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Marcel Yaméogo : Pourquoi je veux être président de l’Association des Burkinabè de New York.

Publié le jeudi 23 août 2012 à 22h44min

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Marcel Yaméogo : Pourquoi je veux être président de l’Association des Burkinabè de New York.

Marcel Yaméogo est l’un des candidats au poste de président de l’Association des Burkinabè de New York. Il avait été élu président de la même association l’année dernière. Mais la crise qui a secoué entre temps l’association l’a amené à démissionner. Aujourd’hui il est heureux d’avoir contribué à amener la paix au sein de la communauté Burkinabé residant à New York. La seule chose qu’il regrette, c’est de n’avoir pas eu l’opportunité de mettre en exécution son programme de société. Ici, avec quelques membres de son équipe, il présente succinctement ce programme et demande une fois de plus aux Burkinabè de New York de lui accorder une seconde chance en le portant encore à la tête de l’association. Lisez plutôt.

Je suis Marcel Yaméogo et je me présente comme candidat au poste de président de l’association des Burkinabè de New York. J’ai été élu à ce poste l’année dernière mais dans le souci d’unité, de paix et de réconciliation, j’ai accepté de démissionner de mes fonctions de président.

Les Burkinabè m’avaient accordé leur confiance parce qu’ils savent que je suis l’homme qu’il faut et à la place qu’il faut et je pense qu’ils n’ont pas encore perdu cette confiance placée en ma modeste personne. Je sollicite donc une fois de plus leur soutien le 26août prochain. Qu’ils sachent qu’ils peuvent toujours compter sur moi. Ils ne seront pas déçus s’ils m’accordent une seconde chance.

En effet, je suis pétri d’expérience en matière de gestion d’associations. Depuis le lycée en passant par l’Université au Burkina Faso et jusqu’aujourd’hui, j’ai été toujours actif au sein des associations estudiantines. Je veux que la communauté burkinabè puisse bénéficier de cette expérience. Je vais œuvrer à atteindre les objectifs que s’est assigné l’association et mettre l’accent sur l’entraide.

Aujourd’hui je suis avec une équipe compétente et si nous gagnons les Burkinabè de New York seront heureux parce que nous avons un programme de société que les autres n’ont pas et que nous allons mettre en œuvre immédiatement si nous sommes élus.

Sur le plan social nous avons pour ambition d’aider les Burkinabè en situation irrégulière à sortir de leur situation en leur apportant l’information qu’il faut et en les orientant vers des avocats qui peuvent les assister gratuitement à cet effet. Pour les Burkinabè qui sont à New York et qui ont des femmes, des maris ou des enfants qui sont restés au pays et qui souhaitent les faire venir aux USA, nous pouvons les aider à faire les démarches.

Nous allons mettre un comité en place qui aura pour rôle de collecter l’information en matière d’emploi. Lorsqu’un Burkinabè perd son boulot ou est en quête d’emploi, ce comité volera à son secours. Nous avons par exemple Jacob Tarpaga, candidat au poste de secrétariat général aux affaires juridiques, administratives et du contentieux, qui est Manager général à “ Riese Organization”, une organisation œuvrant dans le domaine de la restauration et qui dispose de plusieurs restaurants à Manhattan et à Brooklyn. Avec son soutien, nous pouvons aider bon nombre de nos frères Burkinabè de New York qui veulent bien travailler dans ce domaine.

En matière de logement, nous pouvons bénéficier, grâce à nos relations, de logements sociaux de l’Etat au même titre que les américains. Dans l’immédiat si un burkinabè a un problème pour s’héberger, nous avons déjà mis sur pied un système pour l’assister dans ce domaine, le temps qu’il puisse trouver un logement.

Quant à l’association, nous nous sommes donné un délai de six mois pour la doter d’un siège. Au sein de ce siège nous prévoyons une ou deux chambres de court séjour réservées aux Burkinabè. Si un compatriote arrive à New York pour la première fois et qu’il ne sait où aller, nous avons prévu de positionner un numéro d’urgence depuis JFK et Newark pour assistance.

