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Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

Publié le dimanche 18 octobre 2015 à 08h01min

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Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

Dès l’entame de cette rentrée, les rapports entre la direction du CENOU (Centre National des Œuvres Universitaire) et les étudiants se sont avérés tendus. Ainsi bon nombre d’individu s’en donnent à des réactions qui n’ont rien avoir avec ce qui se passe réellement dans cette affaire. Tout a commencé avec le report de la rentrée annoncé le 29 septembre. D’abord, il faut situer le problème : Les étudiants vivant en cité dans le besoin d’accès à leurs dortoirs qui étaient encore fermés bien que la date prévue pour leur ouverture était dépassé, ont entamé dans la martiné du 02 octobre une démarche pour rencontrer le DG afin de lui soumettre leur doléance d’ouverture des cités. Malheureusement ils vont passer toute la journée à l’attendre et à chercher à le voir en vain, refusant dès lors toute possibilité de discuter avec ces derniers. Ils ont pour finir sous le poids du besoin, entrepris des actions un peu plus rigoureux pour accéder aux dortoirs.

La communication qui se fait autour de cette affaire est de nature à rendre coupables les étudiants d’actes de vandalisme sans savoir les conditions qui ont prévalues acte ni tenir compte de la nature de la structure qu’est le CENOU.
D’abord, la condition juridique. Il est important de souligner que dans les normes les cités s’ouvrent 5 jours avant le jour J de la rentrée. Ainsi dans point de vue juridique les étudiants se trouvent dans leur bon droit de réclamer l’ouverture des cités. Je m’explique, il est nécessaire de considérer la date du 1 octobre comme la date de la rentrée. C’est donc dire que logiquement les cités devraient d’être ouvertes avant le communiqué du gouvernement faisant état du report de la rentrée.
Ensuite, la volonté des étudiants de procéder par doléance. En effet, vu la situation et le report de la rentrée, les camarades étudiants ont accepté la fermeture des cités bien que la date d’ouverture était passée. C’est alors sous le poids du besoin que les délégués ont trouvé nécessaire l’ouverture des dortoirs. Il faut le dire ; à la fermeture des cités, une grande partie des camarades qui y vivent ont effectué des voyages. Ainsi à quelques jours de la rentrée il faut revenir sachant bien que les cités s’ouvrent 5 jours avant la rentrée. Des centaines d’étudiants ce sont donc retrouvé dans les cités sans possibilité d’y rester, ils décident donc de rentrer en contact avec le DG pour qu’il puisse constater le besoin et ordonner l’ouverture des chambres. Il n’a fait que tourner les camarades en rond sans leur donner la possibilité d’échanger avec lui. C’est ainsi au environ de 16 heure, sont allé à l’administration exiger la remise des clefs pour qu’ils puissent s’abriter.
Nous étudiants avions pris cette décision de retrait des clefs tenant compte de la nature de la structure qu’est le CENOU. Le CENOU se veut une structure qui a pour but d’améliorer les conditions sociales de l’étudiant Burkinabè. Parce que pour nous, si l’on tient compte de la situation dans laquelle se trouvaient les étudiants toute structure responsable dédiée aux œuvres sociales, devaient savoir tenir compte des exigences sociales du moment ce que nous appelons la réalité du terrain et jouer son rôle, celui de porter assistance. Ce fut malheureux d’apprendre que monsieur Bayala dit avoir reçu des ordres et donc il s’en fout de ce qui pouvait devenir les étudiants dans le besoins de dortoirs. L’on est alors en droit de le juger incompétent pour assurer la direction de la structure car être DG de CENOU, c’est d’abord connaitre les besoins sociaux des étudiants avant d’appliquer les ordres. Nous ne voulons pas de réactionnaires mais ceux qui posent des actions.
Nous disons non aux réactions sans analyses objectives. Et nous informons l’opinion que toute lutte prend sa source dans la volonté de satisfaire un besoin. Ainsi la noblesse de la lutte vient du bien-fondé du besoin.
Je demande donc à l’autorité de prendre les mesures nécessaires pour éviter qu’un tort soit causé à un étudiant tout dans le but d’un milieu universitaire apaisé.
Vive les étudiants du Burkina
Vive le Burkina Faso
Seule la lutte libère la société de ses tares.

Lassina Ko
Etudiant
lassinakowelfare@gmail.com

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Vos commentaires

  • Le 18 octobre 2015 à 08:34, par Titan En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Je partage la douleur qu’éprouvent les étudiants de se voir refuser l’accès aux dortoirs. Les conséquences sociales d’une telle situation sont désolantes et l’administration en portera l’entière responsabilité. Un DG des oeuvres sociales doit impérativement dans la limite de ses prérogatives répondre à ces préoccupations auquel cas il est incompétent et doit rendre le tablier. Cependant, je ne cautionne pas du tout l’attitude de mes frères étudiants. Il ne vous appartenait pas de se livrer à ces actes. Vous pouviez suivre la démarche normale de protestation comme par exemple le sit-in. Mais récupérer les clefs de force c’est inimaginable. Saviez vous que cela peut vous coûter cher ? La revendication doit suivre les règles. Aviez vous informé les organisations estudiantine de lutte de vos problèmes avant de passer à l’assaut ? S’il vous plaît ayez raison gardé de reconnaître votre tort et engagez vous de manière responsable à oeuvrer pour une solution idoine.

  • Le 18 octobre 2015 à 08:37, par hermannotherapie En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Rien ne saurait justifier l’incivisme.

  • Le 18 octobre 2015 à 08:38, par RFB En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    M. Lassina Ko s’exprime donc au nom des étudiants. Son papier est tellement truffé de fautes en tous genres qu’il est pénible à lire et que j’ai décroché au bout de 5 minutes. Il est un pur produit du système éducatif burkinabè dont le déclin a commencé il y a bien longtemps. Mes frères et sœurs étudiants burkinabè, il faudra faire beaucoup mieux que ça si vous voulez avoir un avenir dans ce monde "globalisé". Ceux qui prennent leurs études au sérieux ont tout mon soutien.

  • Le 18 octobre 2015 à 08:38, par TCR En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Monsieur KO, à travers cette analyse plate, tu es en train d’enfoncer davantage tes camarades étudiants. Au lieu d’exposer tes propres tares à travers cette tribune d’expression, tu ferais mieux de revoir ton français très approximatif car tu écris comme tu parles. Prière bien relire ton torchon afin d’élaguer ton texte pour nous le servir prochaine. Saches que toi et tes camarades devraient chercher à prévaloir la force de vos arguments et non l’argument de la force pour résoudre ce problème.

