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Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

Publié le mardi 27 octobre 2015 à 09h46min

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Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

J’ai décidé aujourd’hui de me mettre au clavier pour participer au débat citoyen sur la tragi-comédie nationale qui se joue au Faso au nom de la démocratie importée. A mon avis, si Dieu n’intervient pas, on est parti pour au moins trois années de galère et d’instabilité socio-politique au Burkina Faso post-insurrection en cas de mauvaise gestion des résultats du scrutin. C’est le moment ou jamais pour que les vieux politiciens, leaders du MPP, se rendent à l’évidence que le fait d’avoir soutenu l’insurrection ne les disculpe pas des crimes divers qu’ils auraient commis sous le régime du CDP et qu’ils continuent de commettre depuis qu’ils sont au MPP.

Dans l’indifférence totale de l’opinion nationale, ils ont dressé les listes de leurs adversaires politiques, fait brûler leurs maisons et saccagés leurs biens, sans qu’aucune justice ne soit rendue à ces victimes burkinabè. Maintenant, ils contraignent les opérateurs économiques et les plus nantis du CDP à soutenir et financer leurs activités électorales, sous menace de représailles et d’emprisonnement en cas de refus. A cause de ces pressions indues et illégales, plusieurs hommes d’affaires burkinabè et étrangers ont fui le pays, plongeant l’économie dans le marasme et la décroissance. Qui a dit que plus rien ne sera comme avant ? Avec le MPP en transition électorale, tout est non seulement comme avant, mais risque d’être pire après la victoire !!!

J’ai entendu, il y a deux jours, un jeune militant zélé du MPP dire ouvertement que son parti veut un retour sur investissement après les élections. Cela laisse supposer qu’ils vont se servir dans les caisses de l’Etat pour rembourser leurs dépenses de conquête du pouvoir alors qu’il y a une loi qui encadre le financement public des partis politiques dans notre pays. Toujours est-il que pour lui et ses camarades, avant même de revenir au pouvoir, la gestion du Burkina est perçue comme un simple business dans lequel les membres du groupe politique vont rentabiliser les investissements électoralistes faits avec des avoirs crapuleux volés antérieurement au peuple. Ils oublient déjà que c’est en ayant appliqué une telle gestion sous le CDP qu’ils nous ont conduits dans l’impasse où nous sommes actuellement. Ils oublient surtout que les yeux des burkinabè sont maintenant très ouverts et que ces derniers n’hésiteront plus à dénoncer leurs abus de pouvoir et des biens publics.

Pour preuve, dans l’opinion publique, la tendance actuelle dans le débat politique pré-électoral est de dire que les RSS ne peuvent pas incarner le changement espéré par la jeunesse insurgée. Avec juste raison, certains internautes disent que si on a recalé des ministres transitaires comme Saignon et Guiguemdé pour des raisons de probité morale, la même règle va s’appliquer dans toute sa rigueur à Salif, Roch et Simon qui ont fait pire sous le régime de Blaise COMPAORE et veulent gouverner pendant les cinq années à venir. On ne peut pas faire du deux poids, deux mesures et les laissant eux revenir encore au pouvoir, tout en disant avec hypocrisie vouloir tourner la page de l’ère Compaoré.

Au nom de la morale sociale, Roch, Salif et Simon ne peuvent pas échapper au jugement de l’histoire pour leur bilan socio-politique et économique antérieur et encore moins prétendre constituer les acteurs d’une alternance et d’un changement démocratique au Faso. S’il y a une justice dans ce pays, on ne peut pas fermer les yeux sur le passé politique des RSS et ne pas leur demander des comptes alors que plusieurs de leurs subalternes croupissent depuis des mois dans des prisons sans jugement tandis que d’autres sont traités comme des parias. Sur la base de quelle justice et de quel droit peut-on traiter des citoyens burkinabè de façon aussi discriminatoire et injuste ? L’injustice d’Etat crée des frustrations sociales qui tôt ou tard provoquent des révolutions ou des insurrections. C’est pourquoi, pour les prochaines élections, le gouvernement et le peuple burkinabè doivent être impartiaux, justes et équitables envers tous les fils et filles du pays, sans favoritisme aucun.

Grâce au report des élections, la troisième mi-temps a commencé et va être très riche en leçons de vie démocratique. Par manque d’intelligence politique, les vieux politiciens, dans leurs querelles d’égos, sont en train de se faire tous harakiri avec l’aide simulée des jeunes. Ils se sont lourdement trompés sur les intentions réelles de la jeunesse insurgée et anti-putsch. Le peuple en a marre de la vieille classe cupide et vorace qui a tout bouffé et veut continuer de jouer les premiers rôles. RSS devaient se retirer avec élégance de la scène politique et aider simplement Adama Kanazoé de l’AJIR à prendre sereinement la relève comme Laurent Bado l’a fait avec Tahirou Barry. Par leur entêtement à se croire indispensables, l’heure du retour de bâton a sonné pour cette vieille classe incapable de lire et comprendre les évènements et les choses.

