Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
Madame, Monsieur,
Ces temps-ci, nous avons lu sur les différents forums des écrits venant d’étudiants burkinabè à Genève : d’abord concernant l’agrégation de M. Soma Abdoulaye et ensuite sur la question de la SONABEL(le 15-12-2011). Mon intervention porte sur l’Association des Étudiants Burkinabé de Genève (AEBG).
Voici une association qui est composée essentiellement d’étudiants burkinabè, et à plus de ¾ de juristes, qui est entrain de mourir. Cette association a été créée en 2004 par un petit groupe de burkinabé qui avaient bénéficié de bourses de la Suisse afin de venir faire une courte formation à Genève.
Certains de ces burkinabè sont revenus plus tard à Genève pour poursuivre leurs études, tout en tissant d’avantage les liens. Cela à aboutit à l’octroi à l’AEBG par l’université de Genève, de nombreux ordinateurs de bureaux qui ont servi à la création de la salle informatique de l’UFR/SJP de l’Université de Ouagadougou. Et personne aujourd’hui ne peut dire que cela n’a pas été d’un grand profit à des milliers d’étudiants de Ouagadougou.
À coté de cette réalisation, cette association organisait périodiquement des activités intellectuelles (par exemples des conférences, des causeries débats), culturelles et sportives. Aussi, elle venait en aide aux étudiants du Faso, qui éprouvaient momentanément des situations sociales difficiles.
Mais progressivement et surement, cette association est entrain de mourir :
Elle ne gère plus la salle informatique de la faculté de droit de Ouagadougou. Ella a cédé la gestion à la direction de l’UFR. De toute façon, elle n’avait plus les moyens de sa politique. Désorganisée, elle ne pouvait plus prétendre obtenir une quelconque aide de l’Université de Genève ou d’un quelconque organisme suisse. Pour vous en convaincre, visitez leur site web, http://www.aebg.ch/ La dernière mise à jour date de 2007.
Le bureau actuel de l’association a épuisé son mandat, mais est toujours en place. Aucune élection en vue pour une alternance. Comment peut-on passer le temps à critiquer des régimes « à vie » en Afrique et se comporter ainsi ?
Ses caisses sont vides : Au passage, une partie de la caisse était alimenté par un don fait par le Président Blaise Compaoré lors de sa visite à Genève en 2008-2009
A comparer avec les autres associations d’étudiants burkinabè dans les autres pays, l’AEGB, donne une image lamentable du Faso.
Cette association va vraiment mal. Et j’ai encore plus mal quand je vois que ces mêmes étudiants burkinabè de Genève nous tiennent toujours des grands discours sur la démocratie et la bonne gestion. Vous étés incapables de perpétuer ce que vos ainés ont créé !
Alors, chers burkinabè à Genève, balayez devant votre porte d’abord ! Si vous étés incapables de gérer une petite association, alors pas d’espoir pour vous de gérer le Faso.
Un Burkinabé à Genève.
Vos commentaires
1. Le 16 décembre 2011 à 23:17 En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
je trouve lamentable cet écrit qui est nul sur le fond et sur la forme avec un écrit bourré de fautes
je trouve que c’est lamentable
Le 17 décembre 2011 à 19:25, par Alphonse En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
Toi, le bingiste, on s’en fou des fautes. L’essentiel pour nous est de savoir et comprendre ce qui se passe
2. Le 16 décembre 2011 à 23:20, par Aggravaffaires En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
Cher ami, jetez d’abord un coup d’oeil sur votre écrit : il est plein de fautes, dont entre autres "d’avantage", "entrain", "vous étés". C’est vilain de faire ces grosses fautes quand soi-même on est prêt à critiquer les autres.
Quant à vous cher modérateur de ce forum, trouvez un moyen pour ne pas laisser passer des articles pleins de fautes que de milliers de personnes vont lire. Ceci ne fait pas honneur à votre journal.
Femme de Lettres à Ouaga.
