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Affaire Norbert Zongo : Les avocats de François Compaoré demandent au Conseil d’État français de transmettre au Conseil constitutionnel une question prioritaire de constitutionnalité

Publié le samedi 19 décembre 2020 à 10h54min

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Affaire Norbert Zongo : Les avocats de François Compaoré demandent au Conseil d’État français de transmettre au Conseil constitutionnel une question prioritaire de constitutionnalité

Alors qu’il était attendu pour ce 18 décembre 2020, en principe, la décision du Conseil d’Etat français sur l’extradition ou non de François Compaoré, les avocats de ce dernier ont demandé ce vendredi au Conseil d’État français de transmettre au Conseil constitutionnel français une question prioritaire de constitutionnalité dans le cadre du recours en annulation du décret d’extradition du frère cadet de l’ancien président du Faso.
Le délibéré sur cette question est attendu d’ici à trois semaines.

La défense du frère de Blaise Compaoré avance plusieurs arguments, allant de la motivation politique de cette autorisation d’extradition à l’absence de garantie de sécurité pour ses avocats français. La décision est en délibérée. Elle sera rendue d’ici trois semaines, en théorie, peut-être d’ici la fin de l’année, selon Me Briard, l’un des avocats de François Compaoré.

Il est question dans cette affaire de l’implication du frère de l’ancien président burkinabè, Blaise Compaoré, dans l’assassinat du journaliste Norbert Zongo, il y a 22 ans, alors que ce dernier enquêtait sur la mort du chauffeur de François Compaoré notamment David Ouédraogo.

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Vos commentaires

  • Le 19 décembre 2020 à 11:30, par caca En réponse à : Affaire Norbert Zongo : Les avocats de François Compaoré demandent au Conseil d’État français de transmettre au Conseil constitutionnel une question prioritaire de constitutionnalité

    Désormais c’est la défense de Mr François Compaoré qui communique dans cette affaire d’extradition du client vers le Burkina. autrefois c’est le gouvernement par le ministre de justice communiquait la victoire étape dans le journal télévisé pour exulter le peuple manipulé. Disons que dans trois semaines maintenant, nous seront édifiés et peut-être la fin de la persécution d’un homme.
    Que Dieu vient au secours de son serviteur Mr Paul Compaoré et que le projet malsain de ses ennemis échouent.

    • Le 19 décembre 2020 à 14:31, par Nabayouga En réponse à : Affaire Norbert Zongo : Les avocats de François Compaoré demandent au Conseil d’État français de transmettre au Conseil constitutionnel une question prioritaire de constitutionnalité

      Caca, si François compaoré était aussi innocent comme vous le prétendez, il serait très intéressé par son procès. Il revendiquerait lui-même son procès pour le laver de ce déshonneur qui le suit depuis 22 ans. Il doit avoir confiance dans la justice de son.psys sauf si cette même justice a été manipulé du temps de kouassi blaise compaoré son frère qui 27 années durant a massacré, volé et tué plein de burkinabè. Je cite par hasard Thomas sankara, lingani, Henry zongo, le juge nebié, oumarou clément, watamou lamien, et j’en passe..... . Dans tous les cas François est déjà condamné puisqu’il est obligé de vivre dans l’anonymat en france. C’est triste de finir ainsi. Regardez même le déchéance de kouassi blaise compaoré. Tôt ou tard François et son taciturne frère seront jugés. Le peuple burkinabè aura toujours le dernier face à ces criminels déjà condamnés par lhistoire.

    • Le 19 décembre 2020 à 20:09, par Nabiiga En réponse à : Affaire Norbert Zongo : Les avocats de François Compaoré demandent au Conseil d’État français de transmettre au Conseil constitutionnel une question prioritaire de constitutionnalité

      @ Caca

      FrançOis n’est pas FrançAis.

      Nul ne doit s’efforcer de changer l’un pour l’autre.

      J’espère que tu te protèges bien contre le Covid étant donné la recrudescence au pays. J’ai fait la mésaventure d’avoir lu ta contribution ce matin avant de prendre mon petit déjeuner voilà que j’ai perdu tout appétit tellement elle est mensogère.

