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Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

Publié le mardi 20 octobre 2015 à 03h14min

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Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

L’actualité dans notre pays est marquée depuis un an par le règne d’une nouvelle race de décideurs. Après les évènements des 30 et 31 octobre, on assiste à l’émergence de groupes et d’individus qui se croient investis du droit et du pouvoir de régenter la vie nationale et même la vie des individus.

Pour des raisons et des critères qui leurs sont personnels, des Burkinabè se sont érigés en régisseurs du pays et même de la vie et de la carrière d’autres Burkinabè. Ce qu’ils invoquent souvent est qu’ils ont contribué à sauver le pays de la modification de l’article 37. Eux les « insurgés » qu’ils se nomment se prennent pour des super Burkinabè et lorsque vous ne faites pas attention, ils cherchent à vous noyer tout simplement parce qu’ils sont sans scrupules et prêts à tout pour leurs intérêts égoïstes qu’ils mettent sous le vocable de « peuple ».

Le problème est que la grande majorité de ces insurgés sont des loups déguisés en agneaux qui ont bien soupé avec le régime passé et du fait de leur manque d’honnêteté, ont vite fait de mettre sur leurs haillons de l’inconstance et de la fourberie, les habits de la vertu et de défenseurs des valeurs auxquelles aspire le vrai peuple.

A la faveur du coup d’Etat manqué du 16 septembre, ces insurgés se sont mués en « résistants », transformant le Faso en un pays d’imposteurs qui jouent aux sauveurs.

Ce que nous voulons souligner ici, c’est l’amalgame qui est de plus en plus fait par les soi-disant résistants (anciens insurgés), qui, constants dans leur bêtises, estiment qu’ils ont le droit de dire qui est patriote et qui ne l’est pas, après l’épisode du coup d’Etat manqué du RSP. Le malheur, c’est que les autorités de la Transition marchent visiblement dans la même logique de la rue, sans esprit de discernement ni aucune analyse profonde du rôle des uns et des autres dans le fonctionnement des institutions étatiques.

Ainsi, on assiste depuis quelques jours à des limogeages ici et là dans des Ministères et tout dernièrement à la Présidence du Faso où le président de la Transition aurait décidé de faire « le ménage » dans son entourage. Le directeur général du protocole d’Etat, la directrice de la communication et le conseiller juridique de la présidence ont été congédiés sans ménagement.

Nous trouvons cette attitude du gouvernement malheureuse et regrettable parce que la présence de certains agents à l’aéroport ou à l’hôtel et même au bureau répond tout simplement à notre avis, à une logique de la continuité de l’état (quelles que soient les circonstances), et non de révérence à quelqu’un. Et il faut par ces temps qui courent avoir évidemment une hauteur d’esprit pour percevoir cette vérité.

Certes il y avait un problème très sérieux, et c’est même pour cela que des amis et l’institution sous régionale qu’est la CEDEAO ont décidé de venir urgemment au chevet du Burkina Faso, pas d’un individu. Comment ces Chefs d’Etat et les représentants de la CEDEAO, de l’ONU, … devraient-ils être accueillis ? Le pays dispose d’un service de protocole d’Etat, dont c’est le rôle d’accueillir les hautes personnalités venant dans notre pays. Les Chefs d’Etats venaient au Burkina Faso, pas dans la famille Diendéré. Qui devait les accueillir ? Et lorsqu’une délégation de ce genre arrive dans le pays, d’autres entités telles que la sécurité, la communication ont toujours été présents pour assumer leur responsabilité et permettre au pays de garder la tête haute, sans que cela soit une révérence à qui que ce soit.

Imaginons qu’en plus du fait que les pays amis et la CEDEAO ont été payés en monnaie de singe par les autorités de la transition, qui cherchent d’ailleurs à se rattraper (sortie du PM à Dakar), les Présidents se soient retrouvés sans le minimum d’accompagnement ! Quelle image aurait reflétée notre pays si ces entités (protocole, sécurité, communication) qui jouent un rôle toujours ingrat n’avaient pas pris leur responsabilité (c’en est une) pour assurer le minimum de service dans la Maison BURKINA au moment où tout était confus ? Il est temps que certains arrêtent de se prendre pour le « nombril » de ce pays que nous chérissons tous.

Nous tenons à informer les princes du moment (autorités de la transition et OSC), qu’au lendemain de l’insurrection populaire, ces personnes qui sont aujourd’hui vilipendées et sanctionnées, sont celles-là mêmes qui (sans aucun sou, ni carburant offerts) étaient à l’aéroport, à l’hôtel Laico et même au bureau pour jouer le rôle qui étaient le leur : accueillir les Chefs d’Etats et les représentants d’institutions, assurer leur sécurité et faciliter le travail de la presse. Ce travail ne tient pas à un individu mais au pays. En son temps personne n’a trouvé à redire sur le rôle joué par ces agents. Ils n’ont pas eu de portefeuille ministériel ; nous ne sommes même pas sûr qu’ils aient été remerciés (pas grave dira-t-on, car c’est leur rôle qu’ils ont joué)
Les têtes couronnées à l’issue des concertations réussies, grâce aussi à la part de boulot et de sacrifice de ces « parias » ignorent cela. Ils se croient aujourd’hui plus patriotes que ces derniers et pensent même qu’ils doivent être sanctionnés et cela de façon spectaculaire. C’est pathétique !

Monsieur le Président de la Transition, mesdames et messieurs les membres du gouvernement, c’est bien dommage que vous ne puissiez pas vous mettre au-dessus de vos émotions pour faire la part des choses. Pire, ce que l’on constate, c’est que vous ouvrez vos portes et vos oreilles aux « sambaraba tigui », c’est-à-dire les calomniateurs, et à ceux qui vous disent ce qui flattent votre égo, pour prendre vos décisions ! Vraiment dommage !
Et gare aux conséquences très dommageables du règne de la pensée unique qui a cours actuellement dans notre pays.

Manifestement, M’Ba Michel et son gouvernement semblent faire peu de cas des conseils que leur ont donnés des personnes au-dessus de tout soupçon et bien au fait de la nature ondoyante de l’Homme. Le Mogho Naaba qu’il est allé remercier pour avoir contribué au dénouement de la crise n’a pas manqué de rappeler à Michel Kafando qu’il est le président de tous les Burkinabè. Il lui avait même enjoint « De faire violence sur lui-même, d’être plus tolérant, plus compréhensif, plus humble, plus rassembleur car il est le président de tous les Burkinabè ». Et sur la colline de Yagma où l’église catholique a célébré une messe d’action de grâces après la délivrance du Burkina, le cardinal Philippe Ouédraogo a insisté sur la réconciliation, « Car nous sommes les grains d’un seul et unique panier, condamnés à vivre ensemble. C’est comme les dents et la langue ; il arrive qu’elles se blessent mais elles sont condamnées à cohabiter dans la bouche. Alors, frères et sœurs, puissions-nous vraiment nous réconcilier, dans la justice, pour une paix véritable et durable » avait-il dit.
M’Ba Michel a-t-il entendu ces sages conseils ?

Norbert ZANGO
Un citoyen inquiet

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Vos commentaires

  • Le 19 octobre 2015 à 19:05, par Clarisse En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Parfaitement en accord. Il faut que les gens arrêtent de penser qu’ils sont les uniques détenteur de la vérité. Je me suis poser la question, pourquoi ces sanctions ? Est ce vraiment par ce que ces gens ont continuer à remplir leurs responsabilités malgré les conditions ou des gens mal intentionnées ont vu l’opportunité de nuire à leur prochain. Vraiment dommage pour mon cher Burkina.