Le 17 décembre 2011 à 20:00, par Tapsoba En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
Mme ou Mlle,respectez votre statut de femme de lettre donc intellectuelle/instruite.Je crois savoir que le site www.lefaso.net est ouvert à tout le monde sans exception.Ce n est pas pour rien qu il y a une page "Ecrivez-nous" destinée à ceux ou celles qui veulent envoyer leur opinion pour publication.Il n est jamais dit qu il faut savoir écrire correctement le francais avant d y avoir accès,liberté d expression oblige,pourvu que ce que vous avez à dire soit d abord compréhensif,ne porte pas atteinte à l honneur d autrui,ne soit pas diffamatoire.N oubliez pas que nous sommes dans un Etat de droit.Je ne vois pas pourquoi un article écrit par une tierse personne,pas même journaliste puisse porter préjudice à la crédibilité de lefaso.net.Ceux,comme vous,qui le liront savent bien qu il n est pas écrit par un professionnel de la presse.Si l on doit suivre votre logique,certains journalistes même des autres journaux ou les politiques ne verront plus leurs articles ou message à leurs militants publiés sur ce site.Parcourez souvent les sites web des grands journaux connus mondialement comme "lemonde.fr","le figaro.fr",etc et vous changerez d avis.
Cordialement,Tapsoba
3. Le 17 décembre 2011 à 01:39 En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
moi ouagalais je ne coprend rien dans tout ce tu dire ;je veux simplement dire que ton langage n’ai discerné que de votre milieu d etudiant burkinabe en suisse ,sinons j’aurais voulu conprendre plus profondement le probleme
4. Le 17 décembre 2011 à 01:50, par Blanco En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
Chers ami(es) burkinabé a Geneve,
De Grace, donnez une bonne image du Burkina.
5. Le 17 décembre 2011 à 02:41, par boulai En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
Cher auteur,
Vous êtes très irresponsables parce que vous refusez de vous dévoiler. Un écrit ça s’assume. Et vous divulguer des mensonges au public qu’il me plait de mettre en cause à travers ces principaux points.
1) C’est un mensonge et une insulte aux étudiants burkinabé que de dire que les fonds de l’association sont alimentés par une aide fournie par le président du Faso en 2011. Vous aurez gagné à vous renseigner très bien sur cette affaire avant de dire des mensonges
2) C’est un grand mensonge que de dire que l’association ne fonctionne pas. Pour vous faire mentir sachez que l’association des étudiants burkinabé fait partie des plus dynamique et celà a, a maintes été reconnue par l’association faitives de l’Université de Genève. Allez vous renseigner sur les réalisations de l’association ( salles informatiques, fournitures de livres, etc) pour vous rassurer.
3) Vous mélanger les choses ; les écrits que vous avez vu sur l’internet, à moins de jalouser, n’a rien à voir avec les mensonges que vous raconté.
4) que vous me dites qu’il y a une présidence à vie au sein de l’association est un mensonge qui ne dit pas son nom car depuis sa formation en 20011, l’association a eu chaque année un nouveau président. Que le bureau n’ait pas été renouvelée est une réalité, mais à ce que je sache, il n’est pas encore tard de convoquer une AG. l’actuelle responsable de l’AEBG est d’ailleurs une dame, la 2ème que l’association ait eu ; ce qui confirme l’alternance annuelle et le souci de démocratie qui anime cette association.
Que vous voulez proférer des mensonges, vous êtes libre. A moins d’être aigri et revanchard, à quoi l’agrégation de Soma a à voir avec les insanités que vous rencontrez.
Alors réfléchissez avant de dire des mensonges,
Un connaisseur de la situation
Le 18 décembre 2011 à 00:47 En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
Il faut le dire vraiment. Ces juristes qui parlent gros francais sans le comprendre sont lamentables. Un ecrit truffe de fautes autant que de mauvaises intentions suscite un autre ecrit non moins banguane par des fautes que mon morpion du ce2 ne fait plus. On est ou la ? Je comprends pourquoi les constitutions africaines sont devenues des cires molles car c’est effayant de voir que c’est des juristes qui ne comprennent francais qui sont les conseillers juridiques de nos Dieux sur terre.
LOP
Le 21 décembre 2011 à 12:13, par Tambsoba En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
LOP on dit : "ce sont des juristes qui ne comprennent pas français...". Et non "c’est des juristes..." on comprend maintenant pourquoi ces étudiants "genevois" qui sont certainement passés par ta classe de CE2 commettent autant de fautes d’orthographe et de syntaxe élémentaires. Tu vois que les donneurs de leçons sont ceux qui les appliquent le moins ? Un peu de modestie sur le fasonet ne te fera aucun mal. Mais autant s’adresser à un "toqué".