      J’avoue que je ne connais très bien son dossier mais me semblerait-il que la justice Burkina aurait des petites questions à lui poser, rien que des questions, pas plus. D’où mon incompréhension de ce qui se passe en France. Je ne comprends pas que François Compaoré ait décidé de s’imposer sur l’état Français surtout qu’il n’est pas Français. N’est-ce pas la France pour les Français ? Pourquoi veut-il changer ce slogan des manifestants ? Que cherche-t-il en effet ? Qu’on ne l’extrade pas vers le Burkina ? Mais pourquoi, lui qui est innocent et n’a même pas connu Norbert dans sa vie, lui qui n’est pas concerné de près ou de loin, par cette affaire. Qu’est-ce que le Burkina lui a fait pour mériter un tel rejet violent public et pourtant, il est né, à Ziniaré. Je n’ai pas beaucoup à dire comme je ne suis très mal son affaire avec la justice Burkinabè. Le contribuable français est aux prises avec lui car c’est l’État français qui paie ses avocats sinon, comment finance-t-il sa défense, lui qui fut un simple conseiller économique à la Présidence du Faso. Voilà ce qui me fait gratter la tête.

      • Le 20 décembre 2020 à 11:44, par caca En réponse à : Affaire Norbert Zongo : Les avocats de François Compaoré demandent au Conseil d’État français de transmettre au Conseil constitutionnel une question prioritaire de constitutionnalité

        Mon cher Nabiiga, yako !
        Après l’insurrection de 2014, aucun burkinabé ne devait souffrir de l’injustice dans notre cher Burkina Faso. Le sentiment e haine et l’esprit de vengeance devaient être bannis pour toujours pour permettre une vie stable et une cohésion sociale entre burkinabé. Mais hélas, la déception a été grandes et la justice des vainqueurs a pris le dessus. L’ouverture des dossiers judiciaires tels où ils ont été n’avaient aucun sentiment de recherche en une justice équitable et impartiale. Comment toutes les institutions d’une république digne de son nom puisse se liguée contre deux frères ?
        J’ai un vif sentiment que la justice actuelle du Burkina Faso est pire que celle que nous avons connue il y a encore quelques années. Non seulement le juge burkinabé est corrompu dans ses recherches de gains faciles, mais le sentiment de vengeance anime sa motivation de justice. Les dossiers judiciaires ont été piratés par des pervers et des schizophrènes pour se venger des hommes autrefois puissants que l’insurrection bâtardes a rendu vulnérables. Le sorties hasardeux des officiels burkinabé et des internautes malsains confirment la satisfaction égotiste de bon nombres de burkinabé de voir l’ex-président et son frère croupir dans les prisons sales du Burkina-Faso aux noms des crimes qu’ils non jamais commis. L’auteur de la mort du journaliste Norbert Zongo a été identifié par la justice à son époque juger et condamner selon la loi du Burkina-Faso et d’autres avaient bénéficier un non-lieu.
        Cette justice là n’est pas une justice équitable et ni transparente.

      • Le 26 janvier 2023 à 23:26, par Renault HÉLIE En réponse à : Affaire Norbert Zongo : Les avocats de François Compaoré demandent au Conseil d’État français de transmettre au Conseil constitutionnel une question prioritaire de constitutionnalité

        En France, véritable démocratie et véritable pays de droit, le droit de protection contre la torture s’applique à tous, français ou pas.
        On sait très bien que dans une dictature putschiste tropicale, les droits de l’homme ne sont pas protégés ; sinon, il n’y aurait pas de putsches !

    • Le 19 décembre 2020 à 20:18, par Le Vigilent En réponse à : Affaire Norbert Zongo : Les avocats de François Compaoré demandent au Conseil d’État français de transmettre au Conseil constitutionnel une question prioritaire de constitutionnalité

      @Caca, tu veux donc dire que François Compaore a un « Dieu » qui l’a inspiré pour la commission de tous les crimes dont on l’accuse ? C’est donc ce « dieu » plus maléfique que Satan que tu implores en faveur de ce même François Compaore, son plus fidèle serviteur ?

  • Le 19 décembre 2020 à 11:33, par Jamaal Ahmed En réponse à : Affaire Norbert Zongo : Les avocats de François Compaoré demandent au Conseil d’État français de transmettre au Conseil constitutionnel une question prioritaire de constitutionnalité

    Dieu a déjà jugé. Il a condamné Francois et sa suite. Exradé ou pas les enfants de Francois vont vivre affaire Zongo Norbert toute leur vie. Tout le monde en parle tout comme Blaise a été chassé par la rue.

