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L’objet d’étude dans la problématique de la recherche scientifique : Questions de recherche versus hypothèses de recherche

Publié le jeudi 24 mai 2018 à 11h46min

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L’objet d’étude dans la problématique de la recherche scientifique : Questions de recherche versus hypothèses de recherche

La question de la formulation des hypothèses de recherche revient souvent dans les débats où certains chercheurs « soutiennent qu’il ne peut avoir d’étude en sciences sociales sans hypothèse » (de droh et mobio 2019, p.5553). Dans la réflexion qui suit, nous tentons d’apporter notre contribution à la réflexion en répondant à certaines questions que voici : Qu’est-ce qu’une hypothèse ? quels types de recherches existe-t-il ? Quelles incohérences peut-on observer dans certains écrits scientifiques ? Que peut-on dire des approches quantitative, qualitative et mixte ?

INTRODUCTION

Une définition de Légal (2007, p.2) permet de répondre à cette question importante pour les analyses qui suivent. Selon l’auteur, « l’hypothèse est une prédiction qui établit un lien de cause à effet entre une VI et une VD ». Or, la recherche scientifique si l’on s’entend, n’est pas seulement celle qui permet de prédire, mais aussi celle qui peut se définir comme étant une démarche systématique d’acquisition de connaissances qui consiste à explorer une situation pour la comprendre à travers la description des phénomènes qui la composent de façon rigoureuse (RCCFC , 2018).

Dans le présent article qui rend en partie compte d’une recherche sur les difficultés liées à l’élaboration de la problématique, nous essayons de porter notre attention sur les querelles épistémologiques manifestes ou latentes qui animent quelques fois les débats scientifiques à ce sujet, afin de donner notre part de compréhension sur l’usage des hypothèses versus questions de recherche dans les recherches scientifiques en espérant qu’elle serve aux personnes qui y trouveront de la pertinence pour leurs travaux de recherche.

1. LES TYPES DE RECHERCHE ET LA TRAJECTOIRE EPISTEMOLOGIQUE

La problématique d’un rapport constitue la section charnière de la recherche scientifique. Elle permet de formuler l’objet de recherche en vue de l’étude du sujet de recherche (Van der Maren, 1996). Les auteurs de façon unanime, reconnaissent cette étape d’élaboration de la problématique comme étant celle qui permet au chercheur de déterminer et de justifier le type d’étude ou de recherche qu’il souhaite envisager.

Plusieurs critères déterminent la définition des types de recherche : en fonction de l’objectif (recherche théorique ou appliquée), du niveau de profondeur avec lequel un phénomène est étudié (exploratoire, descriptive, explicative ), du type de données utilisées (recherche qualitative ou quantitative) , selon le degrés de manipulation des variables (recherche expérimentale, non expérimentale et quasi expérimentale), selon le type d’inférence (déductive et inductive ou enquête hypothétique-déductive), selon le temps dans lequel la recherche est effectuée (longitudinal, transversale) (Vander Maren, 1996 ; Lamoureux, 2000 ; Howell, 1998).

Dans la logique, lorsqu’on est prêt pour définir une problématique, c’est qu’on connait déjà la manière dont on va aborder l’étude du sujet étant donné que la revue de littérature est déjà entamée et qu’on est imprégné des différents questionnements concernant le traitement du sujet. S’agit-t-il d’une recherche exploratoire, explicative, vérificative ? C’est généralement ce qui ressort comme première analyse des chercheurs avertis.

En fonction de la réponse à cette question, on peut faire différents choix en relation avec les règles méthodologiques qui s’imposent dans la conduite de cette recherche. A nos jours, la communauté scientifique a établi des règles méthodologiques communes majeures qui permettent aux chercheurs de s’inscrire dans la logique de ces règles pour leurs travaux. C’est ce que nous appelons dans ce document la « trajectoire épistémologique » du chercheur.

2. QUELQUES INCOHERENCES DANS DES ECRITS SCIENTIFIQUES

Beaucoup d’encre a coulé au sujet des méthodes ou approches quantitative et qualitative.

