« Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
On ne le présente plus. Du moins, aux fidèles auditeurs de la radio Ouaga FM où il a passé onze années en tant que journaliste. Féru des questions politiques et économiques, il était respecté par certains et incompris des autres pour ses analyses. En février 2016, il succède à Rémis Fulgance Dandjinou, l’actuel ministre en charge de la communication, à la tête de Burkina Infos, la plus jeune chaine de télé dans le paysage médiatique burkinabè. Vous l’aurez deviné, il s’agit d’Ismaël Ouédraogo. Dans un entretien qu’il nous a accordé, le lundi 22 août 2016, l’homme nous parle de sa passion, de ses relations avec son prédécesseur et de sa gestion de la télévision. Lisez !
Lefaso.net : Qui est Ismaël Ouédraogo ?
I.O : Ismaël Ouédraogo est un journaliste burkinabè passionné du métier depuis sa tendre enfance. Il s’est toujours intéressé aux questions politiques, économiques, à tout ce qui est en rapport avec la démocratie, la bonne gouvernance et la transparence. Le journalisme pour moi est une passion qui se matérialise aujourd’hui à travers les différentes activités que je mène au quotidien. Hegel l’a dit : « Rien de grand ne s’est accompli dans le monde sans passion ».
Lefaso.net : Où avez-vous fait vos premiers pas dans le journalisme ?
I.O : Ismaël Ouédraogo et le journalisme, c’est une longue histoire. C’est vrai que j’ai été révélé au grand public à travers un certain nombre d’émissions à Ouagadougou mais depuis 2002, j’ai commencé à faire de la radio, à Horizon FM à Bobo-Dioulasso. C’était à mes heures perdues. Ensuite, il y a eu la radio média Star qui n’existe plus malheureusement. J’étais toujours élève en classe de 2de ou 1re. Arrivé à l’université de Ouagadougou, j’ai entamé véritablement une carrière au niveau de la radio Ouaga FM en 2005. J’y ai passé onze années dont deux et demie comme directeur de rédaction avant de rejoindre la télévision Burkina Info.
Lefaso.net : Pour certains de vos anciens collaborateurs, vous êtes quelqu’un de très exigeant. Vous confirmez ?
I.O : La rigueur, la discipline et le travail bien fait sont pour moi des éléments essentiels quand on veut réaliser quelque chose de grand. Et je l’ai toujours répété à mes collaborateurs. Vous savez, quand on aspire à diriger, à être quelqu’un dans la société, quel que soit le niveau de responsabilité qu’on veut occuper, vous devez commencer par être discipliné vous-même. La discipline et la rigueur sont des mots que je conjugue toujours au présent.
Lefaso.net : Que retenez-vous de votre passage à Ouaga FM ?
I.O : De la radio Ouaga FM, je retiens une école. Une école, parce que j’ai côtoyé des rédacteurs en chef avant d’être moi-même rédacteur en chef. Et tous ceux qui sont passés par là ont été de grands hommes…
Lefaso.net : Des noms qui vous viennent à l’esprit ?
Je pense à Aziz Bamogo qui a été mon premier rédacteur en chef et qui est aujourd’hui président de l’association Publicitaires associés ; je pense à Ali Kabré qui fut entre-temps correspondant de RFI (Radio France Internationale, ndlr) au Nigéria. Je pense aussi à des collaborateurs de premier choix, car il faut le dire aussi, chacun a apporté sa touche dans cette formation que nous avons obtenue au fil des années. Je pense à Achille Dabiré de Tam-tam productions et promoteur de la radio Wat FM, à Sams’K le Jah, animateur chevronné qui, au-delà de tout, avait déjà cet engagement en lui et faisait très bien son travail. Il y avait Georges Sawadogo…
Je ne peux malheureusement pas citer tout le monde. Ouaga FM a toujours été une radio ambitieuse qui est allée de l’avant en donnant des informations de qualité et je pense que nous avons, nous aussi à notre manière, contribué de façon modeste à cela. Même si je quitte la radio le cœur meurtri avec la disparition de mon colistier de tous les temps, Mohamed Touré. Avec lui, on avait créé une dynamique et des émissions assez intéressantes. Nous étions de véritables complices et notre philosophie, c’était de travailler à nous améliorer au quotidien.