  • Le 19 décembre 2020 à 12:34, par Lom-Lom En réponse à : Affaire Norbert Zongo : Les avocats de François Compaoré demandent au Conseil d’État français de transmettre au Conseil constitutionnel une question prioritaire de constitutionnalité

    Mon frère Caca ( j’espère que ce n’est pas l’équivalent du "biiindou" en langue mooré ), Mr François Compaore est déjà en prison à ciel ouvert depuis 22 ans maintenant et personne ne souhaite être à la place d’un homme qui lutte contre sa propre conscience d’homme. Cette prison s’est aggarandie avec l’insurrection et l’exil auprès des commanditaires de l’assassinat du Président Thomas Sankara. C’est cette souffrance intérieure qui est le véritable calvaire pour cet homme et toutes les gesticulations actuelles ne font que faire durer sa souffrance. Être jugé peut bien alléger la souffrance morale de cet homme et il gagnerait à se laisser juger chez lui pour meriter le pardon des parents des victimes si effectivement il est reconnu coupable. Mourir en exil, avec toutes les maledictions de ses concitoyens, il n y a rien de glorieux en ça. Tout compte fait, il y aura probablement la justice divine et ça, ce ne sont pas nos écrits qui peuvent changer quelque chose pour chacun de nous. Dieu bénisse le Burkina !

  • Le 19 décembre 2020 à 14:52, par HUG En réponse à : Affaire Norbert Zongo : Les avocats de François Compaoré demandent au Conseil d’État français de transmettre au Conseil constitutionnel une question prioritaire de constitutionnalité

    Un homme au sens plein du terme affronte son destin il ne fuit pas son destin. Norbert zongo enquetait sur la mort d un chauffeur qui n était pas son frère. Il l à fait car la vie humaine est sacrée. Par la suite.Norbert zongo à été assassiné parce quil cherchait à savoir pourquoi david ouedraogo qui était le chauffeur de françois compaore àété tué .Pour les gens ayant un cerveau pour réfléchir qui aurait intérêt à tué Norbert zongo ?

  • Le 19 décembre 2020 à 16:31, par OCy En réponse à : Affaire Norbert Zongo : Les avocats de François Compaoré demandent au Conseil d’État français de transmettre au Conseil constitutionnel une question prioritaire de constitutionnalité

    Le Vigilent et le Sage m ont diabolisé sur le site comme si j étais un espion de qui que ce soit le 15 octobre 87, j étais très jeunes mais je ne saurai dire mon émotion. Combien j étais choqué, le 13 décembre 98, j étais plus grand la aussi ma déception était grande et en ces moment je ne savais pas qu un jour j allais avoir un sentiment positif envers ceux qui sont accuses aujourd’hui ces crimes mais le 30 octobre 2014 j ai pitié Blaise C.quand il faisait son discours et aujourd’hui les images de François C me fond pitié. Qu est ce qu il y a de pire que leur situation qu il endurent

  • Le 19 décembre 2020 à 18:50, par Ka En réponse à : Affaire Norbert Zongo : Les avocats de François Compaoré demandent au Conseil d’État français de transmettre au Conseil constitutionnel une question prioritaire de constitutionnalité

    En 1999 dans la foulé pour protéger son petit frère , le président Blaise Compaoré ordonnant un décret portant une augmentation des salaires de 5 à 10 %, ce que beaucoup percevront comme une tentative de diversion et l’achat des consciences, malgré tout, une commission d’enquête indépendante fut installé et qui a obligé le juge Kassoum Kambou a accusé le commanditaire de cet assassinat crapuleux qui est Monsieur François Compaoré.
    16 juillet 2015 : Les députés du Parlement intérimaire votent la mise en accusation de l’ex-président Blaise Compaoré devant la Haute Cour de justice pour « haute trahison » et « attentat à la Constitution ». Sans oublié l’assassinat crapuleux de Thomas Sankara et ses Compagnons.

    Monsieur François Compaoré peut utiliser tout l’argent du contribuable Burkinabé qu’il a volé pour payer tous les avocats du monde, lui comme son frères restent des accusés et des repris de justice pour la justice et le peuple Burkinabé et même de leurs enfants et famille.

    C’est pourquoi en décembre 2015, Dieu a donné un signe au peuple Burkinabé en donnant le pouvoir a Roch Kaboré, comme il l’avait fait au monde le 25 décembre en donné son fils Jésus Christ pour qu’il sauve le monde. C’est pourquoi Roch Kaboré prêche au prés de son peuple le changement de la mentalité : Car, Construire la cohésion sociale et réussir la réconciliation, imposent un préalable : déconstruire les mythes, les contre-vérités et les idées reçues, afin de restructurer les mentalités. Panser les plaies par la justice pour restaurer la capacité d’écoute et de pardon.