Par mesure de précaution pour la paix nationale, on ne sait pas s’il faut barrer la route de la victoire aux RSS en empêchant les fraudes électorales qu’ils préparent ou s’il faut les laisser entrer à Kosyam pour connaitre la honte et le déshonneur d’une chute lamentable. Contrairement au départ de Blaise COMPAORE, ce sera la débandade chez eux, car ils n’auront pas de RSP pour couvrir et protéger leur fuite et en plus ils sont nombreux à devoir prendre le large. En attentant, il leur faut faire face à un obstacle inattendu. La base électorale du CDP, offusquée par le traitement réservée à Blaise COMPAORE et à leur parti bien-aimé, les attend de pied ferme pour un vote sanction pour l’avoir trahie elle-aussi. Et pour tout compliquer, malgré leur longue expérience des affaires, les RSS n’ont pas un programme politique particulier et n’osent pas le publier malgré le report des élections !!!!! Leur frilosité à publier leur programme avant la campagne montre qu’ils n’ont pas d’alternative crédible et inimitable à proposer au peuple pour mériter sa confiance à l’issue des élections.

Visiblement, le coup d’Etat manqué du RSP a été une surprise pour le MPP et surtout pour son stratège maison Salif Diallo. Dans l’après-midi du 16 Septembre, il a dégainé son téléphone devant témoins pour apostropher Gilbert Djiendéré en ces termes « j’espère que ce n’est pas un coup d’Etat que vous êtes en train de faire ». Mais, contre toute attente, c’était effectivement un coup d’état malvenu qui porte un grand préjudice au Front Républicain dont les leaders sont jetés en prison et mis hors-jeu. Ce faisant, il n’y a plus de leaders du CDP et de soldats du RSP sur qui jeter l’anathème et orienter le courroux populaire pour la vie chère et les maux dont souffre la société. Puisque les RSS ne peuvent plus s’abriter derrière le CDP et le RSP pour esquiver les critiques et les coups, c’est donc au tour du MPP, refuge préféré des vieux politiciens retraités, de subir les critiques et le lynchage médiatique. Boomerang !!! C’est à se demander s’il faut rire ou pleurer en assistant à la déconfiture programmée des enfants gâtés de le République car, cela n’est pas sans danger pour la nation entière.

Au demeurant, le coup d’Etat constitue du pain béni pour le MPP qui se débarrasse enfin du RSP qu’il craignait. Il va également pouvoir se servir du procès de Gilbert Diendéré et de ses hommes comme diversion populaire pendant la campagne si Sita Sangaré ouvre le bal à temps. A défaut, ils pourront compter sur Ibriga et le juge Pooda pour ouvrir les jugements spectacles des anciens dignitaires emprisonnés pour détournement de deniers publics. Dans tous les cas, la justice populiste sera la dernière carte populiste qui permettra au MPP et à l’UPC de passer allègrement la période de la campagne électorale sans montrer l’alternative réelle qu’ils proposent au peuple après Blaise COMPAORE. Pourtant, c’est un couteau à double tranchant. Si Sita Sangaré n’est pas un juge acquis, il ne pourra pas juger les compagnons de Blaise et le dossier Sankara sans parler des RSS. Salif sait bien quel rôle il a joué au soir du 15 Octobre 1987. En plus, le fait de ne pas répondre aux aspirations pressantes exprimées par le peuple à travers des programmes politiques pertinents nous expose à des manifestations de rue et des revendications incessantes dans l’avenir, susceptibles de conduire à une nième insurrection populaire.

Dans tous les cas, la mascarade juridico-politicienne en cours nous éloigne inexorablement de l’Etat de droit car l’esprit de vengeance politique, qui domine les procédures, prime sur la recherche de la vérité et de la vraie justice pour les victimes des exactions commises. La transmission annoncée du pouvoir risque de se concrétiser au grand dam des démocrates sincères et des martyrs tombés pour défendre la démocratie. Dans un pays désormais dominé par la haine et la division, il ne peut y avoir de droits pour le peuple. C’est plutôt la loi de la jungle et la dictature qui sont en place, matérialisées par l’omerta et la pensée unique. Elles vont se renforcer en cas de victoire du MPP car Salif le mentor est réputé machiavélique avec la rancune tenace et la revanche impitoyable. A coup sûr, il n’hésitera pas à user de sa future position dominante pour régler les comptes à ses semblants d’amis de l’intérieur et à ses ennemis déclarés de l’extérieur du parti. Il est peu sûr que ses victimes se laissent faire indéfiniment, ce qui peut favoriser une instabilité sociale et institutionnelle dans le pays à cause des règlements de comptes personnels.

Quoi qu’il en soit, les RSS jouent à fond leur carte en achetant à tour de bras tous les soutiens supposés à leur dernière mésaventure politique (jeunes, femmes, juges, gendarmes, militaires, OSC, opérateurs économiques, etc), oubliant que la trahison est une nouvelle valeur et un principe politique à la mode au pays des hommes intègres. Je te trahis, tu me trahis, nous nous trahissons, vous êtes trahis. Dieu seul connait le résultat du prochain scrutin. Qu’adviendrait-il alors en cas d’échec du MPP et des RSS au soir du 29 Novembre 2015 ? Ils sont déjà bien renseignés que le slogan actuel dans l’opinion nationale est : Tout sauf le MPP. Mais, ils jouent le tout pour le tout, la fin justifiant les moyens. Ils veulent la victoire coûte que coûte, y compris en fomentant une guerre civile dont Yamba Malick Sawadogo a fait part des préparatifs. A l’allure où vont les choses, il y a des craintes qu’on ne débouche sur une guerre civile en cas d’échec du MPP à cause des moyens financiers immenses investis depuis janvier 2014 pour acheter la victoire pour Roch Marc Christian Kaboré et ses ouailles.