  • Le 18 octobre 2015 à 08:53, par yao issouf En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    nous sommes vraiment déçu de l’acte du DG. ça coûtait quoi au DG d’ouvrir les portes de la cite avant la rentrée. le cenou est là pour assurer les oeuvres sociales aux étudiants comme son nom l’indique. DG s’il vous plait faites votre travail dans le bon côté que d’écouter vos supérieurs qui ne connaissent pas peut-être pas les réalités du terrain. merci pour la compréhension !

  • Le 18 octobre 2015 à 09:34, par hamavo En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Je suis parfaitement d’accord avec vous. vous etes nos frères, enfants etc...
    comme vous le dites , vous etiez en droit de revendiquer l’ouverture de la cité.
    Mais entre nous , la situation politique était plus que tendue. Donc pour rien que des raisons de sécurité, il n’était pas indiqué une rentrée scolaire. Vous savez bien que vous avez été toujours une cible à cause de votre organisation.’’ les chiens de diendéré’’ auraient profité de votre regroupement pour nous offrir du "paté d’étudiants".
    A votre avis, si votre papa ferme votre chambre pour des raisons quelquonques, etes vous obligé de casser la porte ?
    Nous avons lutté ensemble et avons tous décider que plus rien ne sera comme avant.
    Alors pourquoi vous etes les premiers à détruire ? les juristes qualifient vos actes de vadalisme.
    Je vous conseille simplement d’avoir le courage d’aller repondre à la justice. reconnaissez devant le juge que vos actes ne sont pas citoyens et demandez pardon.
    ON PARDONNE TOUJOURS A UN ENFANT QUI A FAUTE MAIS N EMPECHE LE COUP DE FOUET.
    C’était juste un conseil.

  • Le 18 octobre 2015 à 09:42, par Figo En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Petit frère,
    Je pense que c’est mieux d’arrêter de menacer les responsables et les enseignants et de vous consacrer à votre activité d’apprentissage. Il est vrai que la cité doit être mise à la disposition des étudiants dans le besoin. Ce qu’on déplore, c’est que la communication que vous entreprenez aujourd’hui l’est après que vous ayez posé des actes répréhensibles. Il aurait fallu en son temps communiquer afin de mettre la pression sur les autorités. La réaction de l’opinion publique les aurait poussé à réagir immédiatement dans le sens de vos désirs. Aussi noble que soient vos motivations, ça n’efface pas votre faute et le règlement doit être appliqué. C’est ainsi que la société doit fonctionner. Prochainement, pensez à utiliser plus votre tête que vos muscles et vous verrez que vous parviendrez sans risque à vos objectifs. Maintenant que c’est fait, mieux faut négocier que de vouloir persévérer dans la force. Vous perdrez à tous les coups. Sans rancune.

  • Le 18 octobre 2015 à 09:48, par #BlackBird En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Apprenez à respecter les lois chers étudiants. On a l’impression que vous prenez systématiquement le campus pour un champ de bataille NON. Le Burkina nouveau ne veut plus de ce genre de personnes qui se prennent pour des super-citoyens. Faites votre autocritique et présentez vos excuses pour avoir dégradé le bien commun, vous en sortirez plus grandit. Vous savez vous n’êtes pas les seuls a souffrir dans ce pays.

  • Le 18 octobre 2015 à 10:07, par lass En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Mon petit je suis désolé mais ton écrit déconstruit définitivement votre action (je ne parle même pas du niveau lamentable qui est le tien et reflété dans cet écrit de cabaret).
    En plus de son aspect simplement factuel et superficiel, on n’y sent aucune intelligence communicative, aucune crédibilité, juste une réaction nuisible de votre part, car juridiquement condamnable ...
    Donc comme ça, quand y a le moindre problème avec l’administration, vous décidez directement de sévir par le désordre, et après vous poussez le ridicule jusqu’à son maximum en exigeant la démission du DG. Rien que ça !!!! Vous vous croyez ou ? y a une gouvernance dans ce pays avec des lois et vous étudiants devez le savoir. Dénoncer avec des preuves matérielles tu sais ce que c’est ? tu appelles ton torchon là une justification ? tu te crois dans la jungle ou quoi ?
    "Juridiquement" comme tu le dis, c’est de l’effraction, du vol et c’est passible d’une peine de prison.
    Et ça se dit étudiant....
    Pauv con !!!

  • Le 18 octobre 2015 à 10:09, par étudiant En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Cher étudiant. Ton récit ne nous éclaire pas plus car il ressemble plus à un tract. La lutte estudiantine doit être noble et pas seulement intéressée ou nombriliste. Ayez de bonnes causes et on vous traitera comme il se faut. En se comportant en voyous vous êtes comme le RSP et on vous combattra. Vous ne pouvez pas casser et vouloir nous imposer un nouveau directeur surtout en exigeant le retrait d’une plainte. Vous démontrez ainsi que l’on ne peut pas compter sur vous. Je ne recruterai jamai des eétudiants comme vous.

  • Le 18 octobre 2015 à 10:11, par Dominique En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Tu délire mon cher tu a dit tout en oubliant l’essentiel, pourquoi les cité était toujours fermer à la date prévu ?être étudiant ne vous aucun droit d’imposer votre choix à l’autorité,le pays étant en crise,que voulez enfin,en 2014 l’ancien régime vous a foutu dehors la population était derrière vous,mais cette fois-ci vous ete hors sujet revendiquer ok mais dans les règles surtout venant des personnes qui vont être les élites ou du moins les dirigeant de demain,si j’entre dans ta chambre sans permission je suis un ?

  • Le 18 octobre 2015 à 10:26, par Rocky En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    A te lire je n’y comprends que dalle ! Comme ça, ça se dit étudiant avec un français approximatif à faire dormir debout ! J’ai plutôt honte de savoir qu’au lieu de chercher à faire les choses dans les règles de l’art, vous avez choisi d’user de la violence. Cela n’étonne guère que vous ne vous préoccupez d’abord que de votre jabot( le RU quand tu nous tiens !) puisque tes élucubrations étalées en disent long sur quel genre d’étudiants vous êtes( si on creuse bien ce n’est pas forcement une question de gites). Pensez-vous qu’être étudiant vous donne tous les droits ? Peut-être que tu fais semblant sinon.......Apprenez aussi à compter sur vous-même : Bande d’éternels insatisfaits. On a tous été étudiants mais dans des conditions encore moins permissives mais de tels actes moyenâgeux n’ont jamais eu droit de cité dans notre vie d’alors. Changez vite votre façon de faire et de voir. Sans rancune.

