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Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

Publié le jeudi 6 novembre 2014 à 16h47min

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Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

Je m’incline avec déférence devant la mémoire de nos compatriotes morts. Que la terre libre du Burkina Faso, le pays de leurs ancêtres, leur soit légère. C’est d’autant pénible que ce le fut dans la fleur de l’âge parce que nous les adultes qui aimons tous notre pays, avons failli quant à surmonter nos différences politiques. J’offre ma compassion aux blessés et leur souhaite une prompte santé. J’ai argumenté pour le référendum révocatoire ou plébiscitaire, le peuple souverain a administré la révocation directe. Burkina Faso, je suis ton fils, je m’incline et demande ton pardon.

Je vais traiter ici du problème de la reconnaissance et du retour de l’histoire comme histoire incarnée dans l’exacte mesure où le peuple a montré qu’il a du ressort. Aujourd’hui du Burkina Faso, l’on entend que les clameurs de la rue se sont tues. Les oppositions hétéroclites mais coalisées pour la circonstance retrouvent leurs vieux réflexes sectaires tandis que les jeunes du mouvement Balai citoyen, qui m’ont agréablement surpris par leur patriotisme et leur prise de responsabilité vis –à-vis du contexte de désordre et d’insécurité, du feu islamo-terroriste à nos portes, se retrouvent sur des longueurs divergentes ? Je salue les dirigeants de ce mouvement citoyen et salue la retenue et la responsabilité de notre Armée. Nos deux bravoures. Quant aux politiciens, ils sont toujours dans la division sectaire et irresponsable. Quels sont alors les paradigmes qui inspirent notre approche de la réalité burkinabè contemporaine alors même que les insurgés ont chassé le bâtisseur de la Nation que sa génération lui a offert ? Les temps troublants en cours depuis ce mémorable 31 octobre 2014, annoncent-ils des développements historiques prometteurs ?

Les contraintes sont les contraintes

Le Burkina Faso, est une terre marquée par l’inclémence de la nature. Son destin dérive de ce fait incompressible et est à sculpter, au sein et en dehors de celle-ci comme force de domestication au sens de l’injonction cartésienne de se rendre comme maîtres et possesseurs de la nature , et comme échappatoire au sens de s’en sortir au plan économique et social. Dans ce contexte, il est essentiel, de se départir des rêves d’emprunt, des idéalismes appauvrissants et des fulgurances discursives lors même qu’elles s’avèrent innovantes en tant que discursivités. Il est clair que l’idéal se fait, se défait au sein des trajectoires individuelles et collectives. Au Burkina Faso, les paradigmes qui doivent nous guider, nous inspirer pour mieux appréhender la réalité vécue des peuples de cet espace, s’appellent inclémence de la nature, ardeur au travail, discipline et respect de sa propre dignité et celle de l’autre. La surdétermination de l’agir communautaire et individuel par cette nature inclémente a fini par sculpter en chacun des descendants de cette terre, l’attachement viscéral aux valeurs du travail. La dignité du chef de famille n’est –elle pas de pouvoir déposer le pain sur la table familiale ? Les enjeux de la simple survie quotidienne ont forgé un caractère national ancré durablement sur les valeurs de travail, d’efforts acharnés pour arracher à la nature, la mère nourricière démunie, de quoi conserver et perpétuer la vie. L’on ne s’étonnera point de constater que tout refus du rude labeur est sévèrement puni. Qu’on se rappelle déjà qu’au moyen âge africain, Soundiata Kéita avait interdit l’oisiveté. Il y avait le corps des surveillants généraux qui passaient chaque matin dans les familles pour débusquer les oisifs et autres abonnés à la paresse pour les obliger à prendre la route des champs et des ateliers (forgerons, tisserands etc. ). L’article 07 de la Charte de Kurukan Fuga de 1240 instaure la contrainte de tous les valides de la société au travail aux fins de gagner la bataille de la survie et de la prospérité. Sur le plateau mossi, la situation est presque pareille tant l’attachement au travail est source de légitime fierté. Lorsque la colonisation, cette calamité venue d’ailleurs s’est ruée sur l’Afrique, les bras valides du plateau mossi étaient l’objet de rivalités entre les colons anglais de la Gold Coast (Ghana actuel) et ceux de la basse Côte d’Ivoire. Voici ce que le professeur Ki-Zerbo écrit in Histoire Générale de l’Afrique, p. 505 :

« La partie voltaïque de la Côte d’Ivoire, était littéralement vidée de ses jeunes gens, entassés sur de simples plates formes traînées sur le rail vers les plantations du Sud ». L’administration coloniale depuis la fameuse déclaration du Gouverneur Raphaël Antonetti (1917-1919) : « Au Nord sont les bras, au Sud, les richesses », encourageait l’exode massif des populations du plateau mossi vers le sud de la colonie pour les champs de cacao et de café et au besoin, comme un ultime retournement de la contrainte au travail instituée depuis 1240 dans l’Empire du Mali pour la prospérité endogène des Mandenkas, par le fouet et les humiliations au profit du bien-être des citoyens de la métropole. De la sorte, près de 100 000 Mossis et Gourounsis étaient drainés vers la basse Côte d’Ivoire vers 1910. Voici le contexte historique dans lequel, la Haute Volta fut restaurée en 1948, dans ses frontières de 1932. Ce contexte historique, tout en mettant en valeur les valeurs de travail et d’intégrité comme destinations premières des Burkinabè suivant la quête de restauration du sens premier des Pères de la Révolution démocratique et populaire de 1983, nous restitue aussi, partiellement, les sources du mépris dont sont victimes les Burkinabè en Côte d’Ivoire actuelle. Ils y sont toujours perçus comme des ouvriers agricoles ou commis en tous genres que les Pères de l’ivoirité comme haine de l’autre, que sont les fondateurs de l’Union fraternelle des originaires de Côte d’Ivoire créée en 1929 et la ligue des originaires de Côte d’Ivoire de Christian Groguhet et Pépé Paul, qui s’est rendue coupable des pires crimes contre les Dahoméens et Togolais en 1958.