Lefaso.net : Cela fait plus de six mois que vous dirigez la télévision Burkina Info. Qu’est-ce que cela fait de passer de directeur de rédaction d’une radio à directeur général d’une télévision ?
I.O : De directeur de rédaction à directeur général, on dira que c’est une bénédiction divine que d’évoluer dans sa vie de façon constante. C’est cela aussi la responsabilité. Directeur de rédaction s’inscrit dans le contexte d’une rédaction bien déterminée : vous avez des journalistes avec qui vous travaillez au quotidien, etc. Mais aujourd’hui directeur général, vous avez affaire à un monde. Burkina Info, c’est toute une télévision, une télé avec un personnel jeune et dévoué. C’est une télé qui n’a qu’un an d’existence mais qui est en train de tracer ses sillons et qui rêve grand. Nous y croyons et nous allons nous y engager à cet effet. Le Burkina, à travers Burkina Info, sera le pays par lequel les informations du reste du continent seront diffusées. Je le crois et je le dis parce que nous avons des jeunes qui croient en ce qu’ils font. La spécificité de cette télé, c’est que ce n‘est pas une télé généraliste. On ne diffuse pas de feuilletons chez nous, on ne joue pas de musique. Ce sont des émissions à thèmes, liées exclusivement à l’information. C’est une première, c’est aussi un grand défi. Quand on m’a sollicité pour diriger cette télé, c’était très difficile. Je me demandais comment informer les premiers responsables de Ouaga FM, mais à un moment donné dans la vie d’un homme, il faut accepter les challenges et pour moi Burkina Info est un défi qui m’a été offert.
Lefaso.net : « J’ai choisi de nommer un jeune directeur, Ismaël Ouédraogo, qui n’est pas forcément tendre avec moi », a déclaré le ministre Rémis Fulgance Dandjinou lors d’un entretien qu’il a accordé au journal Le Pays. A votre avis, qu’est-ce qui a prévalu à cette nomination.
I.O : (Sourires) Ce qui a prévalu à ma nomination ? C’est une question piège. Plusieurs personnes avaient le profil pour le poste. Mais je prends cette nomination comme une reconnaissance du travail qui est fait depuis un certain bout de temps. Je pense que j’ai été l’un des premiers à dire que Rémis Fulgance Dandjinou et Alpha Barry (Ministre des affaires étrangères, ndlr) n’avaient pas leur place dans le gouvernement parce que pour moi c’était un gouvernement politique et des journalistes, en principe apolitiques, n’y avaient pas leur place. Chacun a dit ce qu’il pensait. Mais ce que je dis aussi, c’est que je ne suis pas venu à Burkina Info dans l’optique d’être muselé et dominé par qui que ce soit. Et quand j’ai discuté avec les actionnaires de la télé, je leur ai dit que la condition sine qua non pour que j’accepte être directeur général, c’était ma liberté d’expression et d’opinion. Je ne voudrais pas qu’à un moment donné on puisse me dire : « tu n’as pas le droit de dire ceci ou cela ». Le jour qu’on me le dira, je partirai. Je ne me vois pas aujourd’hui être contraint à dire des choses qui ne rencontrent pas mon assentiment.
Je pense que j’ai toujours vécu ainsi et par conséquent personne ne me téléguide, personne ne m’impose quoi que ce soit. Chaque fois qu’on a une prise de position, on a affaire à des critiques qui ne sont pas objectives. J’ai la liberté d’agir et de gérer la télé comme je l’entends. Bien entendu, on a des objectifs et une ligne éditoriale : c’est de traiter l’information avec qualité et professionnalisme en donnant la parole à tout le monde, c’est-à-dire à la majorité, l’opposition et la société civile. Et pour l’instant je ne pense pas qu’on ait empêché quelqu’un de parler sur Burkina Info.
Lefaso.net : Quelles sont vos relations avec M. Dandjinou actuellement ?