Nous avons aussi un projet de Tutoring connu sous le nom de « After School » pour les enfants. Il s’agit donc d’un programme d’accompagnement qui permettra l’enrichissement intellectuel de ces enfants. Avec ce programme les enfants pourront apprendre le français et améliorer leur connaissance en anglais. Même les adultes qui veulent apprendre l’anglais seront les bienvenus.

Dans notre souci de rassembler et d’unir, nous comptons, si nous sommes élus inviter toutes les associations burkinabè à New York pour une prière d’union d’esprit et de cœur dans les mosquées et les églises mais aussi les inviter à célébrer l’anniversaire de l’association des Burkinabè de New York. Ça sera un moment d’échanges et de partage fraternel.

Au plan économique, nous n’allons pas seulement compter sur les cotisations des membres pour vivre. Grace à nos relations, nous pouvons avoir de l’aide financière auprès des structures étatiques. A ce sujet nous allons être rigoureux dans la gestion des finances de l’association. Il faut que chaque Burkinabé qui donne un dollar sache ou est rentré son argent.

Lorsque j’étais président de l’association, j’ai eu à rencontrer le Sénateur Bill Parkins au sujet des Burkinabè qui font le commerce sur les abords des rues de New York. J’ouvre la parenthèse pour dire que toutes ces personnes qui font le commerce aux abords des rues, qu’elles soient burkinabé ou qu’elles appartiennent à d’autres communautés, ont souvent des problèmes avec la police. Quand j’ai exposé le problème, notamment pour ce qui concerne les Burkinabè au Sénateur, il a contacté la mairie. On lui a dit qu’on ne peut accorder une faveur aux Burkinabè exerçant ce métier à travers tout New York, mais on peut choisir une rue. Et c’est la rue 125 au cœur de Harlem connue sous le nom de Martin Luther King Boulevard ou beaucoup de Burkinabè font commerce que l’on a choisie. Nous étions sur le point de finaliser le dossier quand mes fonctions de président ont pris fin. Je ressusciterai ce dossier si je suis élu.

Je termine ce bref aperçu de mon programme en tirant mon chapeau d’une part aux compatriotes burkinabè de tout bord vivant à New York pour avoir pu et su une fois de plus se donner la main dans l’optique de la réconciliation et d’autre part, à leurs excellences monsieur l’ambassadeur du Burkina Faso a Washington et son homologue de New York pour avoir, non sans peine, montré le chemin à suivre.
" La paix n’est pas seulement qu’une vue d’esprit"

Marcel Yaméogo.


Pourquoi nous Soutenons Marcel Yaméogo

Tarpaga Jacob, candidat au poste de secrétariat général des affaires juridiques, administratives et du contentieux. Je suis Manager général à “ Riese Organization”, Directeur adjoint du “Groupe Action Sécurité” et Investigateur privé exerçant à New York.

J’apporte mon soutien à Marcel Yaméogo parce qu’il est quelqu’un qui se bat pour l’unité au sein des Burkinabè. Il s’est engagé pour redorer l’image de l’Association des Burkinabè de New York. Il est une figure emblématique et plein de charisme. C’est un jeune animé d’un esprit de de justice et sans conteste, il permettra aux Burkinabè de New York de vivre harmonieusement ensemble.

Armand Evariste Kéré, candidat au poste de secrétaire général.  :

J’apporte mon soutien à Marcel Yaméogo parce qu’il est un frère Burkinabè comme tous les autres Burkinabè et à ce titre, je le supporterai jusqu’à ma dernière limite. Ensuite, Marcel a eu cette idée de secouer le cocotier et de cueillir les fruits pendant que toute la communauté Burkinabè autour de ce cocotier n’arrivait pas à le secouer.

