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Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

Publié le dimanche 18 octobre 2015 à 07h58min

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                           Tribunal militaire et  Amitié Ivoiro-Burkinabè

Le Directeur du Tribunal militaire de Ouagadougou, le Colonel Sita Sangaré vient de rendre publique une nouvelle renversante du bon sens, du sens de l’amitié et de la réserve diplomatique lorsqu’il s’agit d’une autorité du seul pays avec lequel le Burkina Faso a signé un Traité d’amitié et de Coopération. Il s’agit de la perquisition du soi-disant « domicile privé » du Très Honorable Guillaume Soro Kigbafori, deuxième personnalité de l’Etat ivoirien, fils adoptif du Burkina Faso. Une fierté ! Ce zèle désobligeant des Officiers de Police judiciaire pose la question juridique du concept de domicile privé. Le Président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire ne possède pas de domicile privé à Ouagadougou.

Cette façon peu diplomatique d’enfreindre aux droits et libertés de nos amis, du plus petit au plus illustre, est terrible en plus d’imposer au Tribunal militaire, la charge de la preuve que la dite villa est le « domicile privé » de ce grand ami du Burkina Faso, le Président Guillaume Soro Kigbafori. Puisque cette preuve n’existe pas, l’Etat burkinabè risque d’être poursuivi et de bien vouloir classer, pour inexistence de preuve, sans suite cette histoire digne d’un cabale. La Cour de justice de la CEDEAO nous a déjà servi le droit. Et auquel cas, les contorsions locutoires en excuses plates seront avancées. Or l’honorabilité des autorités étrangères sur la terre libre du Burkina Faso incombe aux autorités de notre pays lors même qu’elles ne sont pas élues puisque, seulement en place pour l’expédition des affaires courantes. Il ne leur revient pas de déconstruire les liens forts d’amitié et de coopération entre les deux pays, subsumés par le Traité de 2008, préparé et voté par les représentations nationales des deux pays souverains. Va-t-on de façon cavalière vendanger nos bonnes relations pour des logiques non consistantes de soupçon ? Démanteler au marteau nos relations avec la Côte d’Ivoire pour des raisons de liens privés entre des citoyens des deux pays ? Doit-on renier nos fréquentations au motif qu’elles sont dans des difficultés ? Le sous Colonel Zida va-t-il renier sa fraternité avec le Président Guillaume Soro Kigbafori pour de futiles et dérisoires calculs politiques de velléité de prolongation de bail ? La rumeur parle de coup de fil. Si l’on fouille les mêmes relevés électroniques, l’on trouvera peut-être les mêmes preuves contre le même Premier ministre Zida dans ses liens amicaux et fraternels normaux avec le très honorable Guillaume Soro Kigbafori. Et dans tous ce fatras d’incongruités, où est le diplomate des bonnes convenances, Michel Kafando ? Laisse-t-il faire pour donner un avantage plaisantin, fumiste aux amis ivoiriens de l’élu putatif, Monsieur Roch Kaboré ? Je m’interroge. Comment incarner ce faisant, l’intérêt général des Burkinabè ? Le Traité d’Amitié et de Coopération est l’instrument privilégié pour connaître des difficultés, si elles existent, entre les deux parties.

I. Apaiser les tensions inutiles

Il faut apaiser les tensions. Les fréquentations entre les citoyens et les autorités des deux pays sont légion. Si désormais elles sont interdites, que l’on l’inscrive dans le nouveau projet constitutionnel de Monsieur Sy Cheriff. De la sorte, le Premier Ministre Zida, ne pourra pas se prévaloir de cette amitié lorsqu’il sera en campagne électorale en 2020 pour le fauteuil présidentiel. Le candidat Roch Kaboré a des soutiens au sein du parti présidentiel ivoirien. Va-t-il les vidanger pour mieux jouer les replis nombrilistes et irresponsables ? Je ne le pense pas. Les liens humains entre les Ivoiriens et les Burkinabè sont indépassables. Les contrats politiques appelés mandats, sont au service des passerelles à construire pour mieux s’occuper des préoccupations des citoyens des deux pays. La seule réalité de ces intérêts stratégiques suffit pour savoir ce que c’est que le jugement d’opportunité que le bon sens présentifie à la claire conscience des dirigeants et des juges, fussent-ils militaires. La sérénité et la pondération doivent prévaloir au regard des enjeux. Peut-il y avoir une indifférence et non interférence dans le sort de l’un du binôme ?
Les président Laurent Gbagbo de Côte d’Ivoire et Michel Kafando de la Transition burkinabè ont été des exilés soit au Burkian Faso soit en Côte d’Ivoire. La liste est longue pour ruiner l’indifférence et la non inférence entre les enfants de ces deux pays, hier, même pays, aujourd’hui souverains distincts et en quête de consolider l’Amitié et la Coopération au moyen d’un Traité unique et historique. Lorsque le Président de la Transition, Monsieur Michel Kafando était pourchassé par le Président Thomas Sankara, où s’est-il enfui pour protéger sa vie ? Les Ivoiriens lui ont offert l’amitié et la protection de sa vie, parce que toute vie est sacrée. Comment alors, sous le magistère du même exilé d’hier, l’on manque de sagesse au point de jouer la provocation parce que le Président Blaise Compaoré est en exil en Côte d’Ivoire ? Quant au Président Maurice Yaméogo, il a trouvé asile en Côte d’Ivoire à sa sortie de prison auprès de son ami, le Président Houphouët-Boigny. Alors, quel est ce gouvernement burkinabè responsable, surtout qu’il est en place juste pour l’expédition des affaires courantes, qui prendre le risque de compromettre dangereusement les relations si denses entre nos deux pays, pour contenter les versatiles intérêts et sectaires attitudes de la seule société politique burkinabè ? Le peuple est au-dessus de la société politique. Les gens de mon pays peuvent-ils incommoder la quiétude des millions de nos compatriotes, une force économique formidable pour nos deux pays, sacrifier nos intérêts stratégiques, saboter le dialogue fraternel entre nos dirigeants, renoncer aux facilités énergétiques et consulaires, tourner le dos aux grands projets intégrateurs comme l’autoroute Yamoussoukro –Ouagadougou dont les travaux n’ont pas commencé en raison de l’instabilité politique du Burkina Faso, rendant ainsi caducs parce que hors délai, les financements de 3000 milliards obtenus ?

II. Sortir du Cycle générationnel de désespérance depuis 1984

J’ai toujours constaté dans mes écrits que la violence politique et les assassinats politiques sont intervenus au Burkina Faso avec l’avènement de la génération du capitaine Sankara. L’intègre Général Sangoulé Lamizana n’a ôté la vie à personne pour des motifs politiques. Il en fut de même avec le patriote Colonel, le Colonel Saye Zerbo. Les évènements d’Octobre, doublement, et ceux attribués au Général Diendéré, montrent que les gens de cette génération sont dans des logiques de revanchisme, de renversement d’alliances factices, des logiques liberticides et mortelles. Il faut en sortir, en les renvoyant eux tous aux champs. Sinon nous tournerons en rond dans le cycle de désespérance. Le chef de leur écurie courant, le Président Blaise Compaoré est parti pour éviter d’accentuer les fractures. Il a été sage. Il revient au peuple souverain de mettre fin aux ambitions vindicatives des reliques humaines de cette génération, cryto-marxiste, violente, adepte de la rhétorique vaine mais convenue et dans des machiavélismes contre la tolérance, la liberté et la république. Aujourd’hui, les mêmes malveillants et malfaisants se sont munis d’une épée de Damoclès au-dessus des relations de bon voisinage et de fraternité solidaire avec certains Etats.
Du Coup d’Etat de Thomas Sankara avec ses exécutions sommaires au Coup d’Etat du Général Diendéré, avec des victimes civiles, c’est le déploiement du même cycle commencé en 1984, le cycle de larmes, de veuves (Mariam Sankara n’est pas la seule) et turpitudes morales. Aucun Burkinabè ne doit perdre la vie pour des raisons politiques. Les veuves, les orphelins, les ayant-droits, les confiscations de liberté, les destins brisés, des droits syndicaux interdits sous le CNR à leur pleine restauration par la IVè République, il est grand temps, de penser, de recourir à la réconciliation que nos traditions africaines accommodantes de droit pour préserver le vivre ensemble savent administrer. Le Mogh Naaba, après avoir consulté les Chefs Sanan, suzeraineté oblige, a invité chaque citoyen burkinabè au sens de l’humilité pour apaiser les tensions, incarne, de ce fait, ce pardon suivant nos coutumes. Le préaccord obtenu par les Médiateurs de la CEDEAO est la concrétisation du rôle positif que nos us et coutumes arbitrales africaines authentiques savent construire sans rupture avec l’intérêt de paix et de cohésion sociale. Le Prix Nobel de la paix vient d’être décerné au quartet tunisien. C’est la célébration du processus dialogual entre des citoyens libres dans un pays en quête de repère politique. Burkinabè, nous sommes interpellés. Nous entendrons cet appel si nous sortons de nos logiques idéologiques abstraites et de nos luttes dérisoires pour le « saint graal », le fauteuil présidentiel. Seul le grand Cardinal Paul Zoungrana pouvait incarner cet appel. Il manque même aux laïques comme moi. Aujourd’hui, nous ne disposons plus, hélas, d’une aussi exceptionnelle autorité morale. Que faire des siamois du Cardinal Agré de Côte d’Ivoire qui encombrent les espaces médiatiques burkinabè ? Rien. Or le dialogue tunisien nous en impose. C’est la seule passerelle, l’unique voie vers la paix et ce, dans l’acceptation de tous, d’un processus politique inclusif et donc incontestable pour une Constituante et un Président de transition élu par les élus du peuple souverain. Aucun autre agenda n’est porteur d’espérance et de chance pour notre pays et ses enfants. Les Burkinabè ont leur destin scellé comme l’est celui des deux pays frères. J’en appelle au sens de responsabilités de nos autorités pour nous éviter d’affreuses déchirures. Il est bon de mettre au congélateur les multiples contentieux des gens de cette génération politique dont la soif de pouvoir est le seul motif de toutes ces manipulations malveillantes et criminelles. Il faut prolonger la Transition et construire la paix des braves, la réconciliation tous azimuts. Les élections de novembre ne résoudront rien tandis que la distanciation économico-politique est cultivée par les haineux entre nous et nos amis et frères de Côte d’Ivoire. Le Burkina Faso et la Côte d’Ivoire sont pourtant liés par un Traité d’Amitié et de Coopération depuis 2008. Ce Traité est le Special One du genre dans la sous-région ouest-africaine. La Côte d’Ivoire rechigne à en signer d’autres quand bien même beaucoup de pays frappent à sa porte. C’est dire le caractère distinct de ce lien dense (humain, historique, économique, socio-politique) en raison du fait historique. Puisque les deux pays n’en faisaient qu’un seul jusqu’en 1947. Ce n’est pas sans fidélité à ce lien riche et fort que le Président Houphouët-Boigny proposa la double nationalité en 1966 aux citoyens des deux pays. De la sorte, toute advenue événementielle d’envergure au Burkina Faso trouve son écho sur les bords de la lagune Ebrié et inversement. Les peuples et les amitiés séculaires en témoignent des binationaux probablement qui se comptent en millions, aussi.

III. L’élimination de la haine par la haine est vaine

Cette normalité pour ainsi dire émotionnelle entre les fils et filles de ces deux pays semble mise à rude épreuve depuis l’orchestration du soulèvement d’octobre 2014. L’accueil des persécutés ivoiriens par la politique odieuse de l’Ivoirité et qui ont trouvé refuge au Burkina Faso pour protéger leur vie, a laissé des attaches fortes. Mais pour autant, le Président Laurent Gbagbo, ancien exilé lui-même au Burkina Faso, malgré son penchant pour les enfarinades, n’a pas mené une politique désinvolte, désobligeante et ruineuse de la qualité exceptionnelle du lien, de la texture sociologique ivoiro-burkinabè. Même lorsque la foule instrumentalisée pilla la résidence abidjanaise de l’ex Première Dame, Madame Chantal Compaoré, les Président Blaise Compaoré et Laurent Gbagbo ont observé beaucoup de lucidité, de responsabilité et d’engagement constructif pour préserver ces liens séculaires, avantageusement préservés au profit de l’intérêt de paix, d’amitié et de coopération entre nos deux peuples, nos deux économies et des projets intégrateurs. Et pourtant, ces insurgés et exilés ivoiriens contre l’ivoirité ségrégationniste étaient au Burkina Faso pendant des années. Il s’ensuit qu’entre ces deux pays, le même d’hier et peut-être, le même demain, il subsiste une tradition d’octroi de protection, de gîte pour les persécutés de l’un et de l’autre, suivant les vicissitudes de l’histoire vécue. Seule cette tradition d’empathie, de compassion ruine le cycle de la haine. La haine ne vainc jamais la haine tandis que ceux qui pratiquent la vengeance contre l’amitié de nos frères ont le rendez-vous cyclique avec la vengeance. Il faut en sortir. Les ténèbres à midi le sont pour tous, surtout pour les plus faibles. Ceux qui agissent donc en ce moment avec mépris de cette lumineuse tradition pour soi –disant magnifier la justice revancharde, la culture de la détestation d’autrui, de son prochain, prennent le risque de se renier eux-mêmes, implorant la compassion, de se précipiter un jour, à leur tour en Côte d’Ivoire, le même pays de l’hospitalité, le pays de la vraie fraternité et du partage de richesse avec son ami, le Burkina Faso. Cette fraternité de sang, de destin et de sauvegarde du caractère sacré de la vie de tous, la Côte d’Ivoire a toujours su la procurer à tous les Burkinabè, des grands en difficultés aux petites gens venant de Koudougou (BF) pour s’établir à Koudougou (CI). Partout ils sont chez eux. Et les panafricanistes s’en félicitent. Il faut se garder de séduire la multitude burkinabè par la manipulation judiciarisée pour des motifs de victoire politique sans lendemain.

Mamadou Djibo, Ph.D
Philosophy

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Vos commentaires

  • Le 18 octobre 2015 à 08:29, par hermannotherapie En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    J’avais commencé à vous lire mais je trouve que vous êtes un malhonnête intellectuel. Ce n’est pas la peine de perdre du temps avec des individus qui mettent leur intelligence au service d’une bassesse inqualifiable

  • Le 18 octobre 2015 à 08:31, par jacob En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Chacun sassoit sur ses fesses pourries et cause au hasard... Calme toi pistolerot. Attends d’en connaître les détails avant d’ouvrir ta langue fourchue. Pitie. Va percevoir ta pitence auprès de ton petit maître. ...on attend aussi com d’habitude ton coéquipier yamsi...