  • Le 18 octobre 2015 à 10:52, par Joseph En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Mr Ko quelque soit vos explications, cela ne vous permet pas les actes de voyous qui discrédite tous les étudiants. Au lieu de vous installer de manière brutale en cassant les portes, au lieu de de prendre les clés de la Direction du CENOU, vous aurez pu faire des sit in et autres marches républicaines. Les étudiants futurs dirigeants de demain ne doivent pas se comporter comme des voyons des hors la loi. Pendant que vous lutter contre l’impunité, la mal gouvernance vous agissez exactement dans se sens. Revenez à la république car après l’ insurrection dont vous avez pris part on ne peut pas accepter l’anarchie.

  • Le 18 octobre 2015 à 11:07, par MiCh En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    monsieur Lassina KO, j’ai l’impression à vous lire qu’être étudiant et dans le besoin donne le droit de défoncer des portes. Si chaque travailleur du Burkina se pointe à la banque le 25 du mois et voit que son salaire n’est pas passé cela lui donne t-il le droit de casser la banque et se servir ? Si j’envoie un malade à l’hôpital et que je suis reçu par l’infirmier alors que le cas de mon patient nécessite un intervention urgente et le médecin que je veux voir refuse de me recevoir en me renvoyant à la procédure qui consiste à faire ausculter mon patient par un attaché de santé qui lui rendra compte, est une raison pour mettre le feu à l’hôpital ?
    J’ai l’impression que l’étudiant burkinabè se croit au dessus des lois. Je crois qu’il est grand temps que les universités deviennent autonome et s’autofinance car comme pour le moment c’est avec l’argent du contribuable, donc mes impôts, que fonctionnent nos universités, les étudiants ne savent pas que les frais qu’ils paient ne suffisent même pas pour prendre en charge la charge liées à l’eau et à l’électricité.

    Monsieur KO, je ne dis pas que le DG a bien fait, mais je reteins une chose, le mauvais comportement des étudiants lors de cette crise. Au Ghana, toutes les universités publiques s’autofinancent donc on paie pour apprendre même quand on est ghanéen et c’est en cela qu’au grand jamais vous ne verrez un étudiant ghanéen faire ce que vous aviez fait. Eux ils disent " we want our money worth" et ici que disons nous ?
    Comme vous parlez de droit, dites moi dans quel code tirez vous le faite que vous aviez le droit de défoncer des portes ?
    A cause de vous aujourd’hui on indexe les étudiants venus d’autres pays pour ne pas dire les diaspos comme s’ils étaient les seuls ...

  • Le 18 octobre 2015 à 11:18, par Sidpawalemdé Sebgo En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Visiblement, pour M. Lassina Ko, un coup d’état sanglant ne doit pas l’empêcher d’entrer dans "sa" cité universitaire quand il le veut. Ainsi, il rappelle que les cités étaient prévues pour ré-ouvrir le 25 Septembre, soit 5 jours avant la rentrée prévue le 1er Octobre, mais ne fait aucun cas de la circonstance exceptionnelle que constitue le coup d’état, comme si ça ne les concernait pas. Comme visiblement notre jeune ami n’était pas au Burkina Faso ces derniers temps(?), il convient de lui faire un petit résumé des évènements nationaux. Regardons ensemble le déroulement des évènements :

    Jeudi 17 Septembre : Annonce du coup d’état, et lancement d’un grève générale illimitée ;
    Mercredi 23 Septembre : Réinstallation du président Michel Kafando ;
    Jeudi 24 Septembre : Tabasky ;
    Vendredi 25 Septembre : Premier conseil des ministres après coup d’état. Dissolution du RSP par décret ; Report officiel de la rentrée au 8 Octobre ;
    Samedi 26 Septembre : Suspension par l’unité d’action syndicale du mot d’ordre de grève générale et fixation de la reprise au Lundi 28 Septembre ; Début du désarmement du RSP
    Dimanche 27 Septembre : Blocage du désarmement du RSP
    Lundi 28 Septembre : Reprise officielle mais timide du travail ;
    Mardi 29 Septembre : Assaut final contre le camp Naaba Kom ;
    Mercredi 30 Septembre : Journée travaillée ; Concertation entre le directeur régional du CENOU et les représentants des étudiants ; proposition de réouverture des cités le 8 Octobre ;
    Jeudi 1er Octobre : Journée travaillée ; Concertation entre le directeur régional du CENOU et les représentants des étudiants ; entretien téléphonique entre ces représentants et le DG du CENOU. Assemblée générale des étudiants.
    Vendredi 2 Octobre : Reddition du général Gilbert Diendéré. Manifestation des étudiants et négociation avec le directeur régional du CENOU. Proposition d’intégrer les cités le Lundi 5 Octobre après vérifications et paiement. Refus des manifestants qui finit par l’occupation de force des cités universitaires, la "fermeture" forcée de la direction générale du CENOU et la prise d’un véhicule administratif.

    Si on regarde donc ce déroulement, non seulement le dialogue n’a jamais été rompu entre les étudiants et le CENOU depuis le retour au travail, mais leurs préoccupations ont été prises en compte par l’avancée de la date de réouverture initialement proposée, le tout dans un délai serré.
    Si on veut donc résumé les récriminations des "forceurs" de portes, c’est de ne pas avoir négocié directement avec le DG, de ne plus payer les chambres, et surtout que le CENOU ne se soit pas débrouillé pour leur garantir l’accès à la cité malgré le coup d’état ! Un peu léger et absurde comme justifications d’actes illégaux et de violence ?

  • Le 18 octobre 2015 à 11:22, par SALOU En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    On peut avoir raison et etre condamné par une reaction anappropriée. Je condamne tout acte de vandalisme. Ces actes sont tout indignes quelque soit la raison.

  • Le 18 octobre 2015 à 11:42, par Lassane En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Le vrai problème de l’actuel DG du CENOU c’est son incapacité à dissocier son statut d’enseignant d’université et sa fonction de directeur général du CENOU .Ce qui fait ,qu’il a tendance à considérer toujours les étudiants comme des gamins qui ne méritent pas qu’on leur accorde une attention particulière quand les étudiants demandent à le voir .Trop imbu de lui-même et regardant tout le monde de haut ,il ne semble pas avoir la moindre considération pour les étudiants dont les souffrances lui importent très peu .Il loue à coup de billets de banque quelques étudiants corrompus pour descendre leurs camarades en flammes dans les réseaux sociaux et la presse pour donner ainsi à l’opinion nationale l’impression ,que tout le monde est contre les étudiants .A se référer au forum des internautes ,il semble réussir son coup de manipulation .Mais comme tout bon manipulateur la vérité finit toujours par le rattraper .Ce qui est certain ,depuis son arrivée à la tête du CENOU il est loisible à toute personne de bonne foi de noter que les choses vont de mal en pis .Alors faut- il sacrifier l’avenir de tous ces jeunes pour satisfaire les égos et le narcissisme d’une personne qui montre objectivement des carences et des limites en matière de gestion des hommes ?Au MESS donc d’évaluer sans complaisance la situation et de prendre ses responsabilités Le CENOU existe depuis des années avant l’arrivée de Mr BAYALA , mais jamais il n’a connu autant de crises en si peu de temps sous la direction des différents DG qui se sont succédés .