Que fait le gouvernement transitaire en prolongation, pour anticiper et prévenir une telle éventualité ? Il a déjà mis tous les moyens et les institutions publiques (Conseil Constitutionnel, Forces armées, CENI, justice, CNT, etc…) à contribution pour assurer une victoire facile et incontestée au MPP, de préférence au quart de tour. Mais, si malgré toutes ces précautions, les RSS n’ont pas la victoire des urnes ? Et si après les RSS ne partagent pas le gâteau républicain à la satisfaction de leurs alliés de la société civile politisée ? Et si la rue décide de garder le pouvoir pour continuer de dicter ses lois au détriment des élus du MPP jugés eux aussi has been, corrompus et de l’ancien régime ? Une troisième insurrection fomentée par les leaders très exigeants et gourmands des OSC politisées n’est pas à exclure dans le contexte socio-politique actuel. Tout a commencé dans la violence en Octobre 2014 et plusieurs indicateurs laissent présager une confrontation post-électorale en cas de défaite du MPP et d’incompréhension entre les vieux politiciens et les jeunes des OSC.

Alors là, le Chef d’Etat major général des armées va devoir rappeler tous les éléments vivants du RSP, faisant ainsi mentir tous ceux qui disent que le Burkina Faso n’a pas besoin d’une unité d’élite. Le peuple burkinabè otage des vieux politiciens risque de faire encore l’amère expérience d’une nième hibernation forcée et traumatisante en cas de conflits d’intérêt ouverts entre les différents protagonistes des insurrections et des élections. Evidemment, la rue n’a pas dit son dernier mot et attend les élections pour réaliser « l’insurrection électorale » pour le changement (suivant la formule de Mariam Sankara). Déjà, ils sont nombreux les jeunes citoyens burkinabè qui disent ceci : « Si nous n’avons pas reculés devant les canons et les balles assassines du RSP, ce ne sont pas des civils à mains nues qui viendront nous confisquer la victoire finale de l’insurrection que nous comptons parachever par les urnes ». A bon entendeur, salut !!

S’il est vrai que le tableau dressé est sombre, il demeure néanmoins un seul espoir qui constitue à mon sens un résultat positif indirect du coup d’Etat. En effet, il se peut que, tirant leçon des réactions populaires hostiles au coup d’Etat du RSP, les RSS ajoutent maintenant à leur stratégie électorale, la gestion pacifique d’une éventuelle défaite du MPP au premier ou au second tour des élections de novembre 2015. Ce sera tout à leur honneur, car tous les partis politiques, sans exception, peuvent gagner ou perdre des élections, peu importe leurs investissements dans la campagne électorale. Au Burkina Faso post-insurrection, la victoire aux élections dépendra obligatoirement de la volonté et du choix du peuple et non du montant du budget investi par un parti politique en compétition pour corrompre les électeurs et truquer les résultats du scrutin. Pour les multiples autres menaces sans solutions, Dieu pourvoira. Dieu n’a pas dit son dernier mot. Tout comme le retraité Kafando ne savait pas qu’il sera président de la transition, Dieu seul sait qui sera Président du Faso après lui. Nan boadb lagem koabga, ti wend yank nan rita yé.

Boinzemwendé KABORE
Sociologue

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Vos commentaires

  • Le 26 octobre 2015 à 16:12, par Lucidité En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Votre écrit fait pitié.
    Mais au-delà de la petitesse de l’écrit, ce sont ces propos va-t-en-guerre, cette haine fratricide qui transparaît dans votre langage qui déçoivent. A vous lire, on est tenté de vous demander un effort supplémentaire à vous élever au niveau de la nation burkinabè. Peu importe de quel parti politique vous êtes, je vois que vous n’avez pas compris que l’action politique se déploie dans une société humaine et non dans un zoo. Dieu veille au grain !

  • Le 26 octobre 2015 à 16:17, par julien En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Très bel article. Enfin , un Burkinabé qui ose dire ce que beaucoup de gens pensent tout bas.

    Le véritable burkinabé est revenu. Levons nous à son exemple, et refusons l’imposture, la violence. Débattons dans la paix , le respect d’autrui et la considération de lapopulation burkinabé. Je suis fier de cet article, je pensais que tout le monde se tairait face aux violences emmenées par certains leaders. Tout le monde sait que salif diallo est celui qui orchestre l’incendie des maisons des autres, voir liquidation de sankara.
    Boutons dehors, tous ceux qui font de la violence politique, retrouvons le sens des discussions , de la valeur des projets politiques, sinon je crains cinq à dix ans d’instabilité pour le Burkina.
    Merci pour cet article, je ne suis d’aucun bord, mais j’ai été heureux de le lire.

    REFUSONS LA VIOLENCE, LA HAINE et débattons de nos programmes

  • Le 26 octobre 2015 à 16:26 En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Si c’est mon point de vue, ce n’est pas maintenant qu’il faut parler de cela.
    Bientot la campagne électorale et après les élections. Laissez ce dossier au parti qui viendra au pouvoir. Vous avez dit que le peuple va élire son candidat.

    Il revient au parti au pouvoir de créer une structure qui va gérer ce dossier

  • Le 26 octobre 2015 à 16:31, par le voyant En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    arrête tes allégations mon frère, pure intox ! nous sommes des Burkinabè qui savent bien faire la différence entre le bon grain et livrais. tu n’ as encore rien compris

  • Le 26 octobre 2015 à 16:36, par Moussa En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Bien dit , rien à rajouter.

