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Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

Publié le jeudi 17 décembre 2015 à 08h41min

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Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

Durant la dernière rencontre qu’ils ont tenue à Cotonou au Bénin, les avocats ont exprimé, entre autres, le « précédent dangereux » que constitue l’interdiction, par le Burkina Faso, de voir plaider des avocats étrangers de plaider aux côtés de leurs confrères burkinabè, dans les dossiers Djibrill Bassolé et Gilbert Diendéré. C’est l’essentiel du contenu de cette déclaration de la Conférence internationale des barreaux de l’Union économique et monétaire de l’Afrique de l’ouest (Uémoa). Le document dont nous avons obtenu copie porte les signatures de tous les bâtonniers de l’espace sous régional, dont Me Mamadou Savadogo, le nouveau bâtonnier de l’Ordre des avocats du Burkina Faso.

« La Conférence des Barreaux de l’espace UEMOA, réunie- en session extraordinaire à Cotonou du 7 au 10 décembre 2015 a appris la Décision du juge d’instruction du tribunal militaire de Ouagadougou déclarant irrecevable la constitution d’avocats ressortissants de l’espace UEMOA et d’avocats de nationalité française dans le dossier Etat du Burkina Faso cI Messieurs Djibril BASSOLE, Gilbert DJENDERE, Hermann YAMEOGO et Autres.

Il faut rappeler que la constitution de ces avocats avait été actée par le juge d’instruction, cé qui leur avait permis d’avoir accès au dossier de la procédure et de rencontrer leurs clients détenus. La Décision d’irrecevabilité du juge d’instruction est fondée sur le fait que les avocats concernés seraient de nationalité étrangère et que leur constitution violerait l’article 31 du code de justice militaire du Burkina Faso.
La Conférence des Barreaux de l’espace UEMOA tient à rappeler que depuis l’entrée en vigueur du Règlement n005/CM/UEMOA, le 1er janvier 2015, la nationalité n’est plus un critère d’exercice de la profession d’avocat par les avocats ressortissants de l’espace UEMOA dans l’un quelconque des Etats de l’Union.

L’article 7 dudit Règlement est très explicite à cet effet en ce qu’il stipule que : « les avocats inscrits au Barreau d’un Etats membre de l’UEMOA peuvent exercer leur profession dans les autres Etats membres de l’UEMOA ou s s’y établir définitivement à titre principal ou y créer un cabinet secondaire conformément aux dispositions du Règlement relatif à la libre circulation et à l’établissement des avocats ressortissants de l’union au sein de l’espace UEMOA »

Ce texte, dans le cadre de l’exercice de la profession d’avocat, met sur le même pied d’égalité tous les avocats ressortissants de l’espace UEMOA qui peuvent exercer librement leur ministère dans l’un quelconque des pays dudit espace, s’y installer à titre principal ou au titre d’un cabinet secondaire.

En résumé, un avocat ressortissant de l’espace UEMOA’ ne peut pas être considéré comme étant un étranger dans l’un quelconque des pays de la Conférence des Barreaux de• l’espace UEMOA considère donc que cette décision du juge d’instruction du Tribunal militaire de Ouagadougou viole gravement la législation communautaire et porte un coup d’arrêt à l’œuvre d’intégration de nos Barreaux et de nos Etats en général par l’évocation de la question de la nationalité qui en grande partie fonde le retard de nos Etats.

Au demeurant le Règlement n05 susvisé abroge et remplace toutes dispositions nationales contraires. La Conférence des Barreaux demande à la justice militaire du Burkina Faso de reconsidérer cette décision afin qu’elle ne constitue point un précédent dangereux de nature à compromettre les importants efforts déployés pour permettre l’intégration de nos barreaux, de nos justices et de nos pays.
Elle appelle également la Justice du Burkina Faso à se conformer aux Accords et Conventions internationaux signés •par ce pays, en particulier le Pacte International relatif aux droits civils et politiques qui accorde à la personne poursuivie de choisir librement son défenseur ; ces Conventions ayant une valeur supérieure à la loi et donc au code de la justice militaire.

La Conférence exhorte tous les Etats membres de l’UEMOA à prendre toutes les mesures de nature à permettre une pleine et entière application du Règlement n05/CM/UEMOA dans l’Union. »

Fait à Cotonou le 10 décembre 2015

La Conférence des Barreaux

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Vos commentaires

  • Le 17 décembre 2015 à 04:18, par Paul KÉRÉ, avocat au Barreau de Nancy. Avis. En réponse à : Dossiers Du Putsch Manqué : Les Avocats De L’uémoa S’inquiètent D’un « Précédent Dangereux »

    J’émets un avis positif à cette déclaration des Bâtonniers de la Conférence à Cotonou.
    Au-delà de la violation manifeste par l’article 31 du CJM des accords internationaux du Burkina Faso, c’est le risque gravissime de voir refuser à nos Confrères Burkinabè de plaider devant les juridictions françaises ou de l’uméoa parce que la France et certains pays appliquent systématiquement le principe de la réciprocité. En tout état de cause, cet article 31 du CJM est inconstitutionnel pour être contraire aux engagements internationaux du Burkina Faso. Il ne mérite qu’abrogation immédiate par le Parlement ou alors que les avocats étrangers la soumettent systématiquement à la question préjudicielle de constitutionnalité. Le droit ne peut, en aucun cas, s’embarrasser des opinions politiques de circonstance et subjectifs même pour juger les auteurs d’un putsch militaire. Les Juges militaires Burkinabè reconnus pour leur sens élevé de l’intégrité et de leur honneur ont également cet état d’esprit. Ils instruisent à charge et à décharge. Je suis sûr que le législateur va abroger immédiatement cet article 31 du CJM et pour l’instant tant qu’il n’est pas abrogé les juges militaires n’ont pas le choix que de l’appliquer. C’est de leur responsabilité. La QPC s’impose donc aux avocats constitués pour l’instant en invoquant les textes communautaires, notamment le règlement numéro 5. N’étant pas constité dans ce dossier et m’opposant à toute constitution dans ce dossier, je conserve jalousement ma liberté d’expression et de parole. Ce dossier doit respecter nécessairement les formes processuelles sans préjuger du fond qui sera matérialisé par l’ordonnance de renvoi du Juge d’instruction.

  • Le 17 décembre 2015 à 06:31, par SAMBIGA En réponse à : Dossiers Du Putsch Manqué : Les Avocats De L’uémoa S’inquiètent D’un « Précédent Dangereux »

    Bande de vautours au service de l’occident on vous a l’oeil. Vous n’êtes que des néocoloniaux cherchant à cacher l’influence macabre des puissances occidentale et surtout de la France sur les pays africains.

  • Le 17 décembre 2015 à 06:56, par CBB En réponse à : Dossiers Du Putsch Manqué : Les Avocats De L’uémoa S’inquiètent D’un « Précédent Dangereux »

    Même démarche que la CEDEAO !
    Comme c’est la première fois qu’il y a des problèmes de justice au Burkina Faso !!!
    Tout cela confirme l’idée de complot international contre le Burkina Faso dans lequel Djibril serait fortement impliqué.
    La démocratie qui semble s’installer au Burkina Faso est sûrement gênante pour pas mal d’acteurs dans cette Afrique de l’Ouest et ailleurs certainement !