  • Le 18 octobre 2015 à 08:37, par Papa En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Mr le foulosophe , si c’etait a refaire je souhaiterai que l’equipe de la police judiciaire le refasse. La securite’ du peuple Burkinabe depasse la personne de Guillaume Soro fut-il president le l’assemble’ nationale de Cote-d’ivoire. Guillaume Soro n’est pas la seule haute personnalite’ en Afrique de l’ouest, s’il se mele des affaires interieur de notre pays alors il doit assumer son humiliation .

  • Le 18 octobre 2015 à 08:39 En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Quel est le problème de monsieur Djibo ? Vous étiez où quand les autorités ivoiriennes accusaient le burkina de déstabilisation ?Qu’avez-vous dit à l’époque ? ça c’est moins grave qu’une perquisition lors d’une enquête ? Monsieur si vous n’avez rien à dire taisez-vous. Vous cherchez à dresser les ivoiriens contre les burkinabé mais c’est raté. Le peuple ivoirien est lucide et souhaiterait peut-être cette perquisition qui pourrait blanchir Soro et consolider les relations entre les deux pays.S’il faut même que la justice perquisitionne chez le premier ministre ou chez le président du Faso ... pour tirer au clair cette affaire elle le fera. Souhaitez-vous que l’on taise la vérité, bâcle la justice pour quelque motif que ce soit ?Moi je suis convaincu que cette perquisition va renforcer les relations entre nos deux pays.

  • Le 18 octobre 2015 à 08:40, par KKP En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Laissez toute cette littérature !!! Si SORO est pour quelque chose dans ce coup d’Etat manqué, il le paiera. Attendez qu’il ait besoin d’avocat !!!!

  • Le 18 octobre 2015 à 08:41, par Titan En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Inutile de lire en entier. L’amitié ne signifie pas carte blanche, il faut pouvoir dire la vérité à l’ami quand il a fauté. Pourquoi ce même Soro est convoqué en France pour répondre à une affaire judiciaire ? Cela va t-il enfreindre aux relations franco-ivoiriennes ?

  • Le 18 octobre 2015 à 08:42, par Oeil de linx En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Très bien parlé, ou écrit mon cher compatriote. J’aime, suis d’accord et soutiens.Tout est vrai et ton courage sauve la peur et le silence de millions de Burkinabè terrorisés qui se cachent et se taisent. Ou va- t on et de quoi demain sera fait au sortir de cette transition chaotique et instrumentalisée ? Ressaisissons-nous tous pour sauver ce qui peut l’être encore.

  • Le 18 octobre 2015 à 08:44, par Silent fighter En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Chers internautes, la meilleure des répliques à cette réflexion est de la laisser à son auteur et à son auteur seul. Je souhaite que personne ne lui réponde. Ce serait la plus belle manière de lui faire mal. Vivement que je sois le seul à avoir réagi à ce poste. Si le traité d’amitié consiste à souhaiter que des djihadistes tuent des Burkinabe, que meurt ce traité !! absolument !!!!

  • Le 18 octobre 2015 à 08:45, par sergy En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Mr Djibo,Soro n’a jamais été et ne sera jamais un grand ami du Burkina(le peuple Burkinabé ne pactisant jamais avec le diable). Soro est et restera un grand ami du clan Compaoré, ce qui justifie son soutien indéfectible au putch le plus bête du monde.Tu propages à souhait ce mensonge pour soutenir tes ablasseries mais sache qu’ici au Faso,tirer à boulet rouge sur la transition ne peut plus émouvoir quelqu’un car c’est dans la sérénité que nous attendons la date du 29 novembre.

  • Le 18 octobre 2015 à 08:48, par Wennonga Tounsba En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Drôle d’opinion belliqueuse et inopportune. La douleur d’une plaie béante est valable même chez votre prochain. Sachez donc contenir vos douleurs ou compatir à la douleur des autres. Difficile de vous lire jusqu’au bout, tellement vous êtes sur la défensive à telle enseigne que vous semblez avoir perdu toute logique dans votre offensive. Bon courage. Le Faso d’abord !

  • Le 18 octobre 2015 à 08:49, par vérité no1 En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    C’est pas possible ! Mr Djibo, vous êtes un philosophe et non un juriste, alors laissez la justice faire son travail ! Je suis un spécialiste en économie monétaire et je ne peux pas maîtriser les rouages du journalisme par exemple !

  • Le 18 octobre 2015 à 08:54, par eliane En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    ""Aucun Burkinabé ne doit perdre la vie pour des raisons politiques.""
    ""Il est bon de mettre au congélateur les multiples contentieux des gens de cette génération politique dont la soif de pouvoir est le seul motif de toutes ces manipulations malveillantes et criminelles. Il faut prolonger la Transition et construire la paix des braves, la réconciliation tous azimuts""" Bravo Djibo pour cet écrit venant du plus profond de ton cœur que Dieu et les mânes des Ancêtres t’entendent et continuent de soutenir notre pays j’en ai la certitude qu’ils le feront ;

  • Le 18 octobre 2015 à 08:55, par Togs-sida En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Pour eviter toute confusion : pourriez-vous afficher la photo de l’auteur de l’article en lieu et place de la photo du Colonel SANGARE. Merci.

  • Le 18 octobre 2015 à 09:02, par vérité no1 En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    @Djibo, avez vous lu la conversation entre Djibril et Soro ? Si oui, vous êtes malhonnête ! Si non, vous êtes également malhonnête pour avoir fait semblant ! Djibril demandait 2 milliards pour motiver les putchistes et Soro a donné son accord et il exigeait qu’on l’amène Mr Sy pour une correction (Webmaster, vous pouvez vérifier online). On est où là !

  • Le 18 octobre 2015 à 09:09, par hamavo En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Je suis parfaitement d’accord avec vous pour bonne partie de votre écrit.
    parcontre, s’agissant du départ de Blaise Compaoré, çà n’a pas été une sagesse de sa part.
    son plan initialement mis en place a échoué ( grace divine pour le faso). si non vous n’auriez pas la langue de bois aujourd’hui.
    C’est la mobilisation du peuple qui a obligé Blaise compaoré à fouire (partir sur la pointe des pieds en plein midi).
    Donc n’attribuons pas une sagesse à quelqu’un qui a eu la chance de démontrer une sagesse pendant 27 ans et qui ne l’a pas pu. N’EST PAS SAGE QUI VEUT.

  • Le 18 octobre 2015 à 09:30, par vérité no1 En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Mr Djibo, l’amitié est comme l’océan et ses marées ! Les vagues sont plus ou moins hautes, fortes, destructrices, enrichissantes, surprenantes ; et elles partent, se retirent tout en devenant calmes et tranquilles. Notre erreur est qu’on a ignoré la complexité et la complicité de cette amitié dont vous mentionnez !

  • Le 18 octobre 2015 à 09:39, par Will En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Rien a dire, je valide

  • Le 18 octobre 2015 à 09:44, par anas En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Bonjour M. Djibo. J ’apprécie votre écrit pour sa beauté syntaxique et sa richesse stylistique. j ’ose parier que celui-là pourrait être étoffé au panneau des essais contemporains eu égard à ses atouts sus mentionnés. Mais M. Djibo en terme d ’analyse critique votre texte, excusez moi du terme, bave deffectueusement. A vous comprendre, vous proposez le sacrifice de la stabilité sociopolitique du Burkina sur l’hotel de l ’accord d ’amitié et de coopération signé avec ADO et sa hordes chimérique de politiciens arrivistes. Répondez nous pourquoi les autorités ivoiriennes feingnirent de ne pas compatir à notre situation, ne serait ce qu ’en diffusant l ’événement sur la RTI au moins une seule fois, au moment où nous vivions severement la diedérose ? Pourquoi ADO lui même n ’a pas deigné vernir assister à la réinstauration des autorités et des organes de la transition ? vous prétendez que blaise a voulu eviter le caos pour le pays en s ’exilant en rci. sans tordre votre penchant latent envers cet homme fort à la prétention pharaonique, laissez moi une fois de plus vous poser cette question : pourquoi ce même homme s ’est morfondu sur les anteines de BBC en estimant qu ’il a été trahi par certains de ses hommes qui n ’ont pas mis en pratique le dispositif machiavélique et suicidaire qu ’il voulait administrer au peuple : c ’est l ’histoire de satan qui s ’est fait trahir par ses valets. vous pretendez qu ’au nom de l ’amitié le feu président F.H.B. avait proposé la double nationalité à ceux qui le désiraient. dupérie quand tu nous tiens ! vous ne réalisez pas un seul instant que le Vieux prévalait l ’ intérêt de sa nation plus que tout autre ! "ne raisonnez vous donc pass ?" A bien vous lire votre philosophie (puisque c ’est le titre que vous vous accolez à la fin de votre pamphlet hurluberluque) souffre de myopie d ’objectvité.
    Sana, un anonyme Apprati philosophe et Conseiller

  • Le 18 octobre 2015 à 09:52, par naba En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Mon chère Mamadou DJIBO vous êtes vraiment de la vieille école . Bon francais et bon raisonnement d’une autre époque .
    Aujourd’hui les temps ont changé , les burkinabé ont décidé que "plus rien ne sera comme avant". Votre "très cher honarable "( Ca n’engage que vous) n’est pas au dessus de la loi. Qu’on laisse la justice faire sont travail. S’il s’avère qu’il est innocent , il en sortira blanchit. Votre écrit ne lui rend vraiment pas service. Aucune personne ne doit se cacher sous le couvert d’une quelconque uminité pour soustraire à une action de justice. Surtout que son nom est cité à titre personnelle et non au nom de l’institution qu’il représente . Son nom à été cité en France dans une histoire de servante. On l’a rappeler à l’ordre : en France il y a des règles , et tous doivent les respecter du citoyen lamda au "très honarable " .
    j’ai confiance en l’avenir et tout fini par se savoir. Ce n’est qu’une question de temps. M SORO Soyez sans crainte si vous n’aviez rien à vous reprocher. Le Burkinabé est intègre et saura toujours débusquer ses ennemis . Je sais aussi qu’à un moment donné vous aviez dit préférer Blaise à Sankara . Bientôt on saura la vérité .
    Plus rien ne sera comme avant.

  • Le 18 octobre 2015 à 10:26, par Joe En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Si dans le cadre d’une instruction judiciaire, la perquisition d’un domicile quelque soit le propriétaire est nécessaire pour la vérité, je pense qu’il le faut. Cela n’entrave en rien au relations diplomatiques des pays dans un état de droit. Si non on aura jamais une justice équitable. La Justice à mon niveau de doit pas regardé le type de personne ou la nationalité pour faire son travail. Sinon, elle sera partisane. Ce n’est pas parce que quelqu’un est un président ou un ministre qu’il ne faut perquisitionner son domicile s’il y’a des soupçons a son niveau. C’est l’occasion pour le BURKINA FASO de donner une fois de plus un exemple de démocratie à l’opinion nationale et internationale. Courage et bon vent à la justice burkinabè !

  • Le 18 octobre 2015 à 10:27, par albert En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Monsieur
    En Quoi Guillaume Soro est il un ami du Burkina.? Si les enqueteurs ont des indices Quoi de plus normal que de perquisitionner cette Maison ?
    Arreter Donc de raconter des histoires sans tete ni queue, l’ aimitie n’ exclut pas la recherché de la verite. Que savez vous au juste des indices ayant conduit les enqueteurs a effectuer la perquisition ?
    ne parlez pas de ce que vous ne savez pas.

  • Le 18 octobre 2015 à 10:29, par AKB En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Mon frere, je respecte votre point de vue mais sachons ko nom du traite d’amitie, la cote divoir ne doit participer a
    destabiliser le pays des hommes integres dautant plus kil ya des elements de preuve. Oubien vs voulez insinuer q nos enqueteurs n st pa competents ? Oubien vs voulez dir pr cause de securite nationale les services competents n peuvent investiguer sur une personne suspecte ? Je respecte le traite d’amitie mais avant tt jaim mon bo pays

  • Le 18 octobre 2015 à 10:37 En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    "Du Coup d’Etat de Thomas Sankara avec ses exécutions sommaires au Coup d’État du Général Diendéré,". Thomas Sankara n’a jamais été auteur de coup d’état. il avait son aura de persuasion que des opportunistes de tout bord ont exploité ; il a d’abord refusé cette exploitation en Novembre 1982, mais n’a pu le faire en 1983. Dans son témoignage en 2007, Valère SOMME dira que Blaise Compaoré a repris son pouvoir le 15 octobre 1987. au cours des visites des sites historiques de la révolution, Blaise a fait visité un bureau en préfabriqué situé alors a Po dans lequel, lui et ses complices ont peaufiné l’intervention de 1983. Thomas SANKARA n’y figurait. l’histoire retient que nul n’a pu influencer impunément Blaise Compaoré COMPAORE par le sommet. Buveurs de lait et non compteurs de veaux, tous ceux ont tenté l’exercice de l’influence ont été invités à descendre du navire ou ont été descendus morts ou vivants. ainsi Thomas SANKARA, Lingani, Henri Zongo, oumarou Clément ont été descendu par la mort ; le groupe LIPAD/PAI, Boukari Kaboré, salif DIALLO, Roch Christian KABORE, Simon COMPAORE etc, ont été descendus vivants mais pas des séquelles soit morales soi physiques.

  • Le 18 octobre 2015 à 10:41, par le moderateur En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Comble de l’incohérence, voici un monsieur dont l’écrit est rempli de haine pendant qu’il dit vouloir le combattre. Monsieur le philosophe on éteint pas le feu avec du pétrole, mais j’ose croire à votre sincérité en me disant que ce n’est qu’un problème d’écriture,vous avez sûrement bien pensée mais vous avez mal retranscri votre pensée.
    respectueusement

  • Le 18 octobre 2015 à 10:45 En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Voici le genre d’ "intélos" comme le disait T SANKARA ne nous ramène que le vélour et les superlatifs des adjectifs qu’ils ont appris durant toute leur formation. Sache que le Traité d’Amitié BF-CI est au dessus des individus fussent-ils président de l’assemblée.. Mr Djibo les genres d’intellectuels comme vous faites honte à l’Afrique entière. Toujours assujetti à défendre l’indéfendable pour le bonheur votre tube digestif. Sache que le peuple burkinabè est vigilant et ne se laissera plus embobiner par les sophistes et courtisant de roitelet de votre genre. S’il est avérée que G SORGO est impliqué de quelque manière que ce soit dans la déstabilisation du Burkina, des compte lui serons demandés , il n’est pas au dessus de la loi burkinabè.