  • Le 26 octobre 2015 à 16:49, par jean nebié En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    a bas les messages de haine

  • Le 26 octobre 2015 à 16:54, par FasoLibre En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    A quoi bon écrire un si long texte dans une langue pour le terminer par une phrase dans une autre langue sans traduction ? Ou faut-il être un autre Ablassé (moaga du plateau central) pour comprendre le texte ? Une telle attitude de la part d’un sociologue est plutôt bizarre.

  • Le 26 octobre 2015 à 17:01, par Derossi En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Ton discours prône la haine.!!!Je pense que tu t’es trompé de titre au lieu « Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ? » tu devrais ecrire « Comment contribuer et aggraver d’autres violences collectives au burkina ? ». ET je pense que lefasonet doit interdire la publication de ces genres de discours d’idiot sur son site !!! Suis deçu des gens qui veulent encore envoyer le peuple à l’abattoir. Stp vas remetrre ton diplôme de sociologue.

  • Le 26 octobre 2015 à 17:04, par Yelbinassa En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    M. KABORE,
    Je ne sais pas ce que vous voulez apporter comme contribution au débat auquel vous faites allusion mais c’est difficile de vous suivre dans votre logique. Vous êtes vraiment sociologue pour raisonner de la sorte ? Vous n’êtes pas obligés d’écrire. Vous faites des déclarations et des suppositions graves. De grâce, gardez vos idées pour vous si elles ne peuvent pas aider à construire. De grâce !!!

  • Le 26 octobre 2015 à 17:06, par a En réponse à : Commernt anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Mon frére tu me fais lamentablement fait pitié.Tu ne racontes que ce que vous devrez faire si votre fameux coup putchiste avait réussi.Ne crains rien ton RSS tant craint comme le rsp craint par nous au temps fort du cdp ne peut rien faire qui ne soit pas de la volonté du vrai peuple .Je ne les aimais pas mais j,ai eu de l,admiration pour Diallo parce qu,il s,assume. Quant à Simon c,est un malcauseur mais un grand bosseur et il fut l,un de meilleurs maires du monde. Rock ne fera pas de mal à un mouche.Mon frére quelque soit celui qui sera élu le 29 novembre s,il ne fait pas ce que le vrai peuple lui demande on le remet à sa famille.Si on a chassé blaise,ridiculisé le général le plus méchant du monde,maitrisé le seul général de gendarmerie et stoppé les ardeurs terroristes et barbares de leur branche militaire et politique qui peut empécher le BURKINA d,étre sur les rails de la vraie démocratie ? Le cdp et satellites vont battre campagne ou ? On les attend impatiemment.

  • Le 26 octobre 2015 à 17:11, par Sèrègadein En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Bonsoir mon cher frère KABORE,
    La démocratie veut que l’on soit respectueux de l’opinion de chacun tant que cette opinion ne transgresse pas la loi. C’est le cas de votre écrit lorsque l’on ne l’analyse pas profondément. En effet, quand on veut bien lire entre les lignes votre écrit est extrêmement dangereux. Vous suez la haine, tout sociologue que vous êtes supposé être et c’est n’est pas bon. Vous êtes libre de voter CDP c’est votre liberté, mais permettez que d’autres personnes ne veuillent plus le faire. Monsieur Salif DIALLO n’est pas de la dernière pluie, ni en politique ni dans la vie et si je ne me trompe pas il sait ce qu’il fait. Que vous le vouliez ou pas Monsieur Roch Christian KABORE est un de nos politiques les plus modérés, mesurés, responsables. Il a la carrure d’un homme d’Etat c’est indéniable.
    Je vous en prie, ne souhaitez pas que ce pays soit dirigé par la baïonnette, ce n’est plus possible ; Encore moins qu’il soit comme naguère la propriété personnelle d’un vingtaine de famille. Pensez positif, il n’aura pas de guerre au Burkina Faso. L’avenir de ce pays est dans la démocratie et non dans les velléités de domination d’un groupe quel qu’il soit.
    Très fraternellment.

  • Le 26 octobre 2015 à 17:15, par Leuk le lièvre En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Quittez dans ça monsieur le sociologue ; vous êtes tout ambiguë ; dites nous, c’est qui vous envoie ?

  • Le 26 octobre 2015 à 17:24, par Adoume En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Mr Kabore, vous avez les preuves de toutes ces accusations ? Si non faite attention.

  • Le 26 octobre 2015 à 17:30, par Diallo En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    on ne peut plus escamoter la vérité. tout le monde partage votre point de vue même Kafando, le bras droit de Rock et de ses synonymes. merci pour votre prévoyance.

  • Le 26 octobre 2015 à 17:39, par AHMED En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Mr Kabore. Le miel est bon mais tout le monde n’aime pas le miel. En bon sociologue vous savez très bien que vous n’allez pas aimer vos enfants de la même manière. Vous risquez de vous suicider après le élections. Vos désirs ne seront pas exhaussés. Comment vous faire comprendre que ce qui se passe au Burkina vient d’une assistance du seigneur. Vous avez certainement souffert du départ de Blaise en plein midi. Vous souffrez d’avantage de l’échec du coup d’état. Dieu est toujours a sa place et le peuple aussi. Que voulez vous au juste ? créer un parti. Allez voir Blaise pour un soutien financier pour empêcher les RSS de briguer le pouvoir. Si non vos écris ne changerons rien. Dieu seul est fort et si Rock doit être président vous avez beau écrire rien ne changera.