I.O : Nos relations sont bonnes. Rémis Dandjinou fait partie des actionnaires de Burkina Info. Lui et moi pouvons passer deux semaines sans nous parler. C’est la preuve qu’il est préoccupé par ses obligations au ministère de la communication. Je n’ai vraiment pas de problème avec lui. Quand il y a des urgences, un coup de fil et c’est bon. Dandjinou ne s’immisce pas du tout dans le traitement de l’info à Burkina Info.
Lefaso.net : Burkina Info prend de plus en plus part aux missions officielles à l’étranger. Les confrères vous titillent en disant que la télévision est devenue la RTB 3. Que répondez-vous à cela ?
I.O : Ce sont mes journalistes qui me remontent l’information. C’est trop facile de dire de telles choses. Burkina Info participe aux missions officielles ! Vous parlez de quelles missions ? La seule et unique fois que nous avons voyagé avec le président Roch Marc Christian Kaboré depuis qu’il est au pouvoir, c’était en Arabie Saoudite. Et là, c’est de façon tournante que nous avons été associés au même titre que tout le monde. Nous couvrons les activités de la Présidence comme tous les organes de presse. C’est un procès d’intention qu’on nous fait. On ne pourra jamais enlever cette image de Rémis Dandjinou qui colle à la télé… Je prends ça sous le coup de la plaisanterie entre confrères. Nous ne sommes pas la RTB 3, c’est sûr, mais nous ne sommes pas non plus une télé qui ne contribue pas au développement.
Lefaso.net : Parlez-nous un peu de l’émission de Burkina Info sur le bouquet Canal+, ce projet qui vous était si cher et qui est désormais une réalité.
I.O : Nous sommes une télé TNT (Télévision numérique terrestre, ndlr). Burkina Info est une télé échantillon d’un processus. Nous sommes la seule et unique télé qui n’émet pas en clair, c’est-à-dire qui n’émet pas avec les antennes locales. Il faut impérativement un décodeur pour recevoir nos programmes. C’est un défi que les actionnaires de la télé se sont lancé et que nous sommes en train de relever avec difficultés, nous le reconnaissons. Nous sommes en train de discuter, de négocier pour qu’on nous maintienne sur le numéro (fréquence 99, ndlr). S’il y a lieu qu’on nous classe dans la même logique que les chaines d’informations un peu partout dans le monde, nous serons également partants. Ce que je peux dire déjà, c’est que c’est un ouf de soulagement pour nous de savoir qu’on peut nous recevoir sur le bouquet Canal+. Beaucoup de gens nous suivent actuellement et c’est un bon retour qu’on a. Ce n’était pas gagné d’avance et aujourd’hui nous en sommes comblés.
Lefaso.net : Quels sont vos ambitions pour la télévision ?
I.O : Nous comptons travailler davantage à faire de Burkina Info la meilleure chaine d’informations qui puisse exister à partir du Burkina Faso. Si Burkina Info réalise ses missions, c’est l’image du pays que nous sommes en train de vendre. Quand on parle de France24, tout le monde voit l’image de la France. Notre télé se veut ambassadrice du pays des hommes intègres. Nous souhaitons avoir le soutien de toute la population. Je le reconnais, ce n’est pas facile de faire que de l’information. Tout ce que vous voyez sur notre chaine, ce sont des programmes purement burkinabè que nous produisons nous-mêmes. Nous avons une cellule qui s’occupe aujourd’hui des grandes actualités ; ce sont des reportages de 26mn, de 13mn. Vous avez également des émissions phares qu’on travaille à enrichir, des analyses qui ne font pas forcément l’unanimité, j’en conviens. Personne n’a le monopole de la vérité. Chacun apporte sa touche et je pense que si on s’inscrit dans la critique constructive, on ne peut réaliser que de grandes choses.
Lefaso.net : Votre poste sera-t-il menacé après le départ de Rémis Dandjinou du ministère de la communication ?