Inclémence de la nature et devoir de bravoure des Burkinabè

Le lieu dont on parle aujourd’hui concernant le Burkina Faso, est donc celui de cette inclémence de la nature que le Président Ouezzin Coulibaly évoquait déjà dans son Discours-Programme à l’Assemblée Territoriale de la Haute-Volta, le 30 mai 1958, discours testamentaire tant il fut le dernier :

« La mobilisation de toutes les couches populaires contre l’inclémence de la nature, contre l’ignorance et contre la misère. » De vrais défis inchangés.
Ce combat-là, est le lieu indépassable du Burkina Faso contemporain pour peu qu’on songe au temps qu’a mis le personnel politique de notre pays à réaliser les infrastructures routières qu’annonçait ce même discours de 1958 :

« Nous pouvons rétorquer aux techniciens que le mauvais état des routes n’est certainement pas étranger à l’insuffisance du trafic. S’il est exact que le tronçon de route fédérale de Bobo-Ouagadougou, par le fait même qu’il longe le rail, perd de son importance, il n’est pas de même de la route de Mopti, Nouna et Bobo, appelés route du poisson. Son bitumage pourrait être supporté par trois territoires : Soudan, Haute-Volta et Côte d’Ivoire, car c’est aussi la route de la cola. » Il fallut attendre 56 ans après que la solidarité du peuple américain se manifeste et permette de réaliser avec le Millénium Challenge Account, cette route de la cola par Djibasso, frontière du Mali.

Le Conseil de l’Entente, plus vielle organisation régionale ou l’Uemoa auraient pu s’en approprier depuis belle lurette ou simplement le Budget National, cahin caha dans la sueur, les larmes et le sang pour paraphraser Le Premier Ministre Winston Churchill. Le Burkina Faso est face à deux paradigmes inchangés : l’inclémence de la nature et le devoir de bravoure de ses enfants. Aussi, le quotidien et l’avenir de ce pays coïncident avec le temps des bâtisseurs, génération après génération dans la discipline, la stabilité et la fraternité.

Développements historiques prometteurs face aux impatiences à venir

Le temps des bâtisseurs est celui de chef qui croit dans le dialogue et le compromis politiques. Le Président Blaise Compaoré pratiqua ces deux recettes jusqu’au dernier moment puisque l’esprit et la lettre du projet de loi introduit devant l’Assemblée Nationale l’attestent. Peut-il en être autrement quand on sait que même les dirigeants de droit monarchique savent que, lors même que leur mandat est supposé de droit divin, venu du paradis, le paradis lui-même, comme disait Mencius le sage et disciple confucéen, voit avec les yeux du peuple et entend avec les oreilles du peuple. Pour dire que le socle même divin de la souveraineté politique réside dans le peuple. Vox populi, Vox dei. En présentant sa démission, le Président Compaoré prend acte de ce fait incompressible. Maintenant, le temps des incertitudes est lancé, les attentes légitimes et immédiates du peuple doivent être comblées. De la continuité éclairée avec Blaise Compaoré, le peuple préféra la rupture tellurique, de mon concept de référendum révocatoire ou plébiscitaire, le peuple souverain administra la révocation directe, et par là même, engagea les temps troublants mais aussi prometteurs. Les temps qui tanguent sont souvent propices aux personnages qui affectionnent les raccourcis. L’ancien Président Laurent Gbagbo par exemple a fait conspuer le père fondateur de la Côte d’Ivoire moderne, le Président Houphouët-Boigny. Helmut Khol, de la CDU, le père de la Réunification allemande a été remercié par le peuple et remplacé par Gerhard Schröder, le Chancelier social-démocrate, issu du SPD. Les attentes populaires des temps troublants sont souvent des attentes rudes dans un temps court. Elles sont celles qui doivent être tenues alors même que les contraintes sont les contraintes et relèvent du temps long. Le peuple exige d’être heureux comme le bonheur. Mais le bonheur, l’eudaimonia, en ce début du troisième millénaire vachement gras, est malheureux. Tandis que les coteries politiques, d’ici ou d’ailleurs, qui sont traversées par la seule quête et l’exercice du pouvoir d’Etat, continuent de le promettre.

Cette distorsion entre les attentes légitimes du peuple et la simple prise et jouissance du pouvoir d’Etat, risque de prolonger les temps troublants, de ventiler des promesses sans lendemain, parfois même des reculs désespérants. Lorsque ces contradictions entre les attentes et les réalisations socio-économiques sont au summum, de nouveau, nous entrons dans un cycle de reconnaissance des acquis antérieurs. Ce cycle coïncide souvent avec celui de la réhabilitation.