  • Le 19 octobre 2015 à 19:18, par gbapte En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Votre inquiétude est sans objet. Passer les autres Burkinabé en pertes et profits ne sera jamais accepté. La tolérance n’est pas une impunité, sinon c’est la jungle. Tu applaudis 28 ans de crime d’assassinat impuni. Ce n’est pas le Burkina Faso voulu par Thomas SAnkara le Faso.net se dévoile comme part entière de la 5eme colonne. Je vois pourquoi les articles les criminels du CND ne sont jamais publiés. Ne publie pas cet article, tu l’auras au moins lu.

  • Le 19 octobre 2015 à 19:18, par DIEU SAUVE En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Mon ami dans le pays de THOMAS Sankara nous allons jamais accepté que pendant que les gens réfute catégoriquement GOLF et le sinistre RSP des gens partent répondre à l’invitation de ce Mr et le coup foire et ces Mr après avoir trahi le peuple reviennent vouloir les servir vous perdez votre temps. Et lors que vous parler de ceux qui on soupé avec blaise , quand ces derniers quittaient pour rejoindre le peuple ou étiez vous qui vous empêchait de faire la même chose. vous avez joué et vous avez perdu ainsi va la vie assumez

  • Le 19 octobre 2015 à 19:21, par Resistant En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Norbert ZANGO tu ne connais pas les vrais raisons donc arrete de divaguer

  • Le 19 octobre 2015 à 19:38, par Resistant En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Norbert ZANGO tu ne connais pas les vrais raisons donc arrete de divaguer

  • Le 19 octobre 2015 à 19:49, par SID PAWALEMDE En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    M. ZANGO était sous informé le 16 septembre à partir de 16 heures. Shérif Sy a indiqué par communiqué que " PEUPLE BURKINABE, LA NATION EST EN DANGER, LES MEMBRES DU GOUVERNEMENT SONT PRIS EN OTAGE PAR LE RSP, SORTEZ TOUS POUR LES LIBERER".

    A partir de ce moment là, tout service autre que la PRESSE est un calcul pour être les premiers membres du CND. Si on voit quelqu’un à l’aéroport pour SERVICE, on doit même le confondre aux putschistes. A un certain moment, même les agents de la TNB ont déserté les lieux. Il y’avait des communiqués du CND et personne pour les lire ! Qu’est ce que vous n’avez pas compris ! Tous les syndicats ont demandé à tous les travailleurs de restez chez eux. L’ONEA et la SONABEL ont annoncé un service minimum.

    Pendant que tout le Burkina grouille, se rassemble, essuie des tirs de Kalatch pour libérer les membres du Gouvernement qui ont nommé ceux-là qu’ils limogent aujourd’hui et vous, vous trouver cela pathétique, eux ils rendent service aux putschistes ! C’est tout comme les 12 SG des ministères qui ont répondu à l’appel du CND pour la gestion des affaires courantes, même s’il reste deux (02) jours pour la fin de la transition, il faut faire un conseil extraordinaire des ministres pour les limoger car Shérif Sy avait déjà parler dans la soirée du 16 septembre 2015.

    Ils ont tous entendu "LA PATRIE EST EN DANGER". Qu’est qu’un fonctionnaire a à perdre en n’allant pas répondre à l’appel des putschistes ou en n’assurant pas le protocole à l’arrivée des médiateurs de la CEDEAO ? perdre son poste ! même pas un licenciement !!
    De grâce ! M. ZANGO, ne défends pas l’indéfendable ! Ils n’ont qu’à partir nous sommes 17 millions et il y’en a qui peuvent les remplacer. Ces gens qui ont répondu à l’appel du CND, ne pouvaient pas parler, sinon, ils allaient parler comme Hermann, Léonce KONE, Achille etc... De grâce, de grâce !!!! Ils voulaient être les premiers membres du CND tout comme à l’annonce du Front Populaire en 1987.

  • Le 19 octobre 2015 à 20:14, par SID PAWALEMDE En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    M. ZANGO était sous informé le 16 septembre à partir de 16 heures. Shérif Sy a indiqué par communiqué que " PEUPLE BURKINABE, LA NATION EST EN DANGER, LES MEMBRES DU GOUVERNEMENT SONT PRIS EN OTAGE PAR LE RSP, SORTEZ TOUS POUR LES LIBERER".

    A partir de ce moment là, tout service autre que la PRESSE est un calcul pour être les premiers membres du CND. Si on voit quelqu’un à l’aéroport pour SERVICE, on doit même le confondre aux putschistes. A un certain moment, même les agents de la TNB ont déserté les lieux. Il y’avait des communiqués du CND et personne pour les lire ! Qu’est ce que vous n’avez pas compris ! Tous les syndicats ont demandé à tous les travailleurs de restez chez eux. L’ONEA et la SONABEL ont annoncé un service minimum.

    Pendant que tout le Burkina grouille, se rassemble, essuie des tirs de Kalatch pour libérer les membres du Gouvernement qui ont nommé ceux-là qu’ils limogent aujourd’hui et vous, vous trouver cela pathétique, eux ils rendent service aux putschistes ! C’est tout comme les 12 SG des ministères qui ont répondu à l’appel du CND pour la gestion des affaires courantes, même s’il reste deux (02) jours pour la fin de la transition, il faut faire un conseil extraordinaire des ministres pour les limoger car Shérif Sy avait déjà parler dans la soirée du 16 septembre 2015.

    Ils ont tous entendu "LA PATRIE EST EN DANGER". Qu’est qu’un fonctionnaire a à perdre en n’allant pas répondre à l’appel des putschistes ou en n’assurant pas le protocole à l’arrivée des médiateurs de la CEDEAO ? perdre son poste ! même pas un licenciement !!
    De grâce ! M. ZANGO, ne défends pas l’indéfendable ! Ils n’ont qu’à partir nous sommes 17 millions et il y’en a qui peuvent les remplacer. Ces gens qui ont répondu à l’appel du CND, ne pouvaient pas parler, sinon, ils allaient parler comme Hermann, Léonce KONE, Achille etc... De grâce, de grâce !!!! Ils voulaient être les premiers membres du CND tout comme à l’annonce du Front Populaire en 1987.

  • Le 19 octobre 2015 à 20:26 En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    on sait pourquoi tu es inquiet mais nous(99% des burkinabè) sommes enjaillés. personne,ni la cedeao,ni la france et que sais-je ne viendra nous donner des leçons de que nous devons faire et si il s’en tenait qu’à moi,tu ne serais qu’au début de tes insomnies parceque j’allais ratisser large et pour cela,il faudra 10 maco pour recevoir tous ces délinquants terroristes qui nous ont assez nargué pendant 28 ans

  • Le 19 octobre 2015 à 20:31, par RAMADAM En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Laisse nous en paix ces messieurs du protocole,de la sécurité se sont enrichis depuis le temps de Blaise de façon miraculeuse et ils narguaient les honnêtes citoyens.Ils étaient grâcement payés alors qu’ils ne font ps mieux que l’instituteur,l’infirmier,le policier....Faut pas nous faire croire qu’ils se sacrifiaient.Ils se goinfraient.Menez bien votre enquête avant de débiter de niaiserie

  • Le 19 octobre 2015 à 20:45, par wonou En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Monsieur "le citoyen inquiet", vous vous inquiétez pour rien. Comment voulez-vous qu’on maintienne à des postes de confiance des personnes qui ont posé des actes qui indiquent qu’on ne peut plus avoir confiance en eux. Voilà des gens qui s’affichent avec le général putschiste alors que la majorité des Burkinabè condamnent parfois au prix de leur vie l’acte posé par Diendjéré. Il faut manquer de décence pour poser le problème tel que vous le faites parce que les cadavres sont encore frais.