  • Le 18 octobre 2015 à 11:43 En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Étudiant de quel UFR ? Quel est son niveau ? A-t-il eu un vrai bac (sans triche ni fraude). Arguments décousus indigne d’un étudiant. Conclusion : le niveau de raisonnement traduit l’incompétence de son auteur.

  • Le 18 octobre 2015 à 11:54, par leregard En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Est ce que l’analyse objective c’est de te dire que les étudiants ont raison quand bien même, il apparait très clairement qu’ils on tard ? Je dis non. Ils on eu tord. Ils sont les plus enclins à la critique, ils devraient commencer à balayer devant leurs portes. La rentrée a été retardée pour des raisons d’État (le putsch manqué et conséquences sur la sécurité nationale). Le CENOU est une institution nationale de la République, elle ne peut que se plier aux mesures sécuritaires prises par le gouvernement. Les étudiants devraient en faire de même et comprendre la position du CENOU. Par ailleurs, comment les étudiants peuvent-ils garder par devers eux, les clefs des chambres après la fin de l’année universitaire. Dans ces conditions, comment les nouveaux étudiants (nouveaux bacheliers inscrits à l’université) vont-ils faire pour obtenir des chambres en cité ? Je crois que la seule solution actuelle, tenant compte de la limite objective des places en cités, c’est de ne recevoir prioritairement en cités que les étudiants inscrits en première année, première inscription. Cela veut dire que les clefs doivent être rendues en fin d’année et qu’un dispositif d’octroi des clefs mis en place pour prioritairement satisfaire les nouveaux étudiants de première année en première inscription. Les autres devraient trouver des chambres ailleurs. Cela leur permettre de murir. Au lieu de passer le clair de leur temps à se plaindre pour un oui ou un non,alors que dans leur propre famille, plusieurs d’entre eux eux n’ont même pas les conditions qu’ils décrient . Ils ont bien pu suivre les cours lycée , même si la plupart sont venus de intérieur du pays, ils devraient apprendre à travailler, comme cela se fait dans les pays développés, et de cette façon, ils mesureront les efforts faits pour eux. Je suis pour que ceux qui on vandalisé les cités rependent devant al justice. On en peut pas dire que plus rien ne sera comme avant, et laisser des étudiants faire ce qu’ils veulent, et même à vouloir dicter la marche pour les institutions qui les accueillent. ceux qui ne sont pas contents, peuvent aller voir ailleurs. il y a bien des universités privées.

  • Le 18 octobre 2015 à 12:08 En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Ecrit d’une platitude deconcertante pour un etudiant.

  • Le 18 octobre 2015 à 12:15, par Benaocyn En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Chers etudiant(e)s, il y a des moments dans la vie ou les circonstances ou les contingences du moment exigent de chacun de nous une analyse plus poussee, pour qu’au moins les choix que nous operons prennent en compte ces situations particulieres.
    C’est toute la nation qui etait en peril, avec des risques d’aggravation vue l’entetement de Diendere et sa bande. Les menaces d’attaques exterieures (djihadistes) etaient/sont relles sinon effectives.
    Une des mesures conservatoires pour raisons securitaires a ete le report de la rentree scolaire et universitaire sur toute l’etendue du territoire.
    Tout en comprenant difficultes auxquelles vous etes confrontes, on ne peut pas, pour autant, penser et exiger que les choses se passent normalement comme si nous etions en situation normale. Peut-il avoir de salut pour une composante appartenant a un grand ensemble en danger ?
    IL FAUT PARFOIS SAVOIR METTRE DE L’EAU DANS VOTRE VIN, SINON LES EXCES NUISENT AUX CAUSES LES PLUS JUSTES

    BONNE CHANCE, BALLE A TERRE ET BONNE ANNEE STUDIEUSES A TOUS ET A TOUTES

  • Le 18 octobre 2015 à 12:44, par mimsibirma En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Vous n’êtes pas des étudiants mais des terroristes qu’il faut traquer. Des étudiants qui aspirent diriger un jour ce pays ne doivent pas se livrer à ces actes de vandalisme. Nous avons tous passer par la même université mais si on avait fait comme ça a son temps vous n’allez pas trouver des locaux aujourd’hui. L’état doit prendre ses responsabilités et sanctionner les fautifs à la hauteur de leurs actes. Le directeur du CNOU ne bougera pas d’un iota. Les forces de défenses et de sécurité doivent pousser les enquêtes pour voir s’ ils ne sont pas des acolytes du général putschiste. On est où la. Il faut restaurer l’autorité de l’état
    La loi reste la loi et tout le monde doit la respecter. Bande de délinquants débarrasser notre cité de ces terroristes.