La réhabilitation de Sankara comme idéal et de Compaoré comme bâtisseur

L’oubli est le devenir des destins ordinaires. L’amnésie collective, dans l’absolu, n’existe pas pour les destins exceptionnels. C’est pourquoi, la réhabilitation est toujours à l’œuvre dans de petits cercles avant que la pleine lumière les revisite. J’entrevois la réhabilitation des acteurs de la Révolution de 1983. Une double réhabilitation comme idéal d’intégrité destinale incarné par Thomas Sankara. L’ascension et la réalisation de l’apothéose du courage et de la volonté populaire sont homonymes de l’intégrité destinale. Cette entreprise métaphysique a réalisé son objet avec le soulèvement populaire du 30 octobre 2014 pour consacrer la devise de l’Empereur du Wassoulou, l’Almamy Samori Touré : lorsqu’un homme refuse, il dit non. Lorsque ce Non est énoncé, son objet est réalisé qui n’est rien d’autre que la proclamation de sa propre intégrité morale. Les Burkinabè ont réalisé le 30 octobre 2014 leur destination : l’intégrité. Ce faisant, le Burkina Faso n’a pas trahi son nom propre.

L’attente des pères de la Révolution Démocratique et Populaire est comblée par le soulèvement populaire du 30 octobre 2014. Que l’histoire soit cruelle comme Bismark le père de la Realpolitik invite à constater, qu’elle soit ironique si l’on est en pleine possession de son humour, le peuple courageux est allé au bout de sa volonté tandis que son bâtisseur est aussi allé au bout de son bon droit. Ce courage lucide du démissionnaire est symétrique au courage survolté du peuple. L’intégrité burkinabè, comme patience mais aussi comme détermination, est alors l’apothéose et l’accomplissement du courage et de la volonté de part en part. Que le Président Blaise Compaoré se soit trompé sur la soif d’alternance ou que son entourage l’ait trahi, en baptisant le Burkina Faso en 1984, pays des hommes intègres, c’est se préparer à assumer et s’assumer lorsque cet idéal destinal vous fait signe. Il faut le suivre. L’ancien président l’a suivi en évitant de verser le sang de son peuple disjonctif i.e. Ceci ou Cela (pas de dialogue, pas de compromis dans son sens bi univoque), c’est aussi le seul moyen d’ensemencer, au bord de l’abysse, les graines de retour de l’histoire comme histoire incarnée, un certain jour, un jour certain. Le « je me souviens » qui parie sur la rupture des stocks de promesses sans lendemain des élites politiques courtermistes refait surface.

La cohérence lucide et le rêve éveillé

Je revenais de Winnipeg en partance pour New-York ce jour du 22 décembre 1998. On arriva à la gare des bus Greyhound tôt le matin à Fargo, dans le Dakota du Nord. Enfant du Sahel, je fus subjugué par ces bancs de neige dissemblables aux dunes de sable de Gorom Gorom. Quel rêve m’était-il permis ? A l’évidence, pas celui de destin lunaire.

Ou le sable fin ou la neige blanche. De la même manière, le rêve éveillé de changement rapide n’est pas le changement rapide. Ce rêve éveillé est aussi celui qui ramènera en surface, à la pleine vigilance mémorielle, le leader antérieur qui a bâti des ponts pour raccorder le rêve éveillé du peuple aux contraintes vécues pour mieux asseoir les conquêtes socio-économiques. Face aux contraintes rudes post Réunification de l’Allemagne, les Allemands renvoient le SPD et son chef Gerhard Schröder et ramènent une disciple du vieux Helmut Khol, nommée Angela Merkel, la Chancelière.

Le retour de l’histoire ramène en surface le leader, jadis tombé en disgrâce ou dans la somnolence mémorielle. Dire que le peuple a du ressort, c’est attester que lui seul détermine son destin mais aussi, c’est accepter que parfois, il sort de la somnolence mémorielle, certains de ses chefs. Les empires de rêves ne sont pas les empires de vérités. Peut-on dire que le soulèvement de Ouagadougou et les surgissements populaires comme ceux de Leipzig dans l’ancienne RDA qui ont sonné le glas de la République Démocratique Allemande sont des empires de rêves ? Il est certain que les surgissements populaires donnent lieu toujours à des ajustements comme retour de l’histoire. C’est sûr aussi que les premiers s’écroulent à jamais tandis que les seconds sont toujours victorieux. Les empires de vérités sont ceux des réalisations socio-économiques, de la floraison démocratique, de la stabilité et de la paix que le Président Compaoré a obtenus pour le Faso. Mais le besoin d’alternance que je veux générationnelle fut le mur infranchissable. Ces empires de vérités surplombent le temps historique comme immédiat agencement des artefacts, chers à l’historien Fernand Braudel.

Ce qui semblait tantôt comme fermeture devient tout aussi soudain, comme ouverture vers le ciel étoilé au-dessus de nos têtes et qui était source d’éblouissement pour Kant. Les autres empires de crimes et de compromissions (si l’ancien président Blaise Compaoré avait ordonné de tirer sur la foule, à sa garde, restée fidèle à lui le 30 octobre, foule qui menaçait de prendre Kossyam, le palais présidentiel) et de demi-vérité ou semi mensonges ou véri-similarités, l’on aurait abouti à des triomphes évanescents parce que mensongers, lieux des tourments immédiats ou futurs.