  • Le 19 octobre 2015 à 21:13, par sadate En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Il faut aller te faire foutre avec tes jérémiades. Il n’y a pas de poste acquis. Tout supérieur travaille avec ceux en qui il a confiance, et non avec ceux qui sont acquis à tous les régimes.
    A bon entendeur, salut.

  • Le 19 octobre 2015 à 21:27 En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Inquiétude partagée

  • Le 19 octobre 2015 à 21:31 En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Pertinent mon frère ! Je suis partagé parfaitement ton point de vue.

  • Le 19 octobre 2015 à 21:34 En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Continuez a rever, votre epoque est terminee. Sous Blaise combien de personnes ont ete limogees et a l’epoque ou etiez vous ? Vraiment, sachez que desormais les gens seront tenues pour responsables de leurs actes et cela s’avere necessaire ils devront faire face aux consequences

  • Le 19 octobre 2015 à 21:36 En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Pas tout à fait d’accord avec vous. Relativisons les choses car certains de ceux qui sont incriminés aujourd’hui ont eu le "culot", je l’appelle ainsi, d’enjoindre à leurs collaborateurs de reprendre immédiatement service. Pendant que le président démocratiquement désigné est séquestré, avoir un tel comportement s’apparente à de la trahison et devrait être traité comme telle. Je suis d’accord que chacun ait voulu sauver les meubles, mais que le SG (pour ne prendre que cet exemple car il y en a beaucoup d’autres) appelle la quasi totalité des chefs de services pour qu’ils reprennent les activités alors que le pays est régenté par des terroristes ? C’est que allégeance qui ne dit pas son nom. Sans complaisance donc, ce type de collaborateur devrait être écarté. C’est une situation de "crise de confiance" comme l’a appelée le ministre Bagoro de l’habitat, et ça ne sert à rien de tergiverser.

  • Le 19 octobre 2015 à 21:40, par lavérité En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Mon cher, si tu avais perdu ton père ou ta mère ou ton enfant dans cette barbarie du système COMPAORE, ta reaction aurait été tout autre ! C’est la vérité et la justice d’abord et après le pardon et la réconciliation.

  • Le 19 octobre 2015 à 21:47, par LY En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Cet écrit est fortement nauséabond et l’auteur ose prendre un pseudonyme proche du nom de Norbert ZONGO ! No comment !

  • Le 19 octobre 2015 à 21:47, par ZAK En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Tout cela va prendre fin avec les élections !!

  • Le 19 octobre 2015 à 21:58, par patriote2000 En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    analyse pas du tout sérieux M. ZANGO

  • Le 19 octobre 2015 à 22:01, par kafando En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    J’avoue que je n’ai pas eu besoin de lire tout votre texte avant de le commenter tant il est plausible et veridique. Merci pour votre clairevoyance et puisse les aurorités de la transition en saisir la portée. IL faut tout simplement sonner la fin de la récréation pour éviter l’émergence d’insurgées sectaires. La vraie insurrection c’est celle qui a terrassé Compaoré et son RSP. Le reste c’est des sectes nuisibles. Soyons vigilants.

  • Le 19 octobre 2015 à 22:09, par onsenfou En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    On frère si l’un des limogés est ton parents je comprend que ton bassi ( couscous) a pris du sable. Cherche d’abord a comprendre le fond de la chose au lieu de raconter des inepties...tu connais quoi dans protocole de l’État ? Le mm gars était derrière diendere bien avant l’arrivée de la délégation....ne compare pas insurrection et coup d’État idiot.c’est une tortue a double carapace et non un protocole car il a cautionné ce coup sinon que le cnd avait dissout toutes les institutions. Tu fais bien de tinkieter car ton tour viendra eh...est ce que tu job meme

  • Le 19 octobre 2015 à 22:13, par Sobriete En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Tu sera encore plus inquiet. La transition ne peut pas travailler avec des personnes douteuses.

  • Le 19 octobre 2015 à 22:19, par ouangraoua Victorien Narcise En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Voila des propos d’un nostalgique de l’ancien régime ! pourquoi en vouloir au gouvernement de la transition, ?ce gouvernement n’a rien fait de mal ! ayant au moins pitié de cette transition qui a été victime de terrorisme,de milices assoiffés de pouvoir !

  • Le 19 octobre 2015 à 22:45, par zanga En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    vous êtes un putschiste.

  • Le 19 octobre 2015 à 22:57, par zanga En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    taisez-vous ! vous êtes un putschiste.

  • Le 19 octobre 2015 à 23:22 En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Nous ne voulons pas de tels écrits au Faso. Ce monsieur ZANGO ne m’inspire pas confiance. Il ne faut surtout pas vilipender les autorités dans la presse. Par cet écrit que je juge peu courtois, ZANGO nous fait comprendre qu’il est équilibriste, Aucune oeuvre humaine n’est parfaite mais aller jusqu’à salir les autorités du pays c’est suffisamment grave. Soyez constructifs et aimons notre chère patrie en faisant des contributions positives. Les services de renseignement sont à l’écoute.

  • Le 19 octobre 2015 à 23:53, par N S Sankara En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Tres bien dit mon frere ! N’Ba Michel en bon diplomat s’il en est un reconnaitre que la sortie de crise et sa liberation des mains des elements de la RSP est le fruit du sacrifice de ces hommes et femmes de la presidence qu’il vent de limoger. Il ne faut pas qu’il croit que c’est sa negation avec Diendere et Faure Gnassingbé afin que Fatou quitte le pays qui as restaurer la paix au Faso.
    Pendant que le PM Zida est a Dakar en train de vouloir reparer les choses lui il reste au pays, convoque un conseil EXTRA ORDINAIRE de ministres pour verser sa face par terre. Maintenant Zida a des reparations a faire au pays apres Dakar. Esperons que le vieux va se resaisir et aussi etre a mesure de reconnaitre les ennemis du peuple qui ont pu s’infiltrer dans les rangs des battisseurs de la democratie.
    Dieu benisse notre cher Faso.

  • Le 19 octobre 2015 à 23:55 En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Il lui avait même enjoint « De faire violence sur lui-même, d’être plus tolérant, plus compréhensif, plus humble, plus rassembleur car il est le président de tous les Burkinabè », pour ne pas dire moins bête pour un vieux de son age. Vraiment dommage pour notre pays.

  • Le 20 octobre 2015 à 00:31, par Le Prince En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    je pense à ce que je sache que personne n’est radié de la fonction publique non. la nomination est un pouvoir discrétionnaire basé sur la confiance lorsque cette confiance n’existe plus, il est mieux de procéder à d’autres nominations. J’aprecie ces limogeages à sa juste valeur. Par leur inconscience le putch à été légitimé. Les chefs d’État auraient pu comprendre s’ils n’àvaient trouvé aucune institutions pour les acceuillir , ils auraient pris la mesure de la chose et cela nous aurait évité les accords bidon. Ne me dite pas qu’ils ne maîtrisent pas les implications de leur fonction. l’une dans l’autre des cas ils méritent leur sort. pendant que le peuple était en résistance, eux cherchaient à plaire aux putchistes. pendant que les syndicats lançaient des mots d’ordre de grève eux s’activaient à donner le tapis rouge. Le président ce devait de les remercier afin de renforcer sa confiance. On ne peut servir à la fois le peuple et les énémis du peuple. Ils devraient eu même s’attendre à cela. Par intégrisme ils devraient démissionner avant que cela n’arrive. Au fait tu es de quel bord toi ? L’ancre du petit PARE.