En effet nous avons ensemble essayé de réorganiser et de réunir cette communauté en vain. Mais Marcel qui est venu de nulle part a su impulser une certaine dynamique à cette association. Il a pu faire voter un bureau là où tout le monde a échoué. Il mérite à ce titre qu’on le soutienne. Marcel est un fils du pays et qui porte à coeur le devenir de l’association. Il est celui qui est le plus animé de bonnes intentions. Avec lui nous pourrons créer une diaspora dynamique sur laquelle on pourra compter. Il a des idées et a le soutien des amis américains qui ont promis de le soutenir dans ses projets.

Je lance donc un appel aux frères et aux sœurs burkinabé de New York pour qu’ils apportent leur soutien à Marcel. Il n’a pas certes d’argent mais il a des idées. Je saisis cette opportunité pour demander solennellement à nos autorités pour qu’il y ait à New York, où il y a une forte communauté Burkinabè, à défaut d’un consulat, un service spécial pour s’occuper des affaires administratives. Ce qui évitera aux Burkinabè de se déplacer à Washington pour résoudre les affaires de “ papiers”.

Sawadogo Ténè Asséta, Titulaire de Chair à African Women for Good Government ( AWGG) et candidate au poste de secrétaire à la mobilisation féminine :

Je soutiens Marcel parce que c’est quelqu’un de bien qui a des idées et de la compétence. Nous les femmes, nous le supportons parce que nous savons qu’avec lui l’unité au sein de la communauté burkinabè sera chose parfaite. J’invite donc toute la communauté burkinabè à sortir le 26 septembre pour soutenir Marcel et son équipe.

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Vos commentaires

  • Le 23 août 2012 à 17:59 En réponse à : Marcel Yaméogo : Pourquoi je veux être président de l’Association des Burkinabè de New York.

    Moi je le soutien pcq kil est jeune et l’autre est vieux !
    Je ne le soutien pas pcq kil est mossi et aime le naam com l’autre.

  • Le 23 août 2012 à 18:09, par Abdoul de New-York En réponse à : Marcel Yaméogo : Pourquoi je veux être président de l’Association des Burkinabè de New York.

    Ces gens la racontent des histoires . On se connait a New York ici meme regler l’affaire d’un poulet ils ne peuvent rien . C’est du Bluff et ce disque est raye.
    Il faut arreter de prendre les Burkinabes de NY pour des dupes.
    Vous ne pouvez pas aider un burkinabe a regulariser sa situation ici . Arretez de colporter de faux espoirs. Car ici on sait comment obtenir les papiers : il y’a trois voies :
    1) Se marier a un ou une citoyen (ne) Americaine
    2) Se faire sponsoriser par son employeur ce qui est extremement rare .
    3) Appliquer pour l’asile politique ce qui n’est pas possible car notre pays le Burkina Faso est entre parenthese stable.
    4) Pour les filles ou femme il y’a la mutilation genitale qui peut servir a appliquer pour l’asile humanitaire.
    Alors quand monsieur Marcel Yameogo soutient que s’il est elu il a une strategie pour aider les Burkinabe a regulariser leur situation a l’immigration il ment ce n’est pas possible.
    Quand il soutient aussi qu’il est a meme d’apporter assistance aux compatriotes qui sont ici mais qui ont laisse leur femme, enfants ou maris au Burkina Faso en vue de la reunification familiale la egalement il ment . La reunification familiale aux USA ici n’est possible que si le mari ou la femme est legal (e)
    Il faut arreter de faire des promesses de campagne intenanbles pour ne pas paraitre ridicule aux yeux des Burkjinabes a la fin de votre mandat.
    Proposez quelque chose qui soit legalement possible vis a vis de la loi Americaine et de la loi de l’immigration.
    A bon entendeur salut !

  • Le 24 août 2012 à 00:14, par john En réponse à : Marcel Yaméogo : Pourquoi je veux être président de l’Association des Burkinabè de New York.

    Moi aussi je le soutient parce qu il est honnete et il a du courage.ces un combattant de la premiere heure.je crois qu il a des idees de bonne gouvernances,et qu il merite mon vote

  • Le 24 août 2012 à 01:40, par LE DECORTIQUEUR En réponse à : Marcel Yaméogo : Pourquoi je veux être président de l’Association des Burkinabè de New York.