  • Le 17 décembre 2015 à 07:00, par Papa En réponse à : Dossiers Du Putsch Manqué : Les Avocats De L’uémoa S’inquiètent D’un « Précédent Dangereux »

    Mr les avocats predateurs chasseurs de primes, voulez-vous qu’on vous parle en quelle langue pour que vous compreniez ?? On vous a dis qu’il est interdits aux ovocats etrangers de plaider devant un tribunal militaire au Bukina-Faso et vous continuez a persister que voulez-vous finalement ? Laissez l’ UEMOA hors de vos betises et allez vous plaindre a l’ONU .Sachez que le Burkina-Faso est un pays souverain et aucun pays ou organisation regionale ne peut changer nos lois. Laissez-nous tranquilles .

  • Le 17 décembre 2015 à 07:09, par Un africain En réponse à : Dossiers Du Putsch Manqué : Les Avocats De L’uémoa S’inquiètent D’un « Précédent Dangereux »

    Pendant que vous y êtes !
    N’est-ce pas que des élections libres et transparents avec résultats publiés à jour J+1 (à quelques minutes prêt), constituent un précédent dangereux en Afrique ?

    Rien que vous intérêts à vous ! Quand il s’agit de défendre le "pauvre et l’orphelin", silence radio, quand il y a des gros sous, ça court comme des vautours !
    Tout ça à cause de l’argent "arabe" de Djibril Bassolé !

  • Le 17 décembre 2015 à 07:44, par Elpazo En réponse à : Dossiers Du Putsch Manqué : Les Avocats De L’uémoa S’inquiètent D’un « Précédent Dangereux »

    vous avez soutenu le putsch, laissez le Burkina régler cette situation, car ce sont pas des étrangers qui ont été tués ici. On verra la conformité après. Au lieu de nous félicité, vous chercher toujours à nous déstabiliser par la les forces du mal. allez voir dans d’autres pays ou c’est très flagrant.

  • Le 17 décembre 2015 à 07:49, par El vicky En réponse à : Dossiers Du Putsch Manqué : Les Avocats De L’uémoa S’inquiètent D’un « Précédent Dangereux »

    foutaise ! Avocats du peuple ou avocats racketeurs ? On vs voit venir. Si la justice etait aussi universelle k ca prkoi dans laffaire thom sank et autres on a pas vu de groupes d avocats etrangers se saisir du dossier ? L’enquete parlementaire demandee par le Burkina a la france pourkoi celle ci na pa ete jugee recevable ? loi UEMOA ou CEDEAO qui feint de defendre les criminels doit etre ignoree. Avocats de gosiers dites moi navons nous pa d avocat burkinabe competent pour ces genres de dossiers hautement politiques ? Mes chers avocats revoyez votre copie. Cherchez plutot des solutions sur comment rendre la masse accessible a vos services a ces rencontres pareilles.

  • Le 17 décembre 2015 à 07:56, par DROITAUBUT En réponse à : Dossiers Du Putsch Manqué : Les Avocats De L’uémoa S’inquiètent D’un « Précédent Dangereux »

    Jespère seulement que vous avez fait un recours en bonne et due forme, et ne pas vous contenter de dénoncer dans la presse !

  • Le 17 décembre 2015 à 08:02, par KISERU II En réponse à : Dossiers Du Putsch Manqué : Les Avocats De L’uémoa S’inquiètent D’un « Précédent Dangereux »

    A ces voyous d’ avocats(à vos cas) disons leurs que le Burkina n’est pas une république bananière et de plus c’est une affaire militaire ,et lis n’ont rien à voir dedans.Les 2 généraux ont au moins la chance .Les mêmes ont et ont fait exécuter des innocents avec des faux coups et les mêmes avocats disaient quoi ?on ne devait même pas trainer il fallait les faire puisque ce n’était plus présomption ,ils ont été pris la main dans le sac.Que ces avocats aillent faire ce qu’ils veulent chez eux.Nous ,nous avons confiance à notre justice militaire.

  • Le 17 décembre 2015 à 08:02, par Sidzabda En réponse à : Dossiers Du Putsch Manqué : Les Avocats De L’uémoa S’inquiètent D’un « Précédent Dangereux »

    je souhaite que les journalistes fassent à leur niveau un effort supplémentaire au lieu de nous livrer le compte rendu ou les articles sans analyse profonde d’un sujet. dans les rédaction, la seule chose qui manque le plus, c’est ce qu’on nous a montré à l’école du journalisme : le PIP. le Papier d’Initiative Personnelle. nos journaux toutes catégories confondues font du reportage, de l’interview, du compte rendu et très peu font de l’analyse. c’est dans l’analyse que le PIP ressort et trouve toute sa raison d’être. voilà des avocat qui tirent à boulet rouge sur une juridiction militaire. des journaliste publient l’article sans eux même chercher à savoir pourquoi ce papier. vous avez des attaches dans d’autres pays de l’UEMOA. demander leur si dans leurs pays respectifs, il existe une juridiction propre aux militaires. si oui, que dit la partie querellée ici. s’il n’existe pas de justice militaire, point de débat. le domaine militaire est réservè et même les traités internationaux qu’on a ratifié s’ils ne disent pas explicitement que le droit militaire y est inclus, la justice militaire évolue seule et aucune disposition ne l’astreint. c’est vraiment la mauvaise foi des avocat ici qui ne veulent pas reconnaitre cet aspect, ils veulent embarquer la justice militaire dans le droit commun et contribuent à tromper le citoyen lamda qui va se mettre à critiquer le juge militaire sans oublier que ce juge militaire a connaissance des mêmes textes que vous évoquez et seulement vous n’êtes pas de bonne foi.

  • Le 17 décembre 2015 à 08:20, par l’avocat En réponse à : Dossiers Du Putsch Manqué : Les Avocats De L’uémoa S’inquiètent D’un « Précédent Dangereux »

    C’est interessant ce que vous dites.Mais lorsque les citoyens de ce meme espace se font escroquer par les forces de defense et de securite aux frontieres vous restez silencieux comme des carpes. En plus, vous etiez ou lorsque les burkinabes se faisait trucider pendant le coup d’etat. Trouvez des avocats pour defendre aussi les victimes qui n’ont pas de moyens et on vous ecoutera. Vous ne reagissez que lorsque vos interets pecuniers sont en jeu.

  • Le 17 décembre 2015 à 08:38, par tabita En réponse à : Dossiers Du Putsch Manqué : Les Avocats De L’uémoa S’inquiètent D’un « Précédent Dangereux »

    avocat de l’uemoa ou pas, ces généraux sont des bourreaux pour leur peuple. ils échapperons pas à la justice divine.

  • Le 17 décembre 2015 à 09:09, par Touba En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de L’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Il me semble, si les éléments avancés sont juste, que les avocats ont raison. Mais je trouve que leur réaction est en fonction des intérêts surtout financier des membre des barreaux. Il ne me souvient pas que les barreaux se soient levés contre les fait que nous "petits citoyens" soient objet de spoliation de toute nature dans les pays de l’UEMOA parce qu’ayant franchie une frontière.
    Personne n’a parlé lorsque les burkinabé ont été poursuivis, tués, dépouiller de leur bien en Côte d’ivoire parce que burkinabé, qui du reste ne sont pas comptable des agissements de Blaise Compaoré en son temps.
    Aucun avocat, aucun barreau, aucune autorité n’a demandé réparation, n’a demandé le respect des convention et ce jusqu’à nos jours ces cas sont tombés dans les pertes et profits.
    Il est bon de demander le respect des textes, mais défendez aussi les lambdas que nous sommes.
    Au juges militaires, si leur argument est fondé, revenons sur la décision car nous avons chassé Blaise aussi à cause du non respect des règles. Nous n’avons pas honte de revenir sur une décision parce que nous sommes humain. C’est parce que le DIABLE a refusé de reconnaitre son erreur qu’il a franchie la frontière à midi pil.