  • Le 18 octobre 2015 à 11:09, par Claloy En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    drole de philosophie.J ny comprend pas grande chose.Exprimez vnus en français courant.En voyant le titre j’ai pensé que Sita Sangaré s’adressait à nous pour nous expliquer quelque chose.Mais je me rend compte que non.Franchement je n’ai rien compris dans le texte.

  • Le 18 octobre 2015 à 11:29, par sabloumenko En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Donc pour toi il faut abandonner notre FASO a criminels aussi bien ivoirien comme burkinabe. Jamais djibo. Soro beneficie de la presomption d innocence comme tous les accuses. Pourquoi la police judiciaire n a pas perquisitionne chez mr tout le monde. Prend ta part de gombo chez soro et cherche autre consultation. Ici tu as perdu. Aucune partie n a denonce le TAC, c’est dire que les autorités respectent leurs engagements.le Faso en transition mais respectueux des accords qui le lient et dans linteret du peuple

  • Le 18 octobre 2015 à 11:32, par moussou En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Un mercenaire de la plume pour Soro, Mr. Djibo il faudra vous ressaisir. Voici ce que Koaci.com nous apprend.

    Guillaume Soro et Blaise Compaoré

    © koaci.com – Dimanche 18 Octobre 2015 – Plus d’une centaine de gilets pare balles et des armes de poings auraient été saisis lors de la perquisition du domicile de Guillaume Soro le 8 octobre dernier à Ouagadougou apprend KOACI de sources proches du dossier.

    Selon des fuites d’écoutes téléphoniques qui circulent depuis samedi dans le milieu de la presse du pays, l’ancien chef de la rébellion ivoirienne, très proche de Blaise Compaoré et de Diendéré, se serait proposé de financer la résistance des putschistes du régiment de sécurité présidentielle (Rsp) pour imposer Gilbert Diendéré à la tête du pays et en finir ainsi avec la transition de Kafando.

    Les enquêteurs auraient mis la main sur plusieurs heures de conversations téléphoniques entre Guillaume Soro et Gilbert Dienderé nous confie t’on.

    Devant la presse vendredi à Ouagadougou, le Colonel Sita Sangaré confirmait la perquisition de la résidence de Soro après avoir annoncé, entre autre, des poursuites pour crime contre l’humanité contre Gilbert Dienderé.

    Boa, Ouagadougou

  • Le 18 octobre 2015 à 11:44 En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Ce Mamadou djibo est un écervelé. Le rebelle Guillaume soro qui veut financer des djadistes au Burkina est loin d’être un ami. Nous on s’en fout de la CEDEAO qui a prouvé à maintes reprises qu’elle est inféodée au dictateur Blaise et ses ouailles. Nous irons a la cpi pour le cas soro et ado. Ils y couleront leurs derniers jours inchalla. Toi djibo ta place sera a la MACO.

  • Le 18 octobre 2015 à 11:58, par mninda En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Mr Djibouti si je déplore effectivement les propos peu diplomatiques et peu propices aux bonnes relations entre les deux pays du directeur de la justice militaire ,si je partage en partie votre avis ,sur la nécessité de la retenue dans nos propos etc, il faut aussi dire que les actuels dirigeants de la RCI se font pas l’effort d’avoir un minimum d’égards a l’endroit du peuple burkinabé dont ils refusent de respecter la volonté .Courtoisie pour courtoisie j’aurai aimé que dans votre souci de bien faire,que vous vous prononciez sur le comportement méprisant et empreint de condescendance du président ivoirien vis à vis du BURKINA FASO .L’avez vous entendu sur le BURKINA FASO tout dernièrement ?

  • Le 18 octobre 2015 à 12:01, par kouka ! En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Rien à rajouter ! Tout est bien dit ! Que ce gouvernement d’amateurs organise vite et bien les élections ! C’est sa seule mission !

  • Le 18 octobre 2015 à 12:10, par Nabiga En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Un traité d’amitié et de coopération ne veut pas dire la fin de la justice mon cher Djibo. Ça ne fait pas plaisir de lire une personne qui a un diplôme (PhD) qu’on compte aussi avoir bientot.

  • Le 18 octobre 2015 à 12:14 En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Monsieur Djibo, chapeau bas pour votre sens de lucidité et surtout pour votre courage à l’exprimer ! Tout est vrai, juste et bien dit dans un sens de responsabilité évident et assumé, du premier mot jusqu’à la dernière phrase "Il faut se garder de séduire la multitude burkinabè par la manipulation judiciarisée pour des motifs de victoire politique sans lendemain." ! Et merci pour ce rappel de l’histoire qui nous fait des révélations et d’insister sur les leçons de sagesse de SA MAJESTE, le Mogho NAABA qui devaient en inspirer certains sages, suivez mon regard, à l’esprit et aux actes revanchards malgré leurs responsabilités de conciliateurs !!!
    Mais pouvez-vous nous dire ce que Sankara reprochait à M’ba Michel, jusqu’à ce que ce dernier se réfugie auprès du Président Houphouët-Boigny ? Et a-t-il eu un rôle dans l’assassinat du Président Thomas Sankara quand on se fie aux rumeurs selon lesquelles, le Président Houphouët-Boigny aurait joué un rôle essentiel dans l’assassinat de ce dernier ? Où aurait-il du moins applaudit quand il a été tué ? Et est-ce ceci qui aurait motivé la candidature de M’Ba michel à la présidence de la transition à titre de vengeance contre les reliques du groupe (Blaise Compaoré, Diédieré, RSP et autres) qui l’aurait fait fuir ?
    M’Ba Michel, la roue de l’histoire tourne et peut-être que vous pourrez au moins nous dire quel sentiment avez-vous eu quand vous avez appris la mort de votre percuteur ?

  • Le 18 octobre 2015 à 12:26, par vla En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Du n’importe quoi. Vous les tapis dans l’ombre on vous connait bien. Soro n’est pas au dessus du burkina. Dans n’importe quel pays du monde on perquisitionne et on va perquisitionner meme le domicile privé de ADO.

  • Le 18 octobre 2015 à 12:34, par josé En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Qualifier Guillaume Soro, l’homme qui a le sang de milliers d’ivoirien sur ses mains,
    qui a fait perdre 50 ans de développement à son pays, qualifier celui de très honorable
    ćest faire preuve de provocation et de cynisme. Pour les dignes fils de l’Afrique Soro est
    et demeure un sanguinaire du même genre que Charles Talor. L’heure de rendre des comptes
    viendra. Monsieur Djibo, vous êtes irresponsable.

  • Le 18 octobre 2015 à 12:34, par Rolbi En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Mon cher PHD, vous êtes trop long,
    s il le faut nous irons même perquisitionner le domicile prive de ADO s il en existe. Vos grands discours ne nous apportent rien, nous avons besoin de sécuriser notre pays et éviter que ce qui a été vécu les 16 et 17 septembre ne se reproduise.

  • Le 18 octobre 2015 à 12:35, par Benaocyn En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Ah, bon retour, mon frere et compatriote M. Mamadou Djibo PhD philosophie. Vraiment ravi de vous lire a nouveau, depuis vos theories d’homme indispensable ad vitam aeternam concernant notre ex-president Compaore. Avez vous les dernieres nouvelles de M. Franklin Nyamsy, avocat defenseur inconditionnel de SEM Guillaume Soro ?
    Ceci est juste ’some welcome words’. Je prendrai le temps de bien absorber votre article et revenir a vous sous peu.

  • Le 18 octobre 2015 à 12:37 En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Belle analyse. Mais combien parmi les puissants du moment liront et comprendront ce cris de cœur ? La soif de vengeance des vainqueurs est trop forte pour donner de la change à la réconciliation de prospérer au Burkina.

  • Le 18 octobre 2015 à 12:37, par le croyant En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Bonjour Monsieur le philosophe historien spécialiste en relations internationales ! Sans beaucoup de commentaires au risque de vous manquer de respect, je note que vous êtes plus ami de Guillaume SORO qu’il ne l’est du burkina. SORO est ami à des Burkinabé (indignes d’ailleurs) comme vous par intérêt. Ce que vous êtes ne vous permet peut-être pas de prédire l’avenir et comme cela est possible à tous, je dis qu’il nous précisera les choses.

  • Le 18 octobre 2015 à 12:49, par negus En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Les défenseurs de Sirop sont toujours des brouillards philosophes. Confondre souveraineté nationale et amitié transnationale est indigne et parler inelegamment des autorités de la Transition est une faute lourde pour le philosophe Djibo. Qui ignore que les comzones qui ont exploité mines et cacaoyères durant la rébellion contre Gbagbo ont investi les fruits dans l’immobilier à ouaga 2000 au Burkina Faso ? L’ignorance gargantuesque de notre philosophe car comment dire que Sirop est un enfant adoptif du Burkina Faso ? D’où sort-il ce néologisme contraire au code de nationalité ? Depuis le 31 octobre 2014, le Burkina Faso a cessé d’être l’arrière -cour des blanchisseurs et que le philosophe ne soit pas surpris qu’un changement de régime aussi lointain, des procès en récupération des biens mal acquis ou de sang seront intentés en vue de la récupération tant au Mali qu’au Burkina Faso. Wait and see

  • Le 18 octobre 2015 à 12:53, par Kouda En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    M. Djibo Mamadou, le même bon sens, le sens de l’amitié et la réserve diplomatique voudraient que les autorités ivoiriennes se gardent de cautionner le putsch du général félon et du rsp au Burkina. ADO n’a-t-il pas dit, après le sommet de la cedeao de Dakar, que la cedeao a envoyé les présidents Sall et Boni pour rencontrer "les nouvelles autorités" du Burkina ? De quelles nouvelles autorités parlait-il ?
    Votre réserve diplomatique autorise-t-elle ADO a dire que l’exclusion dans les élections à venir au Burkina Faso ne sera pas acceptable ?
    Cette réserve diplomatique ne voudrait-elle pas que la Côte d’Ivoire interdise son territoire à toutes ces personnes qui y défilaient pour comploter contre la transition au Burkina Faso ?
    Le bon sens et la réserve diplomatique voudraient-ils que le régime Compaoré héberge, arme et aide la rebellion ivoirienne contre le régime de Gbagbo ? Avez-vous condamné cela ?
    Passez à la caisse prendre votre du, mais jamais votre plan ne marchera contre le Burkina Faso. Depuis tout le temps que vous infestez les sites d’informations avec vos écrits de service, avez vous atteint vos objectifs ? NON. Persistez du mauvais côté de l’histoire, vous serez toujours perdant.
    Les Burkinabè savent ce qu’ils veulent et ils s’efforceront toujours de travailler à l’avoir dans la fraternité, l’union, la tolérance des différences, l’amour, l’intégrité, la vérité et la justice.

  • Le 18 octobre 2015 à 12:59 En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Bla bla bla.com !!

  • Le 18 octobre 2015 à 13:58, par empereur En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    j’ai lu avec attention votre article mais je suis désolé. Vous auriez pu tout dire sans prononcer le nom de Roch. Sa candidature n’est pas lié à la transition et c’est sa bonne foi qui l’élève si haut. Il sera président si tel est son destin.
    N’empirez pas la situation s’il vous plait

  • Le 18 octobre 2015 à 14:00, par Zizekou Kpassegnon En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Je ne sais pas si Dr vit sur le meme sol que le peuple ami du Fasso. Cette maison est bel et bien la maison de Mr Soro qui plus est Ivoirien vivant en cote d’ivoire. De ce fait cette maison devient une seconde residence, une residence privee en terre etrangere du Fasso a moins que ce soit vous qui l’hebregez quand il sejourne au Bourkina Fasso. A part ca, le fait est que Soro est peut etre votre ami personnel et non l’ami de tout un peuple a qui il sert une rebellion inutile comme il l’a fait contre son propre pay la cote d’ivoire. On ne fait pas ca a un ami que vous pretendez aimer.
    Pour votre gouverne Mr Djibo, Mr Soro est un home sans coeur ni pour ami ni pour "parents". C’est quelqu’un qui divise pour se faire valoir, pour se positionner assi bien politiquement que financierement au detriment des freres, soeurs, amis, et assossies dans le mal. Nous qui avons subit les affres de l’agissement de Soro Kigbafori en cote d’ivoire attirons votre attention sur le contenu trop tendancieux de votre analyse d’amitie entre le Bourkina et la Cote D’Ivoire, car l’ami concevrait tres mal le fait de donner toit et gite a
    quelqu’un qui a seme mort et desolation dans son propre pay, la Cte d’Ivoire votre tendre et pay frere et ami. 3000 morts "officiellement" qui s’avere trop peu apres les travaux de la CDVR qui donnent 16000 morts que Mr Ouattara, Le Chef de l’etat refuse de publier. Pitie pour le peuple Ivoirien et respect du peuple frere Boukinabe.
    Z. Kpassegnon

  • Le 18 octobre 2015 à 14:05, par Nyansi LeCantiniste En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Petit apatride et mange-mil du genre Nyansi le chômeur et prostitue intellectuel de bas étage, cest ton droit de lécher les sales bottes du prétentieux Soro. Les agissements de Soro n’engagent que lui, et non tout le peuple frère ivoirien. Comme tout bon vendu, on sent que tu n’a d’amour que pour tes intérêts infestés., ressaisis-toi et arrête de jouer au pyromane ! C’est fini pour toi et les gens comme l’intellectuel aux pieds nus, et chômeur de son état en France, Nyansi Franklin le louche physiqu, qui a aussi besoin d’améliorer son acuité visuelle intellectuelle ! Guillaume Soro est un putschiste, et ce qui reste à faire cest de lui envoyer une convocation. Il n’a pas été délégué par l’assemblée nationale ivoirienne pour ses visées subversives, alors ses agissements n’engagent pas l’état ivoirien. Il a tout simplement voulu préparer sa base arrière pour sa prochaine rébellion. C’est fini, cette rébellion n’aura pas lieu où si elle a lieu, ne commencera pas au Burkina. Alors les rêves de Soro sont finis, surtout que Hamed Bagayoko est en bonne position de concurrence, et surtout que le chef de guerre sentant le risque à retiré sa garde et sécurité des mais des hommes de Soro. Cette fois-ci c’est vraiment fini. On attend plus que Diendiere et Djibril vident le sac.

  • Le 18 octobre 2015 à 14:05, par Raogo En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    A Mamadou Djibo, Ph.D
    Troubadour de Soro Guillaume !

    Posté le 17 octobre 2015, par ka
    Sous Blaise, personne n’osera s’approché des villas de Taylor a la Zone du bois n’en parlons pas celle de Soro. L’enrichissement de la clique de Compaoré par les commissions des ventes d’armes sont passé par ces deux hommes qui sont Taylor et Soro. De simple directeur de Cabinet du président Blaise Compaoré en passant par ses ministres, tous se sont enrichi par les 200.000 morts au Liberia sous les balles des armes qui sont passé par le Burkina, ou les 3.000 morts en Côte d’Ivoire. Un jour Soro répondra de ses actes devant les tribunaux.