6. Le 17 décembre 2011 à 05:56, par Mamadou Hébié En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
En théorie, le fait que les étudiants Burkinabé de Genève n’arrive pas à gérer leur Association, à supposer que cela soit prouvé, ne les empêche pas de voir les choses qui ne marchent pas dans leur pays et de les pointer du doigt. Nos ancêtres disaient que celui qui dit la vérité a très souvent la bouche qui pue... Si l’on se concentre sur les défauts de l’oracle, on oublie la prophétie.... En un mot, critiquer le "donneur de leçon", en supposer qu’il y en ait un, n’enlève rien à la qualité de la leçon, à sa justesse, ou à son utilité...
Votre critique contre l’AEBG semble avoir une part de vérité au regard des derniers développements. J’espère qu’elle suscitera un réveil, une réaction d’orgueil dans le bon sens du terme, car cette association a beaucoup fait dans sa petite existence et peut mieux faire... Le départ de beaucoup d’étudiants Burkinabé de Genève y est pour quelque chose, sans tout excuser.
En revanche, je ne comprend pas l’usage que vous faites de ce "fait", à le supposer prouvé, pour nier la pertinence des écrits des étudiants burkinabé à Genève sur lefaso.net.***
Comme vous le voyez, j’ai évalué votre critique dans sa logique interne, sans injures ni condescendance. Vous pourriez utiliser la même méthode à l’égard des écrits de ces personnes que vous voulez, sinon pourfendre, du moins révéler au grand jour. Ce que je vous propose donc c’est de critiquer leurs écrits dans leur validité intrinsèque, pour en dégager la véritable valeur (ou leur futilité) et éclairer vos lecteurs. Cela évite ce qui peut paraître pour l’observateur étranger à une querelle de personnes s’épanchant sur le net, et donnera, sans doute, à vos propos la la dignité qui sied au débat d’idées.
Meilleures salutations !
Hébié.
***Pour précision, je ne suis plus à Genève et je n’ai pas commenté les deux articles que vous mentionniez. Je ne me sens pas visé par vos propos. Mon analyse n’a donc rien de personnel, mais concerne une technique argumentative que je trouve, en toute politesse, défectueuse et donc perfectible.
7. Le 17 décembre 2011 à 09:42 En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
je ne sais pas si tu mérites une réponse, mais je tiens a te dire que ton analyse est malsaine. En fait tu ne te soucies pas de l’état de sante de l’association des étudiants burkinabe de Genève, mais de défendre qui on sait.
8. Le 17 décembre 2011 à 10:37 En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
Mon cher, je suis d’avis avec toi que l’association est entrain de mourir. Une association ne vit que par la volonté de ses membres. Qu’as tu fait toi meme ? pour relancer l’association et remotiver tes compatriotes.
C ’est normal de critiquer. Mais il faut proposer.
Un burkinabe de Clermont Ferrand, France
9. Le 17 décembre 2011 à 11:48, par boulai En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
Cher auteur,
Vous êtes très irresponsables parce que vous refusez de vous dévoiler. Un écrit ça s’assume. Et vous divulguer des mensonges au public qu’il me plait de mettre en cause à travers ces principaux points.
1) C’est un mensonge et une insulte aux étudiants burkinabé que de dire que les fonds de l’association sont alimentés par une aide fournie par le président du Faso en 2011. Vous aurez gagné à vous renseigner très bien sur cette affaire avant de dire des mensonges
2) C’est un grand mensonge que de dire que l’association ne fonctionne pas. Pour vous faire mentir sachez que l’association des étudiants burkinabé fait partie des plus dynamique et celà a, a maintes été reconnue par l’association faitives de l’Université de Genève. Allez vous renseigner sur les réalisations de l’association ( salles informatiques, fournitures de livres, etc) pour vous rassurer.
3) Vous mélanger les choses ; les écrits que vous avez vu sur l’internet, à moins de jalouser, n’a rien à voir avec les mensonges que vous raconté.
4) que vous me dites qu’il y a une présidence à vie au sein de l’association est un mensonge qui ne dit pas son nom car depuis sa formation en 20011, l’association a eu chaque année un nouveau président. Que le bureau n’ait pas été renouvelée est une réalité, mais à ce que je sache, il n’est pas encore tard de convoquer une AG. l’actuelle responsable de l’AEBG est d’ailleurs une dame, la 2ème que l’association ait eu ; ce qui confirme l’alternance annuelle et le souci de démocratie qui anime cette association.