I.O : Je ne pense pas. Vous savez, je ne m’accroche à rien du tout. Si Rémis Dandjinou revient demain à Burkina Info, il pourra reprendre sa place et moi je continuerai ailleurs ou je peux rester même dans la maison. Je ne fais pas de la fixation sur un bureau. La preuve c’est que je ne tombe pas du néant. J’occupais un poste de responsabilité à Ouaga FM avant de partir. Je vais vous raconter cette anecdote. Quand les gens viennent me voir, ils disent que mon bureau est joli et bien équipé. Je leur réponds en leur faisant remarquer que c’est juste un poste passager que j’occupe. Ce n’est pas mon entreprise et j’ai été appelé pour venir jouer ma partition. J’espère le faire comme cela se doit mais le jour où je serai appelé à faire valoir mes compétences ailleurs, je m’en irai. Quant à Rémis Dandjinou, ministre de la communication, porte-parole du gouvernement, je ne peux que lui souhaiter bonne chance.
Lefaso.net : Quel regard portez-vous sur la presse burkinabè ?
I.O : Je pense que la presse burkinabè a gagné en maturité. Je me rappelle quand on faisait les débats notamment sur la télévision BF1 et Ouaga FM, ils n’étaient pas nombreux les médias qui acceptaient critiquer le régime de Blaise Compaoré. Quand il s’agissait de parler du RSP (Régiment de sécurité présidentielle, ndlr) par exemple, ils n’étaient pas nombreux ces journalistes qui partaient s’asseoir sur des plateaux de télévision pour le faire. La presse a contribué à l’éveil des consciences et si on a fait partir Blaise Compaoré qui a voulu tripatouiller la Constitution, c’est en grande partie grâce à la presse burkinabè. Elle a beaucoup travaillé et elle continue de le faire. Souvent quand les gens sont victimes d’injustice, ils préfèrent approcher les journalistes en premier lieu plutôt que de passer par les procédures normales. La presse burkinabè est un outil très précieux qu’il faut préserver.
Lefaso.net : Un dernier mot
I.O : Je voudrais au terme de cet entretien dire merci à votre journal qui nous ouvre ses colonnes. Je n’oublie pas les téléspectateurs, les partenaires et le personnel jeune et dynamique de Burkina Info. Je voudrais faire une mention spéciale aux actionnaires de la télé qui ont cru qu’à partir du Burkina Faso, on peut créer une chaine pour dominer le monde entier à travers les informations. Je demande à la population également de continuer à nous aider à travers leurs critiques. Car si Burkina Info grandit, c’est toute la nation burkinabè qui grandira avec elle. Notre nation sera une grande nation si nous voulons qu’elle le soit. Nous serons un grand pays si nous y croyons et c’est ensemble que nous allons construire le Burkina Faso.
Entretien réalisé par Herman Frédéric Bassolé
Lefaso.net
Vos commentaires
1. Le 26 août 2016 à 01:34, par Fally En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
Je suis Burkina info. Je donne à Ismael Ouedraogo 19/20. Tous mes encouragement.
Le 31 octobre 2022 à 19:57, par Alain Sawadogo En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
Bonsoir. Au soir du 31 octobre 2022 notre cher journaliste du Burkina Info (Ismaël Ouedraogo) a insisté sur le fait que le chef d’état devrait se libérer de son foulard. Je tiens à vous dire que vous savez pas pourquoi il porte ce foulard. Alors pourquoi récitez vous à chaque intervention "Ami de la liberté et de la bonne Gouvernance" car trop de répétition enlève le goût à écouter. Poursuivez le commentaire sans critiquer l’état vestimentaire du chef de l’état qui n’apporte rien à votre journal. Écoutez aussi le peuple.
2. Le 26 août 2016 à 06:05, par Donyre En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
De gros défis , un chalenge , de grosses responsabilités ,courage à toi frangin .
3. Le 26 août 2016 à 07:14, par Ouedraogo En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
félicitation à toi mister. Que le bon Dieu t’accompagne dans tes missions. Bon vent à toi.
4. Le 26 août 2016 à 07:59, par le politicard En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
Vous abattez un bon boulot, que Dieu vous assiste.
5. Le 26 août 2016 à 08:05, par DABIRE En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
Je t’ai apprécié et continuerai de t’apprécier à cause de ton franc parlé depuis la radio Ouaga fm dans tes émissions surtout la maitrise avec laquelle tu animais l’émission "affairage". Puisse le Tout Puissant t’accompagner dans tes missions afin que tu puisses toujours porter la bonne information aux téléspectateurs. Comme tu l’as dit, ne te laisse pas influencer par qui que ce soit. Si quelqu’un vient un jour te donner des directives, démissionne et passe nous l’information, là tu seras plus aimé par nous qui voudrions que tous les journalistes soient impartiaux comme toi. Surtout bon vent à toi !
