Vos réactions (23)

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• par Kouka, 29 mai 2016 22:46

  C’est bien tout cela mais a t-on une idee de ce que va nous couter un sac de ciment ? C’est quand meme le plus important.

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• par SOGOSSIRA de Tuiré., 29 mai 2016 23:51

  Bizarre le Faso le pays où les sujets qui fâchent sont blackoutés. A propos de cette cimenterie, RMCK avait promis faire la lumière sur la présumé pollution de la nappe phréatique de la region de Bobo qu’occasionnerait l’ implantation de l’usine sur le site retenu. Depuis silence radio le gouvernement est muet sur la question alors qu’elle revêt un caractère primordiale eût égard aux conséquences écologiques.. A priori, après que la banlieue de Ouaga ait bénéficié de 3 cimenteries avec la complicité des pouvoirs Mossi du plateau comme si le Burkina se résume à Ouaga uniquement, il était temps que d’autres régions du Burkina puissent engranger également leur cimenterie. Une question de fond demeure cependant : au Senegal qui a 3 cimenteries la tonne revient à 60.000 CFA maximum. Le Burkina avec 3 cimenteries la tonne est vendu 2 fois plus chère qu’au sénégal. D’où vient l’erreur ?

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• par Boureima, 30 mai 2016 01:50

  Vous parlez d’une production annuelle de 200 000 T au début de votre article pour ensuite nous annoncer 2 millions de T. Vous rendez-vous compte de l’écart colossal qu’il y a entre les deux chiffres ? L’erreur entre ces deux chiffres est de +900% si on s’en tient au premier et -90% si on se réfère au deuxième. Quel gouffre !. Merci Mme KINDO de vous relire et de vous y prendre à plusieurs fois, dorénavant, avant de publier des écrits d’une telle portée. C’est une façon non pas de vous améliorer (ça nous est égal) mais de respecter les personnes qui sont sensées vous lire.

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• par jeuni, 30 mai 2016 06:04

  internaute 2. nous n’avons pas les mêmes coûts des facteurs de production que le Sénégal. certainement que ceci explique cela mais pas forcément ca seulement.

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• par alfa, 30 mai 2016 07:28

  tout cela est beau à voir.Nous, consommateurs finaux, nous demandons la baisse pure et simple du prix du sac de ciment"idem pour les loyers".dans la sous région nous sommes au pays ou le prix est le plus élevè.Mème au Mali"derrière nous puisqu’il faut traverser tout le BF" le sac est à 4500fcfa.qu’est ce que le gouvernement attend.Nous attendons la prise et/ou l’application des mesures fortes(loi BAGORO sur les loyers) sous la transition.......

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• par DODO, 30 mai 2016 07:54

  Bonjour, C’est le s services techniques sur à base de modèle mathématique donc des simulation ont déclaré la zone vulnérable.ils disent que la cimenterie va rejeté des eaux usées .c’est ridicule de dire des aberrations pareilles .même honteux pour des directeursune .une cimenterie n’utilise pas de l’eau dans sa fabrication .ils ont mis dans la tête des gens des aberrations ,ils doivent demander pardon a la population et les autorités.On doit les surveiller de près car ces directeurs de bobo peuvent de connivence avec des bandits nuire à la construction de l’usine.on les tiendra pour responsable d’avoir induits autorités bobolaise en erreur.Bravo à cimasso à bobo.

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• par David le Combattant, 30 mai 2016 09:03

  Est ce vraiment opportun de construire ou une obligation pour le Burkina de construire des cimenteries sur le territoire burkinabè alors que tous les facteurs de production sont importés ? A quoi sert de construire des cimenteries si le prix unitaire du sac ne baisse pas et ne profite pas au consommateur ? A quoi sert d’installer des cimenteries si le consommateur est obliger de payer le prix le plus élevé du ciment dans la sous région ? Avec ce prix, peut on avoir une politique de logement ? Cela s’apparente à une véritable escroquerie du consommateur et à un appauvrissement du pays. Y a t’il une une entente entre les différentes cimenteries installées au Faso ? Normalement, le jeu de la concurrence entre les différentes sociétés devraient profiter au consommateur comme dans le secteur de la téléphonie mobile. Ne serait ’il pas judicieux de détaxer le ciment importé qui profitera au mieux au consommateur Burkinabé ? Avec cela, pensez vous réellement qu’on pourra règlementer le bail au Burkina ? L’histoire des cimenteries au Faso, s’apparente à une véritable escroquerie qui ne dit pas son nom et l’État laisse faire. Appel : Autorités du Burkina, si vous aimez votre pays et votre peuple, réglementer au plus vite possible certains secteurs de l’économie d’où le secteur du ciment, du sucre... Un consommateur indigné....