    Comme la parole de la bible, voilà ce qu’a dit le fils de Tuiré, fils de l’ honorable Bila Kaboré, un homme franc qui a su éduqué des enfants francs et digne des vrais Burkinabé : "a Gaoua en Décembre 2017- Le président burkinabè Roch Marc Christian Kaboré a appelé à "rendre justice dans toutes les affaires sensibles", dont les dossiers de l’assassinat de Thomas Sankara, Norbert Zongo, du putsch manqué et de l’insurrection populaire, pour "aider le peuple
    à se réconcilier".

    Nous devons tout faire pour que la justice soit rendue dans toutes (les) affaires sensibles pour aider notre peuple à se réconcilier avec son histoire, pour ramener la paix des coeurs et créer les conditions propices à la contribution de tous les Burkinabè à l’œuvre de construction nationale", a
    déclaré M. Kaboré dans un discours radiotélévisé à la veille de la célébration du 57e anniversaire de l’indépendance du Burkina Faso.

    "La réconciliation nationale reste un enjeu majeur que nous devons réussir, dans l’intérêt supérieur de la nation", a-t-il dit.

    La justice militaire, une juridiction d’exception, doit solder une longue série de dossiers, dont principalement ceux du putsch manqué de septembre 2015 et de l’assassinat du "père de la révolution" burkinabè, le capitaine Thomas Sankara, tué lors du coup d’Etat qui porta l’ex-président Blaise Compaoré au pouvoir en 1987.

    Également en instance, le dossier du journaliste d’investigation Norbert Zongo, tué en 1998 avec trois compagnons, a connu une évolution avec la mise sous contrôle judiciaire de François Compaoré, frère du président déchu Blaise Compaoré, poursuivi pour "incitation à assassinats.".

    La justice", tout en rappelant aux acteurs chargés de les vider que "la soif légitime de justice des Burkinabè reste intacte."

    Et comme je ne cessais de le dire dans ce forum, Roch Kaboré méritait son deuxième mandat pour achever ce qu’il a commencé, car c’est Dieu qui donne les ordres dans les urnes pour le pouvoir. Surtout notre société primaire est plus intelligente que nos intellectuels aux petits pieds qui prennent cette société primaire pour seulement un bétail électoral. Pour vous confirmer que nos sociétés traditionnelles ne sont pas encore mortes, elles vivent, dictent nos réflexions et comportements, et elles sont un réservoir de sagesse encore utilisable pour redresser la barre de nos errements et de la mauvaise imitation du modèle occidental. C’est ce peuple primaire qui dira non a celui qui ne veut pas que la justice soit dite. Car si le peuple Burkinabé dit que ça ne se fait pas, ça ne se fait pas. Que Monsieur François Compaoré soit extrade ou pas, il est dans une prison en sachant qu’il ne mettra pas pied au Burkina sans passé par la justice.

  • Le 19 décembre 2020 à 21:59, par jeunedame seret En réponse à : Affaire Norbert Zongo : Les avocats de François Compaoré demandent au Conseil d’État français de transmettre au Conseil constitutionnel une question prioritaire de constitutionnalité

    Pauvre Farançois ! « Le premier châtiment du crime est de l’avoir commis.
    Proverbe latin ; Proverbia latina (1908)

    Le premier châtiment du coupable est d’être condamné par lui-même.
    Proverbe latin ; Les proverbes et adages des Latins (1757) ».}

    Si tu étais intelligent, tu serais plus tôt venu, pour accélérer les choses et les sanctions. Si ces 22 ans devraient être un séjour en prison, tu serais bientôt libre pour divaguer de Ouaga à Ziniaré. Mais comme tu sais que ton acte mérite condamnation à vie, tu traînes en France pour la recevoir vers la fin de ta vie. Mais tu as mal pensé. Car Dieu n’est pas français. Et tu as un autre tribunal après celui de Ouaga. Ce qui est sûr, ta descendance est déjà étiquetée. En es-tu fier ?

    • Le 20 décembre 2020 à 11:03, par Ka En réponse à : Affaire Norbert Zongo : Les avocats de François Compaoré demandent au Conseil d’État français de transmettre au Conseil constitutionnel une question prioritaire de constitutionnalité

      Jeunedame seret : Merci, tu as dit tout haut ce que d’autres pensent tout bas. C’est uniquement la stricte vérité que tu as décrit par des mots justes. Paul François Compaoré a des mauvais conseillers, comme lui-même l’était aux côtés de son frère président qui a causé sa chute brutale le 31 Octobre 2014.