  • Le 18 octobre 2015 à 14:18 En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    A mi- parcours ed la lecture de l’écrit de M.Djibo, j’ai eu la nosée, et je n’ai plus continé.C’est un torchon de haine, de jalousie, de parti pris, de colère, et plus gave de manque d’intelligence, c’est à dire de manque de sagesse.Comme quoi les titres ronflants ne cachent pas la nudité.

  • Le 18 octobre 2015 à 14:25, par Momo En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Un appel à tous : Écrivez en français facile car le faso.net est destinée à tous. Que de contorsions intellectuelles avec des faussetés historiques tout cela pour justifier une « violation de domicile » ou tenter d’absoudre quelqu’un. Je vous cite : « des grands en difficultés aux petites gens venant de Koudougou (BF) pour s’établir à Koudougou (CI) ». Ces personnes ont été transférées de force sous un régime colonial français d’un Koudougou à un autre créé de toutes pièeces. Elles ont aussi connu les affres des États postcoloniaux jusqu’à l’acte de naturalisation.
    Au fond, il ne serait pas simple de dire qu’il y a une gang qui a instrumentalisé cette amitié à son seul profit : ça chauffe chez toi, viens chez moi en attendant de repartir chez toi par la force si nécessaire puisque je mettrai les moyens à ta dispositions. Le panafricanisme ce n’est le détournement des moyens d’un État au profit des groupe pour construire une internationale de mafieux en Afrique.

  • Le 18 octobre 2015 à 14:36, par yé ! En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Donc si Soro est impliqué dans la destabilisation du pays on doit se taire au nom de l’amitié entre les deux pays ? Djibo, tu t’enfonces si profondement que tu vas finir par faire jaillir du pétrole. Le traité d’amitié lie la Côte d’Ivoire et le Burkina. C’est pas une histoire d’individus.

    Et pour ta gouverne, saches qu’au Burkina, depuis la fuite éhontée de Blaise Compaoré, un chat est un chat. Si Soro est innocent, on s’en excusera. Sinon on lui demandera des comptes. Il est Guillaume Soro. Il n’est pas la Côte d’Ivoire.

  • Le 18 octobre 2015 à 14:36, par Une autre manière de philosopher (raisonner) En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Un écrit qui ne donne aucun message précis. Cela me rappelle l’argumentations avancé par un philosophe burkinabè qui a écrit que "L’arche de Noé est parti de Pilimpikou" ou il disait que l’arche est effectivement parti de Pilimpikou mais Noé ne devait forcement pas être la bas ou quelque chose du genre comme cela. Vous voyez cette façon Docteur d’avoir des tournures ambiguës font que les élèves se désintéressent à la philosophie. Un message adressé à SORO Guillaume ou on le fera savoir que l’amitié entre les deux pays prime sur la redevance obligée qu’il a envers des personnalités du Burkina allait être des plus bénéfiques pour lui, son pays et le nôtre. Amicalement

  • Le 18 octobre 2015 à 14:43, par Le burkinabè En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Mamadou Djibo, vous pouvez tropiner autant que vous voulez, clopiner autant que vous voulez, retourner vos phrases comme vous voulez et vous masturber le cerveau comme vous voulez, vous ne réécrirez pas l’histoire de ce pays et vous n’imposerez pas votre théorie à ces milliers de jeunes qui ont chassé B. Compaoré et G. Diendéré. Vous amalgamez tout sur l’histoire de ce pays. Et même si vos élucubrations étaient vraies, rien n’empêche de juger les crimes commis par B. Compaoré et G. Diendéré. Pourquoi ces deux n’ont pas fait arrêter Sankara pour le juger et révéler ces crimes et exécutions sommaires que vous semblez connaître ? Les faits disent que le 15 octobre, dès le début des tirs, Sankara se rendait les mains levées. Ils ont eu 27 ans pour juger Sankara post-mortem. Ils n’ont pas voulu juger parce que les crimes sous Sankara ont tous été commis par son n°2 de l’époque c’est-à-dire Blaise Compaoré, Diendéré et leurs amis. C’est vrai que quand on est mercenaire, on n’est pas différent d’un esclave et c’est peut-être cela votre seule excuse.

  • Le 18 octobre 2015 à 14:45 En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Mr le philosophe vos titres et diplomes ne vous serviront a rien tant que vous n y mettez pas une goutte de bon sens dans vos propos .Combien de personnalites etrangeres possedent des villas au Burkina et pourquoi n ont ils pas fouille ces villas.On ne badine pas avec la securite du peuple surtout en cettte periode trouble ou vos generaux tenaient coute que coute a reprendre le dessus quelque soit la maniere.Vous aviez suivi comment le tout puissant directeur de la banque mondiale DSK a ete traite aux Etats unis pour une simple affaire de fesse.Au Burkina l interet du peuple vient avant tout .Demain si meme a domicile ou chancellerie de votre Ambassadeur vous organisez et manigancez pour torpiller notre peuple vous nous trouverez sur votre voie lugubre.Nous savons comment et pourquoi nos illustres peres Ouezzin Coulibaly ^Nazi Boni ¨^ Philippe Zinda Kabore^ Thomas Sankara ont ete assassines.Arrettez maintenant votre ziglibiti.La generation nouvelle est nee.

  • Le 18 octobre 2015 à 15:29, par Jeanine Debo En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Trop long !
    Sinon la transition n’a qu’à vite finir sinon elle va nous entraîner dans de nombreux conflits qu’elle même prépare !

  • Le 18 octobre 2015 à 15:37, par Ernest BOUDA En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Mr le modérateur du site
    Je voudrais par ce commentaire porter à votre connaissance mon opinion sur cette publication de Mr Djibo. Je ne le connais pas mais je constate que son écrit n’est pas du tout apaisant surtout en cette période trouble de notre histoire. Soit il l’a fait en connaissance de cause soit il n’est vraiment pas intellectuel. Mettre directement les populations des 2 pays (Burkina et Côte d’Ivoire) en conflits tout simplement parce que la justice a perquisitionné le domicile privé de son président de l’AN relève de ma part machiavélique.
    Est il conscient que 80% de nos 2 populations ne maitrisent pas les rouages de la diplomatie ?
    Et je pense sincèrement que votre site ne devrait pas contribuer à aider ceux qui se trompent à aller dans l’erreur. Je pense qu’il est de votre responsabilité de prendre le temps de lire les écrits et d’en juger le bienfait pour les populations et ne pas voir que l’aspect liberté de la parole.
    J’espère de tout coeur que Mr Djibo a donné son opinion sans arrière pensée

  • Le 18 octobre 2015 à 15:38 En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Amitié Ivoiro-Burkinabé= Guilguan Wuin !!!
    Lui il est président de l’Assemblée de Cote d’Ivoire et il vient se pavaner ici pourquoi ?
    Il n’a qu’à aller travailler !
    Et puis, quand ça ne va pas dans un pays comme cela, chacun doit s’abstenir defaire certaine choses. On peut ne pas être capable de prouver quoi que ce soit mais cela ne veut pas dire qu’il n’y a rien eu. Tout le monde le connait comme rebelle donc qu’il reste chez lui.
    Chacun chez soit fera du bien à tous, car avec les temps qui courent toiut est possible ; il ne faut pas qu’il devienne la cible de mécontants sur nos terres car selon la rumeur, il veut remettre la monnaie d’hiers (ce que Blaise et compagnie ont fait pour lui).

  • Le 18 octobre 2015 à 15:54, par oued En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Il ne faut pas se foutre des gens. Des gens sont présumés complices de ceux qui attenté à la vie de nos frères et vous nous écrivez des balivernes. Un peu de décences morales les soi disant philosophes.

  • Le 18 octobre 2015 à 16:57, par Lui En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Ah bon, donc au nom de l’amitié et de la reserve diplomatique, on doit laisser un president d’assemblée soutenir la preparation d’un coup d’etat contre le Burkina Faso. Ce acte ne merite pas un respect ! Quand on est ami à un pays on codamne un coup d’etat perpetré dans ce pays ! La cote d’ivoire a t-elle condamné le Putsch ? oui ou non ?

  • Le 18 octobre 2015 à 16:59, par emile En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Bonjour,
    A lire votre intervention ou interprétation, je voudrais vous poser ces questions :
    1- les faits de téléphoniques sont ils avérés ?
    2- la dite maison est elle une maison de fonction comme la maison de l’ambassadeur de cote d’Ivoire au Burkina Faso ?
    3- dans un état de droit est t’il permis à une autorité d’un autre pays de posséder des armes et gilets par balle dans sa maison ?
    Si oui pour quoi faire ?
    Si non comment tout cela est arrivé la bas et depuis quand ?
    Quelle est la difference entre une demeure privée et une demeure quelconque ne serait ce que pour un président d’assemblée nationale dans un autre pays.
    L’amitié vaut t’elle plus que le peuple d’un pays ?
    Merci de m’éclairer afin de comprendre votre position

  • Le 18 octobre 2015 à 17:02, par Sidbala En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Monsieur le Philosophe "Mamadou Djibo, Ph.D" garder vos analyses pour vous. Soro a un domicile privé à Ouaga et s’il s’y passe des actes à destabiliser le pays on doit le perquisitionner. Le pire aurait advenu et ce domicile aurait pu simplement brûler.

  • Le 18 octobre 2015 à 17:06, par Ndali En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Je pense que la sécurité de la nation burkinabè est au dessus des traités signés avec n’importe pays soit-il la Côte-d’Ivoire. Que le tribunal militaire fasse son travail pour établir toute la vérité sur cette affaire de putsch et d’atteinte à la sureté de l’Etat. Que les soient disant philosophes continuent de débiter des ablasseries pour satisfaire leur égo ; bien le pays doit avancer.

  • Le 18 octobre 2015 à 17:09 En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Le "sniper" reprend du service. Thèmes : inclusion et amitié ivoiro burkinabè.
    Hum, un gros français pour ne rien dire.
    J’ai souvenance,dans les années 90, d’un mémoire de DEA en droit sur la société RAN(SITARAIL actuellement), où Abdourhamane SANGARE, ex numéro deux du FPI, nous avait démontré par A plus B que la Côte d’Ivoire domine le Burina. Et vous venez disserter sur l’amitié. Lorsque ADO s’autorise à identifier ce qui est bon pour le Burkina, c’est de l’amitié ? Souvenez vous lui et ses proches avaient souhaité qu’on conserve BC parce que parce que...
    Autre chose la RCI est restée très discrète sur le putsch...amitié hein ?
    Bon Sita ou nos juges ont bel et bien le droit d’aller perquisitionner chez Soro, à moins de nous dire que Soro est supérieur à BC, Moukila,et Golf ? Si en plus les connexions Golf et forces nouvelles sont avérées, les besoins de l’enquête commandent que la diplomatie se cherche.

  • Le 18 octobre 2015 à 17:15 En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Mon cher Djibo, arrêtez de polluer les sites d’informations avec votre ignorance. Même président de l’assemblée nationale de Côte d’Ivoire, Guillaume Soro a un domicile à Ouaga qui est un domicile privé, que cela vous plaise ou non.
    Le président Félix Houphouet-Boigny avait aussi des résidences privées en France tout comme Oumar Bernard Bongo.
    N’avez vous jamais entendu parler de la résidence privée du président français ? Jamais ?
    Si c’est le cas, alors votre ignorance n’a pas de limite.

  • Le 18 octobre 2015 à 17:20, par Badra En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Arrête de philosopher mon frère. on ne fait pas de la philosophie quand il est question de sureté de l’Etat monsieur Djibo. Si cela ne convenait pas aux Burkinabè, c’est à eux de dire non. OK ?