  • Le 18 octobre 2015 à 12:53, par Kouda En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Cher Lassina Ko, si vous voulez situer les gens sur la vérité à propos des cités universitaires, il faut vous efforcer de dire la vérité, rien que la vérité.
    D’abord, vous dites qu’en situation normale, les cités universitaires ouvrent 5 jours avant le jour J de la rentrée. Nous n’étions pas dans une situation normale. Alors, qui endossera la responsabilité morale et judiciaire si des étudiants et étudiantes venaient à subir des dommages (corporels, matériels...) en cité sachant que la situation nationale était risquée ? Qui allait assurer la sécurité des étudiant(e)s dans les cités de Ouaga, sachant que les forces de défense et de sécurité s’étaient attélées à rétablir l’ordre à la suite du putsch du 16 septembre et surtout à sécuriser la totalité du territoire burkinabè ?
    Comment la restauration des étudiants qui seraient déjà en cité serait-elle assurée ? Par qui ?
    Vous rétorquez au CENOU que vous pouvez assurer vous mêmes votre sécurité pour ensuite dans la plateforme revendicative concoctée à la va-vite exiger le recrutement de plus d’agents de sécurité.
    Vous évoquez le cas d’étudiants venant d’autres localités ou pays et qui éprouveraient des difficultés à s’héberger. Soit. Mais, au CENOU, il est dit que les étudiants et étudiantes qui sont dans cette situation peuvent sur demande voir leurs cas examinés par le CENOU. Cela se fait au cas par cas. Les étudiants venant d’autres localités ou pays ont-ils suivi cette procédure ? J’en doute fort.
    Si vous avez des doléances, en tant qu’usagers des cités U de Ouaga, votre interlocuteur premier est le directeur régional du CENOU et non le directeur général du CENOU. Vous n’êtes pas supérieurs aux étudiants burkinabè qui habitent les cités U dans d’autres villes du pays (Bobo-Dioulasso par exemple) qui eux s’adressent à leur directeur régional pour exposer leurs problèmes.
    Pour avoir forcé les portes des résidences universitaires, vous vous êtes comportés en vandales et vous répondrez devant la justice. Quand on est majeur et on pose des actes, on en assume la pleine responsabilité. Le temps de l’impunité est révolu. Il faudra vous y faire. Vous ne pouvez pas exiger la justice et la fin de l’impunité dans le pays et vouloir vous même qu’on vous réserve de l’impunité.
    Je tiens à signaler quelque chose de structurel : je n’ai jamais entendu des étudiants des universités publiques burkinabè exiger plus d’ouvrages pour leurs bibliothèques. Non. C’est toujours le resto U, le resto U, la cité U. Vous exigez qu’on baisse le loyer des chambres alors que vous payez 1500 fcfa (je dis bien 1.500 fcfa par mois) pour la chambre, avec l’électricité et l’eau à volonté. Vous abimez le matériel, vous dégragez les équipements des cités pour encore exiger illicto leur refection. Vous exigez que le CENOU continue de louer des batiments privés dans la ville de Bobo quand bien même une nouvelle cité de plus de mille places, appartenant au CENOU, est maintenant disponible. Je vous suggère ceci. Tous les étudiants et étudiantes qui souhaitent habiter toujours dans les batiments privés du centre ville de Bobo peuvent se constituer en groupes, s’entendre avec les propriétaires privés de ces batiments pour louer les chambres qu’ils veulent et payer un loyer mensuel de 1.500 f, eau et électricité à volonté comprises. Puisque vous tenez tant à ces immeubles privés allez les louer vous-mêmes à 1500 f par mois la chambre et on verra. Pendant que nous y sommes, chacun pourrait rester dans son village et exiger que l’université vienne à lui.
    Vous voulez le wifi alors que dans les UFR et instituts des universités, il n’y a pas de connexion internet digne de ce nom. Les nouveaux bacheliers continuent de s’aligner sous le soleil ardent, exposés à la poussière et à toutes sortes d’intempéries juste pour s’inscrire. Cela ne vous émeut point. Pourquoi n’exigez vous pas l’informatisation des inscriptions des nouveaux bacheliers ?
    A la fin, vous croyez que toutes les ressources des contribuables Burkinabè devraient vous revenir ? Quels mérites particuliers avez-vous qui justifient de tels privilèges ?
    Mes chers étudiants, il est temps de grandir et d’affronter la réalité. Je préfère que les ressources publiques, très limitées, soient utilisées pour construire des écoles en matériaux durables là où les enfants continuent de prendre leurs cours sous paillottes, je préfère que les ressources publiques servent à financer davantage les gens du secteur informel, qui chaque jour, se démènent pour subvenir à leurs besoins et à ceux de leurs familles. Je préfère que les ressources publiques soient consacrées à la modernisation de notre agriculture, à assurer la sécurité des populations sur toute l’étendu du territoire du Burkina, à lutter contre la mortalité maternelle et infantile, à améliorer les conditions d’études et de travail dans le primaire, le secondaire...
    L’université est une étape certes importante de votre vie, mais ne croyez pas que les études sont une carrière en soi. Vous croyez que vous êtes les plus méritants des Burkinabè pour chaque fois exiger, exiger, exiger et vouloir que l’on satisfasse vos exigences immédiatement ? Revenez sur terre mes chers étudiants.
    Je suis d’accord que l’Etat continue d’améliorer les conditions de vie, d’études et de travail de tous les acteurs de l’université (étudiants, enseignants, autres personnels) mais pas sous la menace constante et irresponsable de certains étudiants. Au lieu de vous laisser instrumentaliser et ne voir que des intérêts personnels égoïstes, vous ferez mieux de vous concentrer sur vos études pour bien réussir, le plus rapidement possible et passer à la vie professionnelle.
    Vous exigez la baisse du loyer, le wifi, l’augmentation du nombre et l’amélioration de la qualité des repas, plus de vigiles pour votre sécurité, des bus dédiés à votre transport, la location d’immeubles privés pour vous héberger et j’en passe. Tout ce que vous revendiquez génère beaucoup de dépenses, des coûts élevés. Qui supportera ces coûts ? Vous croyez vraiment que le contribuable du Burkina n’a que vous comme personnes dont il devrait s’occuper ?
    Le jour où vous exigerez que toute la lumière soit faite sur les trafics divers qui existent au resto U et dans les cités U, trafics qui ne font que gonfler largement et excessivement les dépenses des oeuvres universitaires, alors revenez et on vous écoutera.
    J’espère seulement que les étudiants et étudiantes consciencieux ne vous suivront pas car vous ne défendez pas les intérêts des étudiants mais vos propres intérêts individuels égoïstes et des intérêts personnels déguisés.

  • Le 18 octobre 2015 à 13:08, par Intégrité En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Comme le nouveau DG du CENOU, Serges Bayala, a décidé et s’attaque à toutes les combines et fraudes qui existaient dans les oeuvres universitaires (nombre de repas servis das les resto U, locations de cars pour transporter les étudiants des cités vers le campus, marchés publics, etc.) toutes les personnes qui en bénéficiaient s’opposent à lui par tous les moyens les plus bas possibles.
    Mais sachez que tous ces détournements des deniers publics seront combattus avec la plus grande fermeté.

  • Le 18 octobre 2015 à 14:14, par vla En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Mon frère, ce ne sont pas les étudiants mais ces étudiants là sont de vrais vandalistes, de véritables EBOLA même. Peut être que tu fais partie même de ces EBOLA là. Ces étudiants il faut les traiter comme tel : justice exclusion etc. pour que rien ne soit comme avant. Et le DG il va rester. Citoyens et OSC serieux organisons une marche contre ces étudiants Ebola pour le pays.

  • Le 18 octobre 2015 à 14:30 En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Vous vous condamnés davantage. Tout le monde est un cas social au burkina.
    Mettez les tous au dehors pour une année, ils apprendrons à respecter l’autorité.

  • Le 18 octobre 2015 à 14:32 En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Vous vous condamnés davantage. Tout le monde est un cas social au burkina.
    Mettez les tous au dehors pour une année, ils apprendrons à respecter l’autorité.