  • Le 17 décembre 2015 à 09:15, par TIEN FOBA En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de L’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Mais et le cas des avocats de nationalité française ? Ces avocats peuvent-ils plaider pour leurs clients alors qu’ils ne sont pas de l’espace UEMOA ? Merci de m’éclairer.

  • Le 17 décembre 2015 à 09:33 En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de L’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Foutez nous la paix, ou dans ce monde on a vu des affaires militaires se règlent par des avocats civiles "mange-mil" comme vous. Quand on tuait nos fils où étiez-vous. L’UEMOA c’est qui c’est leur avocat qui est assied de l’autre côté.

  • Le 17 décembre 2015 à 09:34, par joanny En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de L’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Ça y est quand il s’agit de défendre des dossiers tordus, on organise des colloques, ce sont ces mêmes racailles que vous défendez aujourd’hui qui ont mis en place cette même justice militaire burkinabé ainsi que les textes qui la régissent. Autrement dit c’est guillotin qui ne veut pas se faire guillotiner.

  • Le 17 décembre 2015 à 09:38, par celka En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    La Conférence des Barreaux inclue t elle les juridictions militaires ? N’oublions pas que le cas du Burkina Faso est plus militaire que de droit commun.

  • Le 17 décembre 2015 à 09:38, par Kampa Ouoba En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de L’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Des avocats peuvent-ils tirer Djibrill de cette fosse ?

  • Le 17 décembre 2015 à 10:08, par contrelemensonge En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Loi je ne suis pas juriste ni politicien mais la remarque que je peux faire ici est que l’emploi du mot " ETRANGER’ pose déjà un problème dans la tentative d’intégration. on cirait les internaute sont aveugles. nos parents qui sont en cote d’ivoire quand les ivoiriens ont commence au temps de Gbagbo a parler d’étranger quelle a été la réaction des burkinabè. alors évitons ce dont nous ne voulons pas être la cible, à savoir la stigmatisation. moi je ne suis pour personne mais si on ne quitte pas dans ca nous allons avoir des problèmes avec nos voisins. nous allons remettre en cause la cohabitation pacifique. mon avis est que je trouve que effectivement, il le juge militaire à travers sa décision est e port à faux avec les accord communautaire. de grâce, rendons service o nous même. le burkina ne vit pas en autarchie. les internaute qui parlent mal des avocats. je suis sur que si vous étiez avocat ou des gens qi connaissent la portée des traités , vous n’allez avoir des réactions épidermiques. vous n’êtes pas plus intelligents que les avocats qui on écrit la note. cherchons la vérité . nous devons faire attention sinon , nous allons avoir des problèmes avec nos voisins avec certains termes comme ETRANGERS. combien de burkinabè sont hors du burkina. qui se souvient du nom de cette ville de la cote d’ivoire " TABOU" qui se souvient du village de Nipuy ? qui étaient les habitants ? réfléchissez bien.

  • Le 17 décembre 2015 à 10:09, par djeneba En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Si vous voyez un avocat qui souleve des exception tout azimut c’est qu’il n’a rien a dire au fond, il est sur de perdre le proces. Les avocats veulent justifier leurs honoraires

  • Le 17 décembre 2015 à 10:12, par Mon Djibril En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Franchement, le Burkina doit arrêter de violer les règlements communautaires après son refus de mettre en oeuvre la décision du 13 juillet 2015 de la Cour de justice de la CEDEAO ordonnant à l’Etat de "lever tous les obstacles à la pleine participation des citoyens aux élections". Le tribuna militaire du Burkina, invoquant une disposition xénophobe pour exclure les étrangers, fait par là même la promotion de la xénophobie alors même que ce tribunal devait avoir honte de l’invoquée. Comment la haine envers le régime de Blaise peut-elle amener un Etat et sa justice à être injuste envers ses proches au mépris des principes élémentaires de droit et de démocratie ?

  • Le 17 décembre 2015 à 10:39 En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    on a interdit aucun avocat étranger de plaider devant des tribunaux civils ; ne nous demandez pas de dévoiler nos secrets d’Etat en vous permettant l’accès de nos tribunaux militaires.
    chers avocats cherchez du pain vous allez manger avec, parce que votre france a perdu le Burkina comme elle a perdu le Rwanda.
    d’ailleurs demandez à la france de nous faire la lumière sur l’explosion en plein vol de l’avion d’air algerie qui a tué plusieurs Burkinabé.

  • Le 17 décembre 2015 à 10:44, par Bédjou En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Vous les avocats, défenseurs de la veuve et de l’orphelin, je suis choqué par votre prise de position très intéressée cette fois-ci. Apparemment il doit s’agir d’une affaire de gros sous qui fait courir et réagir de la sorte. Si non comment comprenez vous que vous ne vous êtes pas constitués pour des dossiers de crimes dont le peuple burkinabé a été victime. C’est honteux.

  • Le 17 décembre 2015 à 11:09 En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Le plus important que justice soit rendue. Tous ses débats intéressent peu le peuple. Permettez a tous les prévenus de se défendre avec l’avocat qu’il veut, peu importe sa nationalité.
    Nous ne voulons pas d’un procès bâclé, nous voulons un procès équitable et que les coupables soient punis conformément à la loi.
    Mais de grasse permettez à tous ses prévenus d’avoir les avocats qu’ils désirent.

  • Le 17 décembre 2015 à 11:11, par traoré En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    bien dit Mr les avocats car cela est très juste mais malheureusement il faut être allé à l’école de Droit ou être bien instruit pour comprendre cela ce qui n’est sans doute pas le cas à lire les certains internautes. bref j’espère que le tribunal reprendra en compte la disposition communautaire qui est supra-législatif, pour ce qui peuvent comprendre bien sûre.

  • Le 17 décembre 2015 à 11:11, par elkabor28 En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Nous prenons acte de la décision.mais faudrait rappeler que chaque pays à ces lois qu,on ce doit de respecter.le code militaire interdit des avocats étranger en ce qui concerne le tribunal militaire.si c’était un tribunal civil,il aurai pas de soucis....mais un coup d’état cela relève de la compétence du tribunal militaire.respectons au moins les textes.

  • Le 17 décembre 2015 à 11:25, par Guence En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Pendant qu’on y est, Chers EXPERTS Avocats à la recherche de pain, et si vous allez défendre nous enfants qui ont été abusés au Tchad, Niger et Burkina par des soldats Français ? et pardon, défendre plutôt les soldats Français, puisqu’il s’agit de défendre le DIABLE. Drôles de défenseurs !!!