  • Le 18 octobre 2015 à 17:22, par Trahison En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Je ne comprends pas encore pourquoi ce grand fonctionnaire de la technologie qui a utilisé ses connaissances pour faire localiser la Radio de la Résistance n’ est pas encore arrêté. Mon Colonel Juge, vous ne pouvez pas dire que vous ne le connaissez pas. Il ne doit pas continuer de respirer l’ air frais du Beau Faso. Djendjéré, le même sanguinaire impitoyable et a l’ esprit retors qui a été de toutes les sauces d’ assassinats crapuleux qui ont endeuillé des centaines de familles dans ce pays, s’ etait arrangé pour mettre un boss des transmissions dans son coup d’ état contre Boukary Lingani en septembre 1989 en mélangeant le Capitaine Koundanba pour donner un semblant de crédibilité à leur faux coup. C’est dire comment la transmission /télécommunication est importante dans un coup (pour déouer un coup ou pour le faire réussir). S’ il vous plaît, ce mauvais fonctionnaire doit être entendu et arrêté en attendant son jugement. Il fait partie des comploteurs. Il a même joué un très grand rôle. Il dira qu’ il a fait son travail mais c’ est faux. Il a été formé avec l’ argent du peuple pour servir le peuple et non un groupouscule d’ aigris en conquête de leur paradis perdu et bien perdu. Quant à toi Colonel Bamba, lors de nos discussions, je te disais que tu étais sur la fausse route et tu ne me croyais pas. Le petit Loucasse que tu as formé a été plus perspicace que toi. Cela a pris du temps mais tu es aujourd’ hui pris. J’ ai pitié de toi pour avoir été ton promotionnaire et ton voisin de célibatorium sous le gros baobab juste derrière le canal de Zogona , mais je m’ interdis toute sensiblerie parce que ce que vous vouliez faire au peuple est trop criminel. Donc, vous devez payer et vous allez payer. Mme les juges militaires sont obligés de dire le droit parce que cette fois-ci, si la justice veut denier le droit comme notre justice nous a par trop habitué, ils nous trouveront sur leur chemin. Notre justice doit cesser d’ être celle des copains et des coquins. On a payé trop cher dans cette crise pour qu’ au final, on paie la tête du peuple des Insurgés. Quant à toi Hermann, je ne sais même pas pourquoi tu fais la politique. Quelle a été l’ utilité de ton existence pour ton pays, surtout que tu n’as même pas donné grand- chose sur le plan professionnel ? Pourtant, l’ état a depensé beaucoup pour ta formation. Me Bernadin Dabiré , le plus grand avocat procédurier en son temps, corrigez - moi, chers avocats, si je ne dis pas la verite, a eu cette intuition de rejeter ton dossier de demande de stage a ton retour d’ études en disant que ton parcours universitaire ne lui dit rien. Désole ! CDpisses, NAfaistes ou Malfraistes, tous les bouffeurs et impunis de la Blaisie pour qui la vie des autres compte pour quantité négligeable, desfois que vous doutiez de la sincérité du peuple à a en finir avec le système familialiste vermoulu inacceptable de la Ziniarie, voila le requiem pour votre paradis. Je vous chante le Te Deum en re majeur. Maintenant, c’est vraiment la fin des haricots. Même des Thomas D’ Acquin comme vous , vous êtes obliges de n’ avoir que vos gros yeux concupiscents, méchants et gourmands pour pleurer. Mais le peuple , lui, il boit son petit lait. Dieu a toujours fait son combat pour lui, contre les méchants philistins Goliath que vous êtes. Dieu ne pouvait pas s’ interdire de se mêler de la bataille et laisser des loups de votre acabit s’ attaquer à ses brebis. C’ est pourquoi il a arme le peuple d’ un courage que nous mêmes ne pouvons expliquer en temps normal. Chaque jour qui se lève, je rends grâce a Dieu en prononçant son nom cette enieme grâce que Dieu nous a faite en disant Dieu merci et en le pensant tres fort.Ne soyons pas ingrats par omission en négligeant cette bénédiction . Bado Laurent a bien vu l’ enfer qui s’ abattait sur notre pays. Mais Dieu etant capable de tous les miracles, il a refermé le deuxième battant de la gehenne qui allait cramer tout le pays de ses flammes dignes de Belzebuth.E nous voila encore plus libres qu’ avant. Nous avions blesse le serpent qui conservait l’ essentiel de sa nuisance car sa tête de venin etait intacte. Maintenant que le RSP s’ est donné cadeau sapoo gbanssan zaalum en se croyant trop fort, nous avons decapité la vilaine tête des ennemis egoistes nostalgiques de leur paradis a eux seuls. La démocratie burkinabè peut maintenant bien se construire. Patiemment, dans la justice pour tous et le respect des droits de l’ homme. On se flattait tous en croyant que Blaise était parti alors que le RSP était la, en train de faire subir toutes les humiliations au régime de la transition.Maintenant, Blaise est vraiment parti et je vous jure qu’ ils ont commence leur vrai deuil lie a la perte de leur pouvoir. A Abidjan chez Blaise et Chantal, le champagne a un goût de ranmoaga couché 5 jours dans la marmite faisandé de Yempoaka. A New York, les gros cigares ridicules de Eddie Komboigo ont cette senteur de camé et cette saveur de cendre. Eddie, tu ne mérites pas de te cacher aux Etats- Unis. Là- bas, eux ils sont des démocrates. Si tu te réfugiés éfugies à Myamar ou encore en Corée du Nord, je peux comprendre, mais pas aux USA.Là - bas, malgrée les imperfections du système ils croient aux déelibéerations du peuple et là - bas, les enrichissements fulgurants, on les explique.Seriez- vous prêt à expliquer le votre sous le régime prédateur de la famille Compaoré et Amis ? Revenez seulement au bercail. Je vous informe que les élections auront bel et bien lieu le 29 novembre 2015 et personne ne peut vous exclure des élections. Comme vous, moi non plus je ne vois pas qui peut vous exclure de ces élections. Pas même le peuple, tout souverain qu’ il se flatte d’ être.

  • Le 18 octobre 2015 à 17:34, par Bonus En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Ce n’est pas un traite d’amitie Cote d’Ivoire-Burkina. Ce fut un traite entre deux groupes rebelles (Blaise-Soro) pour servir leurs interets.

  • Le 18 octobre 2015 à 17:42, par Soro est-il au dessus des lois ? En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Djibo revendique pour Guillaume Soro qui a chaud en ce moment, l’exonération judiciaire, sinon l’exception de l’impunité au nom de la diplomatie !
    D’où la question : Soro est-il au dessus des lois ? Si Soro ne voulais pas subir ces procédures de la part des autorités de la Transition que le Peuple adoube, il n’avait qu’à se tenir tranquille !
    On sent que la PEUR gagne les rangs de Guillaumes Soro. L’écrit de ce dernier en est un signe précurseur.
    N’avez-vous pas remarquez que cette fois-ci, Djibo s’est un peu plus mis au sérieux pour parler un français au moins un peu compréhensible, qui n’est pas l’habituel charabia servi. Son employeur Soro a dû lui donner des directives fermes. Peut-être même qu’il a corriger le texte ou la passé à un 2ème lecteur-correcteur. Parce que nous connaissons maintenant le niveau Djibo Mamadou !
    Et puis Djibo, tu as beaucoup de chose à apprendre quand même en politique : au lieu de considérer la Transition burkinabé comme un modèle à suivre, tu t’obstine en t’aveuglant à croire que nos autorités consensuelles - venues par une démarche qui n’est pas loin de certaines idées de ton fameux TPA d’avant chute du Dictateur Blaise - ne sont pas légitimes ! Si tel était vraiment le cas, comme Blaise et Diendéré, ils seraient simplement renvoyés chez eux par le Peuple mobilisé ! Le vote est une modalité de légitimation courante apprise à l’école, mais un bon observateur et analyste politique habile, doit savoir que ce mode n’est pas une fin en soi. Par conséquent, la désignation des autorité par un collège est tout aussi pertinent ! Ne soit pas comme le cancre Toto !
    Tu n’es pas cohérent avec toi -même et ton problème réel est que l’idolâtrie des individus, tes employeurs, occupe une trop grande place dans tous tes textes : c’est une constance ! c’est pourquoi, il est préférable que dans ta signature, tu efface "philosphy (anglais)", qui est une autre incohérence double, pour rester dans la peau du simple citoyen partisan ou sbire !

  • Le 18 octobre 2015 à 17:50, par Burkinbi En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Monsieur Djibo tu as perdu la tête toi !
    Je n’ai même pas lu ton brouillon.
    tu sais il faut que tu change car le changement est en marche au Burkina et rien ne peut inverser cette marche vers le changement, pas même tes brouillons.

    Nan lara an sara !
    La patrie ou la mort, Nous vaincrons !

  • Le 18 octobre 2015 à 17:51, par ka En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Mamadou Djibo, ne met pas l’huile dans le feu : Les deux pays ne peuvent pas avancer avec des personnes douteuses, même s’ils seront des présidents comme Guillaume Soro en 2020 dont tu l’affirme. Le problème de l’amitié Ivoiro- Burkinabé ne peut se gâter par ce que le domicile de Soro a été perquisitionné pour une enquête : Cette perquisition a été faite dans les normes avec un mandat d’un juge comme dans tous les pays, que Soro soit l’ami du premier ministre ou X, il est justiciable comme tous les êtres humains. Djibo, Soro est attendu par la justice Française, il prétend avec des raisons de la présidentiel ne pas pouvoir se présenter a la justice Française, si les enquêteurs Français voulaient perquisitionner l’appartement parisien de Guillaume Soro, l’individu et accusé, le premier ministre Français, ni l’amitié Franco Ivoirien, qui est plus que celle du Burkina-Ivoiro ne peuvent rien contre cette perquisition. Le Burkina veut avancer avec une alternance politique et économique apaisé et propre avec sa jeunesse, les anciennes histoires des refugiés politique du Burkina n’intéresse personne, cette histoire s’intéresse les concernés, et comme on dit, les chiens aboient mais la caravane passe : Malgré tous ces tumultes, l’amitié Ivoiro-Burkina reste sur la même racine comme celle de la France et la Cote d’Ivoire, et je vous demande de ne pas mettre de l’essence dans le feu avec votre analyse partisane, car le nouveau Burkina sans les criminels, cherche son chemin d’émergence.

  • Le 18 octobre 2015 à 17:53, par nabayouga En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    AU SECOURS, DJIBO EST DE RETOUR ;IL N’A PAS TIRE LES LECONS DE SES INTERVENTIONS A CONTRE-COURANT QUE L’HISTOIRE ET LE PEUPLE BURKINABE VIENNENT DE CONTREDIRE DE LA MANIERE LA PLUS EXALTANTE. L’AMITIE ET LE SOUTIEN DE BLAISE A CE MONSIEUR TRES RESPECTABLE NE DOIT PAS CONDUIRE A UNE NEGATION DE LA JUSTICE .

  • Le 18 octobre 2015 à 17:53, par URUM En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Arrêtez vos enfantillages. Que fait Roch dans cette histoire. Est-il le Président du Faso ? Donc tout tourne autour de lui maintenant dans ce pays ? Je commence à avoir peur des gens comme vous dans ce pays. Si c’est pas un Laurent BADO qui veut un autre candidat autre que Roch(il dit sinon y aura crise entre le CDP et le MPP comme si c’est la volonté du CDP qui doit être honorée dans ce pays) C’est un autre Blaisiste qui ramène tout ce qui arrive au pays en la seule personne de Roch. Que les CDPistes votent celui qu’eux veulent collaborer avec c’est ça la démocratie et c’est tout ce qu’ils peuvent faire. De la même manière que vous voulez que X gagne pour que vous soyez protégés nous aussi nous avons notre X et c’est celui qui aura le plus de votant qui gagne bonne soirée.

  • Le 18 octobre 2015 à 17:54, par URUM En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Arrêtez vos enfantillages. Que fait Roch dans cette histoire. Est-il le Président du Faso ? Donc tout tourne autour de lui maintenant dans ce pays ? Je commence à avoir peur des gens comme vous dans ce pays. Si c’est pas un Laurent BADO qui veut un autre candidat autre que Roch(il dit sinon y aura crise entre le CDP et le MPP comme si c’est la volonté du CDP qui doit être honorée dans ce pays) C’est un autre Blaisiste qui ramène tout ce qui arrive au pays en la seule personne de Roch. Que les CDPistes votent celui qu’eux veulent collaborer avec c’est ça la démocratie et c’est tout ce qu’ils peuvent faire. De la même manière que vous voulez que X gagne pour que vous soyez protégés nous aussi nous avons notre X et c’est celui qui aura le plus de votant qui gagne bonne soirée.

  • Le 18 octobre 2015 à 18:00, par Lawrence En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Aidez-moi à comprendre l’article. pourquoi il parle de Roch M. Christian KABORE dans cette affaire de perquisition ? C’est pas burkinabè cette façon de faire votre politique.

  • Le 18 octobre 2015 à 18:00, par Lawrence En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Aidez-moi à comprendre l’article. pourquoi il parle de Roch M. Christian KABORE dans cette affaire de perquisition ? C’est pas burkinabè cette façon de faire votre politique.

  • Le 18 octobre 2015 à 18:03 En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Tu as parlé de quoi même. Je n’ai rien saisi

  • Le 18 octobre 2015 à 18:25, par y’en a marre En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Soit plus claire mon frère. En passant, remarque que des deux premiers ministres, l’Ivoirien est traité de "très honorable" et le Burkinabè de simple PM ou Sous Colonel. Tu veux nous faire comprendre quoi ? Entre nos deux pays il n’y aura rien de grave. Tout se passe dans ta tête. Meilleur santé. Au fait, identifie toi mieux prochainement

  • Le 18 octobre 2015 à 18:28 En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Mr le griot de Blaise et ADO,merci pour ton griotisme,si ls ivoiriens tenaient comptes de cooperation d’amitie dt vs parlez ils nallaient pas soutenir des gens pour bruler le burkina.ce qi est sur le peuple veut la justice rien qe la justice.si guillaume soro est un dieu pour vs,pour ns il n’est pa au dessu de la loie.le corps de THOM SANK vos mille fois mieux que le vivant de blaise et de tout son systeme vampire.

  • Le 18 octobre 2015 à 18:30 En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Quelles incongruités et contradictions : Vous dites que Guillaume Soro n’a pas de domicile privé à Ouagadougou. Ensuite vous évoquez l’action d’OPJ zêlés en ce qu’ils ont communiqué sur une opération de perquisition qui remettrait en cause les relations d’amitié. Pour un philosophe qui ne connait pas ce qu’est la cohérence, c’est très grave. Soit c’est le domicile de Soro et cette perquisition pourrait nuire aux relations, soit ce n’est pas le cas et cela n’aura aucun effet. Vous ignorez qu’un domicile privé n’est pas une ambassade et que par conséquent la perquisition n’a rien d’illégale. Qui a adopté Soro ? Blaise ou le Burkina ? On ne conspire pas contre son pays adoptif...
    Commencez à réfléchir par votre tête et non par votre ventre. Vous êtes dans la merde, parce que vos amis sont dans la merde. Mais nous on n’en a rien à cirer.

  • Le 18 octobre 2015 à 18:41 En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    que dis tu du président Compaoré bastonné par des chiens de militaires frci ? des milliers de burkinabé d’origine, victimes de genocide en CI dont on parle pas. c’est ça l’amitié ?

  • Le 18 octobre 2015 à 18:42, par Isso Pale En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    J’ai parcouru cet écrit en y cherchant vainement un sens logique à une démonstration que je n’ai trouvée nulle part de la part d’un éminent ’’PhDiste’’. Je trouve plutôt un ramassis d’idées décousues avec une haine viscérale envers le père de la révolution burkinabé, j’ai nommé Thomas Sankara. Sinon, les mêmes qui n’avaient d’argument que la violence et la mort de leurs vis-à-vis l’ont continuée depuis l’assassinat de Sankara jusqu’à ce tristement célèbre mois de septembre 2016 avec tout son corollaire que vous savez. Pouvez-vous à ce jour me faire le décompte de burkinabés à qui on a ôté la vie après s’être débarrassé de Sankara ? Le plus grand tort que nos fameux intellectuels font à notre continent, c’est de se croire obligés de vendanger le peu de crédit qu’on pouvait leur accorder, en se fourvoyant dans des développement de peu d’intérêt cachant mal des raisonnements alimentaires. Peut-on encore appeler ces messieurs des intellectuels ? Dommage !

  • Le 18 octobre 2015 à 18:52 En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Le Burkina est un pays de savanne et tout se sait et les Guillaunme et autres de la rebellion ont beaucoup tourne leurs bosses ici. Les producteurs de cinema ont beaucoup de matiere pour leurs fraques ici a Ouaga et pourront produire des dizaines de films sur tous les coups fourres de cette generation de politiciens kalichinokov. J’espere que vous aurez le meme type d’analyse des interventions intempestives, irrespecteuses pleines de suffissance, d’arrogance et le tout couronne d’ingratitude vis a vis du peuple Burkinabe de Ouattara dans notre politique du genre : on ’acceptera pas d’exclusion, le Burkine est un des pays les plus pauvres de la planete. Les enquetes supposent des prises de risques et un degree d’incertitude. Si on etait sur de tout alors on n’aurait pas besoin d’enquete. Comment decouvrir qu’il n’y avait rien dans cette villa si on ne la visite pas ? Il faut peut etre taper le sable, sauf que cette pratique n’a pas encore ete integree dans notre systeme judiciaire. Donc monsieur gardez vos conseils pour vous meme. Si vous avez ete pay, bouffez votre argent et foutez nou sla Paix. On avance par la Grace de Dieu qui aime ce pays n’en deplaise a ses ennemis comme vous.