  • Le 20 octobre 2015 à 05:09, par BOIN-ZEM OUINDE OUEDRAOGO En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Monsieur Norbert ZANGO, si vous n’avez rien compris encore qu’un coup d’Etat se prepare et que la continuité du service de l’Etat l’est également. Pour ce faire toute personne, dans les conditions actuelles des barricades de ce coup d’Etat de Diendéré et qui reussit à franchir les barriers pour etre aux cotés du general felon est complice du coup d’Etat. Et comme ledit coup d’Etat a échoué, la personne perd également ses privileges aux cotés du Gouvernement reintallé. On a vu des SG qui dès les premiers moments du coup et en solidarité avec les Ministres qui les ont nommé ont commence à preparer la passation de service au sein de leurs ministeres et pour ne pas tragir la confiance placée en eux par leurs Ministres ne sont pas presents à la convocation du Genéral Putschiste pour dire de continuer le service public. Il y’a des valeurs humaines et professionnelles qu’il faut respecter dans la continuité du service de l’Etat et tous ceux qui ceux se ont rendus coupables de trahir ces valeurs, il est tout à fait normal que les responsables reinstallés ne puissant pas continuer de travailler avec ces derniers. La vie est une loterie. Ils ont joué, ils ont perdu et ainsi va aussi de la continuité du service public. Il n’y a rien à dire dessus Monsieur Zango. La transition a joué à la clémence entre octobre 2014 à Septembre 2015 et la suite on la connait, c’est le coup d’Etat stupide du Général Diendéré du 16 septembre. Mieux vaut la fermété pour nous conduire désormais aux elections que la frilosité qui est source évidente de la destabilisations. Nous jeunes patriotes soucrivons entièrement aux mesures concervatoires prises. Plus rien ne sera comme avant !!!

  • Le 20 octobre 2015 à 05:36, par sougri En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Je suis pas trop trop politique mais quelques part je suis d’accord avec ce que vous dites .
    Parce que le rôle d’un SG s’est d’assuré la continuité de l’état si le gouvernement venais à être dissous . Pour moi l’état est permanent et ne saurait naviguer dans le vide .
    Deuxiement ont se pose la question à savoir :
    Lorsque monsieur compaoré à fui et sont gouvernement dissout, quel sont ceux qui ont assuré l’intérim ? A mon avis s’est les mêmes secrétaires généraux ; imaginons que ces derniers refusait d’assuré l’intérim pendant le soulèvement sous prétexte que leurs ministre de tutelle est en cavale et refuse de répondre à une quelconque convocation de monsieur zida fraîchement élu qu’allons nous pensez deux et qu aurions nous fait deux .peut être parmi s’est SG il y à des gens qui sont la bas
    pas parce qu’il font de la politique mais tout simplement parce qu’il sont compétents .
    Alors SVP redefinissont ensemble le rôle du secrétaire général et ne faisons pas d’amalgame . Mais si jamais s’est secrétaire generaux ont eut trop de zèle et ont participé d’une manière ou d’une autre qu’ils soit châtier ; pour ça il n’y à rien à dire ; mais si s’est pas le cas SVP ne brisons pas leurs carrières .
    Merci à tous et à toutes de m’aider à comprendre cet histoire de secrétaire généraux .

    Sougri de paris

  • Le 20 octobre 2015 à 05:56, par Traore Adama En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Félicitations pour votre point de vue ! Quant au fond, il y a beaucoup à dire et à redire ! Les nominations faites après l’insurrection sont intervenues dans des circonstances particulières et les personnes concernées en sont conscientes. ce sont des nominations intitui personae. Imaginons que les agents que vous citez aient décidé de désobéir aux autorités illégitimes. La sanction qu’ils encouraient était le licenciement ou la révocation. Avec le rétablissement de la situation ne les auriez-vous pas pris pour des martyrs ? Combien de burkinabè savaient que le directeur général du protocole d’état n’était pas un civil. Le monde entier l’a vu dans sa tenue de colonel de l’armée burkinabé.Ce qui veut tout dire. Celui qui n’est pas avec moi est contre moi !

  • Le 20 octobre 2015 à 06:24 En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Je partage entièrement sans aucune virgule de moins, l’avis de ce citoyen inquiet. Autant, nous n’étions pas d’accord pour le règne à vie de Blaise, autant nous devons être inquiets pour cette nouvelle race d’imposteurs à commencer par le Président de la transition lui-même himself. A croire que le pouvoir rend vraiment fou. Comment un homme si raisonnable ait pu basculer dans cette perversion. J’en appelle au vrai changement par le vote de l’UPC de M. Zéphirin Diabré pour l’instauration d’une administration neutre et objective au service de tous les Burkinabè sans distinction d’opinion politique, de race, d’ethnie, de religion ou de fortune. Comment le MPP qui a contribué pendant plus de vingt ans à instituer ce système gabégique peut nous surprendre dans son changement. Je ne demande qu’à voir. Le salut du vrai peuple passe par l’insurrection électorale pour booster hors du burkina, pays de dignité sans concession, le règne de la haine par la haine. Quand on n’est pas d’accord avec les idées politiques d’un concitoyen, on ne va pas brûler sa maison. Il faut vraiment conscientiser les citoyens haineux et revanchards dans ce sens. Un autre citoyen inquiet.

  • Le 20 octobre 2015 à 07:50, par kouadio En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Les Burkinabes ont arrete d’esperer, d’entreprendre...Quand ils vont se reveiller ils comprendront qu’il faut se mettre au travail au lieu de vouloir tricher, voler et croire qu’on peut reussir en diffamant, incendiant, et en s’acharnant contre les autres. contrairement a ce que certains raconten, il ya deux burkina aujourd’hui

  • Le 20 octobre 2015 à 07:56, par NNE En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Mr zango vous êtes un sous informe en plus un peureux ,a tel point que tu mérite même pas d’être burkinabé.Malheur a celui qui ne voit que son ventre et son sexe,

  • Le 20 octobre 2015 à 08:25, par Stras En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Mon parent, ne crée pas de problèmes à Gilles ; il ne t’a rien demandé. Gilles et sa famille veulent maintenant vivre en paix. Même s’il est viré de l’Armée, il trouvera du boulot ; il n’est pas né pour être protocole. Il n’a pas fait l’Ecole de Guerre pour rester toute sa vie à la présidence. C’est Gilles ou Leïla qui s’est plaint à toi ? Tu me fait honte. Et pourquoi un pneudo ? Toi, tu es citoyen comme tout le monde ?

  • Le 20 octobre 2015 à 08:28, par Francis En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Juste une question Mr Zango : au nom de la continuité de l’Etat, où étiez-vous pendant ces chaudes périodes où tous les citoyens étaient appelés à la résistance ? Vous savez que mêmes les mendiants avaient déserté les rues de Ouaga. Pensez-vous que les syndicats sont moins soucieux que vous de la continuité de l’Etat, eux qui ont demandé à tous les travailleurs (secteurs structurés, secteurs informels) de débrayer et de n’assurer le service minimum que là où des vies sont en danger ? Macky Sall était peut-être en danger ! Allons ! si vous avez des parents ou des amis qui se sont rendus complices des félons et que vous voulez sauver du déshonneur, libre à vous. Mais ne nous prenez pas pour .... des "nez-percés".

  • Le 20 octobre 2015 à 08:47 En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    En toute sincérité, je n’ai pas aimé que certains individus aient profiter du coup d’état pour bruler la maison de certaines personnes. je pense notamment à notre sœur en 7ème année de Médecine qui a vu tous ces documents partir en fumée. Certains OSC qui réclament la démission de certains SG, d’autres même prennent la place des autorités pour régler le problème des fausses cartes d’électeurs, des OSC qui sont à la charge de certains partis politiques. Soyons intègres, ce n’est pas toutes les réalisations qu’il faut remettre en cause sinon on se ferra rattraper par l’histoire tôt ou tard.