    SALUT LE PRETENDANT.
    UNE QUERELLE NON JUSTIFIEE ENTRE 2 PERSONNES NE SUFFIT PAS A GENERALISER LA SITUATION. LES BURKINABES DE NEW YORK VIVENT ENTRE EUX ET AVEC LES AUTRES COMMUNAUTES. QUE PAIX AVEZ VOUS RAMENE ? NOUS SOMMES TOUS EN PAIX ET EN LIBERTE ICI A NEW YORK.
    VOYONS VOTRE PROGRAMME.
    DITES NOUS QUELLES SONT LES ASSOCIATIONS QUE VOUS AVEZ GERE DEPUIS VOTRE JEUNESSE ?
    I LS’AGIT LA DE GERER UNE COMMUNAUTE...
    VOUS PARLEZ D’UN PROGRAMME DE SOCIETE QUE LES AUTRES N’ONT ; DE GRACE OCCUPEZ VOUS DE VOS VISIONS. NOUS ATTENDONS DES RESULTATS.
    QUANT A TROUVER DU BOULOT POUR LES BRUKINABE, IL FAUT RESTER REALISTE. BEAUCOUP DE BURKINABES VIVENT EN SITUATION IRREGULIERE. COMMENET ALLEZ VOUS DONC POUVOIR LES AIDER. FRAUDULEUSEMENT ? SOUS LE TITRE DE L’ASSOCIATION ? ATTENTION A CELA. C’EST DANGEREUX. LES AUTRES COMMUNAUTES PASSENT PAR DES AGENCES D’EMPLOI.
    COMBIEN DE BURKINABE RENTRENT A NEW YORK POURQUE VOUS METTIEZ EN PLACE UN NUMERO D’URGENCE. ET A QUEL FRAIS ?
    EN MATIERE DE LOGEMENT, MEME LES AMERICAINS SE CHERCHENT. SUR QUELLE BASE VOUS ALLEZ LOGER DES BURKINABE DANS LES LOGEMENTS SOCIAUX DE L’ETAT ?
    FAIRE LE COMMERCE AUX ABORDS DES RUES AMERICAINES NECESSITE UN CERTAIN NOMBRE DE DOCUMENTS JUSTIFICATIFS. LA POLICE NE S’OCCUPE PAS DE LA COULEUR DE PEAU DES COMMERCANT. IL FAUT ETRE LEGAL SEULEMENT : AVOIR LE PERMIS.
    EN SOMME, VOTRE PROGRAMME EST BIEN, MAIS RESTEZ REALISTE. ALLEZ VERS LA COMMUNAUTE POUR RECOLTER LEURS BESOINS. MERCI ET AFFAIRE A SUIVRE

  • Le 24 août 2012 à 01:58, par Themis En réponse à : Marcel Yaméogo : Pourquoi je veux être président de l’Association des Burkinabè de New York.

    La qualite de cette photo laisse a desirer.
    Et a elle seule inspire la question sur la capacite de gouvernance de cette equipe.
    Quand on veut etre un leader, un bon, un vrai, chaque detail, meme minuscule, doit compter. Et on commence par poster une photo claire, par respect pour le lecteur, par esprit d’exigence pour le travail bien fait. Un leader est une personne exigeante avec elle meme ; une personne appliquee qui ne transige pas, ne bacle rien, ne minimise aucun detail, met du zele, de la resolution a tout.
    Faut-il craindre que ce sera avec la meme approximation, le meme laxisme que vous allez diriger les affaires une fois elus ?
    La qualite de cette photo trahit un manque de serieux et d’application.
    Une personne exigeante avec elle-meme sur la qualite du travail, quel qu’en soit, aurait prefere publier un texte vide sans photos plutot que d’afficer ce flou qui tient lieu de photographie

    La qualite de cette photo me dissuade d’emblee de voter pour ce Mr. le 26 septembre.
    Il ne viendrait a l’idee de personne quand on cherche un emploi d’agrapher a son CV la premiere photo floue de soi.
    Si vous affichez une mauvaise photo sur votre CV, il faut craindre que le DHR jette tout le CV a la poubelle sans meme y jeter un coup d’oeil.
    Je suis DHR, je sais de quoi je parle.