Que vous voulez proférer des mensonges, vous êtes libre. A moins d’être aigri et revanchard, à quoi l’agrégation de Soma a à voir avec les insanités que vous rencontrez.
Alors réfléchissez avant de dire des mensonges,
Un connaisseur de la situation
10. Le 17 décembre 2011 à 11:48, par boulai En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
Cher auteur,
Vous êtes très irresponsables parce que vous refusez de vous dévoiler. Un écrit ça s’assume. Et vous divulguer des mensonges au public qu’il me plait de mettre en cause à travers ces principaux points.
1) C’est un mensonge et une insulte aux étudiants burkinabé que de dire que les fonds de l’association sont alimentés par une aide fournie par le président du Faso en 2011. Vous aurez gagné à vous renseigner très bien sur cette affaire avant de dire des mensonges
2) C’est un grand mensonge que de dire que l’association ne fonctionne pas. Pour vous faire mentir sachez que l’association des étudiants burkinabé fait partie des plus dynamique et celà a, a maintes été reconnue par l’association faitives de l’Université de Genève. Allez vous renseigner sur les réalisations de l’association ( salles informatiques, fournitures de livres, etc) pour vous rassurer.
3) Vous mélanger les choses ; les écrits que vous avez vu sur l’internet, à moins de jalouser, n’a rien à voir avec les mensonges que vous raconté.
4) que vous me dites qu’il y a une présidence à vie au sein de l’association est un mensonge qui ne dit pas son nom car depuis sa formation en 20011, l’association a eu chaque année un nouveau président. Que le bureau n’ait pas été renouvelée est une réalité, mais à ce que je sache, il n’est pas encore tard de convoquer une AG. l’actuelle responsable de l’AEBG est d’ailleurs une dame, la 2ème que l’association ait eu ; ce qui confirme l’alternance annuelle et le souci de démocratie qui anime cette association.
Que vous voulez proférer des mensonges, vous êtes libre. A moins d’être aigri et revanchard, à quoi l’agrégation de Soma a à voir avec les insanités que vous rencontrez.
Alors réfléchissez avant de dire des mensonges,
Un connaisseur de la situation
Le 17 décembre 2011 à 19:29, par Zakaria En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
Si toi, tu es responsable, commence par donner ton vrai nom.
Tchrrrrrrr
11. Le 17 décembre 2011 à 11:50, par boulai En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
Cher auteur,
Vous rencontrez des contre-vérités. Allez bien vous renseigner sur la vie de l’association car je ne suis pas sûr que vous participez aux réunions.
Bien à vous
un membre de l’association
12. Le 17 décembre 2011 à 11:57 En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
Le bureau actuel de l’association a épuisé son mandat, mais est toujours en place. Aucune élection en vue pour une alternance. Comment peut-on passer le temps à critiquer des régimes « à vie » en Afrique et se comporter ainsi ?
Bien dit mon frère. Merci.
A comparer avec les autres associations d’étudiants burkinabè dans les autres pays, l’AEGB, donne une image lamentable du Faso. Cette association va vraiment mal. Et j’ai encore plus mal quand je vois que ces mêmes étudiants burkinabè de Genève nous tiennent toujours des grands discours sur la démocratie et la bonne gestion. Vous étés incapables de perpétuer ce que vos ainés ont créé !
Alors, chers burkinabè à Genève, balayez devant votre porte d’abord ! Si vous étés incapables de gérer une petite association, alors pas d’espoir pour vous de gérer le Faso
Merci pour cette analyse.
Le 17 décembre 2011 à 22:32, par Ayoro En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
Je demande à nos vaillants journalistes d’investigation d’aller voir ce qui se passe du côté de nos ambassades où les diplomates souffrent le calvaire pendant que l’ensemble du budget est à la disposition de l’ambassadeur et de sa famille
13. Le 17 décembre 2011 à 11:58, par Vagabond En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
Belle analyse !
14. Le 17 décembre 2011 à 12:31, par Joukov En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
Le Burkina est plein de nihiliste dont le rêve est de voir les enfants de autres et le Faso en haillon pour montrer notre misère. C’est ce qui se rémarque dans les forums quand il y’a quelque chose ou un projet qui sort des sentiers battus et qu’ on n’est pas aller les chercher chez eux venir nommer à la tête. J’ai une proposition à faire à Koro Yamyéllé et aux anciens des Fora. Que nous jouions aux redresseurs et policiers sur ces forums pour que certains de nos compatriotes acceptent de rever. C’est quoi ces critiques et cette mauvaise foi dont l’auteur de l’écrit ci dessus fait preuve. Içi on ne veut pas lutter et on veut que les autres donnent leur poitrine pour vous. La révolution française, américaine et anglaise ont fait combien de mort ? Sors de ton lit douillet, proposes aux autres de faire convoquer une AG sinon, tu t’adresses au ministre des libertés publiques suisses. Ainsi tu auras contribuer à l’avancer du faso.
