Technologie de l’information et de la communication : Une session de formation en faveur de 250 jeunes
L’Association des enseignants de sciences physiques du Burkina (AESPB) en partenariat avec l’Association des jeunes scientifiques du Burkina (AJS-B) a organisé une session de formation en informatique du 4 au 28 septembre à Ouagadougou.
L’Association des enseignants de sciences physiques du Burkina (AESPB) et l’Association des jeunes scientifiques du Burkina (AJS-B) ont un objectif commun, promouvoir les sciences. C’est dans ce sens que les deux associations ont organisé une session de formation en informatique grâce à l’appui financier de la Coopération française.
La session a regroupé 250 participants dont 137 élèves, 62 étudiants, 23 enseignants et encadreurs, 9 chercheurs et une vingtaine de professionnels divers.
Au cours de la formation, des modules tels Windows, Word, Exel, Internet, Power Point et Access ont été développés à l’attention des participants. Ceux-ci ont également appris à créer une page Web et à effectuer la numérisation. « La maîtrise de l’outil informatique est nécessaire et pertinente pour le développement de notre pays, » ont affirmé de vive voix le représentant des participants et la trésorière de l’AESP-B Martine Diallo.
Le parrain de la formation M. Tapsoba a souligné que « les analphabètes d’hier étaient ceux qui passaient en courant devant la cour de l’école. Les analphabètes d’aujourd’hui sont ceux qui refusent de s’approprier l’outil informatique ». Une remise d’attestations a mis fin à la cérémonie de clôture.
Marie-Chantal BOUDA (Stagiaire)
Sidwaya
Vos commentaires
1. Le 4 novembre 2006 à 14:08, par Zoumhussein En réponse à : > Technologie de l’information et de la communication : Une session de formation en faveur de 250 jeunes
Bonjour a tous.
ce genre d’initiative est a encourage car a l’allure ou va l’informatique et sa place deja incontestable dans la vie quotidienne,si l’on ne tente pas d’emboiter le pas et d’initier nos jeunes a l’outil info d’ici peu on risque d’etre victime d’un second sous developpement,qui risque de nous couler pour de bon.Il est temps que les jeunes Burkinabe apprennent a se familliariser avec les pcs car l’info semble etre un passage obligatoire pour notre developpement et peut etre qu’il pourrait aider a notre essort
Zoumana TRAORE Eleve ingenieur a l’ENSA Oujda au Royaume du Maroc