A nos jours, des auteurs reconnaissent la trajectoire épistémologique qu’elles commandent et leur complémentarité parce que l’une dans l’autre permet de mieux cerner un objet d’étude ; malheureusement beaucoup aussi font la confusion dans leur mise en œuvre concrète ou leur usage, ce qui ne permet pas une exploitation de certains travaux scientifiques ou ne donne pas de la crédibilité à certains résultats supposés atteints.

Par exemple, dans des écrits, certains parlent tantôt d’approche qualitative tantôt d’approche quantitative alors que le but de la recherche énoncé ne corrobore pas avec l’approche reconnue par la communauté scientifique supposée être mise en œuvre. Dans bien de cas, on éprouve du mal à identifier les approches correspondant à l’étude de certains sujets. Si la recherche scientifique est bien celle qui suit une démarche permettant d’aboutir à des résultats, certaines incohérences comme celles qui suivent devraient être évitées.

• Certains auteurs énoncent des objectifs principaux et spécifiques visant à étudier des liens entre des variables dépendantes et des variables indépendantes, puis au lieu de formuler des hypothèses de recherche qui permettent de vérifier ces liens, ils définissent plutôt des questions de recherche qui elles, permettent d’explorer des cas.

• D’autres formulent à la fois des questions de recherche et des hypothèses scientifiques dans la même étude, sans que leur démarche qui les conduit aux résultats ne rende compte du choix.

• D’autres encore parlent d’approche mixte lorsqu’ils utilisent un questionnaire et réalisent des entretiens dans leur étude. Or, une simple utilisation des deux outils ne justifie pas l’approche mixte dans la mesure où le développement de l’étude ne répond pas aux critères de cette approche et l’objectif de l’étude ne la commande pas également.

Si l’objet d’étude défini comme élément de la réalité étudié par la science (Lamoureux, 2000), est bien celui qui guide la recherche, dans l’une ou dans l’autre préoccupation, il se pose alors un problème de validité qui met en doute la participation de telles recherches au service du développement. Ce qui est évident, toute étude repose sur un objectif général (principal) et des objectifs spécifiques (secondaires).

Au regard de ces derniers définis selon le type d’étude (exploratoire ou vérificative ou explicative), se déclinent soit une question générale et des questions spécifiques, soit une hypothèse générale et des hypothèses spécifiques correspondantes ; parce que « toute étude scientifique, pour être l’hypothèse scientifique fructueuse, doit nécessairement être dirigée par une connaissance sérieuse de la logique.

C’est là un minimum » dit Van der Maren (1996, p.250). Le rôle essentiel de l’hypothèse est de permettre de confirmer ou d’infirmer une explication possible de l’occurrence d’un phénomène. « Elle doit être vérifiable et vraisemblable par rapport au corpus théorique déjà existant » et réfutable (Légal, 2007, p.2). C’est à partir de la problématique, qu’on formule les hypothèses générales, puis les hypothèses de recherche et enfin les hypothèses statistiques. Certains formulent les hypothèses de recherche et les hypothèses statistiques après l’élaboration du cadre théorique mais cela dépendra bien du chercheur.

3. LES APPROCHES QUANTITATIVE, QUALITATIVE ET MIXTE

Comme nous l’avons déjà dit, la réalisation d’une recherche scientifique requiert une trajectoire épistémologique que tout document devrait s’efforcer de respecter en fonction des choix au départ. Dans les sections qui suivent nous avons trois exemples pour montrer qu’en fonction de ces choix il y a lieu de respecter cette trajectoire afin de permettre d’avoir un rapport exploitable par la communauté scientifique.

3.1. L’APPROCHE QUANTITATIVE DANS LA RECHERCHE VERIFICATIVE

Dans le cas d’une recherche vérificative, il faut privilégier l’approche quantitative basée sur l’utilisation et le traitement de données métriques ex : les scores en mathématique. Les objectifs de ce type d’étude seront formulés en hypothèses statistiques dès lors qu’il s’agit de vérifier des liens de causalité entre des variables indépendantes (manipulées) d’un côté et les variables dépendantes (observées) de l’autre.