  • Le 24 août 2012 à 03:28, par mira a new york En réponse à : Marcel Yaméogo : Pourquoi je veux être président de l’Association des Burkinabè de New York.

    tou ca la c du blablabla, iln dise qil von aider a faire ca a faire, nou ici qui vivion au states nou savon q vou naller jamai le faire par manque de ten et aussi car vou aller escroqer largen bde lasocxiation com la fai lancien bureu, qan ya deces ici mm vou n faite rien juste aller vister, vou n pouver mm pas cotiser rapatrier le corp et vou nou raconter des sotises, ce son les gens qui son a waga qui pvt vou croire bande de menteur et de jossisseur

  • Le 24 août 2012 à 10:20, par Betty En réponse à : Marcel Yaméogo : Pourquoi je veux être président de l’Association des Burkinabè de New York.

    Je te souhaite beaucoup de courage et j’invite les habitants de New York à placer leur confiance en toi car je te sais très battant depuis l’Université de Ouagadougou et les actions que tu comptes mener si tu es élu sont très nobles et méritent qu’on te confie cette mission.
    Bon courage encore !

  • Le 24 août 2012 à 12:09, par sally a new york En réponse à : Marcel Yaméogo : Pourquoi je veux être président de l’Association des Burkinabè de New York.

    nimporte qoi, piga ka son nouyee, en moore cela veu dire 10 f ne vau pas mieu que 25 f lui oh marcel oh thats some shith

  • Le 24 août 2012 à 12:19, par JB himself En réponse à : Marcel Yaméogo : Pourquoi je veux être président de l’Association des Burkinabè de New York.

    vivement que du changement positif intervienne dans votre structure et que ce ne soit pas en vain que nous ayons suivi et commenté depuis la mise en place du des bureaux, la crise, les démissions dissolutions. Que Dieu vous insuffle intelligence et savoirs : savoir être, savoir être, leadership.. plein de qualités pour contribuer à servir avant de vous servir. Qu’il en soit ainsi

  • Le 24 août 2012 à 16:27, par Lassané Ouédraogo à Ouaga En réponse à : Marcel Yaméogo : Pourquoi je veux être président de l’Association des Burkinabè de New York.

    Marcel je donne beaucoup de courage car les Burkinabés ont besoin de quelqu’un qui as un esprit mur plein de projet qui est la pour les autres et combatif comme toi je te souhaite beaucoup de courage a toi et ton équipe car le 26 (ya foo wakato ) tu sera élue la chance est a tes cotés et j ses qu tu es capable de prouvé a chez qui non pas confiance en toi qu tu es un réaliste et que tu le sera .Marcel les Burkinabés ont un grand besoin envers toi et que tu seras à la auteur et conte sur ma bonne volonté tu sera le président de l’association

  • Le 25 août 2012 à 16:34, par Fasobiga En réponse à : Marcel Yaméogo : Pourquoi je veux être président de l’Association des Burkinabè de New York.

    Du courage aux candidats !!!
    Sachez que vous aurez a présider 80% de personnes égoïstes ;des personnes qui n’attendent que le malheur des autres pour multiplier leur appel ou se rencontrer pour parler ;des personnes jaloux.
    Moi je ferai dieu mon président car je ne compte pas sur un burkinabé pour résoudre mon problème .Vraiment je ne veux rien d’eux.
    Futur président tu auras du boulot et je te pleure déjà .

  • Le 25 août 2012 à 17:09, par sidnaaba A NEW YORK En réponse à : Marcel Yaméogo : Pourquoi je veux être président de l’Association des Burkinabè de New York.

    c ou meme tu lave les plats, ou tu nettoie wc

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