  • Le 17 décembre 2015 à 11:26 En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    quand des Burkinabé sont chassés de guinée ou sont victimes de génocide en cote d’ivoire on parle pas d’UEMOA ni de CEDEAO. c’est quand le Burkina veut punir ceux qui ont comploté contre son peuple avec le soutien de dirigeants de pays du même UEMOA qu’on parle de droit communautaire.
    il faudrait qu’on se retire de l’UEMOA parce que c’est un outil de la france afrique

  • Le 17 décembre 2015 à 11:35, par YNK En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Chers Compatriotes, quand on parle du droit, prenez le temps de vous cultiver avant de vous lancer dans le débats. C’est aussi simple que ca.
    Le règlement est un acte juridique qui s’impose à tous les Etats membres de l’Union. On n’a pas forcé les Autorités du pays à le signer.
    Vous voulez qu’on applique les textes qui vous arrangent un jour et qu’on laisse ceux qui ne vous arrangent pas le landemain ! C’est là le mal de notre pays.
    Même les textes nationaux non appliqués , y a en plein dans les tiroirs et c’est ça qui fait du pays un avion plein de carburant avec pilote à bord mais qui ne s’envole pas !!!!!
    Un peu de retenu pour voir le fonds des choses.
    Le Jour ou un compatriote sera dans des difficiltés ailleurs dans l’Union et vous allez vouloir que des Avocats du Burkina volent à son secours, là, vous aller vouloir activer le même règlement !!

    Puis qui dit que ces avocats pourront défendre les Généraux et les faire liberer ? Il appartient à la Justice d’apporter des contre arguments juridiques pour les détruire leur arguments. Défendre ne veut pas dire arriver à faire liberer......C’est juste une position de principe d’application des textes communautaires librement signés par les Etats !!!!! SVP
    Bonne journer

  • Le 17 décembre 2015 à 11:40 En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    même si ce délinquant franc maçn terroriste djibril yepini bassolé ramasse toute la racaille d’avocats qui cherchent à se remplir les poches,il ne s’en sortira jamais. il a créé sa fosse tout seul et nous,on se contente de l’enterrer. arretez vos gros mots creux de chez creux

  • Le 17 décembre 2015 à 11:57, par Kabore ousseini En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Mon peuple périt par manque de connaissances à dit la bible. Nous étalons notre mauvaise fois et notre immaturité aux yeux du monde. Incapable de voir plus loin que le bout de notre nez. Ya pas plus aveugle que celui qui refuse de voir. Tout ce qui se passe pue la manipulation de ce maudit gouvernement de transition . J’ai honte de voir que le peuple prenne les paroles de ce gouvernement pr celle de l’évangile. Qui vivra vera. Vous avez pas encore compris la nomination de ce Zida en homme le plus gradé de l’armée ? De l’acharnement fait aux généraux ? 160 millions peuvent faire un coup d’état ? Soyons des acteurs avertis car l’histoire se répète. Dieu bénisse le BF

  • Le 17 décembre 2015 à 11:57, par Pagomziri En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    C’est quoi ce délire ? Espace UEMOA, espace UEMOA, et la souveraineté de chaque Etat, qu’en dites vous ? Faites supprimer les frontières de l’espace UEMOA et nous vous suivrons, sinon aucune logique dans vos revendications "tubes digestives".

  • Le 17 décembre 2015 à 12:13, par Le vigilant ! En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Y a des gens qui pensent que le Burkina peut se passer du reste du monde . Faites bcp attentions pour ne pas paraître comme des parias. Je ne vois pas comment la présence d’un avocat soit étranger peut sauver un délinquant dans l’application du droit. Peut-être il ya d’autres choses qu’on veut cacher. C’est au Burkina Faso qu’ils sont jugés et no ailleurs.
    Alors chers messieurs du tribunal militaire revoyés votre copie pour ne pas sacrifier nos compatriotes avocats

  • Le 17 décembre 2015 à 12:16, par SID WAYA En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    En vérité tous ces "avocats " sont frustrés par la leçon Burkinabè. Coup d’état le plus honteux du monde déjoué par les Burkinabè sans un ballets incessant(CDEAO, UEMOA, armée Française.....et j’en passe). Ils sont frustrés parce que le peuple a fabriqué sa transition qui a organisé des élections très propres et dans les délais.
    Voyez-vous ??? je comprends maintenant Blaise Compaoré. On ne pouvait pas avoir à coté de soit un jusqu’auboutiste comme Bassolet et ne pas tomber dans les bavures.Regardez les autres présumés(militaires surtout) ne disent pas grand chose.Quant-aux sieur Bassolet c’est des déclarations d’avocats , des déclarations de NAFA,des...des...De grace Mr Bassolet n’a qu’à savoir que le sang ne se versera pas ici il peut y compter.
    Il est vaincu au nom de JESUS.

  • Le 17 décembre 2015 à 12:19, par ka En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Les juges achetés de la CEDEAO, ont voulu dupé les responsables de la transition qui étaient très intelligents en votant la loi du code électoral par la charte de la démocratie de l’UA, et le clown du bénin avec Maky Sall ont été honnis quand ils ont relu la charte de l’UA et la loi du code électoral qui était conforme. Une fois encore c’est dans la capitale du clown que les traitres essayent de détourner le code militaire du Burkina. La Charte de l’UEMOA concernant les avocats étrangers voté en 2015, ne mentionne pas la justice militaire qui est un barreau à part. C’est pourquoi l’équipe de la transition a eu l’idée de confier les criminels à la justice militaire qui était légitime, puisqu’ils sont presque tous des militaires. Les Burkinabé ne sont plus des moutons, et l’équipe de la transition, avant chaque décision juridique s’entouraient des éminents juristes nationaux et internationaux. Le choix de la justice militaire n’est pas au hasard, car on voyait venir Djibril avec le denier public volé et ses avocats Djihadistes de l’extérieur. On savait que le clown du Bénin avait encore une ruse dans son sac pour soutenir les pros Blaise Compaoré. Les barreaux militaires de l’UEMOA ne sont pas concernés par la loi des barreaux civils. Qu’on nous le prouve.

  • Le 17 décembre 2015 à 12:39, par Mat En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Eclairage SVP

    Un internaute ou la rédaction du Faso.net à travers une interview peut-il nous donner plus d’infos sur le cas d’espèces. Devant les tribunaux militaires américains, il n’y avait pas d’avocats étrangers. La nationalité importe-elle pour l’exercice des professions libérales dans l’espace Uemoa ? Que cherchent les avocats Français dans cette affaire alors qu’ils ont été violemment rejetés par les avocats Ivoiriens qui voient d’une mauvais œil la maraude qu’ils font. Il y a beaucoup de question que la déclaration des avocats de Bassolé il y a quelque temps n’éclaire pas.
    Merci de sortir la lanterne.

  • Le 17 décembre 2015 à 12:42, par ocm En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Mes chers avocats, si vous n’avez pas peur de la justice des hommes, ayez peur de la justice de dieu. Qu’avez-vous fait du dossier Thomas SANKARA. Quelle suite la France (pays de démocratie) a donnée à ce dossier ?.
    Les choses sont claires et on se rappel des manœuvres orchestrées par ces faut généraux pour liquider sans autres formes de procès des innocents dans ce pays. Pour mémoire, comment ils ont géré le faut coup d’état qui a emporté Jean Bâtisse LINGANI, Henri ZONGO et autres ?. Comment ils ont géré le dossier Norbert ZONGO avec l’expulsion forcée de Robert MENARD (membre de la commission d’enquête sur ce crime d’état) par le même Bassolé ?. Je m’arrête ici car j’ai des larmes aux yeux.
    Un dossier militaire reste un dossier militaire. Pourquoi vous voulez en faire une exception dans notre pays ?. Laissez la justice militaire gérée le dossier de ces faut militaire et donner un bon exemple pour postérité.
    Cherchez votre pitance mais de grâce, faites le de la bonne manière pour donner un bon exemple à nos enfants.

  • Le 17 décembre 2015 à 12:48, par un citoyen En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Militaire mérite militaire ; que cherche Avocat dans affaire de cour martiale . Il s’agit d’un complot d’état , ils ont tué les gens avec des armes de guerre . Ils ont trahi l’armée .