  • Le 20 octobre 2015 à 08:58, par Bédjou En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Mr Zango, vraiment vous divaguez. Qu’est ce que vous ne comprenez pas ? Les autorités mises en place pour la transition, émanation du peuple souverain, ont été prises en otages et dissoutes par des terroristes, qui finissent par avouer qu’ils prennent le pouvoir d’état. La résistance a été lancée par le président du CNT qui a bien affirmé qu’il assure l’intérim du pouvoir. La continuité de l’état est assurée. Répondre à la convocation d’un usurpateur équivaut à ne pas reconnaitre le pouvoir assuré par le président du CNT, donc il s’agit d’une dissidence. Les SG, le Directeur du protocole et autres qui se sont comportés de la sorte ne méritent plus la confiance et devaient eux même sans contrainte reconnaître qu’ils n’étaient plus à la bonne place et s’assumer en renonçant à leur poste. Ou se trouve leurs dignités en restant cramponnés à leurs postes après s’^tre comportés à la limite comme judas ?

  • Le 20 octobre 2015 à 09:06, par elyse, En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Détrompez vous car un type nouveau de responsable est en train de voir le jour au Faso : cela est un appel à tous de savoir que lorsqu’on est responsable on ne fait pas n’importe quoi. c’est tout cela qu’on appelle " moralisation de la vie publique". cela fera réfléchir pour la postérité ;loin de là de situer les responsabilités.
    Parfois aussi, il y a de ces putschistes en civil qui après avoir tout perdu, croyant que le CND serait leur derniers espoirs expriment leur rage en ce moment en voyant partout DES CHASSES AUX SORCIÈRES. Revoyez votre copie,LE SOLEIL D’ UN NOUVEAU BURKINA S’EST LEVÉ. Tampis pour ceux qui ne le savent pas encore.

  • Le 20 octobre 2015 à 09:21, par Mamon Yélé En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Un responsable sans conscience politique est un criminel en puissance. Pouvez vous nous dire de la continuité de quel Etat vous parlez ? De celui du CND dont les Burkinabé n’en voulait pas ou du Burkina spolié ? Ceux qui ont fait allégeance, sont comme le Maréchal Pétin il doivent être reniés car ils ont soutenu l’énemie. Honte à vous et à eux. Si l’imposture de Gilbert avait réussi ils se pavaneraient pour demandé des postes. Ce n’était pas de la continuité qu’il s’agissait mais de la remise en cause justement de cette continuité. Ils ont choisi le mauvais camp, jouer le mauvais cheval et n’ont qu’à s’en prendre à eux-même. Sous d’autres révolutions ils eurent été pendus comme traîtres.
    J’ai peut être comme vous des parents et amis dans cette situation, mais je dois dire qu’honnêtement, on ne saurait confondre la tolérance, qui fait qu’on met sous le coup de la couardise le comportement de beaucoup à du manque de discernement de la part des gouvernant.

  • Le 20 octobre 2015 à 09:21 En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    article trop long pour ne rien dire finalement car tu ne connais pas toutes les raisons qui ont abouti à certaines décisions de la transition

  • Le 20 octobre 2015 à 09:36, par Coulibaly mimi En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Norbert zango un citoyen inquiet. je pense que vous n’avez pas de raison de vous inquiéter si vous n’avez rien à vous reprocher. Vous voyez, après les évènements des 30 et 31 octobre c’est parce que le gouvernement n’a pas été assez sèvère que nous avons connu ce qui est arrivé le 16 octobre. Que serait -il advenu de tout le gouvernement et tout ce qui supportait la transition si la forfaiture du 16 passait ? Le CDP et le putchistes étaient -ils les plus nombreux non ?. Du moment que nous allons dans le sens qui satisfait la majorité des burkinabé c’est cela qui compte.
    Vous devriez en vouloir à ceux que nous avons chassé et qui en son temps ont tout fait pour qu’à leur absence le burkina règne dans le chaos. Imaginez vous, les autorités ont accepté que Blaise s’installe en Cote d’ivoire et acceptez tous les partis qui le soutenaient et voyez vous ce qui est arrivé ? Le Président Kafando est entrain de faire de son mieux si vous ne voulez pas le supporter , de grâce arrêter de le critiquer. Et Zida ? qui s’est mis tout un corps le fameux RPS contre lui ? pensez vous à tout cela avant de vous annoncer en défenseur de je ne sais quoi ?. Faisons leur confiance et surtout prions pour que les elections se passent bien. En ce qui concerne les SG, il parait que certains très zélé ont même menacé des collègues de reprendre le service sous le CND et alors ? je n’encourage pas les réglements de compte entre citoyens mais c’est une situation qui se régler facilement. Pour ce qui est de l’axe DAKAR avez vous la mémoire courte ou bien étiez vous partisan du CND ? . Ne jetez surtout pas l’huile sur le feu.
    merci

  • Le 20 octobre 2015 à 09:54 En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Mr Zango, il faut assumer vos agissements et vos prises de position. C’est ça un Burkimbila. Parce qu’on n’est plus conseiller, SG, ministre...il faut pleurnicher. C’est exactement cet etat d’esprit qui conduit Blaise C et Dienderé là ou ils sont. Pourquoi verser tant de larmes parce qu’on est plus au poste ou quelqu’un t’avait placé ? C’est decevant. Blaise a vait peur de ne plus être president et Dienderé, peur de me plus avoir un RSP à sa solde. la suite, vous la connnaissez.

  • Le 20 octobre 2015 à 10:34, par SING En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Le pire reste à venir pour vous. Alors si je comprends bien votre raisonnement on dervrait même pas avoir une justice dans une République au nom de la réconciliation ? Personne ne doit être sanctionné même si sa faute est grave ? Un tel pays n’existe pas encore et c’est pas ici que vous l’aurez, votre prime d’impunité.

  • Le 20 octobre 2015 à 10:43, par SOULI Beatrice En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    AAAAH oui c’est comme ça Mr CDPiste.Qui ne risque rien n’a rien. Les résistants ont risqué leur vie et soufrez qu’ils dictent leur volonté. je les soutien que les soutiens putschistes soient balayés même de la fonction publique je m’en moque et je serai même ravie.

  • Le 20 octobre 2015 à 10:53, par LoiseauDeMinerve En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Mon pseudo Parent ; La politique n’est pas faite pour l’ascète que vousemblez être ; cependant le politique peut faire de la prêche, certes ni franche et ni honnête, une sorte de cache-sexe.

  • Le 20 octobre 2015 à 11:02, par kabore En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    merci à vous tous,chers patriotes.n’ecoutez pas ce connard qui se dit norbert zongo pour embobiner les gens.laisse l’honnête et patriote norbert zongo en paix au paradis ;in’challah ; et dis qui tu es .tu es de ceux qui ont profité des 27 ans de corruptions et de pillages du regime compaore mais sache que la roue a tourné et donc ferme la et laisse les gens tranquille.