Le 18 décembre 2011 à 00:51 En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
Merci. LOP le Fou du Megalomane du Faso a fait sa part dans ce sens. Nous devons devenir des fous pour barrer la route a la mediocrite morale et intellectuelle. J’en connais certains qui doivent remuer leur plume 7 fois 77 fois avant de balancer leur atalakou d’affame sans dignite sur la toile de lefaso.net qu’ il croyait conquise.
LOP
15. Le 17 décembre 2011 à 12:58 En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
Comprends pas pourquoi lefaso.net s’oblige a publier n’importe quel article.Relisez le et vous allez comprendre qu’il a été écrit par un taré inculte avec un raisonnement tordu et beaucoup de fautes.C’est honteux et si c’est un étudiant qui est derrière cet écrit,c’est encore grave.Cela montre le niveau de délabrement de l’enseignement dans ce pays.En plus il n’assume pas puisqu’il se cache sans donner son nom.Quel lâche ce type
Le 17 décembre 2011 à 18:51, par Carlos En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
Mon ami, donc si un article ne te plait pas, c’est du n’importe quoi ?
Acceptez les critiques même si elles sont mal ficelées. L’essentiel c’est le fonds de l’affaire.
16. Le 17 décembre 2011 à 16:08, par Alexio En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
Sans la critique rien ne bougera.Malgre l avancee pour le developpement economique et sosial d une nation.On doit pås sensurer les opinions publique,parce que tel ou tel thematique er renseignant sur la sante de l organisation.Les discutions devraient etre basees sur des cause reelles qui empechent une organisation de bienfaisance son fonctionnement.C est unitule de chercher des bouc- emissaires pour decharger tous les defauts structurels.Le conseil d aministraction est seul responsable.
17. Le 17 décembre 2011 à 17:04, par JP En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
L’auteur de l’ecrit pourrait avoir quelques grains de verite’ dans ce qu’il a emis comme point de vue. Mais personnellement je ne pense pas que cela vaille la peine d’etre balance’ sur un forum comme lefaso.net. Je pense que comme l’auteur de l’ecrit vit toujours a Geneve, c’aurait ete mieux de contacter directement la structure restante de l’association pour evoquer son inquietude. Si malgre’ cela les memes problemes persistent, alors il pourrait se faire entendre par lefaso.net.
Mais si tu vois des problemes qui rongent votre association et tu les tais juste pour l’occasion de te faire lire par un public qui, dans sa majorite’ n’est pas trop concerne’ , je pense que c’est quelque peu irresponsable.
De facon succinte, je veux dire qu’il serait plus sage d’essayer tout d’abord d’evoquer et resoudre le probleme entre les membres de l’association qui sont toujours presents a Geneve. Si cela echoue, dans ce cas votre intervention sur lefaso.net serait justifiable et justifiee’.
C’etait juste mon point de vue
Merci.
Un supporter de l’AEGB
Le 17 décembre 2011 à 19:21, par Alima En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
Bonjour,
Je suis un de ces étudiants burkinabé à Genève et j’ai participé à 2 réunions de cette association et 2008 et 2009.
Par rapport aux critiques faites par l’auteur de l’article, il faut dire que c’est surtout un défaut de forme. L’association connait bel et bien des difficultés. Je mets d’ailleurs au défis tous les autres membres de me prouver le contraire.
Comment un bureau va être élu en novembre 2010 et c’est en aout 2011 qu’elle organise sa première AG pour nous dire que le compte postal à Genève (finances) de l’association est bloqué pour diverses raisons... C’est à trois mois de la fin de votre mandat que vous nous dites cela ? Et puis, comment s’est terminée cette réunion ce jour-là ? En queue de poisson avec la promesse de convoquer une AG extraordinaire. Et jusqu’aujourd’hui, rien du tout. Vous ne pouvez même plus convoquer d’AG car vous n’êtes plus légitimes.