"Et quand j’ai discuté avec les actionnaires de la télé, je leur ai dit que la condition sine qua non pour que j’accepte être directeur général, c’était ma liberté d’expression et d’opinion. Je ne voudrais pas qu’à un moment donné on puisse me dire : « tu n’as pas le droit de dire ceci ou cela ». Le jour qu’on me le dira, je partirai. Je ne me vois pas aujourd’hui être contraint à dire des choses qui ne rencontrent pas mon assentiment."
6. Le 26 août 2016 à 08:08, par yé ! En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
Je vais plagier : on vous suit, on vous croit.
Bon courage !
7. Le 26 août 2016 à 08:09, par le laïc En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
Ismael OUEDRAOGO, si je le juge par l’entretien qu’il a eu avec Me Sankara et diffusé la semaine passée sur Burkina info, je dirai que je l’ai connu plus poignant, plus incisif. Cela, pour dire qu’avec le passage vers cette chaîne, il a du blason à redorer. Donc si on le titille par rapport à RTB 3, cela n’est pas anodin et à bel et bien du sens.
8. Le 26 août 2016 à 08:12, par Ouedraogo Madi En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
Merci et bon vent a vous
9. Le 26 août 2016 à 08:23, par MINA En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
"Vous savez, je ne m’accroche à rien du tout". Bien dit. Un vrai Burkinbila. Du courage. Que le Seigneur guide tes pas.
10. Le 26 août 2016 à 08:36, par bilmous En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
il devait au moins nous donner son CV et sa formation universitaire et professionnelle
11. Le 26 août 2016 à 08:37, par ispo En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
Grand journaliste que j’ai toujours apprécié mais depuis un certain temps je ne reconnais plus mon Ismael surtout sur les questions politiques ou son langage a changé catégoriquement . Heureux d’apprendre que tu n’es pas téléguidé mais soit objectif et impartial dans l’émission édito ou tu deviens le défenseur du gouvernement
12. Le 26 août 2016 à 09:02, par BRAVO En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
J’apprécie beaucoup le gros travail que I O abat avec beaucoup de professionnalisme mais je souhaiterais qu’il se spécialise dans un domaine précis comme les journalistes Européens. Quand il doit intervenir dans beaucoup de secteurs( politique, économie, santé, sport, etc..........), il devient inefficace.
Beaucoup de courage mon frère ! Ce pays là compte sur des gens comme toi !
13. Le 26 août 2016 à 09:06, par Tapsoba R(de H) En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
Son éditorial me séduit toujours."Le grand débalage" ou "sans langue de bois",super.Longue vie à Burkina info et plein succès à Mr Ouédraogo.
Un qui vous suit via le net et merci pour votre promptitude à poster vos émissions et journaux sur facebook et twitter.
14. Le 26 août 2016 à 09:09, par taloua En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
A travers l’émission commentaires de l’actualité sur ouaga’fm je l’ai adoré ce journaliste. Émission que je n’ecoute plus d’ailleurs depuis qu’il la fait plus. Bon journaliste bravo et bon vent
15. Le 26 août 2016 à 09:14 En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
Burkina info c’est m’a chaîne de référence au Burkina Faso. J’attendais fort longtemps Burkina info sur le bouquet canal + et aujourd’hui c’est chose faite ; je tire mon chapeau aux responsables de la chaîne, sans oublier ses journalistes. Du courage et bon vent à Burkina info.
16. Le 26 août 2016 à 09:22, par Gladys En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
Félicitations Ismael, j’apprécie beaucoup ce que tu fais. Je suis contente de soir qu’on peut désormais suivre Burkina Info sur le bouquet Canal +. Courage pour la suite.