  • Le 26 octobre 2015 à 17:46, par BassH. En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Grand merci à internaute 10. Vous avez tout dit. Ce sociologue est jaloux des RSS. les Burkinabé ont demontré aux yeux du monde entier qu’aucun homme ne puisse desormais se foutre de nous. Ce sociologue est un envoyé des CDPistes. Leur temps est revolu. Les RSS vont gouverner ce pays pian !

  • Le 26 octobre 2015 à 17:53 En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Internaute Nº10, « vous » etes nul. L’analyse part du principe que vous etes burkinabè et par consequent tout ce qui touche le pays devrais etre analysé sans haine ni passion. Si vous mangez chez les RSS dites vous bien que c’est pas le cas chez tout le monde, de grace allez chaque vendredi vous assoir chez Salif ; on vous arretera peut etre ensemble un de ces 4. Sans rancune.

  • Le 26 octobre 2015 à 17:56, par Pagomziri En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Je ne prends même pas la peine de fatiguer mes yeux pour des inepties pareilles. Nous on avance seulement.

  • Le 26 octobre 2015 à 18:03, par AHMED En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Mr Kabore. Le miel est bon mais tout le monde n’aime pas le miel. En bon sociologue vous savez très bien que vous n’allez pas aimer vos enfants de la même manière. Vous risquez de vous suicider après le élections. Vos désirs ne seront pas exhaussés. Comment vous faire comprendre que ce qui se passe au Burkina vient d’une assistance du seigneur. Vous avez certainement souffert du départ de Blaise en plein midi. Vous souffrez d’avantage de l’échec du coup d’état. Dieu est toujours a sa place et le peuple aussi. Que voulez vous au juste ? créer un parti. Allez voir Blaise pour un soutien financier pour empêcher les RSS de briguer le pouvoir. Si non vos écris ne changerons rien. Dieu seul est fort et si Rock doit être président vous avez beau écrire rien ne changera.

  • Le 26 octobre 2015 à 18:05, par Miga En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Vous faites pitié, vous nourrissez une haine contre les RSS sans apporter aucune preuve dans vos accusations gratuites. On comprend votre nostalgie pour vos mentors en bagne mais dure est la loi mais c’est la loi. Les RSS ont au moins à un tournant de l’histoire pris leurs responsabilités. Vos mentors n’ont pas eu les couilles nécessaires pour le faire et maintenant ils veulent profiter de la victoire du peuple ; ça ne marche pas comme ça.

  • Le 26 octobre 2015 à 18:06, par SAWADOGO Kougoubila En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    C’est n’est pas un sociologue. C’est un vaurien. Il n’aucun raisonnement sociologique. C’est un spéculateur avec des affirmations gratuite, incohérentes. Il est maudit !

  • Le 26 octobre 2015 à 18:13 En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Les militants du MPP doivent arrêter de hurler. Chaque fois quelqu’un fait des critiques à leur encontre, ils parlent de "haines". Avant c’était "aigri" ils se refusent maintenant sous le vocable de "haine". Arretez svp de hurler un peu partout, apportez des arguments pour contredire ce que dit l’auteur.

  • Le 26 octobre 2015 à 18:14, par L’adepte d’un Burkina nouveau En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Cher monsieur, vous tout sauf un sociologue, car vous êtes à votre deuxième écrit, le premier était intitulé les voleurs héros en indexant les responsables du MPP. Je ne sais pas pourquoi, une telle haine viscérale de quidam sur des responsables politiques d’un parti. Si vous n’étiez pas là à l’insurrection des 30 et 31 octobre 2014, il faut alors chercher à bien vous informer, mais si vous étiez présent, alors vous n’êtes qu’un intellectuel limité, haineux, malhonnête, pyromane dont le peuple en quête d’un Burkina nouveau, temple de l’excellence, de la bonne gouvernance, de justice, d’intégrité, etc. n’en veut pas. Que Dieu protège du Burkina des oiseaux de mauvaise augure comme votre cas d’espèce. Bon entendeur salut.

  • Le 26 octobre 2015 à 18:19, par Patarb taalé En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Vous êtes pathétique mon cher ami. Tu es siociopathe au lieu de sociologue. Vas reprendre ta formation de socologie car le vrai sociologue eouvre pour une société de paix et non cette scioété de haine que vous immaginez. Pauvre rêveur, on vois bien tu n’as pas participé aux deux insurrections. Rien ne peut encore faire vasciller le peuple encore moins sa jeunesse.

  • Le 26 octobre 2015 à 18:24, par Bouba En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Minable sociologue !
    Il ne faut pas semer la psychose. C’est ainsi que vous avez fait croire que le pays sera ingouvernable après Blaise. Le plus dur est passé. Vous pouvez rêver mais c’est fini. Votre milice, votre bras armé est derrière les barreaux. Qui l’aurait cru. Celui-là même dont le fait d’évoquer le nom semait la terreur.