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• 30 mai 2016 09:12

  le risque de pollution de la nappe phréatique (eaux souterraines) semblent vraiment réel. Dans ce cas on aurait pu déplacer cette usine pour eviter tout risque, car on peut creér de l’emploi pour les jeunes et ne pas pouvoir les donner de l’eau potable donc plus d’emploi car pas de santé pas de developpement. Il est encore temps de bien refaire les etudes et si jamais il y’a un risque de pollution meme infirme il vaut prendre la decision sage de delocaliser sur un site moins à risque mais toujours à Bobo car il doit y en en avoir. OK pour une développement durable.

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• par un gondwanais, 30 mai 2016 09:29

  internaute 2, les gouvernants se préoccupent peu de l’environnement ; sinon tout le monde sait que les techniciens ont déploré l’installation de cette cimenterie dans cet arrondissement.Qui mieux que l’agence de l’eau du Mouhoun pour apprécier l’opportunité de cet établissement par rapport aux ressources en eaux de la zone ? c’est quelle unité qui peut fonctionner sans utiliser de l’eau et sans en déverser de polluée ?l’avenir nous en dira plus, malheureusement les responsables seront très loin ; pauvre Burkina Faso !

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• par @ Internaute 2, 30 mai 2016 09:51

  Sogossira de Tuiré, Au Sénégal où il y a effectivement 3 cimenterie, il y a aussi un port pour l’acheminement des matières premières, sans compter qu’une usine comme SOCOCIM-Industries au Sénégal fabrique son propre clinker (le produit de base du ciment) directement sur son site de production. Or au Burkina Faso QUI EST UN PAYS ENCLAVE, le cout du transport du clinker depuis les ports des pays limitrophes et le cout de transit (douane et taxes) impactent directement sur le prix du produit fini. Il faut donc relativiser vos propos et comprendre que depuis l’ouverture de ces nouvelles cimenteries les prix des différents ciments sont en baisse...

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• par diapa, 30 mai 2016 10:33

  bjr tout cela est beau a voir mai quand n ai til du citoyen lambda par apport au prix du ciment meme si lon nai pa venu a bout komme le senegale il va faloir revoir en baisse ces prix c sa l essentiel sinon a koa sert de produire en masse et ya pa trop de preneur

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• par sawad, 30 mai 2016 10:39

  A l’internaute 2 Sogossira, foutez nous la paix avec des conceptions régionalistes du développement. Ouaga est 3 fois plus peuplé que Bobo, normal qu’il y ait 3 fois plus de cimenteries. Si ça te plaît pas, tu peut construire toi même ta cimenterie et employer tes parents de Bobo, personne ne trouvera à redire. Vous emmerdez chaque fois les gens avec des inepties du genre : Bobo est délaissé. Les Mossi que tu qualifiés de régionalistes, ils sont plus nombreux que tes propres parents à Bobo, ville qu’il cherissent. Ils y investissent conséquemment. En rappel, le promoteur de la cimenterie, Mr Kanazoe pouvait décider d’installer, s’il le souhaite l’usine dans son village sans problème. Cessez de voir l ethnicisme dans les questions de développement.

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• par Tinto, 30 mai 2016 11:14

  Bonjour Cher Premier Ministre, vous êtes un intellectuel et je cite ce que vous aviez dit : "L’étude d’impact environnemental n’a montré aucun danger. Sinon pourquoi investir 60 milliards FCFA qui vont créer 1500 emplois ? La responsabilité du gouvernement est de faire avancer l’économie, de créer des emplois, et de réduire la pauvreté" Je vous prie en tant que chef du gouvernement d’éviter certaines affirmations gratuites, est ce que vous (devant Dieu et devant les hommes) aviez lu l’Etude d’Impact Environnemental et Social ? L’histoire retiendra ce que vous aviez dit.