Le fondement sur lequel repose cette possibilité, vient du fait que, des théories d’objet d’étude existent en amont et permettent de mesurer précisément les paramètres/variables lorsque les objectifs de recherche commandent de le faire. Dans ce cas, ces paramètres sont mis à l’épreuve, par des tests ou des expérimentations pour confirmer ou infirmer les relations de dépendance fonctionnelle énoncées hypothétiquement par un cadre théorique construit en amont ou au préalable (Van der Maren, 1996).

Lamoureux (2000) définit d’ailleurs la recherche quantitative comme étant un « type de recherche dans lequel les données sont numériques, qu’il est possible d’analyser de façon statistique » (p. 40). Quant à l’hypothèse de recherche, l’auteur la définit comme étant l’énoncé d’une réponse anticipée au problème de recherche. Cet énoncé prédit une relation entre deux événements (lien de covariance ou lien de causalité) (Lamoureux, 2000, p.110).

3.2. L’APPROCHE QUALITATIVE DANS LA RECHERCHE EXPLORATOIRE

La formulation d’hypothèses statistiques dans une étude exploratoire pourrait être considérée comme une erreur méthodologique. L’approche qualitative et l’étude exploratoire font bon ménage. Une approche qualitative est basée à l’unanimité sur l’utilisation et le traitement de données non métriques (Howell, 1998 ; Van der Maren, 1996).

Contrairement à l’approche quantitative, l’approche qualitative permet de comprendre une situation. Dans le cas d’une étude exploratoire, les objectifs de l’étude privilégient la formulation de questions de recherche (générale et spécifiques) définis comme étant des questions qui indiquent « le point précis sur lequel la recherche interroge la réalité » (Lamoureux, 2000, p.107. Pourquoi ?

En éducation, il y a lieu de comprendre que de nombreux concepts ne s’appuient pas sur des théories en amont qui permettent de les observer et de les retracer de manière indiscutable. « Les situations sont d’une telle richesse et les indices si ambigus qu’on peut souvent, en même temps, en trouver un qui confirme et un autre qui infirme l’hypothèse » (Van der Maren, 1996, p.93-94).

Or, plus souvent on veut comprendre une situation, comprendre comment les éléments constitutifs de cette situation fonctionnent entre eux, et faire voir ces liens fonctionnels correspondants par exploration. Dans ce cas précis il ne s’agira pas de convoquer des théories déjà bien connues et maitrisées ; il s’agit plutôt de chercher à définir et à interpréter les concepts reliés à la situation et de se poser les bonnes questions. Comment ?

La formulation d’une bonne question de recherche respecte le style ouvert tel que : Quelles sont les facteurs qui déterminent les causes de la violence en milieu scolaire. Dans une recherche exploratoire, les questions de recherche ne prennent pas la forme de questions dichotomiques fermées type de questionnaire (dont la réponse est oui ou non). Par exemple une question de recherche mal formulée serait de ce type : Existe-t-il des causes de violence en milieu scolaire ?

Donc, opérationnaliser des objectifs de recherche pour comprendre une situation par l’exploration, ne saurait passer par la formulation d’hypothèses de recherche comme dans le cas d’une étude vérificative. Se serait y introduire une faute d’éthique méthodologique. Par contre, à nos jours, on reconnait que l’exploration des questions de recherche d’une étude exploratoire privilégie la méthode inductive et le codage mixte relevant de l’approche qualitative, ce qui permet de générer des hypothèses que l’on pourra vérifier (Van der Maren, 1996 ; …).

Ces hypothèses représentent l’interprétation des relations fonctionnelles existant entre les catégories générées. La technique qui conduit à ce résultat, est celle qui procède par le codage du matériel, (codage mixte de préférence), la catégorisation et l’interprétation. Les codes proviennent des unités de sens qui proviennent à leur tour des rubriques ou des questions de recherche.