      Comme toi, je pense que François Compaoré devait avoir confiance à nos institutions, faire confiance à nos lois et faire confiance à notre justice de 2020. Malheureusement il croit que la justice que lui et son frère ont fabriqué pour l’injustice est toujours viable au pays des hommes intègres : Ce qui n’est pas le cas, car la justice Burkinabé cherche sa crédibilité au prés de son peuple, et tout accusé ou supposé, aura une justice équitable, surtout avec des jeunes juges aux mains propres comme Yoda qui ne fait que son travail sous serment : Et les motivations de ces jeunes juges est pour que la justice soit dite. Et ceux-ci devraient donner à réfléchir à tous les illuminés qui gravitent autour et promettent de n’importe quoi à certains accusés ou supposés accusés.

      De même, cela devrait infléchir la stratégie de la défense de François Compaoré en France, si elle avait un soupçon d’intelligence, devrait arrêter de multiplier les ruses pour piller l’argent volé de leur client, sachant que tôt ou tard il sera obligé de se mettre en cause pour l’honneur de ses enfants et de sa famille.

      Jusqu’à nouvel ordre, il n’appartient pas à un mis en cause, quel qu’il soit, de faire la preuve de son innocence, mais aux juges Burkinabé de le faire, le cas échéant, la preuve de la culpabilité du mis en cause.

      Ce que le monde entier doit savoir, c’est que les agissements des avocats Français de François Compaoré, et la justice Française, il n’y a rien de convaincant. Il y a lieu de s’inquiéter quant à l’état de droit en France, et contre l’interprétation tordue du droit par des juristes clairement alimentaires. Cette parodie de justice alimentaire, montre que la France n’est pas un bon exemple. Car, on peut tuer des journalistes impunément.

      Conclusion, Tant que les conseillers de François Compaoré n’auront pas compris qu’ils doivent oublié de succès l’argent volé à l’état Burkinabé par leur client, et le laisser se présenter a la justice Burkinabé, il aggrave sa situation, et que toutes leurs gesticulations sont parfaitement contre-productives, et François Compaoré sera considéré par le peuple Burkinabé et le monde entier comme un criminel en puissance qui a tué un valeureux journaliste d’investigation qui enquêtait sur l’assassinat de son pauvre chauffeur David Ouédraogo père de quatre enfants.

  • Le 20 décembre 2020 à 07:49, par Diallito En réponse à : Affaire Norbert Zongo : Les avocats de François Compaoré demandent au Conseil d’État français de transmettre au Conseil constitutionnel une question prioritaire de constitutionnalité

    Dieu n’est jamais pressé. Sa justice s’abattra sur François et tous ses acolytes ; Blaise Comparé le premier.

  • Le 20 décembre 2020 à 10:01, par caca En réponse à : Affaire Norbert Zongo : Les avocats de François Compaoré demandent au Conseil d’État français de transmettre au Conseil constitutionnel une question prioritaire de constitutionnalité

    En ce dimanche matin, je souhaite à toutes et tous un Bon dimanche. Come disait l’apôtre Paul dans son adresse aux éphésiens, que Dieu illumines les yeux de votre cœur pour que vous sachiez quelle est l’espérance qui s’attache à son appel. Dans le Psaume 91, Que mille tombent à ton côté et dix-milles à ta droite, tu ne seras pas atteint, de tes yeux seulement tu regarderas, et tu verras la rétribution des méchants.
    A ces internautes qui invoquent la justice humaine burkinabé de vengeance contre Mr François Compaoré, je souhaite vous dire que ce projet malsain est voué à l’échec. A ce que je sache ce sont les avocats de la défense qui nous donne l’évolution du dossier d’extradition vers le Burkina. Cependant, il y a quelques mois c’est même le ministre de la justice burkinabé au lieu d’être neutre était dans le plateau des télés pour faire des commentaires sur la victoire étape. Le silence du côté des officiels burkinabé en dit long, mais le dossier est toujours en cour au côté français et doit être liquider.
    Les ennemis invoquent deux justices pour un seul individu, l’une celle des hommes et l’autre celle des dieux. Caca rit seulement et se demande que vient faire Dieu dans ce dossier ?
    Ce matin, je demande à Dieu de bénir Mr François et son frère dans toute sa gloire. A propre de cette gloire, je dirais que le seconde gloire sera plus grande que la première gloire.
    Je suis caca, et j’aime les contradictions sur le forum. J’exprime en toute liberté selon les lois du Burkina Faso dans la matière. Aux morts des morts, et à la liberté des hommes des hommes.

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