L’ancien président Laurent Gbagbo n’a pas su incarner cette sagesse du contexte lors de la crise post-électorale de 2010 en Côte d’Ivoire. Le prix de ce manque de lucidité et de sagesse, le peuple ivoirien l’a payé cash : des milliers de morts, de blessés et d’invalides. Blaise Compaoré a su au contraire, avec patriotisme et lucidité, incarner l’Etat là où Gbagbo a cru devoir assumer le délitement de l’Etat, le hooliganisme, la loi de la jungle et le meurtre gratuit, le sacrifice de ses compatriotes et des enfants d’Afrique résidants en Côte d’Ivoire. Du sang innocent africain versé par un soit- disant panafricaniste juste pour conserver et jouir du pouvoir d’Etat. Blaise Compaoré s’est offert lui-même comme l’agneau de sacrifice, évitant ainsi l’effroyable et l’irréparable pour notre Nation. La chefferie ivoiritaire de Gbagbo fut un lapin posé au panafricanisme authentique, celui inspiré de Nkrumah. Comparer le facilitateur Blaise Compaoré de la paix des braves des frères ivoiriens à Laurent Gbagbo, c’est se cramponner à des calomnies intenables, désespérément.

L’obscurité abyssale est asymétrique à la lucidité étoilée. Le retour de l’histoire est l’horizon d’attente de la lucidité qu’incarne l’ancien Président Compaoré tandis que la déchéance et l’oubli charrient l’ancien Président Gbagbo. Comparaison n’est pas raison. Philosophe des sciences, je souscris à l’apophantique aristotélicienne qui nous permet de dire d’un énoncé qu’il est vrai ou qu’il est faux. Les frontistes du FPI croient au contraire connaître le temps comme éternité et comme dévoilement de type heideggérien de la vérité ou aléthéia. Leurs rapports au temps sont de type interprétatif sectaire, une herméneutique partiale et parcellaire, qui a fait ses adieux à la vérité née du logos.

Mamadou Djibo, Ph.D.
Philosophie

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Vos commentaires

  • Le 6 novembre 2014 à 17:01 En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    Merci M.Djibo, c’est grâce a vos écrits aux déclarations arrogantes des soutiens de l’homme fort que nous avons eu cette motivation extrême à vous montrer notre détermination et notre attachement à notre constitution. N’oubliez pas de saluer l’autre camerounais de notre part.

  • Le 6 novembre 2014 à 17:03, par Annie Amousso Traoré En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    Quand on demande aux gens de mettre de baume sur leur coeur et on lit les insanités de ces pseudo-intellectuels qui encensaient la tenue du référendum (donc aussi comptables de la situation actuelle), il y a de quoi y perdre sa patience. Ce vaurien de Djibo n’a meme la decence de laisser le peuple enterrer ses héros qu’il vient encore de facon nauséabonde, donner son point de vue de vendu. Non, non et non.
    PS : Webmaster, laisser passer ce message qui est une mise au point définitive.

  • Le 6 novembre 2014 à 17:12, par Le Pardon En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    Je vous propose d’accepter la demande de pardon de Djibo après qu’il ait reconnu ses erreurs, présenté ses condoléances aux héros morts pour la survie de notre patrie et compatis aux blessés. La vie est faite de péchés et surtout de pardon pour avancer. Va et ne pêche plus....

  • Le 6 novembre 2014 à 17:23, par kambiré En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    Cher Philosophe, votre analyse bien que scientifique occulte la dimension actuelle du Burkina. COMPAORÉ a favorisé la libre expression, la libre insurrection, qui a permis aux PCRVISTES de revenir sous le couvert du balais citoyen et de la société civile : Kam Hervé ANEB des années 1980, Ibriga, Loada, tous PCRVISTES, comme Halidou Ouédraogo qu’ils veulent imposer à l’opinion. Quid l’alliance avec les libéraux de Diabré, les sankaristes de Bénéwendé ?
    affaire à suivre....

  • Le 6 novembre 2014 à 17:30, par kambiré En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    Attention aux révisionnistes. Attention aux PCRV (parti communiste voltaïque) qui n’accepte pas la Révolution d’août 1983, qui n’accepte pas le vrai peuple du Burkina. L’histoire vous attend.

  • Le 6 novembre 2014 à 17:30, par l’éveillé En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    vous êtes resté égal à vous même !griot de Blaise Compaoré !!!!vous ferez mieux de faire profil bas !!!

  • Le 6 novembre 2014 à 17:42, par Raso En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    Les opportunistes qui sentant que le vent a tourné essayent de se re-alligner..

  • Le 6 novembre 2014 à 17:48, par encore Vous En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    Bonsoir M ; DJIBO. Dans tout ce charabia, j’ai retenu une seule phrase ou du moins deux : "J’ai argumenté pour le référendum révocatoire ou plébiscitaire, le peuple souverain a administré la révocation directe. Burkina Faso, je suis ton fils, je m’incline et demande ton pardon." Vous auriez dû vous arrêter à ces deux phrases. Le reste est comme d’habitude une diarrhée qui nous intéresse pas. Que vient chercher le président GBAGBO dans notre révolution. C’est à peine si vous ne regrettez pas que le nombre de nos martyrs ne se compte pas par centaines. Retenez juste ceci : Blaise a bel et bien ordonné de tirer sur les manifestants, sinon comment expliquez vous la trentaine de morts ? Si le massacre n’a pas été à la hauteur de vos espérances , c’est tout simplement parce que notre armée a désavoué votre mentor en refusant d’aller plus loin. En tout état de cause , chaque chose en son temps. Nous allons prouver que votre mentor ne vaut pas mieux que gbagbo. En attendant nous avons d’autres chat à fouetter.
    sans rancune