  • Le 18 octobre 2015 à 19:17, par doudou En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    vous avez vous même dit"J’ai toujours constaté dans mes écrits que la violence politique et les assassinats politiques sont intervenus au Burkina Faso avec l’avènement de la génération du capitaine Sankara". Dont le numéro deux a dirigé le pays pendant 27 ans par les mêmes violences et assassinats... Et continu par relation d’amitié de flécher le peuple insurgé pour sa liberté et la démocratie ; et nom de l’amitié on ne doit pas réagir ! dites nous que vous protégez vos intérêts égoïste et non pour l’amitié et la fraternité des deux peuples ! les deux peuples resterons toujours fraternel et unis. Seulement les gens aux idées sombres qui ne pensent qu’a leurs intérêts égoïste seront démantelé. ON GAO !

  • Le 18 octobre 2015 à 19:19, par kelgue En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Salutation à M.Riibo.Tout simplement casse toi.

  • Le 18 octobre 2015 à 19:50, par Tiraogo En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    " La seule réalité de ces intérêts stratégiques suffit pour savoir ce que c’est que le jugement d’opportunité que le bon sens présentifie à la claire conscience des dirigeants et des juges, fussent-ils militaires. La sérénité et la pondération doivent prévaloir au regard des enjeux. Peut-il y avoir une indifférence et non interférence dans le sort de l’un du binôme ?"
    Qui comprend "le français" de notre illustre philosophe ? surtout ce mot sorti de nulle part : présentifie ?

  • Le 18 octobre 2015 à 19:57, par Iso En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Vraiment il ya des fous au Burkina Faso ! Parce qu’on est ami le tout est permis alors !

  • Le 18 octobre 2015 à 20:06, par filsdufaso I En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Mr. Djibo :
    Etes-vous vraiment realiste meme si ce que vous dites la est raisonnable ? Le Traite entre le BF et la CI a ete viole par la CI pendant les mois de fevrier et d’Avril via coupure d’energie electrique ; et la CI evoquant des raisons qui auraient pu etre analysees avant la signature dudit trait. D’ailleurs, pourquoi cela se passe-t-l maintenant ? Quand a la fameuse autoroute ABJ-OUA, ce serait seulement le signe exterieur de l’egocentrisme de 2 presidents. La CI ne developpera pas le BF ; c’est aux Burkinabe de le faire. Des milliards ont ete futilement dilapides a maintes en refaisant le troncon entre Bobo et Ouaga. Si des saprophytes (encourages par celui qu’on connait) faisaient un travail correct, on aurait deja une autoroute entre Bobo-Ouaga, qui pourrait meme rejoindre leur frontiere a eux !
    Pour ma part, je ne crois pas du tout que votre ecrit est a profit des liens seculaires entre les 2 pays ; vous appuyez unitilement des hommes et on n’en beut pas. Period !

  • Le 18 octobre 2015 à 20:22, par Kambiré En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Merci cher ami ! j’avoue que je n’ai pas pu continuer la lecture de votre texte après le premier paragraphe. j’ai constaté que vous parlez de nouvelles renversante du bon sens,sans faire preuve de bon sens dans votre analyse vous même. Si guillaume soro est ami du Burkina au point d’avoir une villa dans notre pays, qu’elle soit privée ou pas, le bon sens voudrais qu’on abuse pas surtout quand il s’agit d’amitié. les officiers de police judiciaire n’ont pas perquisitionné au hasard, les burkinabe connaissent les connexions entre ce type et le régime compaoré. je regrette de vous informer mon cher, que si zèle il y a dans l’action de nos officiers moi je salue cette action. Le bon sens indique qu’avant qu’il ait coopération, il faut d’abord exister en tant qu’entité (Etat).le nom de soro à été cité comme soutient à des invidividus qui ont voulu détruire mon pays, il n’y avait pas meilleur action.je n’aI rien contre soro en tant qu’ivoirien, mais en tant qu’individu qui a cherché à détruire ce que j’ai de plus chers. Tant pis pour ceux qui n’ont pas compris ça et font un amalgame terrible. même si zida est ami à soro, où est le problème ? lui au moins il sait que quand la sécurité nationale est menacée, l’amitié peu attendre.

  • Le 18 octobre 2015 à 20:59, par ledoyen En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Ce Mamadou Djibo pense qu’il suffit d’avoir un bac+25 pour donner des leçons à la planète terre ! L’intellectuel, c’est cet homme qui défend des valeurs et qui est prêt à en mourir pour cette cause. Ce type-là défend les puissants financièrement, il n’est qu’un protitué qui s’ignore. Il est toujours accroché à la culotte de Guillaume SORO qu’il qualifie de fils adoptif du BURKINA toute chose qui serait une fierté pour notre pays ! J’ai honte et j’ai mal en entendant ces propos, le reste je ne peux pas le sortir ici ! Que DIEU nous garde et nous protège de l

  • Le 18 octobre 2015 à 21:02, par seba En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Je voudrais marquer monde déssacord face à cet article qui jette une accusation sur notre justice militaire et la justice d ’un pays intègre comme le Burkina Faso. Ce philosophe devrait comprendre que le Burkina a un service de renseignement et que Soro n ’est pas si honorable que la patrie. Soro est honorable chez lui, finir les mythe criminel avec les bandes qui attaquent notre pays et tuent depuis toujours. Et la CEDEAO un club d ’amis qui posent leur dikta. Tout le monde sait où Soro vivait à Ouagadougou. Oui, la CEDEAO a conduit à un Con d’Etat opéré par un groupe criminel et terroriste. C’est ça la vérité. Quand on est intellectuel alors on n’est pas politicienne. C’est vomissant ce texte.

  • Le 18 octobre 2015 à 21:10, par ka En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Mamadou Djibo, ne met pas l’huile dans le feu : Les deux pays ne peuvent pas avancer avec des personnes douteuses, même s’ils seront des présidents comme Guillaume Soro en 2020 dont tu l’affirme. Le problème de l’amitié Ivoiro- Burkinabé ne peut se gâter par ce que le domicile de Soro a été perquisitionné pour une enquête : Cette perquisition a été faite dans les normes avec un mandat d’un juge comme dans tous les pays, que Soro soit l’ami du premier ministre ou X, il est justiciable comme tous les êtres humains. Djibo, Soro est attendu par la justice Française, il prétend avec des raisons de la présidentiel ne pas pouvoir se présenter a la justice Française, si les enquêteurs Français voulaient perquisitionner l’appartement parisien de Guillaume Soro, l’individu et accusé, le premier ministre Français, ni l’amitié Franco Ivoirien plus que celle du Burkina-Ivoiro ne peuvent rien contre cette perquisition. Le Burkina veut avancer avec une alternance politique et économique apaisé et propre avec sa jeunesse, les anciennes histoires des refugiés politique du Burkina n’intéresse personne, cette histoire s’intéresse les concernés, et comme on dit, les chiens aboient mais la caravane passe : Malgré tous ces tumultes, l’amitié Ivoiro-Burkina reste sur la même racine comme celle de la France et la Cote d’Ivoire, et je vous demande de ne pas mettre de l’essence dans le feu avec votre analyse partisane, car le nouveau Burkina sans les, cherche son chemin d’émergence.

  • Le 18 octobre 2015 à 21:13, par Sheiky En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    C’est une analyse. Certaines lignes peuvent être contredites/approfondies (notamment l’ère Sankara).
    Mais je partage l’esprit de l’analyse. La qualité de la personne citée (Guillaume SORO), les relations entre les deux pays demandait une certaine diplomatie dans de la part du Juge militaire. Le lien que Soro a avec notre pays est connu de tous (le 1er ministre en premier) mais, il aurait été sage, même si on n’est pas obligé nier la perquisition, d’observer une réserve sur la question.
    Cela est à mettre toujours sur le compte de l’amateurisme, du populisme des personnages actuels. Mais étant dans un processus de changement, espérons q’ils en tireront toutes les leçons.

  • Le 18 octobre 2015 à 21:20, par Koyan En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    C’est encore vous de retour M. Djibo, homme de Blaise. On ne vous comprend pas dans vos longues dissertations. Ceci n’est pas un forum de philosophies.

  • Le 18 octobre 2015 à 22:02, par Antoine En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Oui à l’amitié RCI-BF car nous sommes liés par la colonisation, nous sommes des peuples frères. Et la carte de séjour ? Et l’opération "BAYIRI" Ces deux questions soulèvent le fait que dans les relations entre les deux pays il y a eu toujours des hauts et des bas. Et c’est normal. Même entre des frères de même père et de même mère il existe souvent des difficultés mais c’est pas pour autant qu’il n’existe pas un lien de sang. Ça s’arrange toujours.
    Non aux crimes impunis.Chacun doit répondre devant la justice pour ce qu’il a fait. Ils ne seront ni les premiers ni les derniers. Même le président LAMIZANA est passé devant la barre mais il a été jugé non coupable.Nous sommes dans un état de droit. Sinon c’est facile : je tue et je sème la merde car je sais que je serai pardonné. Mais où allons nous ?Et les parents des victimes ?Il faut que les militaires sachent que le pouvoir s’acquiert par les urnes et non par les armes du peuple.C’est comme le disait le président SANKARA : "c’est comme dans un jeu de casino ;ils ont joué ils ont perdu et la vie continue". Le Burkina appartient à tout un peuple et non un groupe d’individu.Je me pose cette question : a qui profitait le coup d’état ? Le peuple ? non certainement pas. Est ce que le fait d’écarter le CDP était mauvais ? Non et je m’explique : je trouve que c’était une occasion pour le parti de faire "oublier" ce qu’il a fait durant les 27 ans de règne et préparer les prochaines élections et revenir en force.Mais nous sommes face a un groupe qui veut sacrifier le Burkina pour leur intérêt. Je pense que dans toute chose nous devons regarder l’intérêt général. Je pense aussi que c’est le Bon Dieu qui a voulu sauver le Burkina Faso en les faisant agir de la sorte pour dévoiler au face du monde et du peuple burkinabé leur désir assoiffer de pouvoir. Quoi que l’on dise toute chose a une fin sauf le ciel et la terre.Il faut être humble et l’accepter même si c’est difficile.

  • Le 18 octobre 2015 à 23:16, par Sam Wampouzy En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Cher phd mamadou djibo.Avec tout le respect, je me demande sur quelle planète vous vivez. Les relations internationales, sont pour la plupart du temps basées sur des relations privées. Ainsi, si blaise a pu signer un traité d’amitié avec gbagbo au nom de leurs deux pays c’était par rapport à ses liens privés avec et ce dernier et guillaume soro et par la suite des événements avec alassane ouattara au détriment de gbagbo.Vous êtes mieux place que moi pour savoir que l’histoire de l’humanité a toujours été faite d’alliances et de desalliances de confiance et de trahisons.Blaise ayant aidé ouattara et soro à s’installer au pouvoir dans les conditions que l’on sait (après une guerre civile de 08 ans parachevée par une guerre post électorale sanglantes) Ouattara et soro se sentent obligés de lui renvoyer l’ascenseur même au mépris des aspirations légitimes du peuple burkinabe. Mr djibo suis sûr que vous ne vivez pas au Burkina.Au lieu de fustiger l’attitude anachronique, égoïste et machiavélique du duo ouattara soro à travers leur ingérence inadmissible et intolérable dans les affaires du burkina, vous vous permettez de condamner la justice miltaire qui ne fait que son boulot à savoir la manifestation de la vérité. Si pour ça, l’amitié ivoiro burkinabe doit voler en éclats qu’il en soit ainsi.Est ce que cette amitié donne le droit aux autorités ivoiriennes de jeter l’huile sur le feu dans la crise burkinabe au lieu de nous aider à en sortir ? Et vous croyez naïvement que ouattara allait poursuivre les projets de développement convenus entre les deux pays si les autorités burkinabe ne sont pas de son goût ? Je crois que vous faites une fausse lecture de cette amitié. Pendant la crise post électorale, du fait du soutien déclaré de blaise à ouattara gbagbo ne faisait il pas couper la fourniture de l’électricité en direction du burkina ? Ou étiez vous quand nous suffoquions de ces delestages sauvages ? Je reste convaincu que ouattara n’est pas content de ce que son mentor a été debarque par le peuple burkinabe et veut nous le faire payer.Alors les projets d’autoroute et autres peuvent avoir été gelés dans ce sens.Il n’est un secret pour personne que ADO était très remonté contre les autorités de la transition depuis l’adoption du nouveau code électoral. Il n’a pas cessé de marteler que la cedeao ne vattolérer aucune exclusion et qu’il fallait que les élections fussent inclusives.Cher monsieur phd gardez vos leçons de morale pour ouattara, soro et leurs protèges revanchards et laissez nous régler nos problèmes à la burkinabe. Quant à la cedeao, de grâce epargnez nous de ce machin aux mains d’un certain nombre de francs maçons qui cherchent plutôt à faire échec à l’exception burkinabe afin qu’elle ne fasse pas tâche d’huile dans la sous région et même en Afrique. Si vous n’avez pas compris cela alors je me demande quelle université vous a gratifie de ce titre ronflant de philosophy doctor.Sans rancune, webmaster please now !

  • Le 18 octobre 2015 à 23:18, par Pierif En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Bonjour,
    Pourquoi tenez vous à nous informer de votre titre universitaire ?
    Je ne suis ni Ivoirien, ni Burkinabè et je trouve un partie pris Clair dans votre discours.
    Sous le prétexte de l’amitié ivoiro burkinabè vous auriez souhaité que cet information ne soit pas diffusé : vous êtes une calamité.
    Vous affublé M. SORO d’un titre pompeux qui dissimule très mal votre partialité.
    Vous n’avez pas de leçon à donner aux dirigeants bukinabè. Les responsables du putch doivent répondre de leurs actes criminels ...

  • Le 18 octobre 2015 à 23:59 En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Quel est le statut du domicile privé de Guillaume Soro à Ouagadougou ? Si le Faso avait enfreint la règle en "touchant" une ambassade, il aurait eu la Communauté Internationale sur le dos. Mais pour une maison privée, comme vous parlez du cas de la maison de Chantal Compaoré, je crois qu’il n’ y a rien à craindre. Ou bien vous voulez qu’on fasse plus contre cette résidence ?

  • Le 19 octobre 2015 à 00:49, par boubou kalakala boubou En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Du blablabla, les terroristes putschistes et leurs soutiens seront démasqués qui qu’ils soient et où qu’ils sont.

  • Le 19 octobre 2015 à 04:33, par Tiefo En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Koro ! Qu,est ce que tu veut meme ? Ta philo vient en retard, le processus a declenche dc irreversible. Que ceux qui veulent s,accrochent.