  • Le 20 octobre 2015 à 11:19, par Sanfo Tasséré En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Mr Norbert, c’est dommage que que n’ouvriez les yeux que maintenant. malgré tous, regardez les commentaire qui sont faites à votre articles. ils sont purement et simplement irréfléchis, et issue dans la plus part, de personnes immatures. c’est ça le pire à venir. mais Mr Norbert je vous promet de garder une copie de votre article et je vous donne au maximum 5 ans pour que vous soyez fier d’avoir braver l’interdiction populaire entre guillemet pour rédiger cet article. ce que j’ai commencé par dire c’est que vous la presse avez conduit ce pays là où il est. vous êtes ceux qui ont d’abord agit en conformité avec votre ego, en parfaite incohérence avec la déontologie journalistique. je me réjouie que vous, vous ayez ouvert les yeux. je vous encourage de continuer. sachez Mr Norbert que tous le monde va payer, Michel, Chérif Sy, Sanfo Tasséré, Mr Norbert.. n’en douter point, tous le monde va payer. et c’est l’Histoire qui va les faire payer. ou si vous voulez Dieu. Blaise, Diendéré, djibril sont entrain de payer. malheureusement les gens au lieu d’apprendre de cela pense que c’est une victoire pour eux. pour moi la situation des Blaise est une victoire , oui. mais c’est victoire pour la justice, pour l’histoire, pour le pays. c’est tous sauf une victoire pour sams K le jah, moisn encore pour Ervé Kam/ Ouatarra, ni pour safiatoou Lopèz...etc. ces gens là me font pitié. je pense que ce n’est qu’une question de temps, l’Histoire va leur faire payer tous.
    pour le cas de Michel. a mon humble avis on ne pouvait pas s’attendre à mieux de lui. un retraité qui a son temps (sous le président Jean Baptiste) à fait des choses -dit on- pas jolies pour le pays. comme c’est lui qu’il faille aller recruter pour "sauver" ce pays ? je suis désolé il a fait ce qu’il pouvait faire. et avec la complicité de vous la presse, qui l’avez sur-élogé au début dans une euphorie vidée de toute reflexion. cet homme (Michel) a osé mentir (d’après Newton Barry et Pascal Zaïdan) et n fois s’il vous plaît. un président sensé être l’Homme le plus puissant du pays et qui ment. de qui avez vous peur Monsieur le président ! c’est dommage ! que Dieu veille sur ce pays.

  • Le 20 octobre 2015 à 11:21 En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Quand je lis tous ces commentaires qui critiquent l’article de Norbert ZANGO, je sais maintenant que le Burkina Faso est en danger imminent de mort. Ce sont tous ces imposteurs qui nous gouvernent maintenant ? Il y a encore une seconde, une troisième et une quatrième insurrection en route. Un autre citoyen inquiet.

  • Le 20 octobre 2015 à 11:25, par Hass En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    C’est ton droit d’être inquiet, désormais celui qui ne peut pas défendre les intérêts du peuple n’a qu’à s’abstenir de la gestion de la chose public. Il est périlleux pour les médiocres de gagner leur vie honnêtement, c’est là ton inquiétude. OSEZ CHANGER
    LE PEUPLE AVANCE !!!

  • Le 20 octobre 2015 à 11:56, par Sidpasata Veritas En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Quand toute une nation se dresse pour refuser un coup de force, il n’est pas question de contribuer de quelque manière au fonctionnement des organes mis en place par les usurpateurs imposteurs, sous prétexte de continuité de l’État. Il est bien normal que ces "collabo" (termes utilisés en France pour désigner ceux qui on collaboré avec les occupants nazis) soient punis à hauteur de la trahison. Que ces sanctions servent de leçon pour l’avenir : s’il venait encore à l’esprit d’un farfelu de s’amuser au coup d’État, qu’il sache qu’il ne trouvera personne dans l’appareil d’Etat du Burkina pour l’aider à administrer le Burkina sous sa férule. Tant pis si les délégués de l’ONU et de la CEDEAO ne trouvait personne pour les accueillir dans un pays qui est occupé à se débarrasser du joug que le criminels voulaient lui imposer. Nos "amis de la CEDEAO" comme vous dites savaient bien que pendant qu’ils parlaient dans leur monologue d’amnistie pour les putschistes, ces derniers étaient encore en train de tuer des Burkinabè dans la même ville de Ouaga.
    Je veux bien que nous soyons tolérants, courtois et conciliants, mais ne demandez pas aux enfants de négocier avec des serpents venimeux qui ne font que mordre ! Je suis de ceux qui pensent que nos autorités devraient aller plus loin et demander une réforme du fonctionnement de la CEDEAO, pour que le sommet des chefs d’État ne soient réduit à un syndicat de chefs d’État dont certains n’ont rien de démocrate. Il faudrait doté la CEDEAO d’une vraie Assemblée de députés Ouest-africains élus par leurs peuples pour les représenter et qui pourra édicter des règles contraignantes pour les chef d’État. Les autorité du Burkina devrait prendre la tête d’une telle initiative salutaire pour nos jeunes démocraties en Afrique de l’Ouest. Heureusement d’ailleurs que certains chefs d’État n’ont pas cautionné le chiffon qu’on nous présentait comme le résultat d’un dialogue destiné à ramener la paix dans le pays. De toute façon notre peuple a assumé sa responsabilité. Ceux qui veulent soutenir les putschistes ou encore les défendre même devant la Justice, qu’ils prennent aussi leur responsabilité.

  • Le 20 octobre 2015 à 12:04 En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Mes chers frères et soeurs, Dieu seul connait la vérité, c’est à dire les motivations des uns et des autres, c’est pourquoi seul Dieu peut rendre justice. Dieu a dit de pardonner 7 fois 77 chaque jour et à chaque personne, or qui peut offenser autant chaque jour ? C’est dire qu’il faut pardonner afin que tu sois pardonné aussi car l’oeuvre de Dieu est fondé sur l’AMOUR et rien que l’AMOUR.
    A moins que la personne ait dit haut et fort ce qui lui est reproché ou posé un acte dépourvu de tout amalgame, nous devons nous abstenir de tout jugement car Dieu a donné à chacun une conscience qu’il alimente tous les jours. Cependant certaines personnes sous le contrôle du diable (amour de l’argent et/ou du pouvoir), n’écoutent plus leur conscience et finissent toujours par périr car le péché conduit à la mort (séparé de Dieu). Il faut prier pour ces gens car dans leur folie, ils font des victimes innocentes car suscitent des révoltes (dans le désespoir, les gens doutent de la puissance de Dieu, or DIEU est TOUJOURS PUISSANT et a le dernier mot).
    Je vais raconter l’histoire du roi David lorsqu’il a été chassé de son thrône. C’est grâce à des gens qui était toujours au service du nouveau roi (Absalom) qu’il a pu échapper à la mort et reprendre son thrône. A t- il chassé tous ceux qui ont servi le putchiste Absalom ? NON, mieux il a dit à Joab, le chef de son armée qui voulait tuer des gens qui se sont rejouis à sa chute de ne pas le faire car tout ce que Dieu permet c’est pour un but. C’est pourquoi, Dieu a béni David parce que ce fut un homme qui a un coeur qui lui est agréable. Dieu a vengé DAvid lui même en tuant tous ses ennemis et en le permettant de vivre assez longtemps et même installer son successeur sur son throne avant de quitter la terre !!!!
    Mieux encore, il avait demandé de ne pas tuer Absalom, qui est manifestement diabolique, ayant déjà tué son frère auparavant. Quand Caen a tué Abel, Dieu a mis un signe sur lui afin que personne ne le tue.
    Dieu nous a crée à son image et il a dit de ne pas nous devoir autre chose que de nous AIMER. C’est l’AMOUR qui permet de vaincre toute adversité, c’est Dieu qui prend la défense de chacune de ses créatures car il veut que nous soyons heureux, il veut que tous ses enfants soient libérés de satan, c’est pourquoi il a suscité un SAUVEUR au monde, Jeshua (juif) Jésus (non juif, non arabes) Issa (arabes).
    L’entêtement du RSP a conduit à sa chute, or Dieu pouvait faire évoluer la situation autrement pour eux, il y’aurait toujours justice mais pas dans les conditions actuelles car DIEU est juste et celui qui fait du mal va toujours rendre compte.
    Dieu a sa MAIN PUISSANTE toujours étendue sur le Burkina Faso, rendons grace et saisissons cette grace pour nous pardonner, nous exhorter, nous aimer pour être heureux.
    Il faut que les gens sachent que Dieu aime la paix, l’ordre et veut que chacun s’en tienne à sa place et son rôle. Dieu nous interpelle chaque jour en vain, mais au temps marqué par LUI seul, il va mettre fin à cet DESORDRE.
    Rappelons nous que les difficultés ne sont pas propres au Burkina seul, c’est mondiale. La cause, c’est le diable. En effet, Dieu nous prévenu que l’ARGENT c’est le diable, or tout le monde (les croyants comme les non croyants en Dieu) court après l’argent.
    Tout ce qui est indispensable à la vie, Dieu a fait en sorte que c’est gratuit. En effet, voici ce qui est indispensable à la vie : l’air (personne n’achète l’air pour respirer) l’eau (personne ne paie pour faire venir la pluie) les aliments (les plantes fabriquent les aliments à partir de l’air, le soleil et les minéraux des roches et personne ne paie les plantes pour produire les aliments). C’est notre méchanceté qui fait que tout le monde n’a pas d’eau potable, que les aliments sont inaccessibles à cause toujours de notre comportement (déforestation, coût élevé des aliments, pollution, confiscation des eaux ou des forêts, etc), l’air est pollué à cause de notre comportement (gaspillage des ressources naturelles en énergie, planification excessive, etc).
    Je vous exhorte donc à faire confiance à Dieu car il ne se presse pas mais il n’est jamais en retard. Continuons à prier pour les autorités de la transition, afin qu’ils soient bien inspirés et à prier pour nous même afin que Dieu lieu même nous rende justice. Bien sûr il va utiliser toujours des gens pour le faire (la révolte comme le peuple l’a fait, l’entêtement comme le RSP l’a fait, le processus dans lequel nous sommes, etc).
    Le peuple est fait pour prier et être dirigé, les autorités sont fait pour prier et diriger et les serviteurs de Dieu pour prier et exhorter le peuple et les autorités. Afin que cela réussisse ; il faut que DIEU conduise chaque parti, le peuple, les autorités et les chefs spirituels.
    Prions afin que tous les organes de sens de chaque burkinabè soient sous le parfait contrôle de Dieu. Amen
    Que Dieu bénisse le Burkina Faso Amen

