau president afin que les jeunes puissent s’epanouire car si tu te trouve la ou tu es, ton père ne cultive plus avec la daba. même si tu détestes Rock pense à la construction de ton pays.Jésus a dinné avec le diable mais il n’est pas diable.Si le fait de dire la vérité à ton ami tu deviens son ennemi mon frère assume ton destin.Tout ceux qui ont prêché le malheur au BF seront toujours étonné de voir la main de dieu sur le Faso les gens trébucherons mais ils se lèverons grandi.Depuis que tu es la-bas combien de fois ton village a bénéficié de toi ?Que chaque Burknabè qui se trouve à l’extérieur parraine des scolaires ou étudiants ton désespoir se transformera en espoir.

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