  • Le 6 novembre 2014 à 18:02, par Mex100 En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    Comme d’habitude, trop long et trop confus. Mais on a compris l’idée. Même pour essayer de faire oublier ses écrits d’hier, ce pyromane n’est même pas capable de faire amende honorable. Les morts ne sont pas encore enterrés que le révisionisme est déja en marche.
    Même posture que les dirigeants du CDP, de L’ADF/RDA et de leur Front Répblicain pour le viol à la "légalité sans faille" de notre constitution. Mêmes éléments de langage comme disent les communiquants :
    1. BC dans sa grande sagesse (subitement retrouvée) s’est sacrifié pour sauver le Burkina.
    2. Les vils opposants et la jeunesse manipulée a mis le feu au Faso, mais la grande retenue de leurs patisans (en fuite) a évité le pire.
    3. On ne reconnait surtout pas que tout ça est dû à un entêtement, une arrogance, un aveuglement, un mépris pour le peuple qui n’ont d’égal que la servilité et la veulerie des zélateurs et courtisans qui flattaient le roi Blaise.
    Tous ces larbins opportunistes inpénitents sont des criminels !

  • Le 6 novembre 2014 à 18:08, par Yeral Dicko En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    Va la-bas comme dira mon ami Sanou Ibrahim ! Pour un retour rapide a l’accalmie nous vous supplions de la fermée en cette période où nous continuons a pleurer nos morts et panser nos plaies

  • Le 6 novembre 2014 à 18:08, par drôme26 En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    pffffffffffffff !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

  • Le 6 novembre 2014 à 18:11, par mécontant En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    Arrêter de nous prendre la tête avec vos belles paroles, c’est vous qui galvauder le terme intellectuel, au lieu de mettre votre intelligence au service du plus grand nombre, vous divaguer avec des écrits opportunistes et occasionniste juste pour vous faire voir. vous répondrez tous de votre couardise face au moment ultime ou devriez prendre position.

  • Le 6 novembre 2014 à 18:26, par Alexio En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    Cessez votre griotage, soit philosophique. La raison du peuple qui vaincu la deraison d un homme que le meme peuple lui est avait investit toute sa confiance.
    Chaque chose a son temps sur cette terre. La basalite de cette reflexe a manquer a Blaise Compaore. Ayant sous-estimer les sans voix au profit de ces vendeurs fictions qu il s entouraient.
    La chute etait inevitable. L usure du pouvoir etait consommer.

  • Le 6 novembre 2014 à 18:33, par El-padré En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    C’est bon tout ce que tu dis M. le Philosophe.
    Ici au Faso, les choses ont évolué à tel enseigne que tes théories et bribes de citations ne tiennent plus.
    Le Burkinabè du 31 Octobre 2014 est pragmatique et fougueux.
    Tu as passé ton temps à pomper l’air aux dignitaires du régime déchu, à tel point qu’ils ne réalisaient plus que "la morale sociale ne transcendait pas la légalité/légitimité".
    Je te demande une seule chose, arrêtes tes divagations car il y a d’autres chats à fouetter actuellement au pays. Nous avons besoin de toute notre sérénité pour remettre le pays sur les rails après des années de clanisme avéré.

    Merci beaucoup M. le Philosophe, que Dieu te rende aux centuples de ta contribution au désordre que vit le pays.

    La patrie ou la mort, nous vaincrons !

  • Le 6 novembre 2014 à 18:38, par ELKABOR En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    Voilààà le "Foulosophe" de retour. Vous devez avoir honte ! N’est ce pas ? On vous avait bien prévenu que le jour où Blaise va annoncer le référendum sera le dernier jour de son pouvoir. Nous vivons sur place ici au Burkina et connaissions la détermination des gens face à cette question. Mais comme vous vous conservez dans le froid là-bas vous croyiez nous donner des leçons avec vos ramassis de citations : nous c’est concret !

  • Le 6 novembre 2014 à 18:52 En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    M. Djibo, il aurait fallu prendre le temps de mûrir davantage votre réflexion et laisser le temps aux peuple de revoir son coeur apaisé après tout ce que nous avons vu. Il est vrai que votre ton a un peu changé mais dans le fond, vous semblez être deux choses à la fois. Mais non, c’est l’une ou l’autre :
    1. vous êtes d’une naïveté infantile : voyez-vous ? il n’y a de doute pour personne que Blaise Compaoré a été un bâtisseur. voilà pourquoi, le peuple a accepté tout ce qu’il a accepté, au point que Blaise a duré 27 ans au pouvoir. Mais personne, sauf vous, n’ignore que si Blaise s’accrochait au pouvoir, ce n’était pas tant pour bâtir que pour préserver ses intérêts personnels et ceux de son clan et éviter de répondre de ses bêtises du passé. Or c’est en vain que vous démontrerez que personne d’autre ne peut être aussi bâtisseur que Blaise. Pourquoi ne pas leur donner l’opportunité ? par contre, personne d’autre ne peut répondre des bêtise de Blaise. Et il sont des millier ceux qui ont le droit à ce qu’il réponde. Pourquoi les priver de leur droit.
    2. vous persistez à défendre l’indéfendable, quoique avec moins d’arrogance ( mais ce n’est que le début). seriez-vous alors un vilain corrompu gagné à la cause de Blaise malgé son déclin ? C’est vrai que même déchu Blaise est capable de faire vivre, voire d’enrichir ses suppôt. Ou seriez un intellectuel à l’intelligence et conscience érronnées ?
    M. Djibo, ne mettez pas votre intelligence au service du mal. Il est encore tant de vous corriger.