  • Le 19 octobre 2015 à 07:44, par un lecteur En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Au regard de votre niveau d’instruction et même de votre domaine de compétence, je vous conseille d’avoir, à l’avenir, un langage dépourvu de circonvolution. La syntaxe entrave parfois la compréhension du point que vous essayez de faire valoir. Quant au fond, j’avoue rester sur ma faim par manque de rigueur. Vous semblez vouloir étayez votre argumentation avec tous les arguments sans distinction. Ainsi, le lecteur a du mal à faire le lien entre le titre de votre article et son contenu, au fur et à mesure qu’il avance dans la lecture. Loin de moi l’idée de vouloir vous démonter, encore moins de vous dénigrer.

  • Le 19 octobre 2015 à 08:00, par Coul En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Encore vous Mr Dico avec votre griotisme. Vous faites honte à la philosophie.

  • Le 19 octobre 2015 à 08:17, par KOUDOUGOU Pagnagdé En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Bonjour Mr le phylisophe,
    Si tu es de BOUAKE, tu as plainement raison (car ton grand père avait refusé les conseils de Papa Houphouet,). Mais si tu es du noble SOUROU ou NAYALA, je ne te retrouve pas
    Enleve les politiciens de cette affaire et laisse la justice BURKINABE élucider cette affaire. Malgé ton français, tu n’es pas arrivé à établir une éventuelle cohérence des relations humaines entre BF et CI et, la perquisition chez notre frère Guillaume. Ce dernier n’est accusé ou inculpé pour quoi que ce soit d’abord.
    Quitte dans ça. Ce n’est d’ailleur pas BURKINABE.
    A bon entendeur salut.

  • Le 19 octobre 2015 à 09:10, par le magnac En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Monsieur Mamadou, en lisant votre analyse on se rend compte tout de suite que vous êtes un CDPiste qui ne dit pas son nom. dites nous en quoi la perquisition du domicile de SORO a t elle un lien avec l’exclusion ? vous êtes un oiseau de mauvaise augure qui veut faire croire aux ivoiriens que la transition veut remettre en cause les liens qui unissent les deux peuples frères. mais vous ne serez pas entendu. Ne prenez pas SORO pour toute la cote d’ivoire. Monsieur le philosophe si vous étiez malin vous s’auriez que la justice est un pouvoir et le politique un autre. donc ne nous faites pas croire que c’est la transition qui dicte aux juges ce qu’ils doivent faire comme c’était le cas quand vous étiez aux commandes. qu’est ce que vous appelez amitié espèce d’hypocrite.

  • Le 19 octobre 2015 à 09:10, par fabrice TONDE En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    bjr ! suis en partie d’accord avec toi.Mais tout ce que tu a dit je ne vois pas la responsabilité des autorités politique de la cote d’ivoire.tu explique bien les liens de fraternité qui existent bien.tu dit que le peuple est au dessus de la société politique mais lors du pustch quand le peuple soufrait qu’est ce que les autorités politiques ivoiriennes ont dit : que c’est interne.ce peuple n’est il pas le peuple frère de la cote d’ivoire ?donc moi je pense que les autorités ont chacune une part de responsabilité.

  • Le 19 octobre 2015 à 09:52, par anderson En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Héiiiiiiiiiiii Mamadou, ne te mêle de ce qui ne te regarde pas. La vérité rougit l’œil mais ne le casse pas. C’est bien que la transition secoue les autorités Ivoiriennes jusqu’à ce qu’elles demandent pardon au peuple Burkinabé qui est dans ses droits. Le peuple ivoirien découvre de plus en plus le visage de leurs dirigeants. Aucune leçon de justice et de démocratie ne sors de cette analyse que tu fais, c’est à cause de vous autres là que l’Afrique n’avance pas. Et retiens bien ceci les vraies amis sont ce qui se font la bagarre et reviennent s’asseoir pour échanger. c’est ce qui se passe en ce moment avec la Côte. As tu vu des amis qui n’ont jamais fait la guéguerre. En plus arrêter de vous en prendre aux autorités de la transition, bientôt ils seront partie et si vous avez des comptes personnelles aller voir Zida ou Kanfando si tu es garçon.

  • Le 19 octobre 2015 à 10:58, par ka En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Mamadou Djibo, ne met pas l’huile dans le feu : Les deux pays ne peuvent pas avancer avec des personnes douteuses, même s’ils seront des présidents comme Guillaume Soro en 2020 dont tu l’affirme. Le problème de l’amitié Ivoiro- Burkinabé ne peut se gâter par ce que le domicile de Soro a été perquisitionné pour une enquête : Cette perquisition a été faite dans les normes avec un mandat d’un juge comme dans tous les pays, que Soro soit l’ami du premier ministre ou X, il est justiciable comme tous les êtres humains. Djibo, Soro est attendu par la justice Française, il prétend avec des raisons de la présidentiel ne pas pouvoir se présenter a la justice Française, si les enquêteurs Français voulaient perquisitionner l’appartement parisien de Guillaume Soro, l’individu et accusé, le premier ministre Français, ni l’amitié Franco Ivoirien plus que celle du Burkina-Ivoiro ne peuvent rien contre cette perquisition. Le Burkina veut avancer avec une alternance politique et économique apaisé et propre avec sa jeunesse, les anciennes histoires des refugiés politique du Burkina n’intéresse personne, cette histoire s’intéresse les concernés, et comme on dit, les chiens aboient mais la caravane passe : Malgré tous ces tumultes, l’amitié Ivoiro-Burkina reste sur la même racine comme celle de la France et la Cote d’Ivoire, et je vous demande de ne pas mettre de l’essence dans le feu avec votre analyse partisane, car le nouveau Burkina sans les, cherche son chemin d’émergence.

  • Le 19 octobre 2015 à 11:59, par L’Oeil du peuple En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Le BURKINA FASO n’a pas de problème avec ses voisins, ni avec les dirigeants ni avec les peuples. Il vit en parfaite harmonie avec tout le monde et partage ses préoccupations avec ses voisins gage un bon sens et d’un esprit de savoir vivre ensemble. Que ça soit le président OUATTARA ou que ça soit le président de l’Assemblée monsieur GUILLAUME SORO, au BURKINA ils sont chez eux et ils sont libres de mener leur vie sans entrave car ce sont nos frères. Mais lorsque certains actes sont posés susceptibles de nuire la paix sociale, la sécurité d’un Etat, l’Etat BURKINABE garant de toutes ces valeurs universelles ne saurait laisser que celles-ci soient troublées par qui que ce soit. Même si c’est le président KAFANDO ou des soupçons pèsent sur lui pour attentat à la sureté nationale, l’Etat BURKINABE est en droit d’aller perquisitionner chez lui. Cela ne veut pas dire, qu’il est inculpé. Quelqu’un peut poser un acte chez toi à domicile sans que tu ne sois au courant, tout juste pour te nuire. Nous allons demander aux deux personnalités d’être des hommes d’Etat, ils doivent dépasser les relations personnelles pour voir l’intérêt général des peuples. Les peuples demandent à vivre ensemble. Si pour une question d’amitié personnelle, on veut mettre en difficulté l’avenir des peuples, ce n’est pas bon. Ne mêlons pas les problèmes des politiciens aux problèmes des peuples car les peuples et les politiciens n’ont pas les mêmes aspirations. Arrêtons de parler des relations entre les peuples Burkinabè et Ivoiriens, entre eux il n’ y a aucun nuage. Vive l’amitié Ivoiro-Burkinabè pour que vivent les deux peuples.

  • Le 19 octobre 2015 à 12:35, par OZ En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Point Par point, je vous cite : « Le président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire ne possède pas de domicile privé à Ouagadougou ». Soit cette assertion est vraie, auquel cas aucun bon sens, aucun sens de l’amitié, aucune réserve diplomatique ne sont renversés (remarquons votre vocabulaire particulier aux Coups d’État), et votre papier n’a d’autre sens que de manipuler les Burkinabè pour les faire douter du bien-fondé des actions en justice initiées par la Transition ; soit cette assertion est fausse, le Très honorable Guillaume Soro possède effectivement un domicile privé à Ouagadougou, auquel cas aucune réserve diplomatique n’a lieu d’être, car un domicile privé n’est ni une ambassade, ni une représentation de la fonction qu’exerce l’Honorable en question. Les officiers de police judiciaire ont agi légalement dans le cadre d’une commission rogatoire donnée par le juge d’instruction. Point.
    Que je sache, le Très Honorable ne s’est pas plaint de cette action judiciaire.
    « Va-t-on démanteler au marteau nos relations avec la Côte d’Ivoire pour des raisons de liens privés entre des citoyens des deux pays ? » Mais de quels citoyens burkinabè parlez-vous ici, qui auraient des liens privés particuliers avec Guillaume Soro ? La suite peut nous laisser supposer qu’il s’agit du premier ministre Zida, mais votre rhétorique manque de clarté, elle sème le doute.
    « …de futiles et dérisoires calculs politiques de velléité de prolongation de bail. » L’accusation est grave. Vous associez une commission rogatoire à un calcul politique, c’est insulter le juge. Quant à l’argument de prolongation de bail, il trahit vos accointances partisanes, seul le CDP ou alliés nous l’ont ressassé pour tenter d’affaiblir la Transition.
    « Et dans tout ce fatras d’incongruités… » : que ce soit clair, c’est de votre papier dont vous parlez !
    En effet, connaissez-vous le sens des mots que vous utilisez ? Quand vous écrivez « élu putatif » à propos de Roch Kaboré, il est bon de rappeler la définition de putatif : « qui, bien que judiciairement annulé, produit néanmoins ses effets légaux jusqu’à la date d’annulation. » De quel mandat électif est-il question ici ? Éclairez-nous ! Qu’est-ce qui a été judiciairement annulé, mais dont le dit Roch-Marc profiterait des effets légaux ?
    « Il faut apaiser les tensions », mais votre rhétorique en attise ! Ainsi, vous avez toujours « constaté dans (vos) écrits que la violence politique et les assassinats politiques sont intervenus au Burkina Faso avec l’avènement de la génération du capitaine Sankara. » Comment osez-vous faire porter le chapeau à celui qui a été lui-même victime d’assassinat politique ! Ou soyez plus précis, et en lieu et place de « génération du capitaine Sankara », écrivez Blaise Compaoré ! Mais vous ignorez, dans votre immonde papier, et son Coup d’État de 87, et les assassinats politiques sous son règne d’un quart de siècle !
    Mais nous y voilà, vous prônez ensuite un « dialogue inclusif », il convient de vous classifier parmi les idéologues CDPistes, et les pro-putschistes, les nostalgiques d’un antan pourtant révolu, à jamais.
    Vous encensez le Traité d’amitié Ivoiro-burkinabè, c’est oublier les milliers de Burkinabè poursuivis, malmenés, exclus, chassés de Côte d’Ivoire sous le régime du Gbagbo que vous encensez par ailleurs, et à propos de qui vous mentez quand vous dites « malgré son penchant pour les enfarinades, (il) n’a pas mené une politique désinvolte, désobligeante et ruineuse de la qualité exceptionnelle du lien, de la texture sociologique ivoiro-burkinabè. » Mais c’est nier l’Histoire, ses turpitudes, et les accusations portées sur le Burkina Faso de fournir des armes aux prétendus rebelles.
    On dirait même que vous ignorez que la Côte d’Ivoire a depuis des années pour Président, non plus Gbagbo que l’amitié ivoiro-burkinabè a envoyé à la CPI, mais Alassane Dramane Ouattara, dont vous ne faites pas une seule fois mention dans votre papier, pourquoi ? Pour ne pas avoir à dire qu’il a été le seul Président de la sous-région à ne pas condamner le putsch du 17 septembre, pour préserver les liens d’amitié qu’il entretient avec le franc-maçon Blaise Compaoré ?
    « Il faut se garder de séduire la multitude burkinabè ». Voilà la seule phrase avec laquelle je suis d’accord, sortie de son contexte de prétendue justice revancharde. C’est pourtant ce que vous tentez de faire, séduire la multitude, sous couvert de rhétorique et d’idéologies foireuses. Mais n’ayez crainte, l’amitié entre les peuples survivra à la Transition, et à vos mascarades.
    Plus rien ne sera comme avant ne doit pas être un vain slogan sur lequel se reposer, chacun doit en être le gardien, mais aussi le bâtisseur.

  • Le 19 octobre 2015 à 13:03, par Aubin En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Il manque quoi à ce niais qui signe toujours Ph. D de merde. aie l’intelligence de te taire au moins. "nos amis, du plus petit au plus illustre" est qu’il entend sa propre voix ce monsieur ? Ce qui est sûr toi tu es un illustre ennemi du peuple burkinabé. des morts, un pays dans la nas-se et des Cons de ton acabit se préoccupent de classer nos amis.

  • Le 19 octobre 2015 à 13:24, par OUEDRAOGO S. E. Kirsi En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    "Puisque les deux pays n’en faisaient qu’un seul jusqu’en 1947" Monsieur DJIBO je trouve votre appréciation logique mais elle risque non seulement de contribuer à dégrader les relations entre les deux pays mais aussi et surtout de dérouter nos enfants qui apprennent une histoire différente de la vôtre Monsieur le Ph.D Philosophy.

  • Le 19 octobre 2015 à 13:30, par HEYI En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Heyi cher traite ! met toi à l’écart de ce que la justice
    est en train de faire comme travail. Nul ne peut déroger à la justice.
    Ton raisonnement est caduc et insensé.

  • Le 19 octobre 2015 à 13:32, par koro yamyele En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    bjr quand les français bombardaient la résidence de babgbo y ’avait il oui ou non des accords ? le traité signé le 10 Mars 2014 n’est qu’une préparation de l’accueil de Blaise COMPAORE

  • Le 19 octobre 2015 à 14:01, par L’Oeil du peuple En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Cher monsieur on a du mal à vous suivre dans votre raisonnement par un langage décousu.
    Entre la COTE- D’IVOIRE et le BURKINA, il n’y a aucun nuage. Nos deux pays vivent en parfaite harmonie, en parfaite intelligence. Tout ce qui touche la COTE- D’IVOIRE est partagé avec le BURKINA. Nous vous demandons d’arrêter d’inciter à la haine. Nous vous savons nostalgique à votre père Blaise, mais cela ne tient qu’à vous et c’est votre droit inaliénable. Si le domicile privé de monsieur GUILLAUME SORO a été perquisitionné c’est parce que nous le traitons comme un frère, un Burkinabè, à ce titre tout ce qui touche un Burkinabè le touche également. Il a droit à la même justice que les Burkinabè. C’est vous qui faites la différence sinon le peuple Burkinabè et son gouvernement sont sincères envers monsieur GUILLAUME SORO et les autres autorités ivoiriennes. Un frère est un frère même s’il arrivait qu’il s’est trompé. La CI et le BURKINA partage le même destin commun séculaire. Personne ne peut arrêter la marche radieuse de notre démocratie.