Lamoureux (2000) définit d’ailleurs la recherche qualitative comme étant un « type de recherche dans lequel les données ne sont pas numériques, mais sont des caractéristiques qu’il s’agit de grouper selon les critères de classification » (Lamoureux, 2000, p.38). Certains écrits indiquent à tort, l’utilisation de la méthode mixte lorsqu’ils réalisent quelques transformations de données qualitatives en chiffres.

Or, dans les analyses qualitatives les postulats comportent des énoncés capables d’être transformés en des données métriques en vue de l’analyse statistique si l’on souhaite approfondir les questionnements mais ces données il faut le préciser, restent avant tout des données qualitatives enchaînés à « des concepts globaux qui ne rendent pas possible la réfutation de ces théories qui restent prescriptives et interprétatives » (Van der Maren, 1996, p.89).

3.3. L’APPROCHE QUALITATIVE ET SES NUANCES

Si l’approche qualitative repose sur la théorie prescriptive et interprétative, les analyses la concernant peuvent quelques fois s’inspirer de théories stratégiques comme théorie de l’action pour explorer une situation dans le but d’agir sur cette dernière (Van der Maren, 1996). Dans ce cas exploratoire précis, il est possible de réaliser un codage fermé sur la base d’un cadre conceptuel.

Par exemple, par rapport à une étude qui vise à identifier de bonnes pratiques civiques et citoyennes dans les enseignements post primaire et secondaire au Burkina Faso en vue de contre l’incivisme, avec l’objet d’étude consistant à explorer une dizaine de bonnes pratiques civiques et citoyennes et leurs stratégies d’implémentation en faveur des enseignements post primaire et secondaire, une question de recherche que voici, suffit pour traiter le problème : Quelles sont les 10 pratiques civiques et citoyennes favorables et prioritaires pour contrer l’incivisme au Burkina Faso.

La revue de littérature permet d’avoir les critères d’une bonne pratique. Ces critères réunis dans un cadre conceptuel bien défini, permettent d’assurer un codage fermé du matériel issu des entrevues, lequel codage permettra d’identifier les bonnes pratiques appropriées. Le codage fermé permet la vérification (Van der Maren, 1996), c’est pourquoi ce type de codage n’est recommandé que dans des cas spécifiques de l’analyse qualitative visant la vérification.

Etant donné le comportement et la nature humaine changeants, la mise en œuvre de ce genre de résultats exigera des évaluations régulières et successives ainsi que des ajustements afin d’aboutir aux objectifs escomptés. Pourquoi ? L’usage du codage fermé dans une étude exploratoire, permet de vérifier une seule version des faits qui n’est pas celle qui se maintiendra tout le long. Ceci dit, interpréter un résultat issu de ce codage devrait tenir compte du fait que le comportement humain n’obéit pas à des lois telles qu’il faudrait le considérer comme programmable, c’est-à-dire soumis à la manipulation des contingences (Vander Maren, 1996) mais plutôt changeant de lui-même.

3.4. L’APPROCHE MIXTE

L’approche mixte combine quant à elle, deux approches : l’approche quantitative et l’approche qualitative. Il ne s’agit pas de collecter des données quantitatives et qualitatives lors de la réalisation d’une évaluation pour ainsi dire « notre étude utilise la méthodologie mixte ». Il s’agit plutôt de répondre à une nécessité consistant à apporter une réponse à des objectifs (principal et secondaires) exigeant cette approche et dont l’application repose sur la mise en œuvre d’un modèle intégrant méthodiquement des questions de recherches et des hypothèses statistiques. COUSI dans son blog Methodo Recherche, met en garde en stipulant que si quelqu’un indique avoir utilisé des méthodes mixtes, « sans en appliquer les méthodes et les usages, cela se verra très vite » (sans page). D’ailleurs, Creswell et Plano Clark, définissent les méthodes mixtes comme étant :

« Une approche de recherche dans les sciences sociales, du comportement ou de la santé, dans laquelle le chercheur recueille des données à la fois quantitatives (par questionnaires) et qualitatives (entretiens ouverts), intègre les deux, et formule des interprétations basées sur les forces combinées des deux types de données, pour comprendre des problèmes de recherche » (Creswell & Plano Clark, 2011 : dans Cousi, 2020, page sans numéro).