  • Le 6 novembre 2014 à 19:24, par toega En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    Shame to you.

  • Le 6 novembre 2014 à 20:38, par Kantigui En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    Il faut vraiment arrêter maintenant ce genre de publication. J’aime bien la liberté d’expression, mais ce gars doit être fou à lier. Autant Blaise répondra devant l’histoire autant ce griot répondra de s’être vendu. Bon attendons maintenant une sortie de l’autre Nyamsi..qui va aussi tenter de noyer le poisson.

  • Le 6 novembre 2014 à 20:44 En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    j’ai fait du zapping de votre torchon et en le par ci par là,tu parlais du mca mais curieusement par ta mauvaise foi tu ne dis pas pourquoi ce mca ne fut pas reconduit au Faso de l’ex sanguinaire blaise compaoré alors qu’ailleurs comme au Bénin il est reconduit ?La réponse coule de source mais tu refuses de voir. à cause de la mal gouvernance de ton mentor qui prenait le Faso pour son ziniaré natal,les Ricains ont préféré diplomatiquement mettre la clé sous la porte.
    ensuite pour parler de ce boulanger laurent gbagbo,c’est le terme de "ex président" que tu utilises mais quant à ton criminel tripatouilleur,c’est "monsieur le président". souffre que ton blaise compaoré n’est pas notre président,il est chassé comme un mal propre et il est mal propre. en plus c’est un apatride. blaise compaoré est déjà oublié et oser le mettre sur le même pied que THOMAS SANKARA,c’est se foutre de son monde mais comme tu es un philou-sophe,personne ne fait plus attention à tes âneries. en tout cas THOMAS SANKARA sera réhabilité avec tous les honneurs alors que ton criminel sera enterré hors du pays comme mobutu. en un mot comme en mille,blaise compaoré est déjà oublié alors que cela fait plus de 27 ans que THOMAS SANKARA est et restera toujours dans nos mémoires car il était un patriote,un intègre. rien à voir avec ce patin de la françafrique. n’eut été ces protecteurs on lui aurait fait sa fête pour rendre justice à THOMAS SANKARA mais l’espoir est permis car ton criminel ne s’en tirera pas comme ça car je suis persuadé qu’il va rejoindre son ami gbagbo à la Haye.

  • Le 6 novembre 2014 à 20:57, par Ivresse du Pouvoir En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    Mr Djibo ou plutôt Djibo PHD, merci pour votre ecrit. D’habitude, je ne vous lis pas, mais aujourhui, j’ai fait l’effort de lire la partie introductive. Je retiens seulement ce que vous avez ecrit : "J’ai argumenté pour le référendum révocatoire ou plébiscitaire, le peuple souverain a administré la révocation directe. Burkina Faso, je suis ton fils, je m’incline et demande ton pardon". Pour le reste je ne dirai plus rien. Ne dit-on pas que "seul le silence est grand, tout le reste n’est que faiblesse". Je souhaite seulement que vous tendez mieux l’oreille pour ecouter et que désormais quand le peuple va clamer sa soif de justice et de liberté, à defaut de vous joindre à lui, il faudra vous taire.
    Quand à Kambiré (forumiste N°3 et 4), par quelle alchimie vous faites un lien entre le PCRV et le balai citoyen : le balai citoyen qui a comme idole Thomas Sankara, le PCRV qui n’accepte pas la revolution de 1983. Pouvez vous m’expliquer votre logique ?

  • Le 6 novembre 2014 à 21:09, par sanouwoulé En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    Merci docteur Djibo pour cette brillante réflexion. merci aussi pour cette grandeur d’âme en rendant hommage à nos morts. Tu es un patriote même si mon opinion est différente de la tienne.Tolérance. Dieu vous bénisse et bénisse le BF. Merci professeur.

  • Le 6 novembre 2014 à 21:35, par Obese En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    C’est grâce à ces genres de soutient déconnectés de la vie réelle des Burkinabè que nous sommes arrivés là ou nous sommes avec des pertes en vies humaines. Tiendrez-vous le même discours si l’on comptait parmi les victimes un de votre famille ?

  • Le 6 novembre 2014 à 21:57 En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    M. Djibo, vous aussi, vous devrez dégager !

  • Le 6 novembre 2014 à 22:31, par KARL En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    Le philosophe doit être sage et opter pour l’honnêteté intellectuelle, Monsieur Djibo sache que ton Blaise n’a pas voulu démissionner, ça été une contrainte pour votre sanguinaire de démissionner, il y avait la pression du peuple et des militaires intègres comme ZIDA.

  • Le 6 novembre 2014 à 23:28, par Burkinabè A En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    En vérité je me demande l’intérêt que peut revêtir un tel écrit dans l’ère post Compaoré. Même s’il commence par un méa culpa qui n’en a pas l’air, je voudrais reconnaître le courage ou témérité de Djibo qui, à la différence des autres laudateurs d’un autre âge, continue contre vents et marées à défendre l’l’homme fort qui n’a été en réalité que l’ombre de lui-même. Dommage !!!!

