Jeux de la Francophonie : Les lutteurs offrent cinq médailles au Burkina

Les 8e jeux de la Francophonie se sont achevés, à Abidjan, ce dimanche 30 juillet 2017. Les lutteurs ont donné 5 médailles au pays, même si cette discipline de lutte africaine a été dominée par le Sénégal.

Vos réactions (7)

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• par bach, 31 juillet 2017 15:54

  BRAVO à nos braves lutteurs Samos, vous avez prouvé encore une fois que vous maitriser votre art, même si nos amis sénégalais semble être très supérieures. seulement il vous faut des vrais et grandes compétitions de grandes envergure, qui draine beaucoup de sponsors et des meilleurs prix comme le Sénégal.avec une meilleurs organisation vous serez des champions......

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  • par ngoonga, 31 juillet 2017 17:33

    Merci cher internaute. Ainsi ils vont reconquérir leur territoire (pardon) . ils vont continuer à dominer sur leur terre ; du Centre Nord au Centre Est en passant par le Plateau Central et le Centre. C’est aussi çà la grandeur du BURKINA.

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• par Le Zongale, 31 juillet 2017 16:26

  Aï, donc il y a quelqu’un aussi qui peut terrasser samo et gourounsi quoi ? Leur malin là est fini dèh !

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• par BROO, 1er août 2017 08:41

  félicitation aux braves et vaillants lutteurs samo. si nous voulons que nos lutteurs ramène des médailles en or à la maison, il faut que la lutte au Burkina Faso soit mieux organisée et valorisée. la lutte au Sénégal est pratiquée comme un sport professionnel contrairement au Burkina Faso ou elle est au stade d’amateurisme. il faut relever le niveau de cette discipline sportive conformément aux standards internationaux, développer les infrastructures et compétences, renforcer l’ancrage institutionnel... il faut accélérer le bitumage des voies d’accès à la pépinière de la lutte du Burkina Faso : le pays san

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• par Burkin’avance, 1er août 2017 10:34

  Bravo à nos lutteurs c’est dommage on pu faire meiux car nous avons d’habitude gagné l’or dans les catégories inférieures notamment la catégorie des poids légers. pour une bonne promotion de la lutte, il faut une bonne politique car nous disposons de suffisamment de ressources. En effet, les populations de nos campagnes aiment ce sport et les jeunes s’y adonnent à cœur joie ; il suffit de les accompagner de les encourager et de profiter de cadres traditionnels de réjouissances populaires pour organiser des compétitions avec de véritables prix. pas des récompenses insignifiantes non motivantes distribuées lors des championnats ou des compétitions de lutte qu’on peut développer ce sport. Par ailleurs il nous faut des vrais dirigeants à la tête de la Fédélutte, pas ceux qui ne pensent qu’à leurs intérêts égoïstes et non à ceux des principaux acteurs.Sans une bonne politique et des moyens adéquats, nous éprouverons toujours ce sentiment de remords à chaque fois que nous allons croiser les Sénégalais. A bon entendeur salut !

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• par pataamleukré, 1er août 2017 18:31

  Qui a dit que les Samo ne servent pas à quelque chose ? Bravo !

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• par Le vigilant du Sahel, 1er août 2017 19:32

  C’est normal que les Sénégalais soient au-dessus du lot en matière de lutte. La lutte au Sénégal est une discipline sportive aussi populaire que le foot. Au Burkina, la lutte survit de par la volonté des individus qui la pratiquent. Il faut cibler les priorités et organiser les secteurs où on a des avantages comparatifs (lutte, cyclisme etc.). Ainsi, le Burkina pourra dominer certaines disciplines sans coup férir. Au lieu de cela, nous voulons tout faire avec très peu de moyens, et finalement, l’essentiel se résume à participer sans aucune valeur ajoutée.

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