  • Le 17 décembre 2015 à 13:03, par joanny En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de L’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Ça y est quand il s’agit de défendre des dossiers tordus, on organise des colloques, ce sont ces mêmes racailles que vous défendez aujourd’hui qui ont mis en place cette même justice militaire burkinabé ainsi que les textes qui la régissent. Autrement dit c’est guillotin qui ne veut pas se faire guillotiner.

  • Le 17 décembre 2015 à 13:14, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    - Messieurs les AVOCATS bonimenteurs, il faut plutôt vous inquiéter pour le Mali. Et moi Yamyélé je vais vous dire la raison.

    Disons-nous la vérité sans sourciller ! Le Mali est le ventre mou de la sous-région Ouest africaine, région mise complètement en danger total par le Mali ! Et je vais vous dire pourquoi :

    1/- Le gouvernement y est faible incapable de faire face en toute légitimité aux terroristes et autres Jihadistes de malfrats ! Il est aussi incapable de faire régner l’ordre dans la religion islamique et dans les prêches extrémistes.

    2/- L’armée malienne est très faible, composée de soldats poltrons qui ont peur de mourir pour que leur nation survive ! Elle est incapable de faire face courageusement aux terroristes et autres Jihadistes malfrats. Elle a laissé transformer le Nord du Mali en terrain de trafics de toute sorte : esclaves sexuelles, otages, drogues, cigarette, bétail, immigrants, etc. L’armée malienne est incapable !

    3/- Les maliens sont des orgueilleux et des nostalgiques qui refusent de reconnaitre et d’avouer leurs faiblesses, se contentant de se réfugier derrière des vieux rêves du temps de Soudjata KEITA et à des actes de bravoures avec des lances et des flèches du temps des empires nègres !

    4/- A côté de toutes ces négations, il y a enfin les religieux dont plusieurs sont des menteurs, des gourmands, des complices cachés des terroristes et autres Jihadistes malfrats qui leur jettent prébendes et miettes pour tordre les esprits des maliens en utilisant les prêches de l’Islam !!

    - Au Mali, on assiste de plus en plus à une remise en cause de la laïcité qui pourrait provenir de certains prêcheurs zélés qui se croient tout permis au nom de l’islam. Comme l’a écrit un journaliste malien : ‘’Chaque jour qui passe, on assiste à la multiplication des prêcheurs qui sortent du bois pour prêcher au nom de l’islam. Les autorités ont assisté de façon passive à ces prêches tous azimuts dont la plupart déroute les citoyens dans la façon de se conduire dans la communauté’’.

    - Récemment, dans ses propos, le président du Haut Conseil Islamique du Mali (HCIM), Mr Mahamoud DICKO, tout en condamnant l’attaque terroriste de l’hôtel Radisson Blu, l’avait qualifié de punition divine contre le Mali eu égard à la montée en puissance de l’homosexualité contraire à l’islam et aux coutumes et us. Ses propos ont créé un tôlé général au point que le Procureur Général de la République du Mali, Mr. Daniel Tessougué TRAORÉ est intervenu pour condamner ces propos tout en accusant le président du HCIM de faire l’apologie du terrorisme. En toute réponse, le Président du HCIM lui dit que Mr Daniel Tessougé TRAORÉ est bien vrai le Procureur Général de la République du Mali, mais qu’il n’est pas la République. Ce à quoi ledit Procureur a lui aussi répliqué en demandant le rasage des longues barbes et le contrôle de provenance des fonds pour la construction des mosquées au Mali. En affirmant ceci, le chevronné magistrat pense sincèrement que le terrorisme est encouragé quelque part une catégorie de religieux qui tire bénéfice dans ce secteur. Heureusement que Mr Mahamoud DICKO vient de faire amende honorable en reculant !

    - Et je vous dis encore que les réfugiés syriens sont encore d’envahir en masse le Nord du Mali sans que le Gouvernement malien ne veuille se remuer, et IBK dans ses grands boubous encombrants et traînant derrière lui, est plutôt préoccupé à jouer à l’opportuniste en tournant dans les régions et en pleurant dans certains villages, alors que Daesh est entrain d’envahir subtilement son pays ! Que les maliens le veulent ou pas, je le dis ! leur pays sera envahi par l’Etat Islamiste et ils seront responsables des malheurs de l’Affrique de l’Ouest de par leur irresponsabilité collective !

    Par Kôrô Yamyélé

  • Le 17 décembre 2015 à 13:36, par SOUGRESOABA En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Apparemment, les avocats veulent qu’on satisfasse leur désir au mépris des textes de justice militaire du Burkina Faso. Certes, nous respectons les accords internationaux ; nous ne sommes pas un pays voyou. Mais, respectez notre pays car il y a eu autant de dossiers brûlants ( affaires Thomas Sankara, David Ouedraogo, Dabo Boukary, Norbert Zongo, Salifou Nebié etc.), mais aucun avocat de l’UEMOA ne s’est intéressé parce qu’il n ’y a pas de "GOMBO". De grâce, au lieu d’avoir des déclarations incendiaires, veuillez laisser notre pays dans sa marche radieuse pour la liberté et la démocratie.
    VIVE LA DÉMOCRATIE !
    VIVE LE BURKINA FASO !

  • Le 17 décembre 2015 à 14:21, par Doctor Smith En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    En matiere de tribunaux civils les avocats ont raison, mais en matiere de tribunal militaire ils ont tord et font une tres mauvaise interpretations du vide juridique. Aucun pays ne laissera un avocat etranger plaider sur une question de secret d’état.
    Avocats etrangers soyez plus serieux que ca et arretez de tromper les gens

  • Le 17 décembre 2015 à 14:31, par le magnac En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    L’article 7 dudit Règlement est très explicite à cet effet en ce qu’il stipule que : « les avocats inscrits au Barreau d’un Etats membre de l’UEMOA peuvent exercer leur profession dans les autres Etats membres de l’UEMOA ou s s’y établir définitivement à titre principal ou y créer un cabinet secondaire conformément aux dispositions du Règlement relatif à la libre circulation et à l’établissement des avocats ressortissants de l’union au sein de l’espace UEMOA » messieurs les avocats dites nous ou se trouve dans cet article la disposition qui dit que cela vaut pour les infractions ou pour les tribunaux militaires ? vous savez tous que la loi ne s’interprète pas. on l’applique. allez y plutôt dire a la CEDEAO ou à L’UEMOA ou encore à je ne sais qui d’autre d’expliciter le dit article et laisser nous en paix. et même si on le fait cette explicitation ne vaudra que pour l’avenir.

  • Le 17 décembre 2015 à 14:40, par Mouni issouf En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    La diaspora vs observe .continue la politique de division !.RDV en 2020 !

  • Le 17 décembre 2015 à 14:53, par eliane En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Koro yamyele cette fois je suis parfaitement d,accord avec toi le Mali va nous créer des sérieux problèmes, mauvaise gestion des frontières, laxisme,armée inopérante et j,en passe

  • Le 17 décembre 2015 à 14:55, par joanny En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    N’EN VOULEZ PAS JUGE D’INSTRUCTION NI A LA JUSTICE MILITAIRE PARCE QUE LA LOI A ETE DITE. LA LOI EST DURE MAIS C’EST LA LOI. EMPRENNEZ VOUS PLUTÔT A CEUX QUI ONT CONTRIBUE A LA FAIRE ADOPTER C’EST A DIRE BLAISE COMPAORE ET SES GENERAUX.

