Sur une demi-journée, les participants ont passé au peigne fin les différents textes et programmes qui régissent le sport au Burkina Faso. Le secrétaire général du ministère des Sports et des Loisirs représentant le ministre, a souligné que "l’Objectif de cet atelier vise à évaluer le niveau d’application des textes régissant le sport au Burkina Faso et à mener une réflexion profonde afin de les rendre plus efficients et plus opérationnels".

En effet, les incompréhensions et les difficultés rencontrées dans la gestion des structures sportives peuvent éventuellement trouver leurs sources dans ces textes. Des échanges fructueux ont permis aux ténors du sport burkinabè de faire des ajustements. Au regard de la mise en œuvre des textes de la décentralisation, l’atelier a proposé une recommandation à cet effet. Plusieurs amendements ont permis de relever des insuffisances dans l’application de certaines dispositions pour tenir compte des structures en création.

Les travaux ont permis d’appréhender des difficultés inhérentes à la gestion du sport de compétition. Cela a permis de faire, non seulement des propositions pertinentes, mais aussi de proposer des textes à même d’anticiper, en apportant des solutions aux problèmes qui pourraient se poser dans le futur.

Ont pris part à cet atelier, le responsable du Centre de développement de la jeunesse, des sports et des loisirs, les conseillers techniques, les directeurs généraux et centraux du ministère des Sports et des Loisirs du Centre et les chefs de service de la direction de la réglementation et des normes sportives.

Adama SALAMBERE

Sidwaya