  • Le 20 octobre 2015 à 12:06, par sale gueule En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Citoyen inquiet, excusez moi de vous appeler ainsi, mais vous parlez comme si le président KAFANDO et la Transition étaient là pour s’installer indéfiniment. je dis non !!! Ils partiront, mais avant ils faut qu’ils règlent certaines choses. Vous gagnerez plutôt à dire à ceux qui croient que prendre les armes résoud tout. M’Ba Michel comme vous l’appelez si bien était, avant sa prise en otage un homme calme qui savait écouter et qui laissait faire. Savez-vous ce qu’il a subi pendant sa captivité ? Je sais qu’en tant qu’homme, que si vous étiez passé par là où il est passé, vous comprendriez sa réaction. A bon entendeur, salut !!!

  • Le 20 octobre 2015 à 12:07, par Bouba En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Parlant de la CEDEAO, j’entends souvent des gens dire la CEDEAO ceci, cela, comme si le Burkina ne faisait pas partie de la CEDEAO. La CEDEAO c’est notre instrument à Tous. Elle appetient à tous les pays membres et à personne en particulier. Ce n’est pas une institution qui appartient à Macky, Sale, à Alassane Ouattara , à Yayi Boni ou à Faure Gnassingbé. Ce hommes passeront et notre CEDAO sera toujours là. Le Burkina Faso a son mot à dire et Michel Kafando tant qu’il est le président reconnu du Burkina Faso est un décideur souverain au même titre que les autres chefs d’État de la CEDEAO. Ce n’est pas pour rien que le cercle mafieux de chefs d’États qui voulaient instrumentaliser notre instrument commun (la CEDEAO) à des fins inavoués et inavouables au bénéfice des putchistes ont été désavoués par les autres chefs d’État membres. Dans 5 ans, Allasane n’aura aucun mot à dire dans les instances de la CEDEAO, mais la CEDEAO sera toujours là. Elle nous appartient tous.

    En outre, Il ne faut pas étaler ton ignorance et interpréter la visite du PM comme un acte de demande de pardon à Macky Sall. C’est la diplomatie, il faut toujours renouer le dialogue avec l’autre partie en lui laissant la porte ouverte et trouver les mots qu’il faut. C’est comme ça la diplomatie. Cela ne veut pas dire soumission, allégeance ou revirement de situation. Si la même situation se répétait aujourd’hui, le peuple burkinabè et son gouvernement de transition aurait la même fermeté à l’égard des propositions indécentes de Macky Sall dans son projet d’accord.
    Ìl faut s’avoir s’assumer.

  • Le 20 octobre 2015 à 12:15, par Sidpasata Veritas En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Quand on est un haut fonctionnaire de l’état, on est au service de toute la nation sans distinction des orientations politiques des gouvernants et des citoyens.
    Mais quand survient une situation politique qui met en danger la nature de l’État (= démocratie) telle que définie par la constitution, alors la résistance devient une cause nationale et oblige tous les citoyens et particulièrement les hauts fonctionnaires de l’État qui se doivent de protéger l’autorité qui leur est confiée pour que celle-ci ne devienne un instrument d’assujettissement et de domination de la population.
    L’administration ne doit pas être politisée et c’est pour cela que l’administrateur doit avoir pour politique de ne jamais se mettre au service d’une cause qui n’est pas celle de toute nation.

  • Le 20 octobre 2015 à 12:19, par sSAÏDESS En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    quelle belle réflexion ! je pense que le pouvoir de la transition comprendra que ce à quoi les burkinabè sont arrivés est le fruit des invocations de tous les burkinabé et ce Dieu qui nous a tant aidé doit rester dans toutes les actions que poseront les burkinabè mais singulièrement le pouvoir de la transition. N’inculquez pas de mauvaises habitudes aux populations car après vous le Burkina continue. je prie Dieu que vous réussissez dans cette mission de tracer la voie d’un Burkina plus démocratique mais pas un burkina de tout azimuts où le premier à se plaindre est celui qui a raison.

  • Le 20 octobre 2015 à 12:20, par théodorecompa@hotmail.com En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    je suis parfaitement en accord avec Norbert. Nous sommes pris en otages par des banques de non démocrates, payés par certains partis pour confisquer le pouvoir. Je l’ai déjà dit, j’ai peur pour mon pays, nous revenons vers les nuits staliniennes, ou si tu ne partages pas mon opinion , tu es mon ennemi. ATTENTION BURKINABES nous sommes entrain de semer les germes d’une guerre civile.
    Pour les Burkinabès , épris de justice et de démocratie , levons nous face à cette médiocratie qui est entrain de nous entrainer dans l’abîme. Maintenant , on rentre dans des considérations étatiques, en accusant Guillaume SORO . Qui veut détruire l’entente de la COTE D IVOIRE ET DU BURKINA PAYS FRERES ET INDISSOCIABLES. M^me pas une lueur de lucidité et de prudence. Ces problèmes se règlent dans la discrétion. Kafando est il vraiment un diplomate de profession ?
    Norbert a raison, on les connait ces soi disants OSC qui circulent maintenant en 4X4 et s’achètent des maisons à l’étranger. Ils prendront également le chemin de l’exil, peut être en Côte d’ivoire ?