  • Le 18 octobre 2015 à 15:55, par Tiger En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Et depuis quand la violence est un droit ? <> disait Norbert ZONGO. "Quand on a le courage de dire occupons illégalement les lieux, il faut avoir le courage répondre devant le Juge" (Juste une paraphrase)

  • Le 18 octobre 2015 à 16:56, par Pagomziri En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Pourquoi les étudiants ne se sont pas adressé au ministre de tutelle pour résoudre leur problème de logement ? Ils ne sont qu’une infime partie des étudiants qui ont besoin d’être logés ; c’est donc un privilège d’être en cité. Ils peuvent toujours revendiquer leurs droits, mais de grâce, ne vous comportez pas comme les éléments de l’ex RSP, qui sentant la fin des privilèges avec le projet de dissolution de leur régiment n’ont pas hésiter à massacrer la population. Pour les étudiants ce n’est même pas une décision de suppression des logements mais juste un report de l’ouverture des cités par souci de sécurité après les événements douloureux que nous avons vécus.

  • Le 18 octobre 2015 à 16:59, par De Balzac En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    M. l’etudiant c’est trop facile d’accuser les autres. Penses-tu qu’objectivement la situation permettait d’ouvrir la Cité ? Les memes raisons qui ont fait qu’on a reporé la tentrée permettent de ne pas ouvrir la cité. si le CENOU mettait la cité a votre disposition et les fous du RSP venaient canarder les etudiants car etant le bastion de la resistance on accuserait le meme CENOU d’irresponsable. Alors, allez-y doucement car le plus rien ne sera comme avant s’applique a tous

  • Le 18 octobre 2015 à 17:13 En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Ils ont entrepris des actions un peu plus "rigoureux" pour accéder aux dortoirs. Des actions "rigoureux" ?
    Espèce de nullard, vous ferez mieux de retourner à vos études que raconter des balivernes aux gens. Vous êtes une honte pour les vrais étudiants. ça se dit étudiant, ça fait le gros dos et l’étonné quand on échoue lamentablement. Pourtant vous écrivez des actions "rigoureux".
    Vous êtes venus à l’université pour vous former, pas pour tremper dans des magouilles et la corruption. Continuez de défendre des intérêts inavouables et malhonnêtes et vous serez perdants sur toute la ligne. D’autres vous ont précédé dans cette voie qui les a conduits à leur perte. Vous connaitrez la même fin si vous ne quittez pas vite dans ça.

  • Le 18 octobre 2015 à 17:54, par sacrifier En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Ditez qui vous manipule ? Laissez le peuple en paix . Si le coup avait reuci je NE pense pas que vous alliez vs tenir devant le Rsp dire ou acter de la sorte. Respectez les gens. Ditez a ceux qui vs envoye que : "rien n ai plus comme avant" Et que le peuple veillez a tt.

  • Le 18 octobre 2015 à 17:55, par sacrifier En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Ditez qui vous manipule ? Laissez le peuple en paix . Si le coup avait reuci je NE pense pas que vous alliez vs tenir devant le Rsp dire ou acter de la sorte. Respectez les gens. Ditez a ceux qui vs envoye que : "rien n ai plus comme avant" Et que le peuple veillez a tt.

  • Le 18 octobre 2015 à 19:11, par oued En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Et la séquestration des agents ? Qu’est-ce qui justifie cela ?

  • Le 18 octobre 2015 à 19:33 En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Quel est votre niveau ? Monsieur Ko revoyez d’abord votre niveau de langue. Nous ne sommes pas dans un grin.

  • Le 18 octobre 2015 à 20:27 En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Malgre tout sachez que c’est l’argent du contribuable et des prêt consentis que vos sont prises en comptes. Le savez vs ou pas ?

  • Le 18 octobre 2015 à 20:57, par anas En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    please precisez nous votre profile afin que nous nous assurions que vous êtes réellement un étudiant. et si cela venait à être confirmé, c ’est pathétique car loin d ’être des futurs cadres vous êtes des futurs cancres. avec une telle analyse boiteuse je me demande comment sera notre pays sous votre houlette.

  • Le 18 octobre 2015 à 21:05, par KSOMDA En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Franchement, il faut que les membres du gouvernement connaissent vraiment la vérité de cette histoire. Ils ne doivent pas se laisser duper par la version du DG du CENOU qui tente de garder son poste avec l’aide de sa hiérarchie

  • Le 18 octobre 2015 à 21:14, par Oulaf En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Mon cher, de quel droit un étudiant peut defoncer une porte d’une chambre qui lui louée ? Suis désemparé.

  • Le 18 octobre 2015 à 23:03, par le véridique En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Mon cher tu t’es débrouillé mais sincèrement tu n’ arriveras pas à convaincre quelqu’un ainsi. Je suis étudiant et j’ai même siégé au CA du CENOU pour te dire que je maitrise la question. il faut la réunion de la commission d’ attribution des cités chaque année aux environs du 20 septembre pour trancher sur les demandes d’admission en cours. Cette réunion prend environ 72h dans le meilleur des cas. Tout le monde sait que dès le 16 il y a eu putsch au Faso donc cas de force majeur sur le plan juridique. Cela a entraîné le report de la date des élections dans ce pays et la rentrée aussi. Alors comment peux tu avancer un argumentaire aussi bidon pour justifier votre forfait. As tu oublié qu’il y a eu 2 semaines sans travail dans ce pays au mois de septembre ???? penses tu les agents du CENOU sont pas des burkinabés pour ne pas être touchés par le putsch ???? Il faut changer un jour. Les étudiants sont pas des super citoyens au point de ne prendre en compte aucune réalité sociale et vouloir agir comme bon les semble. Il faut qu’on donne la leçon en vous sanctionnant sévèrement

  • Le 18 octobre 2015 à 23:48, par devancier En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Vivre dans de meilleures conditions pour les études doit être assurée par l’État aux étudiants courage a vous les jeunes frères et soeurs

  • Le 19 octobre 2015 à 02:27, par ido En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    vive la lutte , vive les étudiants

  • Le 19 octobre 2015 à 09:15 En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Bonjour,
    quelques soit les raisons, lorsque l’on veut poser des doléances, on ne commet pas d’actes répréhensibles ou de vandalisme ou même imposer des directives. C’est mal et les étudiants qui ont commis ces actes doivent répondre comme tout burkinabé. N’est-ce pas une intégrité que de répondre de ses actes ? Pour le moment tous les burkinabé sont égaux en droit, aussi tout fauteur (sans distinction) devra répondre de ses actes.

  • Le 19 octobre 2015 à 10:52, par tuenmavé En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Il n’y a pas de problème à connaitre. Des bandits se sont introduits par effraction dans des locaux publics, ils doivent être recherchés, délogés et punis conformément à la loi.

    Ceux qui sont réellement des anciens étudiants (tant que vous n’êtes pas inscrits ou réinscrits, vous n’êtes pas étudiants) doivent s’en démarquer et au plus vite.