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• par Amadoum, 30 mai 2016 11:34

  Avec le petit bruit entendu sur la construction de la CIMASSO et la nappe phreatique, j’implore le lefaso.net a publier les resultats des travaux sur la nappe phreatique dans les jours a venir. Un moratoire ne serait pas une mauvaise idee. Vous souvenez-vous du coton transgenique et ses promesses ? Aujourd’hui le Burkina Faso a plusieurs centaines de milliers de tonnes de coton dont la qualite laisse a desirer et sur lequel le marche international ne se rue pas. Un desatre pour les cotonculteurs bukinabe. Le meme coton transgenique a cree des problemes en Inde. Au debut des annees 2000, quand l’idee du coton transgenique etait debatue, des burkinabe ont ecrit et demande au gouvernement de l’epoque d’ecouter nos hommes de sciences, afin de ne pas tomber dans un "GROS PROBLEME". Ces derniers ont ete traites de tous les noms et le coton transgenique fut introduit. Aux dernieres nouvelles, le coton transgenique est hors jeu au Burkina. Pour eviter un autre "GROS PROBLEME", beaucoup plus serieux, je preconise que ceux qui ont souleve la question de la nappe phreatique soient ecoutes et la construction de l’usine attende un tout petit peu. Apres tout, la non construction de la CIMASSO ne detruira pas l’economie de bobo Diuolasso, encore moins celle du Burkina Faso ; parc ontre, la contamination de la nappa phreatique de la ville de Bobo ne sera pas un desastre pour une partie de la population, mais une catastrophe pour toute la population.

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• par DODO, 30 mai 2016 13:40

  Une fois de plus une cimenterie n’utilise pas de l’eau ds don proces .juste refroidir les machines.pas de rejet d’eau usée.ensuite la nappe font on parle suite une étude de modélisation ,formule mathématique n’est pas très fondée .aussi la cimenterie est o port sec et non sur la zone à polémique .les technicien de bobo était hors sujet et discuté d’une chose qu’il ne maîtrise pas.on apprend qu’ils continue de monter les osc ,qu’il fasse gaffe c’est trois au quatre DR de bobo.on les tiendra à l’oeil car on veut cette cimenterie à bobo pour lutter contre le chômage .

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• par DODO, 30 mai 2016 13:52

  Combien de fois allons dire qu’une cimenterie ne rejette pas d’eau usée ?pkoi le burkinabé s’en tête à ce qu’on rejette de l’eau usée ?les Dr de bobo ne savent même pas ce que c’est une cimenterie .venez voir à ouaga vous comprendrez .dommage d’être réfractaire à la sciences .certains ont intérêt à repartir à l’école.merdre.

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• par major, 30 mai 2016 15:28

  A sawad, l’internaute 2 s’est mal exprimé effectivement. Mais toutefois il faut noter que 3 cimenteries à Ouaga est un non sens économiques pour un pays enclavé comme le Burkina Faso. En dehors de l’ axe Lomé-Ouaga qui "logistiquement" parlant peut être considéré judicieux d’implanter la première cimenterie "Diamond ciment", l’implantation des autres cimentéries additionnelles a été une grossière erreur, sinon une faute stupide que l’on ne peut attribuer qu’a un esprit régionaliste du développement. Tous les intrants des usines de Ouaga viennent de l’Ouest et de la Côte d’Ivoire ? Est-il indispensable de vous faire un petit calcul de couts de production ?

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• par major, 30 mai 2016 15:30

  A sawad, l’internaute 2 s’est mal exprimé effectivement. Mais toutefois il faut noter que 3 cimenteries à Ouaga est un non sens économiques pour un pays enclavé comme le Burkina Faso. En dehors de l’ axe Lomé-Ouaga qui "logistiquement" parlant peut être considéré judicieux d’implanter la première cimenterie "Diamond ciment", l’implantation des autres cimentéries additionnelles a été une grossière erreur, sinon une faute stupide que l’on ne peut attribuer qu’a un esprit régionaliste du développement. Tous les intrants des usines de Ouaga viennent de l’Ouest et de la Côte d’Ivoire ? Est-il indispensable de vous faire un petit calcul de couts de production ?

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• par blaise bonou, 30 mai 2016 15:36

  s il est vrai que le risque de pollution n est pas a "balayer",il est vrai aussi que de nombreuses personnes se sont rapprochees de cette these sans connaitre le dossier cimasso.le jour de la confrontation a l arrôndissement 6(ex mairie de konsa),le lundi 4 avril 2016,de 9h a 12h,j ai eu l insigne honneur d y etre invite.le site qui a tête presnte par les services techniques de bobo, comme etant problematique , est situe entre darsalamy et peni !! tous leurs argumentaires étaient fondes sur ce site !! le site derriere le port sec n a pas ete en cause ce jour la !!malheureusement, au regard de la tension qui a toujours prevalu entre ces 2 parties ,la confusion du lieu d implantation dans l esprit des population est restée telle qu elle !! des vidéos ,des sons existent qui confirment ce que je dis !! alors,prière éviter de se lancer dans un débat général de pollution concernant ce nouveau fleuron du tissu explique burkinabé !! des études ont bel et bien été faites,différents protocoles, dans différents ministères ont été observes !!! par conséquent ,bienvenue a l usine pour ses retombées sociales, économiques,importantes !! cela ne nous dédouane pas de notre vigilance par rapport aux nouveaux défis que cimasso créent relativement a l environnement !! au lieu de refuser le progrès,l O’Neal,le laboratoire national par exemple devraient renforcer ces capacités technologiques,humaines,organisationnelles pour faire face a ces nouveaux défis !! je dis"ces"car les exigences de développement du pays amèneront de plus en plus vers bobo de nouvelles usines,ouaga etant de plus en plus sature !!

