Actualités :: Situation nationale : Le Balai citoyen annonce un meeting de protestation (...)

Le Balai citoyen a animé une conférence de presse le vendredi 21 janvier 2022. Il a été question pour cette organisation de la société civile de donner sa lecture de « la situation de restriction des libertés individuelles et collectives » au Burkina Faso. Le mouvement prévoit un meeting de protestation le 19 février 2022.

Le Balai citoyen ne prend pas part à la marche du samedi 22 janvier 2022. Cependant, Il entend organiser des meetings de protestation dans les villes et villages du Burkina Faso, le samedi 19 février 2022, pour dire non aux « mesures de confiscation des libertés » au Burkina Faso. Cette annonce a été faite le vendredi 21 janvier 2022, au cours d’une conférence de presse.

En attendant, le mouvement réclame le rétablissement intégral de l’accès à Internet et à Facebook. Il appelle à la mobilisation populaire pour le renforcement des idéaux de l’insurrection populaire. Selon son porte-parole, Serge Martin Bambara, le nombre d’interdictions arbitraires de manifestations ne cesse de croître depuis l’avènement du régime dirigé par Roch Kaboré. A cela s’ajoutent des « mesures restrictives des libertés individuelles et collectives, notamment la coupure abusive d’Internet et de Facebook, et la remise en cause systématique des acquis démocratiques », énumère-t-il.

Le porte-parole du Balai citoyen a annoncé la tenue d’un meeting de protestation le 19 février 2022

Au regard de ce qui précède, le Balai citoyen dénonce et condamne les restrictions de libertés sous prétexte de la sécurité. « Il s’agit là de mesures administratives abusives, liberticides et d’un précèdent inacceptable, qui remettent en cause des acquis démocratiques obtenus de hautes luttes », a dardé le porte-parole du Balai citoyen. Il tient le gouvernement pour responsable de la détérioration du climat social, et prend l’opinion nationale et internationale à témoin de cette « énième » confiscation des libertés citoyennes aux allures de « diktat ».

Obissa Juste MIEN
Lefaso.net

Fait divers : "Ils menacèrent d’égorger le bébé"
Fête du travail : marche interdite à Dédougou
Maouloud 2004 : Des prières pour la paix
Fait divers : Des coupeurs de route et un escroc sous (...)
SYNTER - Ministère des Enseignements : La hache de (...)
SIDA : L’expérimentation phytothérapeutique du CMA de (...)
Programme conjoint Aide et action/Action aid : Le plan (...)
Pô : Détournements de vivres Cathwel
Rôles et qualités de la secrétaire dans l’administration : (...)
Les faits de Sacré : "...à fort, fort et demi...!"
Conditions de détention des prisonniers : Le député Zango (...)
Station agricole de Saria : Un temple de la recherche (...)
Prise en charge du SIDA : Les principes directeurs du (...)
Alphabétisation : Le taux était de 31% en 2002
Tabagisme : MABUCIG convoquée en justice
UEMOA : Les lycées et universités sur le chemin de (...)
Maladie du ver de Guinée : Aucun cas autochtone depuis (...)
Genre et éducation pour tous : le pari de l’égalité
Projet d’enseignement post-primaire : Bilan de sept (...)
Décristallisation des pensions militaires : Le délégué (...)
Les faits divers de Sacré : le mal des filles

Pages : 0 | ... | 36246 | 36267 | 36288 | 36309 | 36330 | 36351 | 36372 | 36393 | 36414 | ... | 36624


LeFaso.net
LeFaso.net © 2003-2023 LeFaso.net ne saurait être tenu responsable des contenus "articles" provenant des sites externes partenaires.
Droits de reproduction et de diffusion réservés