Le journal Mutations N°52 du 1er mai 2014 est dans les kiosques.

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Vos réactions (4)

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• par AH, 5 mai 2014 18:54

  Je souhaite que ce canard emprunte véritablement la voie du professionnalisme en publiant des dossiers d’enquête digne de ce nom et ne pas passer le temps à écrire des choses n’intéressant que l’opposition radicale

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• par Conscience du Faso, 6 mai 2014 08:29

  OK. Si le Président du Faso a opté pour une sortie pas honorable, alors pas de problème. Nous prenons acte et nous agirons en conséquence. Dans tous les cas, lui seul a les clés de la cohésion sociale actuellement. S’il decide de mettre le feu au Faso et brûler tout ce qu’il a construit depuis plus d’un quart de siècle, on va l’accompagner dans ce sens. S’il decide de préserver tous ses acquis pour son successeur, on est prêt à l’accompagner. Le pouvoir rend vraiment fou avec le temps. C’est pour cela qu’on limite la folie du pouvoir par des mandats limités.

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• par Amadoum, 6 mai 2014 09:26

  QUE DEVIENT LE CAS GUIRO ? Burkinab, apres tout ce grand bruit autour de monsieur Guiro, ne me dites pas que le dossier de ce dernier est mort d’une mort naturelle et personne n’a rendu compte. C’est de telles injustices, non punies, qui frustrent et revoltent les personnes decentes et causent le manque de paix dans toute societe. Le dossier Guiro ne doit pas mourir, meme si le dernier des Burkinabe sur cette planete doit passer le reste de sa vie a le poursuivre.

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• 6 mai 2014 12:57

  Voici le verdict : 6 mois avec Sursis et Guiro aura même le kilo de faire appel et la cour de cassation va le relaxer purement et simplement pour vice de forme et insuffisance de preuves. Guiro peut rester serein car le verdict dépendra plus de sa position vis à vis du sénat et de l’article 37 que de la volonté d’un quelconque magistrat du Burkina. Notre justice n’a pas encore sécrété de magistrats pour juger des dossiers de la trame de celle de Guiro. Nos magistrats se camouflent derrière 1) le fait que les procédures en justice sont trop complexes et compliquées pour être appréhendée par les Burkinabè, 2) le fait que la justice a son rythme ’’lent ’’ qui peut être incompris du citoyen lamda 3) le fait que le juge est souverain et discret etc etc. Tout pour ne jamais faire avancer un dossier corsé (comme celui de Norbert, Tom Sank, ASCE) sauf les histoires de divorces, de vol de bedou et autres crimes pouvant être gérés dans les commissariats de police ou même chez le Naaba du village.

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