    Merci AU MOGHO NABA pour ses paroles de sagesse et d’amour pour son pays.
    Démocrates du Burkina, réveillons nous avant qu’il ne soit trop tard.

    Un burkinabè qui aime son pays

    Merci pour ton opinion Norbert , et tu n’es pas seul pour un Burkina véritablement démocratique et respecté
    _

  • Le 20 octobre 2015 à 12:24, par Bouba En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Sais-tu que ;la désobéissance civile qui peut prendre la forme de d’insurrection populaire ou de résistance populaire est inscrite dans la loi fondamentale, la constitution ?

  • Le 20 octobre 2015 à 12:35, par lé titans En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    encore un désillusionné..............
    vous pensez que qui doit dirigé le pays ? c’est le peuple.au cas ou vous non démocrates ne le savez pas !
    on vous dit depuis longtemps que les décisions de la transition émanent du peuple ..
    hé bien vous l’avez appris à vos dépend à travers votre coup d’état du 17-10-15.
    qui a résisté ? c’est bien ce peuple dont se réclame la transition.
    alors de grâce, ont vous avaient appris à forgé des leaders en carton (CDP ET ALLIES).
    Maintenant vous avez en face des vrais leaders( certains OSC) qui écoutent et organisent le peuple dans ses doléances. Souffrez- en
    ç’est et cela restera ainsi, même pour le nouveau pouvoir élus...les individus aux passés douteux et les responsables avides d’argent seront déposés par le peuple ..
    car le peuple désormais veille au grain de la gestion des affaires publics.
    les affairistes feront mieux de chercher leur pain sur d’autres créneaux , car un responsable malhonnête passera désormais de mauvaises journées et ceux sous le reste de la transition et m^me apres.

  • Le 20 octobre 2015 à 12:46 En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Internaute n° 26. Est ce vous le peuple et quand est ce avez vous été élu ? La liberté d’expression est un droit acquis et n’importe quel renégat ne saurait imposer quoi que se soit. Dites vous bien que vous ne saurez restreindre notre liberté d’expression acquise après la mort de Norbert ZONGO(paix à son âme). C’est les mêmes (dont vous) qui ont lutté acharnement contre Norbert ZONGO quand il donnait ces points de vue ou des analyse critiques.

  • Le 20 octobre 2015 à 12:56 En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    C’est du propre !

  • Le 20 octobre 2015 à 13:50, par BARAMOGO En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    VOTRE INQUITUDE EST FONDEE Mr ZANGO. CE PAYS N’EST PAS CELUI DU SEUL THOM SANKARA . CE PAYS A EU D’ILLUSTRES FILS AVANT LUI DE GRACE NE VOUS SERVEZ PAS DE LA MEMOIRE DE CE GRAND HOMME POUR ASSOUVIR VOS BAS DESSEINS. NE SOUILLEZ PAS SON NOM ESPECES DE CHAROGNARDS ; . LA TRANSITION A GOUVERNE DEPUIS SON ARRIVEE AVEC LA RUE. NORMAL QU’ELLE S’APPUI SUR ELLE AU RISQUE DE VOIR CETTEMEME RUE LA METTRE DEHORS QUAND DES GALAPIAS FONT LA LOI ; ESPOIR DECU

  • Le 20 octobre 2015 à 14:34, par Ouvrez l’oeil ! En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    POURQUOI CETTE CONCEPTION ERRONÉE ?
    RELEVER QUELQU’UN DE SES FONCTIONS EST-IL UNE SANCTION ? JE PENSE QUE NON ! ILS AURAIENT ÉTÉ JETÉS EN PRISON, JE COMPRENDRAIS LES INQUIÉTUDES DE CE SOI-DISANT CITOYEN...LA FONCTION PUBLIQUE, CE N’EST PAS POUR LA MÈRE DE DE QUELQU’UN, ON T’Y APPELLE, TU Y VAS...ON MET FIN A TA FONCTION, TU RETOURNE D’OÙ TU ES VENU...
    ÉVITONS DE VICTIMISER LES GENS, EUX-MÊME NE S’EN PLAIGNENT PEUT-ÊTRE PAS.

  • Le 21 octobre 2015 à 00:40, par MAXWELL En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Pas d’accord pour les sanctions infligées à ceux qui ont composé avec les putschistes. On était dans une situation de grève généralisée, donc il n’y a pas de raison que certains s’y dérobe pour espérer gagner l’estime du CND. Si le putsch avait marché, ils auraient été sans doute récompensés. Donc qu’ils assument leurs erreurs.
    Par contre, je suis parfaitement d’accord que la rue est en train de prendre dangereusement le dessus et qu’il faut qu’on crée un autre cadre pour pouvoir régler nos différents car on est en train de glisser progressivement vers l’anarchie.

  • Le 21 octobre 2015 à 07:33, par Citoyen Burkinabè En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    M. ZANGO, on a peine à vous suivre. A la fin de votre article, on retient l’idée que vous réclamez le droit d’être équilibriste, sous le couvert de la continuité de l’état. Sinon le Président du CNT, en ces moments troubles que traversait notre pays, avait été très clair en invitant le peuple à ne pas obéir aux putschistes. Vous avez choisi de lui désobéir en espérant que le coup de force passera vu la force de nuisance du RSP. Heureusement le coup est passé à la trape, maintenant il faut assumer. Vous ne pouvez pas travailler avec moi et avec mon ennemi, c’est logique et aussi simple que cela...

    La transition travaille bien, avec le soutien du peuple, plus de place aux équilibristes. Ou bien on est avec le peuple, ou bien on est avec les putschistes.

    C’est la règle.

  • Le 21 octobre 2015 à 08:52, par Francis En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Désolé de revenir sur ce sujet pour demander à Mr. Zango qui avait nommé Gilles Seraphin Bayala comme Ambassadeur et Directeur du protocole d’Etat et sur quelle base il avait été nommé ? Pour sa gouverne, Mr. Bayala avait été nommé par Décret 2014- 009/PRES-TRANS du 27 Novembre 2014. Le même jour, étaient nommés le Chef d’Etat Major Général des Armées, Pegrenoma Zagre (Decret 2014 - 011/PRES-TRANS) et le Conseiller Spécial du Président du Faso, Nabéré Honoré Traoré (Décret 2014-010/PRES-TRANS). Chacun d’eux avait remplacé quelqu’un et cela n’avait pas ému ou inquiété notre citoyen "angoissé", pardon, inquiet. Cessons d’être des Don Quichotte : construire des moulins à vent pour mieux les détruire ou créer des problèmes là où il n’y en a pas.

  • Le 21 octobre 2015 à 11:59, par Tie En réponse à : Après le règne des insurgés, celui des résistants ?

    Merci à l’internaute n°53. Je partage ton point de vue. Seul l’amour rien que l’amour du prochain nous permettra de vivre ensemble. Aussi seul DIEU connaît toute la vérité de tout ce que le Burkina-Faso a vécu depuis octobre 2014. Les dossiers brullants sont ceux que nous connaissons. Je parie, qu’il y a encore des innocents qui ont perdu la vie dont on ignore. pour ces gens là, c’est la justice de DIEU qui les vengera. Nous autres communs des mortels qui sommes nous pour juger et sanctionner ? Si à travers nos institutions, cela doit être fait, il faudrait à ceux qui ont cette responsabilité, de mettre tout en oeuvre pour ne pas sanctionner des innocents.
    Je demande aux OSC de ne pas passer par la rue pour sanctionner et de se refairer aux institutions abillitées à le faire. La pratique de la rue en ce moment ne donne pas une bonne image à notre pays. Tout ministre qui n’a plus confiance à son SG, la décision de s’en separer lui revient.

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