  • Le 17 décembre 2015 à 15:14, par CEDEAO NOUS FATIGUE En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Quand il s’agit du Burkina on en voit de toutes les couleurs. on est fatigué de CEDEAO.

  • Le 17 décembre 2015 à 15:17, par pabeguèba En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Ces soi-disant avocats plaideront ils gratuitement ? combien vaut l’intervention d’un avocat international il faut les envoyer à la CPI pour que ces avocats aillent plaider la bas

  • Le 17 décembre 2015 à 15:24, par Fatao En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    UEMOA, UEMOA. Au temps de Blaise Compaoré, qu’aviez vous pu faire sur le dossier Sankara et Norbert Zongo ???? On voit les crises vu la violations des constitutions qui fait des morts. UEMOA fait quoi pour éviter ces crises. Vous êtes des plaisantins et il faut évoluer à la Poutine avec vous.

  • Le 17 décembre 2015 à 15:26, par Minute En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Vraiment, je suis désolé et même déçu de la réaction de "contrelemensonge" (internaut 19). Qu’est ce que toi tu ne comprend pas. Quel problème le mot étranger te pose ? La question est militaire. Je pense que ce que les gens voudraient que nous acceptions ne sera pas accepté chez eux même si en France le mot coup d’Etat n’existe pratiquement pas. Ne faites pas d’amalgame avec la situation que nos frères ont enduré en cote d’ivoire lorsqu’on le traitait d’étrangers. Ici, il s’agit d’un coup d’état perpétué par une frange de l’armée régulière. Est ce un problème de caserne doit être étalé au grand jour. Lorsque les pauvres burkinabé couraient dans les rues de Ouagadougou à la recherche d’un abri, personne, même ces avocats qui se croient plus connaisseurs que tous n’ont pas daigné venir à leur secours. Nous sommes resté à souffrir et par notre détermination, le courage congénitale de notre peuple galvanisé par Thomas sankara qui disait que "l’esclave qui ne peut pas assumer sa révolte ne mérite pas que l’on s’apitoie sur son sort ; seule la lutte libère". Messieurs les avocats, laissez nous tranquille car votre position est l’expression de l’aliénation éhonté d’un intelligentsia voué à la solde de l’impérialisme qui ne s’avoue pas vaincu et nage dans la boue d’un monde positif qui ne veut plus se laisser compter. En suivant tous ces vautours qui se sont coalisés croyant encore et toujours mettre le Burkina dans le chaos, on est amené à dire qu’il n’y a que des intérêts inavoués qui sont recherchés ici. En tout cas, le peuple mature du Burkina ne laissera pas faire. Messieurs les avocats, étiez vous là au Burkina ou n’êtes vous pas informé que des burkinabé ont été accusés et exécutés à la sauvette par les mêmes que vous espérez défendre ? Au moins, les vrais burkinabé sont légalistes et veulent que ces putschistes (coupables à souhait) soient traduit en justice contrairement à eux qui ont exécuté beaucoup de burkinabé sous le coup de la présomption. Laissez nous tranquille

  • Le 17 décembre 2015 à 15:50, par Lune En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Franchement , je voudrais juste comprendre pourquoi les burkinabè sont haineux de la sorte. Dès qu on leur dit la verité , ils reagissent par des injures et le faso net publie seulement . Tout le monde ne Peut pas etre partisans de la pensée unique.

  • Le 17 décembre 2015 à 15:57, par Achille De TAPSOBA En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    HOMMAGE A NOS MARTYRS du 30, 31 Octobre 2014 et 16,17 Septembre 2015

    Chers amis avocats vous semblez être de grands comédiens ayez un peu de la morale et une pensée pour les martyrs ne cherchez pas manu militari l’argent mal acquis . Djibril Bassolé traine derrière lui plusieurs sales dossiers(cerveau de rébellion ivoirienne, disparition de l’or, escroquerie dans la confection des cartes de séjour pour les Burkinabés de Cote d’Ivoire, faux procès verbal dans l’affaire Norbert ZONGO, détournement dans l’achat d’un immeuble pour l’ambassade du BURKINA en Afrique du Sud) il est très loin d’être un saint. Il est impliqué jusqu’au cou car il finance la résistance du rsp et est entré en connexion avec des forces étrangères. Aux premières heures de putsch, il avait annoncé sur rfi que si exclusion il n’y aura pas de paix au BURKINA sur quoi s’était-il basé pour dire ça ? Naturellement sur le coup d’état que Diendéré et Djibril Bassolé avaient préparé longtemps. Djibril avait menacé la transition. Ces 2 généraux savent que la justice les attrapera un jour ils ont voulu anticiper les choses DIEU merci ils ont été cernés par leurs propres pièges. Ils seront jugés et condamnés sans aucun état d’âme pour que nos CHERS MARTYRS se reposent dans la PAIX DU SEIGNEUR
    Quelques soient vos pressions et vos chantages pour diaboliser la justice Burkinabé, la justice ne cédera jamais à vos caprices . Djibril est bien complice dans ce coup. La justice n’est pas un club de franc_ maçons où il y a du copinage.

    Le BRAVE PEUPLE veillera à ce que les sanctions soient maximales pour ces 2 faux généraux mus par les forces du mal.

    DIEU AIME LE BURKINA, il n’ y aura pas de chaos NI AVANT NI APRÈS LE 29 NOVEMBRE 2015. NOUS ÉLIRONS NOTRE PRÉSIDENT DANS LA PAIX DU SEIGNEUR EN TOUTE TRANSPARENCE ET EN TOUTE CRÉDIBILITÉ.

    Honte aux forces du mal (ex-rsp + alliés)
    Honte aux déstabilisateurs du BRAVE PEUPLE BURKINABÉ.

    Merci SEIGNEUR pour tout (BURKINA)
    Merci SEIGNEUR pour tout (BURKINA)
    Merci SEIGNEUR pour tout (BURKINA)

    A NOS MARTYRS QU’ILS SE REPOSENT EN PAIX. QUE JUSTICE LEUR SOIT RENDUE RAPIDEMENT.

    JUSTICE POUR NORBERT ZONGO
    JUSTICE POUR THOMAS SANKARA
    JUSTICE POUR SALIFOU NEBIE
    JUSTICE POUR DAVID OUEDRAOGO

    VICTOIRE TOUJOURS AU BRAVE PEUPLE
    VIVE LA DÉMOCRATIE AU FASO
    VIVE LE BRAVE PEUPLE BURKINABÉ

    QUE LE SEIGNEUR BÉNISSE LE BURKINA QUE NOUS AIMONS TOUS.AMEN
    PAIX ET SUCCÈS A TOUS LES BURKINABÉS. AMEN

    ACHILLE TAPSOBA(le vrai qui n’a pas fui dans un coffre de voiture)
    Partisan inconditionnel de l’Alternance

  • Le 17 décembre 2015 à 16:06, par Le pragmatique En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Décidemment Djibril Bassolé a décidé d’actionner tous ses réseaux francs maçonniques pour le sauver. Mais ça ne passera pas. Les arguties des avocats "gomboistes" ne tiennent pas car non seulement les tribunaux militaires ne sont pas concernés par la loi communautaire et mais l’UEMOA a échoué totalement dans la mise en œuvre de l’intégration. A l’exception du Burkina aucun n’applique réellement les lois communautaires de l’UEMOA. Il suffit de prendre la route pour traverser les frontières des autres pays pour se rendre compte de ce marché des dupes qu’est la fameuse intégration de l’UEMOA. Alors messieurs les avocats bonimenteurs arrêtez de pomper l’air.