Cette définition indique effectivement que la méthode mixte n’est pas une simple déclaration tel que dit au début. Au contraire, la méthode mixte exige de l’auteur qui l’applique une certaine maitrise des deux méthodes quantitative et qualitative ainsi que les stratégies nécessaires pour les combiner de sorte que l’une appuie l’autre dans la compréhension des situations et dans l’explication des phénomènes.

Loin d’être une formule additionnelle du genre A+B, c’est plutôt une technique de recherche et d’analyse qui a ses propres démarches et règles méthodologiques tel que Cousi (2020) l’atteste : il existe « des techniques scientifiques spécifiques associées à cette méthodologie, des procédures rigoureuses et explicites qu’il faut suivre et il est facile pour des chercheurs familiarisés avec ces méthodes mixtes de repérer les mésusages de cette méthodologie » (sans page).

4. SYNTHESE DES APPROCHES

Tout dépend de la visée de l’étude, disons-le au prime abord. Selon qu’on veut comprendre une situation, étudier des liens de causalité ou expliquer une situation, l’approche d’étude diffère (cf. Tableau suivant). Une étude exploratoire vise à comprendre une situation tandis qu’une étude vérificative ou explicative vise à étudier des liens entre des variables.

Dans le cas d’une étude exploratoire, c’est l’approche qualitative qui sera mise à contribution tandis qu’une étude vérificative va privilégier l’approche quantitative. Un objet d’étude qui sollicitera les deux approches devra utiliser l’approche mixte dans un modèle construit rigoureusement et avec cohérence.

CONCLUSION

Au terme de cette analyse, nous pensons avoir partagé nos convictions liées à certaines règles méthodologiques que nous estimons nécessaires parce qu’elles permettent non seulement de respecter les mesures communément admises par la communauté scientifique mais aussi de permettre une meilleure appropriation des écrits par les utilisateurs. Ceci étant, la formulation d’hypothèses ou de questions de recherche dépend du type d’étude envisagée par le chercheur. Une recherche scientifique suit une trajectoire épistémologique qu’on s’évertuera à bien approfondir dans la partie méthodologique. Elle aborde l’étude de l’objet avec sérénité, éthique et transparence dans le but de contribuer à faire avancer les connaissances scientifiques avec humilité.

Zinsonné Félicité Marie Lucile Sorgho, Attachée de recherche à l’INSS, Courriel :zf_sorgho@yahoo.fr, Ouagadougou/BF

BIBLIOGRAPHIE

Cousi, C. (2020). Comment utiliser les méthodes mixtes en recherche ? blog Methodo Recherche.
De Droh, B. S. R. et Mobio, A. J. (2019). La construction de l’hypothèse dans une recherche qualitative, une illustration à partir de l’étude sur la distance sociale à l’innovation dans la production d’attiéké en Côte d’Ivoire. The International Journal of Social Sciences and Humanities Invention 6(08) : 5553-5558, 2019 DOI:10.18535/ijsshi/v6i8.01ICV 2015 : 45.28. ISSN : 2349-2031. 2019, THEIJSSHI.
Howell, D. C. (1998). Methodes statistiques en sciences humaines. De boeck. Editions de boeck université. 1ère edition, 6ème tirage ? Paris 7 rue Jacquemont, Paris.

http://theses.univ-lyon2.fr/documents/getpart.php?id=lyon2.2005.barbarino_n&part=91434#Noteftn56
Lamoureux, A. (2000). Recherche et méthodologie en sciences humaines. 2ème édition. Beauchemin. Montréal Canada.
Légal, J.-B. (2007). PSS01 : Concepts expérimentaux.

RCCFC (2018). Module la recherche scientifique.
Van der Maren, J-M. (1996). Méthodes de recherche pour l’éducation. 2ème édition, 2004. De Boeck & larcier s.a., 1996. Éditions De Boeck Université Rue des Minimes 39, B-IOOO Bruxelles Imprimé en Belgique Dépôt légal : 2003/0074/96 ISSN 1373-023 1 ISBN 2-8041-2364-2.

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