17. Le 26 août 2016 à 09:33, par jaime ma patrie En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
UN EXEMPLE POUR LA JEUNESSE. Q’ALLAH TASSISTE
18. Le 26 août 2016 à 09:46, par serges En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
un grand journaliste. je l’ai toujours admiré dans ses prise de position et ses analyses.courage
19. Le 26 août 2016 à 09:54, par léveillé En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
Ispo !il a été nommé pour ça !!la preuve,il a embouché la même trompette que son patron quand la campagne de diabolisation contre les autorités de la transition a été lancée,en particulier contre le général ZIDA,depuis je me contente de suivre BF1
20. Le 26 août 2016 à 10:05 En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
Plein succès à toi frangin !
21. Le 26 août 2016 à 10:12, par Ouedraogo Madi En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
Merci à vous, ce que je veux te faire comprendre avant je suivait les débats sur cette chaînes lors de campagne couplé présidentielle et législatives et j’appréciais Ismaël pour son frenc parlé mais depuis qu’il a remplacé Remis comme directeur il est devenu partisane et critique toujours l’opposition c’est pas bon il doit être impartial Rock aussi était opposant avant d’arriver au palais ,dont petit conseil sache que Dieu donne le pouvoir a qui Il veut et puis chacun à son tour.Moi personnellement j’aime critique même si le président on doit le critiqué puisque ça lui aidera de bien ,mais si on le couvre ça l’aidera pas à bien dirigé
.bon boulot a vous .
22. Le 26 août 2016 à 10:13 En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
@bilmous l(internaute 10 qui s’ennuie à mort là je te dis il faut arrêter avec ça ok ? Là ou tu es là tu as finis de gérer ta vie bien manger fonder un foyer préparer l’avenir de tes enfants et puis c’est le CV de Ismaël qui t’intéresse ?
tu vas faire quoi avec son Cv ? c’est son Cv qui va te donner tes 3 repas équilibré par jour ? Faut pas te chercher hein reste là ko son cv idiot là tchrrrrr quand vous n’avez rien à faire et la paresse et l’oisiveté commencent à vous monter à la tête vous devenez bête bête comme ça
23. Le 26 août 2016 à 10:15, par sincere En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
je ne te sens plus comme avant dans tes interviews !! On a l’impression que tu ne titilles plus les politiciens comme de par le passé !! c’est une impression !! ça me renvoie a l’image de Pascal Y.Tiombiano quand il était directeur de la télé !! Mais la suite on la connait !!! fait ton boulot comme avant ,c’est a cause de cela que tu as eu cette promotion , donc si tu changes tu finiras un jour par partir diminué de cette télé !! et tu perdras ta crédibilité et tu vendras moins cher ta peau !! courage !! je te suggère d’être moins présent a la télé !! et dès que tu sors tu sois vraiment comme avant !! courage !! juste pour bien faire !!!
24. Le 26 août 2016 à 10:17, par HARIS 23 En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
Je te souhaite plein succès dans ce nouveau poste et dans ta carrière en général car tu es un grand journaliste. Mais, je m’en voudrais de ne pas souligner que, pour qui suivait tes interventions sur RTB, BF1 ou celles de M. DANDJINOU, la ligne éditoriale de BURKINA INFO a beaucoup changé. Aujourd’hui, vos propos sont très tranchants quand il s’agit de critiquer le défunt régime COMPAORE ou encore la transition, mais dès lors qu’il s’agit de l’actuel gouvernement, vous perdez votre verve ! La démocratie burkinabè a encore besoin de la presse, notamment ses grands journalistes, pour se consolider, sinon nous retomberons dans les mêmes travers. Cordialement !
25. Le 26 août 2016 à 10:22 En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
Merci c est avec un grand soulagement que j ai découvert. Hier soir à tout hasard ma chaîne d info préférée bon vent à Burkina info.Brave Ismael chapeau !
26. Le 26 août 2016 à 10:29, par m’zanga En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
Tu est un grand journaliste malgré ton âge et tu le restera, toute la jeunesse burkinabè te dit courage et longue vie (toute personne que tu croisera sur ton chemin en bon ou en mauvais est un conseil) bon vent Isma.
27. Le 26 août 2016 à 11:14, par El Madi En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
Salut mon parent ISMO.Moi je connais pas hein !Mais on dit partout que quand il s’agit de dire les 4 vérités sur le régime de Rock qui tâtonne,qui zigzag,tu perds ton latin.Nous on t’a pas connu comme ça dè !