    Quand on aspire à être un responsable demain, il faut savoir réfléchir avant d’agir.
    Comment pouvez-vous, pendant que la rentrée est reportée, vous qualifiez-vous d’étudiants avant d’être réinscrits ou inscrits ? N’est étudiant que toute personne ayant une inscription universitaire dans une UFR et pour un niveau de formation donné.
    Dans cette affaire, vous vous êtes laissés manipuler et il va vous falloir en tirer toutes les conséquences de droit. Commencez par demander pardon. Ceux qui se sont adonnés à cet acte de vendalisme de locaux publics, ne sont que de vulgaires bandits à traiter comme tel. Des étudiants ne sont pas capables de tels actes. Et ceux qui envisagent de s’incrire à l’université devraient se démarquer de tels sbires.

    Naan laara an saara.

  • Le 19 octobre 2015 à 11:12, par Tintin En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Monsieur Ko, c’est juste ce que vous dites et je suis d’accord avec vous.
    Nous avons appris que le CENOU a déposé une plainte.Je pense que vous(les étudiants) avez
    vraiment tous les arguments pour vous défendre.Attendez le procès pour vous expliquer ; c’est vraiment simple.
    vive les étudiants.

  • Le 19 octobre 2015 à 11:15, par droitaubut En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Mes chers étudiants quelques soit l’urgence des besoins, il est inadmissible de casser des portes pour accéder à vos chambres tel auraient procédé de vulgaires voleurs ! Nous sommes à l’orée d’un Burkina nouveau et le civisme doit être de mise. On a chassé l’impunité les 30 et 31 octobre ainsi que terrorisme et le vandalisme en mi septembre. Alors ne nous ramené pas en arrière.

  • Le 19 octobre 2015 à 12:53, par Observateur soucieux En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Voici un texte qui illustre bien l’état d’esprit des étudiants (ou du moins de certains d’entre eux) qui investissent les cités. Ils ont droit, c’est tout. C’est dommage d’arriver à une vision aussi réductrice que celle-ci. Ce n’est pas parce que le CENOU a une vocation sociale qu’elle a les moyens d’assumer ; ni qu’aucune circonstance d’insécurité ne devrait être considérée. J’ai honte pour l’égoïsme des étudiants et peur pour la montée en puissance des conflits qui se profilent à l’horizon. Tout le monde aura raison de tout le monde. est-ce cela la République ? est-ce cela la Révolution ? Sachons nous remettre en cause, jeune ou vieux, étudiant ou déscolarisé, DG ou pensionnaire des oeuvres sociales, politique ou observateur. La nation se construit sur la confrontation de nos différences, et non sur la vision unique et centrée sur soi.

  • Le 19 octobre 2015 à 15:02 En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    JEUNE FRERE NOUS AVONS TOUS ETE DES ETUDIANTS DANS CE MEME CAMPUS. QUELQUES SOIT LES CONDITIONS OU LES CIRCONSTANCES IL N Y A NI EXCUSE NI A COMPRENDRE QUELQU UN QUI VA BRISER DES PORTES POUR OCCUPER UN LIEU. CA S APPELLE DU BANDITISME ? DU VOYOU ET CEST TRES DOMMAGE PARCE QUE CELA VIENT DE JEUNES APPELES A ETRE DES RESPONSABLES DANS NOTRE PAYS. NOUS LES CONTRIBUABLES NOUS NE PAYONS PAS LES IMPOTS POUR QUE VOUS VENEZ APRES DEMOLIR CE QU ON A AIDER A METTRE EN PLACE. CET ACTE SE DOIT D ETRE PUNI CORRECTEMENT ET SERVIR DE LECONS ; EN TOUT CAS HABITUELLEMENT ON VOUS SOUTIEN MAIS CETTE FOIS ON EST FATIGUE DE VOUS.

  • Le 19 octobre 2015 à 15:03, par Filsdupaysan En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    L’écrit d’un étudiant ! Bravo

  • Le 19 octobre 2015 à 15:12, par L’Oeil du peuple En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Chers enfants, petits frères, nous avons tous passé par l’université. L’objectif visé en étant sur le campus c’est la recherche du savoir après tant d’années de souffrance des parents pour payer les frais de scolarité. Quand on arrive à l’université c’est chercher d’abord à étudier pour en sortir après avec un savoir être et un savoir faire, le tout matérialisé par un parchemin qui vous conduira vers le chemin du professionnalisme. Vous êtes des dirigeants en herbe de demain, les bâtisseurs, les modèles par rapport à ceux qui n’ont pas eu la chance d’aller à l’école ou d’atteindre votre niveau. Vous êtes les hommes de demain de notre administration futuriste car vous l’avez exprimé les 30 et 31 octobre 2014 et tout récemment le mois de septembre 2015,de par votre bravoure et votre soif du changement pour le développement d’un BURKINA où il doit faire bon vivre.
    Si tout ca vous avez fait pour l’amélioration de votre condition tant maintenant que pour vos petits frères qui viendront, pourquoi se permettre de poser des actes de vandalisme alors. On a dit plus rien ne sera comme avant càd que les comportements qui ne permettent pas de construire le pays doivent être abandonnés au profit de ceux qui peuvent nous faire avancer. Je suis tout de même étonné par vos comportements qui ne s’inscrivent pas dans la logique de l’insurrection populaire des 30 et 31 octobre 2014.Au moment ou le pays a frôlé de justesse le chaos, vous vous permettez de poser des actes anti citoyens. Votre rentée était hypothéquée si la situation ne s’était pas vite normalisée.
    Le report de la rentrée par les autorités du pays était pour mettre tout le monde scolaire à l’abri de tout danger qui pouvait surgir on ne sait où. Et il est de la responsabilité de l’ Etat de prendre des dispositions sécuritaires dans ce sens en fermant les cités universitaires. Si d’aventure le DG du CENOU ouvrait les cités et qu’il y avait une attaque terroriste ou des prises d’otage qui en serait responsable. La situation était telle que le DG du CENOU ne pouvait pas jouer à ce jeu.Une situation trouble ouu personne ne maitrisait la situation.Combien de jour on demandé aux travailleurs de rster à la maison pour une question de sécurité,et vous voulez qu’on vous livre à l’abattoir ;ce serait irresponsable de la part de l’Etat. Vous seriez beaucoup plus en sécurité à la maison que dans les cités car on parlait d’une complicité avec les djihadistes qui leur mode opératoire était la prise d’otages pour arriver à leur fin.
    Si vos devanciers comme nous avaient cassé les cités, je ne pense pas que vous viendrez trouver des cités universitaires. Ces comportements que vous avez adopté sont des comportements à bannir. Ce n’est pas du tout responsable de votre part. Et pour que cela ne se répète plus jamais, il faut que les autorités mènent des enquêtes approfondies en vue d’extirper les mauvaises graines du bon et les sanctionner. On a vu en COTE- D’ IVOIRE ou sous la crise, les cités étaient devenues du n’importe quoi où les étudiants se livraient à des tueries avec des armes blanches qu’ils avaient dans les dortoirs. L’Etat doit prendre des dispositions pour règlementer l’accès des cités aux étudiants en fixant des conditions très claires.