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• par LePatriote, 30 mai 2016 15:52

  Je connais personnellement un certain nombre des techniciens qui ont fait les études environnementales. Et pour info, beaucoup sont des ingénieurs et des docteurs et ont fait leurs études à travers le monde (Burkina, Sous-régions, Europe, ...). Pour quelles raisons s’opposeront-ils à l’implantation d’une usine qui va contribuer au développement de notre économie ? Que gagnent-ils ? RIEN, cela n’a aucune incidence sur leurs salaires !!! Au contraire ils ont tous à perdre parce que leurs frères/sœurs pourraient se faire employer dans ladite usine !! Perso, je ne suis financier et je ne connais rien à géologie ou à l’hydrogéologie, ceci pour dire que je n’ai aucune compétence pour remettre en question des études faites par des ingénieurs et des docteurs dans lesdits domaines. Les chimistes, hydrogéologues, ... de l’ONEA sont payés tous les mois pour nous permettre d’avoir au quotidien de l’eau potable au robinet et faire si besoin des études pour endiguer tous les facteurs exogènes qui puissent impacter la potabilité de l’eau que nous buvons avec toutes les maladies qui en découleront. Les gars du comité technique sont sur le terrain et c’est leur boulot au quotidien. A ce que je sache les promoteurs de Cimasso ne sont ni chimistes, ni hydrauliciens, ils sont essentiellement des commerçants. Ils ne vivent pas à Bobo et de toute façon ont de quoi boire de l’eau minérale au quotidien ou s’installer des forages si la qualité de l’eau du robinet pose problème. En début Avril, 3 ministres du gouvernement se sont déplacés à Bobo soit disant pour écouter le compte-rendu du comité technique sur l’impact environnemental. A leur arrivée, ils ont rencontré le comité technique en aparté pendant 5mn avant le point de presse, juste pour leur dire qu’ils ne souhaitent pas voir leurs présentations (de les envoyer dans leurs ministères de tutelle) et que durant le point de presse, ils ne veulent pas que le comité intervienne de quelque manière que ce soit. C’est ainsi un indien, collabo avec Cimasso qui a animé le point de presse qui s’est transformé en louanges pour Cimasso. Il n’y avait pas d’opposition en face puisque nos 3 ministres avaient cantonné le comité technique à un statut de spectateur (même des questions n’étaient pas autorisées). Nos ministres sont partis ensuite visiter le site en question avant de regagner Ouaga. C’est une insulte et du mépris total à l’endroit du comité technique. Le comité technique n’a jamais souhaité que Cimasso ne s’installe pas à Bobo, le site sur lequel Cimasso veut s’installer entre autre est sur une nappe phréatique et cela polluera indéniablement l’eau que les Bobolais boiront. Le comité technique a ainsi souhaité que Cimasso se déplace sur un autre site qu’il a proposé avec des études techniques à l’appui et Cimasso n’entend pas bouger d’un iota. A priori le site serait stratégique pour Cimasso et réduirait les coûts logistiques que s’il s’installait ailleurs. Y’a-t-il des membres du gouvernement qui sont compétents techniquement pour remettre en cause les études faites pour le comité technique ? Qu’ils nous argumentent la nullité décrétée des études du comité technique ? Je me pose la question légitime de savoir s’il y a des membres du gouvernement qui se cachent derrière Cimasso, qui ont des intérêts cachés dans cette société, ce qui limite toute objectivité. Je suis contre le désordre, mais il faut que les burkinabés prennent leur destin en main. Nous avons tous chanter que plus rien ne sera comme avant mais à mon humble avais, dans le cas présent, nous faisons un saut dans le passé et même le président essaie de vous berner. Je m’arrête là, bonne journée.