  • Le 26 octobre 2015 à 19:37, par Droit d’expression En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Je ne sais pas de quel bord M. Kaboré est, mais son analyse sur le MPP est juste. Rock, Salif et Simon ont pillé le pays hier et ce n’est pas demain qu’ils ne le feront pas même si le peuple est devenu vigilent après avoir découvert le pouvoir qu’il possède. Les aveugles qui soutiennent cette bande de criminels économiques, politiques et sociaux se mordront les doigts si jamais ils vont jusqu’au bout de leur soutien à ces gens en les élisant. Salif qui a vendu le Burkina à Mosanto lorsqu’il était le puissant ministre d’État à l’agriculture ne fera pas mieux demain s’il est au pouvoir. Il continuera de s’enrichir sur le dos du peuple, surtout des pauvres. Ce n’est pas parce que ces gens ont quitté le CDP qu’ils sont devenus patriotes, soucieux du bien du peuple. Ils continueront de remplir leur comptes bancaires, nommeront leurs membres de familles à de juteux postes même s’ils n’ont pas les compétences requises. Salif n’avait-il pas fait nommer son neveu instituteur au poste de préfet alors que des personnes formées pour occuper ces fonctions étaient à la touche ?
    Peuple du Burkina, soit vigilent sinon tu remettras les loups dans la bergerie !!!

  • Le 26 octobre 2015 à 19:54 En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    quel diarrhée chronique ? c’est de l’encéphalopathie médicalement non assistés !

  • Le 26 octobre 2015 à 22:03, par midou En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    qu’entendez vous quand vous parlez de tragi-comedie ? je ne pense pas que vous soyez sociologue

  • Le 27 octobre 2015 à 10:34, par Sid-sabda’nida En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    On dirait que les RSS a amnistier certaines personnes avec du batana ou vs avez pri de l’argent. Qui étaient les ténors dun cdp et du régime Compaore ? les RSS. Au fait Blaise même ne gouvernait pas, ce sont ces personnes qui ont dirigé ce pays pendant les 27 ans au pouvoir. Blaise était occupé à l’extérieur laissant les RSS de sucer le sang du voleur, c’est comme si la souris tapait sur son rejeton en disant < fait attention tu va devenir un voleur> dit un adage de chez nous. La génération consciente ne pourrait en aucun cas être assimiler a ces individus qui veulent soutenir ces voyous. Même un aveugle sait faire part les choses, aveugle celui la même qui refuse de voir. Le sage pr Laurent Bado l’a dit Burkina celui qui va venir au pouvoir risque de connaître pire que le précédent si on fait pas attention. Que ceux qui veulent entendre raison, entende... dans le cas contraire ils le regretteront comme certains regrettent aujourd’hui.

  • Le 27 octobre 2015 à 10:35, par yabsoré En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    pour l’anticipation des crises nées du politique,je m’attendais de la part d’un sociologue, à une leçon de sociologie de partis politiques ayant conduit à la naissance du front CDP, le Congrès( assemblée de seigneurs) pour la Démocratie et le Progrès. le CDP né de la fusion de N courants, Mr Boinzemwendé KABORE aurait pu contribuer plus efficacement à l’éducation du peuple s’il avait l’analyse des idéologies et des forces , et nous dire s’il a eu des contrats d’alliances contre nature ayant aboutit à des situations conflictuelles et pourquoi.
    Face à la situation actuelle qui présage des alliances si elles ne sont pas déjà réelles, le Sociologue Boinzemwendé KABORE aurait pu nous dresser des typologies d’alliances et leurs conséquences sociétales . ainsi Mr Boinzemwendé KABORE aurait fait de la prévention précoce de crises pré et post-électorale.
    Toutefois, merci à Mr Boinzemwendé KABORE de porter à la connaissance du public ses cibles viscérales qu’il porte à l’endroit de certaines personnes . s’agissant de l’inssurection , qu’il sache qu’elle tire ses fondements de la sociologie de la conception de l’alternance tirée de plusieurs acteurs de la sociopolitiques de sang ( pur le respect de l’article 508 du code des personnes et de la famille), spirituels ( Interdiction de toute espèce de monopole des doctrines sociales des religions) et d ONG et de partis pour l’alternance verticale( à l’intérieur des partis ) et horizontale( par un autre parti) de qui ont mobilisé leurs militants notamment la frange jeune. j’ose croire que l’action de Mr Boinzemwendé KABORE était inscrite dans l’un des quatre volets dont il maitrise les règles de fonctionnement. Autrement comment faut .il le qualifier ? acteur politique non partisan ou d’intoxication

  • Le 27 octobre 2015 à 11:03, par Caporal Gringo En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Je pense que les burkinabé ne constituent pas un peuple de débiles ou d’ idiots ! Ce serait pourtant trop bête et naif de croire que le changement pour lequel le peuple s’ est levé proviendra des RSS ou du MPP.

    Jeunesse du Burkina Faso, prends ton courage et oses prendre ton destin dans la main, pour un changement véritable vers de nouvelles idées de développement et une nouvelle mentalité de gouvernement au profit du peuple Burkinabé tout entier.

    La Patrie Ou La Mort, Nous Vaincrons !

  • Le 27 octobre 2015 à 11:47, par Bado Bazoin Igor En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Est-ce la liberté d’expression, qui vous pousse à publier des écrits aussi vides que inutiles ? Ce monsieur est tout sauf un sociologue. Je crois que " idiologue" lui conviendrait.

  • Le 27 octobre 2015 à 11:48, par GOTI En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    C’est regrettable qu’à cette période délicate de notre très cher pays, qu’il y ait des soi disant patriotes qui se font un plaisir de cultiver et d’entretenir la haine. Sachez mon frère que le pays est un bien à nous tous et que chacun par son comportement doit œuvrer à restaurer la paix, la quiétude. Le peuple a déjà traversé beaucoup d’épreuves. Mettons l’intérêt du peuple au devant.