  • Le 19 octobre 2015 à 14:51, par Faber En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Pr, j’ai du respect pour votre personnalité ! Il faut que vous sachez que votre degré d’intellect ne confirme en rien l’objectivité et la véracité de vos propos. Vous arrivez à mal cacher votre frustration(puisqu’elle est manifeste dans vos mots) et votre mépris pour le nouvel air qui souffle sur le Burkina ainsi que les autorités en place. Vous gagnerai en crédibilité en commençant à respecter vos propres autorités, ceux qui œuvrent quotidiennement pour que vous et votre famille ayez la panse( je voulais dire votre estomac) pleine et avoir le courage débiter de pareilles balivernes. De grâce, soyez honnête et comprenez que la diplomatie offre certes des droits, mais aussi des devoirs. Après tout vous n’êtes pas plus intelligent que ceux qui ont pris ces mesures, l’histoire a même démontré que cette vision malhonnête, intellectualiste des faits nous a pétrifier durant des décennies. Allez ! ne nagez pas à contre-courant de la dynamique nationale, car vous n’y pouvez absolument rien !!

  • Le 19 octobre 2015 à 15:09, par Moumouni En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Résumé en français facile :
    Hé les gars, si vous voulez pas que les Ouattara, Soro et autres nous chauffent mal, faut les laisser tranquille dèh !!

    Tout d’abord, il n’y a pas le feu c’est juste une perquisition pas un mandat international d’arrêt. Ensuite si il y a des doutes il faut les DISSIPER AU PLUS VITE pour ne pas envenimer les relations entre les deux pays.

    Cela dit, il y a dans ce texte quelques phrases choc qui me font doucement rigoler (ou pas) :

    ===> "Les gens de mon pays peuvent-ils [...] tourner le dos aux grands projets intégrateurs comme l’autoroute Yamoussoukro – Ouagadougou"

    Ha la fameuse Autoroute dont on parle depuis avant ma naissance. Bien heureux celui qui roulera dessus avant sa mort.

    ===> "le Président Blaise Compaoré est parti pour éviter d’accentuer les fractures. Il a été sage. Il revient au peuple souverain de mettre fin aux ambitions vindicatives [...] cryto-marxiste, violente, adepte de la rhétorique vaine"

    Son Excellence Monsieur le Président de la République / Éminent Docteur Honoris-Causa / l’Homme Fort du Faso / l’enfant Terrible de Ziniaré / L’Artisan du Burkina Émergeant... n’est pas parti, il s’est enfui.
    Il a été chassé par la rue qui en avaient mare de lui, par les maman avec leurs spatules et aussi par une jeunesse inspirés par Sankara (pardon des zombies cryto-marxistes, violents, qui se nourrissent de rhétorique vaine, comme c’est si bien dit dans le texte).

    Bien sûr Compaoré aurait pu commettre un massacre pour s’accrocher quelques temps de plus au pouvoir mais il a vu Khadafi...

    ===> "Le préaccord obtenu par les Médiateurs de la CEDEAO est la concrétisation du rôle positif que nos us et coutumes"

    Pardon, on parle bien du préaccord avec AMNISTIE là ? Au moins il a mis le feu aux poudres, radicalisé la résistance anti-putsch au point de faire sortir les soldats loyalistes de leur cavernes ? Au moins le rejet de ce préaccord a contribuer à précipiter la fin des putschistes.

    ===> "L’accueil des persécutés ivoiriens par la politique odieuse de l’Ivoirité et qui ont trouvé refuge au Burkina Faso pour protéger leur vie, a laissé des attaches fortes"

    Notons que ces personnes persécutées avaient déjà des "attaches fortes" (famille) avec le Burkina. Cet évènement à plutôt laissé des FRACTURES PROFONDES et une grande méfiance envers la "fraternité" des autorités Ivoiriennes.

    ===> "les Président Blaise Compaoré et Laurent Gbagbo ont observé beaucoup de lucidité, de responsabilité et d’engagement constructif pour préserver ces liens séculaires, avantageusement préservés au profit de l’intérêt de paix"

    Comme le disaient les narcotrafiquants d’Amérique latine : "la guerre c’est mauvais pour les affaires".

  • Le 19 octobre 2015 à 15:12, par Jacqeline PARE En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Qu’est ce que le nom de Roch vient faire dans cette histoire ? Vraiment comme le disent certain il y a des malades du MPP dans ce pays ; si c’est pas le CDP par vangeance c’est l’UPC par haigreur. Que Dieu vous aide sinon après ces émlections il faudra que Roch songe à créer des agiles de fou car des déréglés il en aura.

  • Le 19 octobre 2015 à 15:14 En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    SI SORO T A PAYE COMME GRIOT POUR QUE TU FASSES CET ECRIT TU AS INTERET A RESTE DANS TON COIN CAR TU POURRAIS AUSSI ETRE POURSUIVI POUR COMPLICITE. TU AS CERTES ETUDIE LA PHILO MAIS TON NIVEAU D EDUCATION DEVRAIT TE PERMETTRE DE COMPRENDRE LES RUDIMENTS DE LA DIPLOMATIE. LA MAISON DIPLOMATIQUE DE LA COTE D IVOIRE AU BURKINA FASO RESTE L AMBASSADE. L ACCORD DE SIEGE DONNE PAR LE BURKINA A LA COTE D IVOIRE NE CONCERNE NULLEMENT LE DOMICILE D UN INDIVIDU FUT IL PRESIDENT DE L ASSEMBLEE.

  • Le 19 octobre 2015 à 15:16, par Jacqeline PARE En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Qu’est ce que le nom de Roch vient faire dans cette histoire ? Vraiment comme le disent certain il y a des malades du MPP dans ce pays ; si c’est pas le CDP par vangeance c’est l’UPC par haigreur. Que Dieu vous aide sinon après ces émlections il faudra que Roch songe à créer des agiles de fou car des déréglés il en aura.

  • Le 19 octobre 2015 à 15:40, par paysannoir En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Toi le foulosophe qui nous pompe l’air avec ses niaiserie, celui que tu sembles défendre doit être en train de rire de toi. On te donne l’argent pour que tu chies et manges sans efforts. C’est cette quête de la vie facile et dorée qui a conduit les fuyards dans cette merde. Tu es djibo de bouaké ou du sourou. Sans doute de Bouaké. Pourtant ton grand père ou peut être ton père était un digne fils du sourou installé à Bouaké (Soukalo Djibo). Au lieu d’être comme lui, tu préfères l’argent sale avec ton Ph.D

  • Le 19 octobre 2015 à 18:11, par Sobriete En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Les complices du putsch se dénoncent. Ils vont faciliter les enquêtes. Bon vent aux enquêteurs.

  • Le 19 octobre 2015 à 21:29, par KASSIMBOU En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    WEBMASTER LAISSE PASSER MON POST STP.

    La justice millitaire devrait voir le cas de PhD DJIBO. si c’est un burkinabé il faut vite l’arrêter. il en sait plus qu’il ne le dit. si c’est un étranger on doit lui répondre par une lettre officielle. il cherche a mettre le Burkina et la Cote d’Ivoire en conflit pour satisfaire sa vengeance.
    Plus rien ne sera comme avant. liberté d’expression mais dans le respect des institutions.

  • Le 20 octobre 2015 à 00:14, par Savadogo En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Tu fera gaff desormais ! On est vigilant mec ! On a pas besoin de philosophe pr ce pays. Vaut mieux de faire de la méca auto. Prostitué de merde ! Vive le Faso et longue vie à cette marche vers la gloire !@ !

  • Le 20 octobre 2015 à 00:49, par assi En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    merci pr djibo je souhaite que vous interveniez regulirement afin de conscientiser certain burkinabe le porte parole du gouvernement ivoirien en reponse a la question des journalistes sur le silence des autorites ivoirienne sur la crise au faso a dit que « son pays abrite plus de trois millions de burkinabes » donc ceux qui veulent comprendre ok car une brouille avec la ci ne sera pas a l avantage du burkina

  • Le 20 octobre 2015 à 08:07, par Thién En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Vous êtes de mauvaise foi !
    Vous connaissez bien Guillaume Soro et toute son histoire.
    Il n’était rien il y a 5 cinq ans en dehors d’être le rebelle que tout le monde connait.
    Vous connaissez la suite de l’histoire car vous saviez qu’il vivait au Burkina Faso !
    Montrez nous alors oû il vivait et démontrez nous que cette maison n’existait pas avant qu’il ne soit président de l’assemblée. Et même s’il l’avait construite après qu’il soit à l’assemblée, en quoi cette maison qui est effectivement privée doit-elle bénéficier de l’extra-territorialité étant donné qu’elle n’est pas liée à l’ambassade de Côte d’Ivoire et qu’elle est l’objet d’un acte posé par un seul individu dans un cadre purement personnel ?
    Pourquoi la personnalité de Guillaume Soro doit-elle primer sur les intérêts du Peuple burkinabè ? A cause des relations d’amitié doit-on fermer les yeux ? Une relation d’amitié suppose que chacun y trouve son compte. Insinuez vous que le Burkina perdra plus que la Côte d’Ivoire en cas de difficulté ?
    Vous devez savoir que la dignité n’a pas de prix et que le Burkina n’est pas à vendre !
    C’est votre droit de refuser de voir la main invisible qui s’est cachée derrière le coup d’état mais permettez aux fils de ce pays des hommes intègres d’assumer leurs actes.

  • Le 20 octobre 2015 à 11:29, par Benito SAHKAROV En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Dommage pour le peuple frère de la HAUTE VOLTA (ce nom j’adore) ; BURKINA FASO aujourd’hui.
    Le Pr DJIBO s’est exprimé en bon intellectuel de manière objective ; au dessus de la mêlée.
    Alors, que les uns et les autres laissent de coté les émotions pour aller à l’essentiel : c’est à dire le retour de la stabilité au Faso à travers l’organisation d’élections inclusives.

    Les autorités du faso n’ont pas à détourner l’attention de la population par une pseudo ingérence des autorités ivoiriennes dans le coup avorté intervenu au Burkina.
    C’est d’ailleurs un non-événement pour nous ivoirien ; ce que nous retenons c’est que le Burkina a été complice de la déstabilisation de la cote d’ivoire pendant 10 ans.

    Et si les autorités actuelles du Faso ne ménagent pas leur attitude vis à vis de la cote d’ivoire ; ce pays en assumera les conséquences. Allons-y seulement !

  • Le 20 octobre 2015 à 14:35, par SAPO En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    La vérité rougi les yeux mais ne les casse pas. Il ’y a beaucoup de vérités dans ce que ce Monsieur a dit . Et on s’en aperçoit en lisant les réactions de uns et des autres qui auraient souhaités lire autre chose.
    On se rappelle lors d’une rencontre à la présidence du Faso sur la participation ou non des burkinabés de l’étranger aux élection de 2015 , Michel KAFANDO avait entres autres raisons dit que ceci :<< les élections ne peuvent pas être organisées en Côte d’ivoire parce qu’on connait pas le nombre de burkinabés qui y vivent là bas et surtout que nous n’avons beaucoup d’ami là bas. Si KAFANDO lui même a considéré les autorités ivoiriennes comme étant des ennemis du Burkina faso , quoi de plus normal qu’après le putsch manqué, les autorités judiciaires s’acharnent contre des personnalités ivoiriennes.

    Dans tous les cas la vérité apparaitra un jour quelque soit la durée de la nuit.

    D’or et déjà les autorités transitoires ont intérêt créer des conditions d’une meilleure relation entre les deux pays que de jouer au gros dos.
    L’économie du Burkina Faso est largement dépendante de celle de la côte d’ivoire qu’on le veille ou pas.

  • Le 21 octobre 2015 à 16:05, par sam wampuzy En réponse à : Tribunal militaire et Amitié Ivoiro-Burkinabè

    Internaute n0 123 soit tu fais preuve de mauvaise foi ou tu es ignorant.Tu veux nous faire croire que mr djibo est au dessus de la mêlée. Tu le connais certainement mieux que nous burkinabe puisqu’il semble être ivoirien.Sans être philosophe ou intellectuel en le lisant on sent tout de suite qu’il a un parti pris.A savoir un pro Compaore-Ouattara-Soro-Diendere.Les forces du mal,(selon des voix plus autorisées) des ténèbres ou l’axe du mal.Les forces rétrogrades, revanchardes et nostalgiques d’un passé à jamais révolu au Burkina.Tu crois naïvement que ce sont les autorités de la transition qui accusent Ouattara et Soro. Ce que tu feinds d’ignorer, depuis le début des tentatives de charcutage de notre constitution Ouattara et soro ont tenté plusieurs mediations entre Blaise et le CEFOP après avoir vainement tenté d’empêcher l’hémorragie causée par la scission des RSS et la création du MPP.Il vous souviendra que Rock, Salif et Simon ont été invités par Alassane à Abidjan pour certainement leur proposer de pas rejoindre l’opposition. Après les 30 et 31 Blaise a posé ses valises en Eburnie et depuis lors est mis aux petits oignons par ses anciens protégés ADO et Soro qui tiennent à lui témoigner toute leur reconnaissance de 10 ans de soutien comme tu le dis.Ce n’est pas le Burkina qui apportait ce soutien aux ADO, Soro et Co.mais des individus en l’occurrence Compaore, Diender et Co . Même s’ils occupaient des hautes fonctions ils n’ont pas agi sous mandat de l’assemblée nationale.Donc cela ne peut engager le Burkina car c’était des relations privées. Des réseaux mafieux on va dire. A ce titre, ces individus ou ex personnalités pourraient répondre un jour devant les juridictions internationales un jour s’ il est prouvé qu’ils ont d’une manière ou d’une autre sponsorisé des belligérants de la guerre civile ivoirienne ou la crise poste electorale de 2010 à 2011.Cher Mr Sakharov revoyez vos analyses. Les autorités ivoiriennes que vous citez ne sont pas aussi clean ou complètement étrangères à la crise que vient de traverser notre chère patrie le Burkina Faso. Et puis nous vous demandons tout simplement de respecter le droit et la souveraineté de notre peuple à prendre son destin en mains et respecter ses aspirations profondes à la liberté, la justice et la démocratie. En attendant nous burkinabe nous ne nous immixons pas dans les affaires intérieures du peuple frère de Côte d’Ivoire à qui nous souhaitons des élections apaisées et la stabilité. A bon entendeur. ..

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