  • Le 17 décembre 2015 à 16:22 En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    wait and see on attend le premier Salo d’avocat de merde qui va poser ses fesses au Burkina pour vouloir défendre un quelconque criminel nous allons les commander à la pendaison sur la place de la révolution bandes râpasses et de yellin packma. Venez seulement on vous suit de prêt la maudite compagnie de transport qui va vous emmener au Burkina aura son compte n’en parlons pas de vous.

  • Le 17 décembre 2015 à 16:27, par Mon Djibril En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Un militaire, avant d’être militaire est d’abord et avant tout un civil. Le militaire ne peut pas se soustraire du civil et c’est ce qui fait qu’on peut très bien juger un militaire dans un tribunal civil. Le tribunal militaire est seulement une spécificité et en aucun cas il ne doit aller à l’encontre des règles générales qui régissent la juridiction civile !
    Il y’a quelque chose dans l’ attitude de beaucoup d’ internautes qui frise l’ orgueil et l’ arrogance. Comment un internaute qui n’a aucune notion de droit peut-il contester une déclaration bien réfléchie de tous les avocats de l’ UEMOA ?
    Soyons un peu modeste et voyons la vérité en face. Vive le barreau des avocats, vive le droit débarrassé du cliché militaire ! Vive le Burkina !

  • Le 17 décembre 2015 à 16:31, par Kindo Ousmane En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Je suis d’avis cette fois ci du texte de Yamyele. Bravo

  • Le 17 décembre 2015 à 16:48, par Jeunedame seret En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    L’UEMOA a même des avocats ? C’est la première fois je les entends ; merci bassolé. Ton malheur est bon ? Mais ne nous monte pas contre d’autres peuples ; ça ne te servira pas. Reconnais facilement ton tort sans autres histoires de sang. Bassolé on voit ta culpabilité et tes faiblesses. Lébga toro tar...

  • Le 17 décembre 2015 à 16:58 En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Appliquons la procédure sans discrimination. Courage.

  • Le 17 décembre 2015 à 17:12, par Freeman de T En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    C’est le genre de réaction qui me met hors de moi. Et à l’UEMOA, il n’y a pas de texte obligeant la Côte d’Ivoire à extrader Blaise Compaoré pour qu’il vienne répondre de ses actes ? Tchrrrr !
    Dieu bénisse le Burkina !

  • Le 17 décembre 2015 à 17:24, par ZONGO S TOUSSAINT En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Je ne connait pas les vraies intentions de qui que ce soit, mais que celui qui aime le Burkina ( nation Burkinabè) évite tout ce qui contribue à sucer le sang de ses fils. On en a vu les 30 et 31 Octobre et lors du putch de Sptembre. "Ne jamais construire son bonheur sur les larmes des autres", ça porte maleur. A bon entendeur salue !!!

  • Le 17 décembre 2015 à 17:43, par ka En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Merci à mon ami Körö pour son intervention constructif et à retenir. Je confirme a l’intervenant 43 Magnac , j’ai parcouru de long en large cette loi de l’UEMOA, même l’article 7 n’est pas précis, à condition que l’étranger soit domicilier ou avoir un second cabinet dans l’autre pays. Les barreaux militaires Burkinabé ont parfaitement le droit de refuser ces avocats venus d’ailleurs. Avant de venir plaider au pays des hommes intègres, ils ont l’intérêt d’aller modifier la loi, et mentionner correctement que tout avocat de l’UEMOA peut plaider dans les barreaux militaires, qui sont des barreaux séparé à celui des civils. Tous ceux qui sont à la MACA sont presque tous des militaires, et doivent être jugés par des militaires selon la loi. Si le faut Général Djibril redonne ses grades et démissionne de l’armée, là il peut être domicilié à la MACO, et peut utiliser le denier public volé pour ses avocats venus d’ailleurs.

  • Le 17 décembre 2015 à 18:27 En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Chers internautes, je lis régulièrement les avis des uns et des autres et j’écris moins en moins du fait que beaucoup de nos frères aiment la démocratie si cela les concerne et veulent utiliser d’autres méthodes quand il s’agit de leur adversaires.
    Chacun n’a qu’à faire son travail. C’est le rôle des avocats de défendre leur client(petit, grand, pauvre, misérable etc.) et de crier si on veut les empêcher d’exercer leur métier sur la planète terre.
    Les burkinabè(pris individuellement ou collectivement) n’a jamais demander le service d’un avocat qu’il soit de nationalité burkinabè ou étrangère et ce dernier a refusé. Je ne maitrise pas bien les textes de lois, mais, même les avocats intègres burkinabés attendent que leurs clients expriment leurs besoins avant de prendre le dossier en main.
    Ce ci pour dire que le procès sur les avocats tendant à dire qu’ils ne défendent pas les burkinabés sauf leur intérêts n’est pas juste. Tout le monde rêve d’être payé à sa juste valeur raison pour laquelle, on étudie pour décrocher le bac+4.......+10.
    Sachons raisons garder, sinon, notre colère risque de nous aveugler. Si par exemple, dans cette affaire, un des avocats d’une victime du crash du vol de la compagnie d’air algérien n’arrive pas à défendre son client sur un autre territoire, à quoi, notre colère nous a servi. La loi, c’est la loi. C’est grâce à ce minimum de loi( puis que d’aucuns diront que la loi est pour les riches), que nous arrivons à nous exprimer sur le net( qui sans la loi internationale nous n’allons pas nous exprimer via les satellites).
    On a peur de quoi ? Nos juges militaires ne sont pas compétents pour affronter les avocats ? L’État burkinabé n’a pas de moyens pour se payer les avocats de compétences internationales. La démocratie a un prix raison pour laquelle, nous avons organiser les élections à coûts de milliards. Nous ne sommes pas dans un état d’exception. Tout burkinabé dans un état de droit, a droit à une défense de ce que la loi nationale et internationale l’accorde qu’il soit riche, pauvre, misérable etc. Nous sommes tous clients d’un avocat national ou international mêmes les morts.

  • Le 17 décembre 2015 à 18:57 En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Donc dans le métier d’avocat il n’y a pas d’éthique. Vous devriez avoir honte de vouloir défendre des ennemis du peuple et du coup vous vous affichés comme étant les ennemis du peuple BURKINABE et devrez être traités comme tel . Après tout ce sont les autorités de la transition qui n’ont pas fait leur travail pour questions d’affinités avec les putschistes sinon tout le monde sait que c’est la cour martiale qui doit être appliquée. La jurisprudence nous rappelle les cas Henry Zongo et Lingani et pourquoi l’auteur de cette jurisprudence va échappé à la règle ?

  • Le 17 décembre 2015 à 19:42, par you En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Je suis deçu du batonnier du Burkina qui a aussi signé la déclaration. Depuis quand cette disposition existe dans le code de procédure militaire ? Lui qui connaissait l’existence de cette disposition et son incompatibilité avec les textes communautaires pourquoi ne l’a t-il pas dénoncé bien avant afin qu’elle soit révisée pour se conformer aux règles communautaires ? certainement parce qu’il n’avait aucun interet. Du jour au lendemain il voit gombo, devient zinzin et se comporte a son tour comme un incapable majeur. Des aventuriers qui lèvent subitement croyant que Burkina a perdu sa souveraineté. Ou bien c’est parce qu’il avait peur de blaise. Je le conseille d’avoir peur du peuple burkinabé car vos transactions macabres ne passeront pas. Le Burkina revisera la disposition querellée au moment venu mais pas maintenant pour faire plaisir a ces vampires qui veulent se sucrer sur le sang des enfants burkinabé.