  • Le 27 octobre 2015 à 12:02, par ladebel En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Nabonswnde bon nom mais faible d’esprit, ta haine se retournera contre toi, le RSS que tu détestes sont de vrais patriotes, va dans la ville de Ouaga les gents vous diront les biens faits de Simon, va dans les campagnes les paysans vous diront qui est Salif pour ces initiatives inédites aux MAHA et MeRH de 1995 à 2008, sans compter Rock

  • Le 27 octobre 2015 à 13:29, par Mariam BELEM En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Comprenez-les Blaise les manque aujourd’hui. Si vous admettez que c’est les RSS ont chassé Blaise permettez-nous de les remercie le 29 pour service rendu à la Nation c’est tout et d’ailleurs c’est ce que nous allons faire en votant massivement le candidat Roch. Pourquoi le RSP a voulu les liquider y compris les membres du balaie citoyen ? Il y a une explication quand même ! et c’est suite à çà que suis pour le MPP aujourd’hui. Le RSP nous a montré qui sont ses ennemis et ses amis. Etant contre les intérêts du peuple et comme l’ennemi de mon ennemi est mon ami, alors le MPP est l’ami du peuple aujourd’hui même si cela vous plait pas Mr KABORE.

  • Le 27 octobre 2015 à 13:30, par Mariam BELEM En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Comprenez-les Blaise les manque aujourd’hui. Si vous admettez que c’est les RSS ont chassé Blaise permettez-nous de les remercie le 29 pour service rendu à la Nation c’est tout et d’ailleurs c’est ce que nous allons faire en votant massivement le candidat Roch. Pourquoi le RSP a voulu les liquider y compris les membres du balaie citoyen ? Il y a une explication quand même ! et c’est suite à çà que suis pour le MPP aujourd’hui. Le RSP nous a montré qui sont ses ennemis et ses amis. Etant contre les intérêts du peuple et comme l’ennemi de mon ennemi est mon ami, alors le MPP est l’ami du peuple aujourd’hui même si cela vous plait pas Mr KABORE.

  • Le 27 octobre 2015 à 13:36, par SING En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Je suis mort de rire. Tu pense que le MPP force des gens pour financer ses activités ? Tu a parlé des pillage non ? S’ils sont des pilleurs donc des milliardaires pourquoi voudraient-ils des financements encores ? Je n’ai jamais vu de meeting-MPP où l’essences est gratuite comme le faisait le CDP-NOUVEAU. Où est ce qu’ils ont eu l’argent ? çà ça te derange pas du temps Mr propre ?

  • Le 27 octobre 2015 à 13:44, par SOULI Beatrice En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Quand vous faites vos campagnes d’intox et qu’en retour c’est plutôt l’ennemi qui de façon exponentielle grimpe dans les intentions de votes des burkinabè, pourquoi vous-vous posez pas de questions ? Pourquoi continuer si c’est l’effet contraire qui se produit sur le terrain ? Pourquoi c’est ceux que vous ne tardez pas de jeter des fleurs qui sont en perte de vitesse ?

  • Le 27 octobre 2015 à 13:47, par leconsultant En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Bonjour,

    Tous les dirigeants du monde entier volent leur peuple, par contre d’autres travaillent pour leur peuple en plus du vol.

    Quand Blaise était au pouvoir, quels sont les politiciens burkinabé capables de dire un NON Ouvertement au Régime ?

    Nous avons besoins des Résistants.

  • Le 27 octobre 2015 à 13:47, par Wennonga Tounsba En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Pathétique ! Faites confiance à la maturité de plus en plus grandissante des Burkinabé. Un peu d’impartialité ferait du bien à votre statut d’intellectuel.

  • Le 27 octobre 2015 à 13:55, par OUOBA Yempabou En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Je pleurs pour ton parti. Moi l’insurgé mon combat n’aura aucun sens si je vote pas l’ennemi du CDP et personne ne peut m’amener à changé d’avis. MPP par ci MPP par là, vous n’êtes pas fatigué maintenant ? C’est plutôt les collabos de COMPAORE que nous devrions à tout prix barrer la voie si nous voulons un lendemain meilleur car ce qui arrange le CDP est nuisible pour nous aujourd’hui. Là où se trouve les intérêts du CDP se trouve également le malheur du peuple burkinabè.

  • Le 27 octobre 2015 à 14:19, par matyp & K’Emp En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Appel aux politiciens : proposez-nous des programmes plutôt que ce spectacle désolant d’attaques et de contre-attaques. On a nettoyer le terrain pour vous, mais si vous persistez à nous prendre pour des idiots, on n’hésitera pas à vous balayer. J’ai comme l’impression que vous n’avez encore rien compris à ce qui se passe dans le Faso.

    @CDP, @UPC, @lefasoautrement et autres : pendant que vous jasez et insultez sur Internet, le MPP, votre adversaire, est sur le terrain et dans la discrétion. C’est mieux d’aller faire de même, ce sera plus facile ainsi d’avoir des voix au lieu de vous affliger du fait que d’autres avancent mais pas vous et d’afficher votre haine puérile par des écrits de mes deux.