  • Le 7 novembre 2014 à 01:27, par Evelyne Kiswensida En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    A vos refuges ! L’homme des cantines est de retour. L’homme des réfectoires, le CANTINISTE qu’un coup de concept a sonné. Il demande notre pardon ? Nous qui n’avions plus d’oreille pour l’entendre, ni d’yeux pour le voir. Celui-là même qui claironnait, il n’y a pas longtemps, qu’il fallait modifier notre loi fondamentale parce que l’article 37 lésait les droits d’UN BURKINABE. A côté de CE BURKINABE, il y avait les autres, ce reste qui ne comptait pas. Et ces autres, le Cantiniste ne les voyait pas. Ils étaient si petits que leur voix était inaudible. Le philosophe pouvait appréhender des "concepts abscons", mais les choses très simples et claires, il ne pouvait les discerner. Maintenant qu’il y a des dégâts pour 200 milliards, le Cantiniste nous tend la main parce qu’il a compris son erreur. Sauf qu’il comprend après que son BURKINABE, l’UNIQUE qui était lésé par notre article 37, soit tombé. Non Monsieur DJIBO (c’est la première fois que je vous appelle par votre prénom), ça ne suffit pas. Il nous en faut plus pour nous convaincre ! Le Pays a besoin de tous ses enfants, mais il au préalable fixer chacun sa responsabilité avant de nous projeter ensemble dans l’avenir. Vous ne passerai pas sous silence la part de vos articles dans l’entêtement bovin de notre ex président. Que vaut le Phd canadien de philosophie ? Strasbourg nous semble préférable !

    Eveline Kiswensida

  • Le 7 novembre 2014 à 07:23, par Abibata En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    "Mais le besoin d’alternance que je veux générationnelle fut le mur infranchissable"merci Dr pour cette analyse a chaud.Vous etes d,une coherence extraordinaire comme quoi vous ne defendiez pas un homme mais un principe"referendum"comme jugement moral.Compaore a voulu passe la main a une nouvelle generation sans succes son ancienne ecurie y parviendra ?la reflexion s,impose avec le depart de Compaore un cycle se ferme celui de la RDP du 4 aout.Une chose est certaine d,une maniere ou d,une autre le changement generationnel est a l,ordre du jour,prions que la sagesse l,emporte.

  • Le 7 novembre 2014 à 08:09, par somed En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    Par pitié, ce cadavre politique de Blaise compaoré n’a plus de restes pour vous. Si seulement vous la fermiez

  • Le 7 novembre 2014 à 08:12, par VirousLakea En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    "La réhabilitation de Sankara comme idéal",oui et oui ; "et de Compaoré comme destructeur", oui et oui !
    Ce monsieur griot est un rêveur ! Tu peux compter sur la jeunesse pour effacer les odeurs et les traces de François, de Blaise, des Assimis, des Herman/Noel Gilbert , de partout au Bukina !

  • Le 7 novembre 2014 à 08:13 En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    Le BF ne regrettera jamais et ne reclamera jamais Blaise encore moins vous.Vous pretendez demander pardon en insultant l’intelligence des uns et des autres mais evidement les detritusses et les residus du regime compaoré que vous etes grangrainent toujours la cité.vous etes comme une mauvaise herbes dans cet beau jardin qu’est le BF

  • Le 7 novembre 2014 à 08:17, par SOYONS_SERIEUX En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    Voici un mec qui au lieu de se cacher à quelque part pour qu’on l’oublie comme Niyamsi se plait encore à nous déverser ses pourritures d’esprit avec arrogance. Au diable ! Va t-en espèce de vendu.

  • Le 7 novembre 2014 à 08:18, par El Hadj YANOGO En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    Monsieur Djibo, je ne vous demande pas d’être sérieux ; je vous demande simplement de respecter l’intelligence des burkinabè et des lecteurs du faso.net ! Le peuple du Burkina Faso trouvera toujours les moyens de se débarrasser des idiots comme vous !

  • Le 7 novembre 2014 à 08:58, par LE JUSTE En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    Djibo,tu dit que Blaise a évité de verser le sang ! Que Dieu te maudisse , sale indigne .....

  • Le 7 novembre 2014 à 12:50 En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    Ce monsieur me fait penser à un certain BAMBA de la RCI qui faisait beaucoup de diarhée dans la presse burkinabè. Si j’avais une belle plume, j’aurais envoyé une missive à ce dernier maitenant que son idole se trouve auprès de lui. Les élections ivoiriennes étant pour bientôt, j’espère qu’il songera à le présenter comme candidat surtout qu’il a même déjà acquis la nationalité.

  • Le 7 novembre 2014 à 15:40, par HASS En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    Restons vigilants, nous avons des intellectuels dans tous les domaines, mais les intelligents se comptent. (ex. Pr J KI ZERBO)
    "NA AN LARA AN SARA" NA AN MA WILI AN YERE
    Vive le BURKINA FASO

  • Le 7 novembre 2014 à 16:02 En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    A cause d’ individus comme ce Djibo, j’ ai failli hair la philosophie. Veritable Raspoutine africain, Mais que tu as l’ esprit petit. Caches- toi avant qu’ on ne s’ enerve davantage. ce n ;’est pas le moment de faire reapparaitre ta facheuse tete. On toujours fache, deh !!!!