  • Le 17 décembre 2015 à 20:25, par ka En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Merci à mon ami Körö pour son intervention constructif et à retenir. Je confirme a l’intervenant Magnac, j’ai parcouru de long en large cette loi de l’UEMOA, même l’article 7 n’est pas précis, à condition que l’étranger soit domicilier ou avoir un second cabinet dans l’autre pays. Les barreaux militaires Burkinabé ont parfaitement le droit de refuser ces avocats venus d’ailleurs. Avant de venir plaider au pays des hommes intègres, ils ont l’intérêt d’aller modifier la loi, et mentionner correctement que tout avocat de l’UEMOA peut plaider dans les barreaux militaires, qui sont des barreaux séparé à celui des civils. Tous ceux qui sont à la MACA sont presque tous des militaires, et doivent être jugés par des militaires selon la loi. Si le faut Général Djibril redonne ses grades et démissionne de l’armée, là il peut être domicilié à la MACO, et peut utiliser le denier public volé pour ses avocats venus d’ailleurs.

  • Le 18 décembre 2015 à 08:49, par SPARTACUS En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    la loi sur la justice militaire est une d’exception donc elle ne répond pas aux conventions et accords internationaux. de grâce vous les avocats de DJIBRIL je sais que c’est votre gombo gluant qui vous intéresse. mais le peuple du Burkina ne va pas céder à vos différents pression. notre justice et avocats sont assez mur et intelligent pour mener et rendre un jugement juste et équitable. je vous en prie laissé nous juger nos parents qui se sont rendu ennemie de leur propre pays à cause de leur intérêt égoïste.

  • Le 18 décembre 2015 à 11:59, par citizen En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Les flammes de l’insurrection ne sont pas encore éteintes ! Gare au salop d’Avocat étranger qui va poser sa patte au Faso pour défendre le dossier des assaillants, on va le bruler ! Pourquoi ne parlez vous pas des récents massacres de civils au Burundi ? Pourquoi ne défendez vous pas les dossiers du président Thomas SANKARA, Norbert ZONGO, David OUEDRAOGO, Michel CONGO, Dabo BOUKARY, Salifou NEBIE ? parce que il n’y a rien à picorer ! Quand aux frontières des Etats membres de l’EUMOA et de la CEDEAO on pille les Burkinabè où avez vous mis les conventions de libre circulation des biens et des personnes ? Pourquoi y a t-il des frontières ? Pourquoi y a t-il de carte de séjour dans certains pays de la communauté ? Pourquoi il y a des élections dans chaque pays de la communauté ? pourquoi il y a un président de la république dans chaque pays de la communauté ? C’est parce qu’il y a un minimum de souveraineté de chaque Etat de la communauté. Intégration ne veut pas dire public, publicité ou n’importe quoi ! C’est à cause de votre gourmandise et de votre insouciance que Blé Goudé a décidé de se défendre tout seul devant la CPI. Au lieu de vous en prendre à la France qui viole copieusement les conventions en refusant de faire juger ses militaires par les juridictions des pays africains (Burkina Faso, Centrafrique, Togo...), c’est le Burkina Faso que vous voulez combattre. Bande de racailles ! Honte à vous, vous êtes les vrais ennemis du Burkina Faso et de l’Afrique toute entière.

  • Le 18 décembre 2015 à 15:28, par c est ca En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    si cette affaire échappe même au juridiction de droit commun du Burkina que voulez vous chers avocats de l uemoa.

  • Le 18 décembre 2015 à 16:42, par bush En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Haaaa oui, avocat etranger veut manger ds coup d’état devant notre justice militaire. Même si l’interdiction n’existait pas , elle s’impose. S’ils tiennent, ces fameux avocats "mange partout" je les enverrai défendre MOCTAR BEL MOCTAR devant le PINTAGONE.

  • Le 19 décembre 2015 à 13:34, par en vérité je vous le dis En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    qu’ils aillent au diable ces avocats racailles qui ne voient couler le gombo devant leurs yeux.Il ne sont pas mieux nantis que nos frères avocats Il ya des gens qui pensent qu’étudier à l’étranger qui les font meilleur mon oeil .Nos frères qui ont étudié ici valent milles fois mieux.Pourquoi Djibril n’a pas confiance à nos frères d’ici.Nous ne voulons pas d’avocats étranger dans nos affaires d’état.

  • Le 20 décembre 2015 à 11:55, par wedaga En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Je ne suis pas avocat pour comprendre à la lettre vos mots. Mais depuis quand parle t on d’intégration africaine ou sous régionale ? Pourquoi jusqu’à présent elle n’est pas effective ? Pourquoi l’Assemblée française tout récemment s’est prononcé contre la soumission du dossier SANKARA en son sein ?
    Depuis que cette affaire de Blaise a commencé, si ce n’est la France, c’est la CEDEAO, si ce n’est la CEDEAO, c’est l’UEMOA. Remarquons ni la CEDEAO, ni l’UEMOA ne sont utiles à l’Afrique que quand il s’agit par agir dans le sens des intérêts français. Si c’est ainsi l’intégration, nous, Burkinabè, nous la refusons !
    Nous comprenons que l’intégration africaine c’est militer pour le bien de l’Afrique. Et pour ce faire, il faut combattre l’impérialisme sous toutes ses formes.
    Nous demandons aux Avocats de l’UEMOA de ne pas s’inquiéter de ce qu’ils appellent précédent dangereux.
    D’ailleurs, ce nouveaux article dont ils évoque n’abroge pas la constitution des autres États, si c’en est le cas, il faut que ce soit écrit noir sur blanc !
    Tous les ennemis du Burkina verront leurs stratégies en déroute. Ceci n’est que le commencement...

  • Le 20 décembre 2015 à 19:45, par bance alassane En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Mais pourquoi pas on a vue des avocats burkinabè au niger cet accord marche dans tout les états membre sauf il y’a de racisme commença ’donc ette jujement ne serait pas équitable je ne reconnais plus le burkinabè’masi ils ont le droit de cuse les autorités de la transition d’avoir ouvré une porte raisonal de coup d’État son explication a été au centre de politique ’l’aime mon pays je ne peux oublier la reconsliation ça me fait mal de autre installation a cause a cause de un intérêt personnel

  • Le 11 janvier 2016 à 17:59, par Emmanuel LAWSON En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    Il est inconcevable et même criminel que l’on s’oppose à la défense des avocats. Moi je pense qu’il faut les laisser accomplir leur devoir de défendre les droits des autres en faisant abstraction de leurs nationalités ou de leurs sexes.Rappelons que celui qui est libre aujourd’hui peut être prisonnier demain et ce en étant peut être même innocent. Nous sommes tous en liberté provisoire, comme dirait l’autre, et il faut des professionnels pour aider les tribunaux à rétablir la vérité.

  • Le 21 janvier 2016 à 21:49, par kougri En réponse à : Dossier Djibrill Bassolé : Les avocats de l’UEMOA s’inquiètent d’un « précédent dangereux »

    moi je n’est pas compris ou pas.on parle de civil dans le decret de l’uemoa alors que djibi et gilbert sont des millitairs.dite tout humain et non civil si non sa tient pas.vous ete toujours hors-jeu mes avocats

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