  • Le 27 octobre 2015 à 14:41, par le magnac En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    M. Kabore vous n’êtes rien d’autres qu’un oiseau de mauvaises augure. vous êtes un adepte du mal. vous n’êtes pas Burkinabé car votre écrit témoigne de la haine que vous avez pour le Burkina. vous priez nuit et jour le diable pour que le Burkina sombre dans une guerre civile. mais je vous dit une chose même la diable sans avoir le choix aime le Burkina car Dieu le lui a imposé cela. je peux comprendre que vous n’aimez pas les RSS mais delà à souhaiter la guerre civile pour notre pays j’avoue que l’on doit vous retirez votre diplôme de sociologie. moi même je suis un apprenti sociologue (en année de master) mais je n’ose pas faire untel écrit pathétique. je ne suis d’aucun parti politique mais en tant que Burkinabé et aimant mon pays je prie pour que la paix prime. vous gagnerez à faire autant quelqu’un soit votre parti politique. franchement vous me décevez

  • Le 27 octobre 2015 à 15:33, par ouedraogo En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    voila un qui peut apporter des témoignages.Tu étais ou ? Pour un sociologue c’est vraiment triste , il a dus copier pour arriver ,N’oublie pas que le CDP et sa branche armée ont endeuiller des familles en entier et pousser d’autres à l’exil forcé,De toutes les façons laissez le peuple juger les RSS en fonction des actes qu’ils viendront de commettre et je voulais savoir aussi s’il y a toujours des vieux dans ton village !

  • Le 27 octobre 2015 à 16:43, par Derossi En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    J’ai tjrs mal au coeur quand je lis tes ecrits Mr KABORE !!! Ce sont ces genres de personnes avec des discours haineux et divisant que l’université nous produits maintenant ? Je pense que pour anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015, il va falloir que des personnes comme toi se taisent pour toujours.

  • Le 27 octobre 2015 à 17:26, par jh En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    mon frère ç est de la politique tu crois que le mpp n’a pas d’ argent ?

  • Le 27 octobre 2015 à 18:02, par AHMED En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Internaute num 26. Les critiques et les calomnies ne changeront rien a la trajectoire du MPP et du RSS. C’est Dieu qui coiffe la couronne.

  • Le 27 octobre 2015 à 18:17, par justicier assoiffé En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    piètre article dénué de sens et de logique. son logiciel de rédaction intellectuelle est obsolète. pire il se vente d’être un sociologue. c’est simplement dégueulasse.

  • Le 27 octobre 2015 à 20:45, par wedaga En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Si ceci est réellement votre premier écrit, ne tentez plus un autre. Je ne suis pas du MPP, mais sache que ce parti a joué un rôle fondamental dans le départ de Blaise. Comme le Professeur Bado Laurent l’avait prédit, c’est du CDP qui viendra la vrai révolte pour faire partir Blaise. Il y a des repentances qu’on a pas besoin d’écrire mais de constater. Et je crois que, nombre des militants du MPP, même si c’est pas tout le monde, ont montré leur amour pour la Patrie. M. KABORE, ayez le vrai oeil du sociologue qui sait prendre du recul et qui se défait des jugements préconçus. Merci

  • Le 28 octobre 2015 à 10:40, par Bala Wenceslas SANOU En réponse à : Comment anticiper et prévenir d’autres violences collectives après les élections de novembre 2015 ?

    Etablissons des rapports nouveaux "élus-mandatés" à l’écoute "d’électeurs mandatant" ! (tel est l’un des postes que j’ai partagé sur Facebook le 13 octobre. Voici le reste du poste.
    "Quand je lis et relis certains postes, les bagarres de chiffonniers (des proX vs proY) me donnent à réfléchir. En effet, il en ressort une sorte de faux espoir du genre : avec X ça ira ; par contre avec Y, rien ne va changer. Ce sera même pire qu’avant (sous l’empereur Blaise et son CDP). Ainsi, après 27 années de duperies, des burkinabè sont-ils encore à rêver attendre leur salut en dehors d’eux-mêmes auprès de soi-disant providences à élire ? N’avez-vous donc vraiment rien appris jusque là ?
    Aucun changement structurel positif ne se fera si nous remettons notre liberté acquise au prix de sang de nos concitoyens entre les mains d’élus à la présidence ou à l’assemblée. Ce sont nos mandatés ; nous devrons désormais les obliger à discuter avec nous les projets de décision, nous rendre compte des décisions finalement prises et de leur exécution.
    Prendre les résultats des élections à venir comme solutions qu’apporteraient des élus, serait faire preuve de niaiserie !
    Pour une renaissance du pays, soyons et restons des citoyens aux aguets ; accompagnons nos futurs mandatés dans l’exercice de leur mandat. C’est nous qui sommes détenteurs du pouvoir public qu’ils/elles exerceront par la procuration que nous leur donnerons à travers les élections. Gardons cela toujours à l’esprit."
    Pendant que la pluie sulfureuse de la mal-gouvernance du système Compaoré bat le pays, les politiciens sont entrain de diviser certains citoyens qui hier seulement ont lutté ensemble pour faire tomber Blaise et sa clic ; cela rappelle la métaphore de la pluie qui bat les poules et poussins qui se battent sous la même pluie.
    Personnellement cela m’est strictement égal qui va gagner les élections. Une chose est d’être déclaré gagnant à la présidentielle et aux législatives, une autre sera de gagner le cœur des burkinabè par des actes et des résultats. C’est là que nous ferons la différence en les grands diseurs et les grands faiseurs. Je rappelle que nous devons garder nos consciences citoyennes en veille active et aussi nos "lance-pierres" dans nos poches. Ceux ou celles qui voudront jouer aux "mange-mils" auront la réplique citoyenne qu’ils/elles méritent.

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