28. Le 26 août 2016 à 11:27, par knazanga En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
Toujours fidèle à lui même. Bon vent à toi et plein de réussite à Burkina Info.
29. Le 26 août 2016 à 11:53, par Vrai En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
MON CHER OUEDRAOGO,
TU AS LA CHANCE QUE DÉJÀ ON ATTIRE TON ATTENTION SUR LES INFLUENCES QUI RISQUENT DE TE FAIRE PERDRE TA CRÉDIBILITÉ. CE SONT LES POLITICIENS QUI FONT CA. ET ILS LE FONT TRÈS BIEN.
SI UN JOURNALISTE PERD SA CRÉDIBILITÉ COMME DANDJINOU ET BARRY, IL NE SERT PLUS A GRAND CHOSE DANS L’UNIVERS MÉDIATIQUE.
SOIS COMME TOI-MÊME TU L’AS DIT.
COURAGE !
30. Le 26 août 2016 à 12:06, par NIKIEMA En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info ;
Félicitations pour ta nomination et courtage.comme tu le dis ci bien que personne ne t’impose quoi que ce soit ;les politiciens t’enterons sûrement de t’avoir à leur guise mais nous saurrons toujours compte sur toi pour rester inébranlable et fidèle à toi même.puisse Dieu t’assister toujours et te combler de tout le nessessaire pour mener a bien ta mission.Dieu bénisse le Burkina.
31. Le 26 août 2016 à 14:21, par Remso En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
Félicitation Ismaël pour votre nomination à la tête de la télé Burkina Info. Toutefois, je voudrais que vous restez vous même. Depuis votre arrivée à la télé Burkina Info, j’ai comme l’impression que vous êtes devenu un farouche défenseur du Gouvernement dont fait partie un des actionnaires de votre télé.
Courage à vous
Merci
32. Le 26 août 2016 à 15:24, par Kanzim En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
La volteface de Remis Danguinou ne peut pas ne pas avoir d’effets similaires sur son remplaçant : un Danguinou qui a conseillé à certains de ses pairs d’aller créer leur journal à l’instar de Norbert ZONGO, s’ils ne pouvaient pas s’accommoder de l’orientation à la louange du régime de M Roch, grâce auquel le même Rémi est arrivé à un poste qu’aucun rêve ne pouvait présager. On comprendrait donc M Ismael OUEDRAOGO si par subterfuges et menaces voilées interposés, M Danguinou arrivait à lui faire dire ce qui peut mieux préparer l’avenir de sa télé, c’est-à-dire raoer dans le même courant que le pouvoir. C’est pour cela que tous les conseils donnés par les internautes sur le devoir du courage à dire non me paraissent très bien fondés. J’espère donc que ce jeune espoir pourra résister à toutes subversions malignes qui s’exerceront sur lui. Lui qui a su fidéliser un audimat autour de Ouaga FM mais dont certaines épissions phare ont perdu du relief depuis son départ. Commentons l’évènement par exemple, gagnerait à limiter le présentateur à M ROUAMBA qui a l’intelligence de joindre une culture générale dans ses commentaires. Pas comme son colistier dont le langage lumpen et par trop guttural a fini par lasser. Bon vent à Ismael : qu’il rassemble les ressources sociales, techniques, intellectuelles et matérielles, pour créer son propre organe pour être lui-même. Il suffit de suivre son commentaire sur la déclaration de la coalition Zeph 2015 pour se demander ce qui a pu l’amener à changer de cap aussi profondément. de Ceci dit, sur Canal + la chaine s’appelle Canal Evènement plutôt que Burkina info : c’est une erreur qui ne se justifie pas en pas en matière de marketing.
33. Le 26 août 2016 à 15:34, par ok En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
courage a toi.tu m’a toujours émerveillé lors des débats télévisés.