  • Le 7 novembre 2014 à 16:41, par ombrax En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    quand les gens vantent la grandeur de Blaise parce qu’il a su quitter le pouvoir pour éviter un bain de sang, ça me fait mal. blaise ne pouvait en aucun cas être source de bain de sang parce qu’impopulaire. personne de son groupe na osé braver le vaillant peuple qui l’a contraint, pour sauver sa peau, a démissionner et a fuir à la sauvette. quelle grandeur y a t’il à ne pas avoir démissionner plus tôt et attendre qu’il y ait des morts accidentelles pour fuir ? je dis accidentelles parce que ceux qui ont tiré ne l’ont pas fait pour blaise. ils ont du d’abord penser a sauver leur peau face au peuple en furie qui venait menaçant. n’accordons pas cet honneur à blaise comme quoi il avait des fidèles. il n’en avait pas du tout.
    quand assimi parle de retenue de leurs zélateurs, je trouve qu’il n’est pas sérieux. aucun d’eux na osé même bomber la poitrine dans le secret de sa chambre pour s’opposer. le cdp n’avait pas de militants mais des mange mil sans honte. dans peu de temps nous verrons ces messieurs sortir de leur trou pour faire leur mea culpa et mentir qu’ils étaient tenue en baïonnette par le clan de blaise.
    nous les accepterons parce qu’ils sont nos frères qui ont quand même craquer le brin d’allumette près de la hutte du peuple qu’il narguait surs que leur bunker ne pourrait pas prendre feu. ils doivent toujours se demander comment tout ceci s’est passé. vouloir bruler une hutte et se retrouver sans bunker. mais je demande de leur pardonner mais de ne pas oublier car ces gens bornés sont incapables de se rendre compte de leur erreur de jugement.

  • Le 7 novembre 2014 à 20:43, par Dr Fulgence KABORE En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    D’accord pour le pardon. Mr Djibo peut s’il veut vraiment se racheter, nous être utile en nous disant ses motivations réelles quand il nous écrivait ses textes pro-révisions et pro-sénats. Ça sentait la corruption. Il croyait que BC passerait sur le cadavre de 1000 burkinabè et lui donnerait récompense pour participation intellectuelle à son projet.
    Dis nous la.vérité, ça sera utile pour la postérité.
    Si non les longs textes au contenu vide, on fait rien avec. RIEN

  • Le 7 novembre 2014 à 21:23, par issondres En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    Djibo, j’espère que tu as présenté aussi à l’ex président du Burkina ton sincère regret de l’avoir aidé à foncer dans le mur et engendré tous les morts, les blessés, les sdf, les divisions etc.... Sans encore connaitre toutes les conséquences dont tes écrits sont comptables, tu commences à demander pardon, tu fais diversions sur des sujets qui ne sont pas à l’ordre du jour. Demande aussi à Dieu de te pardonner. Car tu as été sourd à toutes réflexions, nos conseils te disaient à tel point tu te trompais.
    Un condisciple de 85-87 que tu as beaucoup déçu.

  • Le 8 novembre 2014 à 07:44, par KAMBIRE ESAIE En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    on s’en fou vous avez été subjectif dans tous vos écrits et c’est ce qu’il fallait éviter et puis vous devez manger à votre faim vu que vous êtes philosophe ou du moins vous avez étudié la philosophie, sachez que ceux qui sont sortis mourir parce que ton président et mon ex presi en a voulu ainsi parce que encouragé par des gens comme vous autre on ne peut vous pardonner pour cela. ton fameux capitaine a eu 27 ans qu’a t il fait ? oses tu demander, « Les temps troublants en cours depuis ce mémorable 31 octobre 2014, annoncent-ils des développements historiques prometteurs ? », vu vos titres ayez l’humilité de réfléchir et la sagesse un peu on est même pas rentré dans la dite transition et vous posez des questions qui dégagent votre hostilité et dédain a l’endroit des gens bienveillants . vous n’êtes toujours pas OBJECTIF comment vous faites ? et puis ne parlez pas comme si le sang n’est pas versé il a versé le sang même si le nombre de décès se limitait à un seul une seule vie n’a pas de prix mr djibo ! un recall EVITER NOUS VOS GROS MOTS on n’est pas à l’ACADEMIE FRANÇAISE tout ceci montre que vous avez un sérieux problème de communication et FREUD que dit il sur ce que vous avez refoulé jusque là et qui resurgit involontairement ? vous êtes complexé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

  • Le 8 novembre 2014 à 08:06 En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    Tu n as plus rien a nous dire . Tes idees farfellues et autres bassesses ont conduit ton blaise la ou il se trouve alors pitie degage le plancher

  • Le 8 novembre 2014 à 09:19, par Ragnagnewende En réponse à : Le Président Compaoré a-t-il rencontré son destin ou attendra -t-il le retour de l’histoire ?

    Je suis sidérée par l’intolérance que manifestent certaines personnes des lors qu’on n’abonde pas dans le sens qu’elles voudraient, elles. Je crains pour mon pays. Est-ce qu’on pourrait permettre à tout le monde de s’ exprimer librement ? On ne peut pas reprocher à l’ancien régime d’avoir confisqué la liberté du peuple et vouloir faire taire ceux qui osent s’ exprimer. Les gens qui prenaient les sous pour remplir les stades recto verso pour les meetings du cdp sont-ils plus dignes aujourd’hui parce qu’ils ont retourné leurs vestes ? Tolerance, le Burkina appartient à tous SES fils, et il faut du tout pour construire un pays.

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