  • Le 19 octobre 2015 à 15:20 En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Rien ne peut justifier l’acte posé par vous Etudiants ! Ni l’état de Nécessité ni la Légitime défense ni la contrainte ! Je condamne avec fermeté cette attitude ! Les bris et effractions résultants de votre besoin à occuper irrégulièrement les chambres constituent une infraction gravissime.

  • Le 19 octobre 2015 à 15:40, par Lio En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Il ya des gens qui n’arrivent toujours pas à tirer des léçons de certaines circonstances passées. C’est à dire si vous faites quelque chose que la mojorité dit que c’est pas ça d’arrêter, arrêter. La perserverance dans une erreur finie toujours mal. On vous a dit que vous vous êtes mal comportés, l’acte que vous avez posé n’est pas ça. Vous voulez utiliser la force, le peuple n’a plus besoin des personnes de ce genre au BF. Personne n’est contre vous, c’est l’acte que vous avez posé qui n’est pas bon. C’est pas en repétant les écrits qui empechera les gens à vous dire la vérité. Il n’ya pas quelqu’un au burkina qui n’a pas eu son programme bouleveser suite ce putch.

  • Le 19 octobre 2015 à 16:08, par TOMO En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    je suis sur que si le DG ne voulait pas discuter c’est que les conditions d’un bon dialogue n’était pas réuni. En effet dans la plus part des cas on assiste plutôt à des prises d’otages des administrateurs avec exigence de satisfaire aux doléances ici et maintenant. En plus comme le ministre l’a dit les étudiants sont des citoyens comme les autres, et ils doivent comprendre que le pays vient de loin. Rien n’excuse ce genre de comportement ; la question que je me pose est ce réellement des étudiants qui l’on fait ? Lorsque vous parlez de 5 jours avants les cités doivent être ouvertes normalement vous avez un document qui le dit , je ne crois pas .

  • Le 19 octobre 2015 à 17:20, par LEE En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    c’est déplorable. Voici des gens qui sont logés à 1500f/mois, nourris à 100f le ticket, inscrits à 15000f, perçoivent près de 175.000f comme FONER,qui se permettent de se comporter en délinquants, voyous et gangsters. des gens qui réclament justice pour les autres et l’injustice pour eux. plus rien ne sera comme avant. Etudiants vous allez répondre devant la loi sur toute sa rigueur et sanctionner. plus de cités au Burkina. plus de cars de transport. il faut même revoir les conditions d’accès dans les cités et les universités publiques. Ces gens vivent impunément de nos cotisations et ne sont pas les plus méritants. tchrrrrrr on est fatigué !!!!!

  • Le 19 octobre 2015 à 17:28, par lass En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    A Monsieur Ko,
    Il faudrait comprendre français avant d’écrire un article !!!

  • Le 19 octobre 2015 à 18:34 En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    cela fait maintenant 15 ans que j’ai quitté le campus. je soutient et comprend très bien la réaction des étudiants. quand on dit que rien ne sera comme avant c’est ça. le peuple ne veut plus des dirigeants zélés. SVP un peu de bon sens, en lisant les écrits précédents on constate que les gens jugent plus l’acte des étudiants que les comportements qui ont été à l’origine de l’acte. pour quelle raison valable le DG du cenou va laisser les étudiants dormir à la belle Etoile tandis que les chambres sont disponible ? s’ils n’avaient pas pris leur responsabilité qui allait les aider puisse qu’il était déjà 16h, face à un DG qui refuse de dialoguer. le DG peut t- il accepter que ces enfants dorment dehors à des centaines de kilomètre de lui dans des conditions misérables et d’insécurité ? bien sur que non. alors soyons indulgent avec les enfant des autres. le cenou est là pour accompagner socialement les étudiants. à défaut de leur donner les chambres, il devait discuter avec eux pour trouver une solution acceptable. et non de les jeter à la pâture.

  • Le 19 octobre 2015 à 21:09, par patriote2000 En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Chers étudiants, un conseil et un seul : rendez les clés et demandez des excuses (l’amnesty) pendant qu’il est temps. Vous pouvez encore avoir le pardon et la compréhension de tous si vous le voulez. Vous n’êtes pas comme Dienderé car vous n’avez tuez personne. Mais ne persistez pas dans l’erreur comme Blaise. Vous aurez des circonstances atténuantes si vous empruntez la voix de la sagesse. si tu refuse "faut faire pardon" c’est " bonne guérison" que tu acceptera. Alors, à bon entendeur...

  • Le 19 octobre 2015 à 21:13, par Un passager En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Tous ceux qui jugent négativement les étudiants dans cette affaires sont des hypocrites !!!

  • Le 19 octobre 2015 à 23:16, par Kitty En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Presses de rejoindre les cites comme s’ils allaient bosser meme ! Que de vandales. Vous n’avez pas des sous pour vous loger en ville mais les maquis ca vous connait, les gos ca vous connait. Vous n’avez pas honte ? Vous vous n’avez jamais tort.
    kaarissaaa. Degoute de vous.

  • Le 25 octobre 2015 à 10:53 En réponse à : Situation dans les cités universitaires : Il faudrait connaitre le problème avant de juger les étudiants.

    Je suis étonné de constater que lorsque les étudiants arrivent à l’université, subitement ils n’ont plus de logement, ils ne savent plus où manger, etc. Ils ne peuvent se loger que dans les cités universitaires et ne manger que dans les restaurants universitaires. Ils se comportent comme s’ils étaient nés sous des arbres, sans logement, sans nourriture, attendant tout du peuple burkinabè. Pourtant du CP1 jusqu’en Terminale, ils étaient logés et ils mangeaient. Bref, ils avaient des parents. A l’université ils n’ont plus personne et le recours unique reste le CENOU (cité et restaurant). La manière dont ces étudiants se sont comportés, il y a des étudiants très sérieux et consciencieux, relève de la délinquance. S’ils ne sont pas sanctionnés, ils ne sont pas nombreux, ils risquent d’influencer négativement les autres et nos universités deviendrons des espaces de non droit. Si ce "coup d’état" marche, après viendront les tours des chefs de départements, des directeurs d’UFRs, des présidents d’universités, et ils finiront par les enseignants.

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