34. Le 26 août 2016 à 15:50, par ouatson En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
Mes respects à Ismaël Ouédraogo c’est un homme véridique et claire sur ces propos
35. Le 26 août 2016 à 16:05, par DV En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
Très tranchant (dans les débats) mais humble, ouvert et joignable comparativement à certains simples redchef de télé qui se prennent la tête, ne répondent ni aux appels ni aux sms. Courage et bon vent. Prends-y de l’expérience et....Dieu verra la suite pour toi
36. Le 26 août 2016 à 16:07 En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
Je vous suis, je ne vous crois plus. Depuis k remi est nomme, la ligne edito de burkin info a change, presse partisane indeniable. Le journal d remi jadis n,a rien a voir avec le journal d io. Hier suporteur, ojord,hui milieu offensif, la jeunesse te tien a l,oeil
37. Le 26 août 2016 à 18:06, par Dofini En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
Ismo tu es propre. Le jour que Dandjinou viendra ça sera pour te succéder et non pour te remplacer. Tous mes encouragements a toi.
38. Le 26 août 2016 à 18:45 En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
Je te suis et j’ai remarqué que tu n’es plus objectif Mr Ouedraogo...comme si tu as peur de critiquer le regime en place
39. Le 26 août 2016 à 20:27, par Doulkoumkanga Ouedraogo En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
Apprends a mieux t’ habiller. La communication, n’est-ce pas aussi le goutde bien s’ habiller ? Et tu oses dire que personne ne t’ impose quoi que ce soit ? C’est une TV privee ou quoi ? Si c’est une tv d’ etat, c’est toi ton propre boss ? Prends les gens au serieux. Si meme le 3eme pouvoir n’est pas livre, c’est pas un journaliste nomme a la tete d’ un office qui va se vanter d’ ete libre. Tchhrrrrrr..
40. Le 26 août 2016 à 21:55, par SINCERITE En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
ISMO ton analyse sur la sortie de Zephirin DIABRE est impartiale !! je ne t’ai pas reconu !! de grace fait attention !! tu derives !!! j’etais triste quand je t’ecoutais !! je ne suis pas de l’UPC !!!
41. Le 28 août 2016 à 05:02, par yelmingaan blaan saa hien En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
promotion pour controller,argent pour museler,promesse pour applaudir,discredit de l opposition pour faire allégeance:y a til encore une place pour la liberté d expression ?!
42. Le 28 août 2016 à 12:10, par yob En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
mon petit continu dans cette lancée l’avenir t’appartiendra, si le Burkina n’avance pas c’est à cause de ceux qui sont accro des poste.chacun doit mériter son poste, il faut un Homme à la place qu’il faut. n’écoute pas les jaloux qui cherchent des poux sur des têtes rasée.
Je pense meme que tu m’eritent mieux.pour quelqu’un qui a dit la verité devant les Compaoré de quoi a-t-il peur ou à quelle sommes peut-on l’acheter ?
43. Le 29 août 2016 à 18:26, par verité n°1 En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
c’est un journaliste que j’aime bien. Surtout ses commentaires. Mais il faudra qu’il fasse très attention pour ne pas se laissé
tenté par ces politiciens
44. Le 18 octobre 2016 à 14:28, par BURKINBILA1 En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
M Ismael OUEDRAOGO, vous êtes une richesse pour le Burkina par ce que vous faites. Je vous dis courage et continuez comme ça. Dans tout ce qu’on fait comme métier, quand on a pas de l’amour de la détermination pour ce job, même si on a 100 diplômes ça ne servira à rien. Ismaél, que le tout puissant guide vos pas. Le Faso a besoin des fils de votre genre.
45. Le 29 janvier 2021 à 16:00, par Sanon En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
M Ismaël Ouedraogo dégage une rigueur et une détermination dans son travail, et cela me fascine profondément. Qu’allah vous donne toujours la force pour la suite de votre mission.
46. Le 28 avril 2021 à 15:23, par Kaba Salomon En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
Je vous apprécie beaucoup par votre prise de parole, votre sans froid, votre disposition pour le peuple Burkinabè. Je prie que le tout puissant vous accompagne dans vos projets.
47. Le 31 octobre 2022 à 20:02, par Alain Sawadogo En réponse à : « Personne ne m’impose quoi que ce soit », Ismaël Ouédraogo, directeur général de la télévision Burkina Info
Évitez de faire des commentaires sur le port du masque du chef de l’état car ceux ci enlèvent la qualité d’écoute et ne nous apportent rien. Alors stop mon chef journaliste.