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• par LePatriiote, 30 mai 2016 16:12

  Je connais personnellement un certain nombre des techniciens qui ont fait les études environnementales. Et pour info, beaucoup sont des ingénieurs et des docteurs et ont fait leurs études à travers le monde (Burkina, Sous-régions, Europe, ...). Pour quelles raisons s’opposeront-ils à l’implantation d’une usine qui va contribuer au développement de notre économie ? Que gagnent-ils ? RIEN, cela n’a aucune incidence sur leurs salaires !!! Au contraire ils ont tous à perdre parce que leurs frères/sœurs pourraient se faire employer dans ladite usine !! Perso, je ne suis financier et je ne connais rien à géologie ou à l’hydrogéologie, ceci pour dire que je n’ai aucune compétence pour remettre en question des études faites par des ingénieurs et des docteurs dans lesdits domaines. Les chimistes, hydrogéologues, ... de l’ONEA sont payés tous les mois pour nous permettre d’avoir au quotidien de l’eau potable au robinet et faire si besoin des études pour endiguer tous les facteurs exogènes qui puissent impacter la potabilité de l’eau que nous buvons avec toutes les maladies qui en découleront. Les gars du comité technique sont sur le terrain et c’est leur boulot au quotidien. A ce que je sache les promoteurs de Cimasso ne sont ni chimistes, ni hydrauliciens, ils sont essentiellement des commerçants. Ils ne vivent pas à Bobo et de toute façon ont de quoi boire de l’eau minérale au quotidien ou s’installer des forages si la qualité de l’eau du robinet pose problème. En début Avril, 3 ministres du gouvernement se sont déplacés à Bobo soit disant pour écouter le compte-rendu du comité technique sur l’impact environnemental. A leur arrivée, ils ont rencontré le comité technique en aparté pendant 5mn avant le point de presse, juste pour leur dire qu’ils ne souhaitent pas voir leurs présentations (de les envoyer dans leurs ministères de tutelle) et que durant le point de presse, ils ne veulent pas que le comité intervienne de quelque manière que ce soit. C’est ainsi un indien, collabo avec Cimasso qui a animé le point de presse qui s’est transformé en louanges pour Cimasso. Il n’y avait pas d’opposition en face puisque nos 3 ministres avaient cantonné le comité technique à un statut de spectateur (même des questions n’étaient pas autorisées). Nos ministres sont partis ensuite visiter le site en question avant de regagner Ouaga. C’est une insulte et du mépris total à l’endroit du comité technique. Le comité technique n’a jamais souhaité que Cimasso ne s’installe pas à Bobo, le site sur lequel Cimasso veut s’installer entre autre est sur une nappe phréatique et cela polluera indéniablement l’eau que les Bobolais boiront. Le comité technique a ainsi souhaité que Cimasso se déplace sur un autre site qu’il a proposé avec des études techniques à l’appui et Cimasso n’entend pas bouger d’un iota. A priori le site serait stratégique pour Cimasso et réduirait les coûts logistiques que s’il s’installait ailleurs. Y’a-t-il des membres du gouvernement qui sont compétents techniquement pour remettre en cause les études faites pour le comité technique ? Qu’ils nous argumentent la nullité décrétée des études du comité technique ? Le comité technique a-t-il des intérêts inavoués dans cette histoire ? Objectivement, AUCUNE. Les mecs ne font que leur boulot honnêtement et sont soucieux de la santé de leurs enfants et frères/sœurs bobolais. Je me pose la question légitime de savoir s’il y a des membres du gouvernement qui se cachent derrière Cimasso, qui ont des intérêts cachés dans cette société, ce qui limite toute objectivité. Je suis contre le désordre, mais il faut que les burkinabés prennent leur destin en main. Nous avons tous chanter que plus rien ne sera comme avant mais à mon humble avais, dans le cas présent, nous faisons un saut dans le passé et même le président essaie de vous berner. Je m’arrête là, bonne journée.

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• par Tinto, 30 mai 2016 19:56

  Internet N°19, Mr BONOU, vous êtes un gros menteur car j’ai la présentation des services techniques avec des cartes à l’appui. Ce ne sont pas des idiots ces gars, ils ont même été sur le terrain prendre les coordonnées géographiques du site. Au contraire c’est l’Etude d’impact environnemental de CIMASSO qui n’a rien à voir avec son site, vous pouvez la consulter à la commune, elle y est. Soyez sérieux Monsieur BONOU et arrêté de raconter du n’importe quoi si vous ne comprenez rien.

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• par Farouck OUEDRAOGO, 2 juin 2016 08:09

  Félicitation au GROUP. On espère une réduction du prix du sac de ciment car c’est ce qui est plus important. Salut

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