Concernant la salle informatique de droit de l’Université de Ouagadougou, avez-vous fait un bilan avant sa cession à la direction de l’UFR ?
Autre point, M Hébié a collecté des centaines de livres pour offrir à la bibliothèque de l’Université de Ouagadougou. Comment cela a été géré par l’association ? Certains de ces livres se sont retrouvés dans les poubelles de Genève et malgré tout vous citez cela comme une de vos réalisations. D’ailleurs, n’eut été l’intervention de l’ambassade du Burkina à Genève ces documents allaient tous disparaitre.
......
Chers compatriotes à Genève, dites-moi à l’heure actuelle à quoi sert cette association ?
Il est certes vrai que ce n’est pas intéressant de tout déballer ici, mais c’est pour vous dire qu’il ya eu des discussions à l’interne, mais rien n’a changé.
Le 20 décembre 2011 à 19:56 En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
Cher monsieur,
Vous êtes assez malhonnête au point d’utiliser le prénom d’un des responsables de l’association pour vos mensonges, c’est honteux ça. vous devriez garder un peu de dignité de votre personne. Nous savons tous que votre chiffon d’écrit n’est qu’un règlement de compte, mais tôt ou tard la vérité finira par sortir.
18. Le 17 décembre 2011 à 18:44, par Franky En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
Héééééé, les étudiants burkinabé à Genève, en scène !!!!!
Dites nous toute la vérité.
Moi, je me fiche de la manière dont l’auteur de l’article procède, l’essentiel est de savoir si oui, ou non il y’a des problèmes dans cette association.
Le bureau (Présidente, tresorier, secretaire) de cette association nous doit des explications
Le 17 décembre 2011 à 21:22 En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
Toi tu es quel genre de garcon qui aime affairage comme ca ?
19. Le 17 décembre 2011 à 20:00 En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
Dites moi quelle association marche bien dans ce pays et hors de pays ?on peut ajouter dans ce lot toutes ces ONG crées de toute pièce pour le seul but de se faire un nom ou pour gruger la population.On parle aujourd’hui de l’AEBG mais aussi parler de l’UABF,CSBE etc...!ce sont des coquilles vides.Pour me faire comprendre,on peut faire la comparaison avec toutes ces 170 partis politiques qui inondent le pays mais en réalité,il y a plus de 3 partis politiques sérieux structurés,le reste ce sont des partis alimentaires.Donc les associations ,les ONG c’est pareil parcequ’il y a des associations en occident qui n’ont qu’un seul adhérent,à savoir le géniteur lui-meme et qui se mettra a parler pour les autres pour se faire une place au soleil.Il urge de faire un nettoyage parceque beaucoup se sucrent sur la misère des burkinabè car j’ai une bonne brochette de noms mais suis pas là pour faire de la délation.Trop de malhonnetes dans ce pays et en dehors
20. Le 18 décembre 2011 à 06:30 En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
celui-la c’est un aigri sans doute.j’aimerai simplement dire que l’asociation ne represente pas forcement tous les burkinabe vivant en suisse.je peux etre anime d’une bonne ambition d’aider le burkina sans pour autant etre membre de l’association.en quoi cela change-t-il le fait que je participe au development du pays ?et vous l’avez bien precise c’est une association d’etudiants.si l’association decline, tanpis mais cela ne peut en aucun cas empecher quiconque residant en suisse de mener des actions de bien au burkina.alors mon type si t’a rien a dire va voir ailleurs !
21. Le 18 décembre 2011 à 11:44 En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
Le diable est dans le détail
22. Le 18 décembre 2011 à 16:09, par Viva En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
Je suis désolé mais je voudrais demander à ce ressortissant burkinabé habitant Genève ce que lui/ elle a apporté au cher Burkina ? Ordi pour les étudiants ?Lutte pour des changements ?.........?S’il s’avérait qu’il dit vrai, est ce parce que les choses ne marchent plus que ces étudiants n’ont pas le droit de faire des critiques sur la situation de leur pays ?
Vous ferez mieux d’améliorer votre français et ceux qui gèrent le site pourrait filtrer de tels écrits par respect pour les lecteurs et pour notre pays.
Amicalement
23. Le 18 décembre 2011 à 22:05 En réponse à : Diasporas : La fausse leçon des étudiants burkinabè à Genève (Suisse)
"Cher" burkinabè de Genève,
En quoi est-ce que la soit disant mauvaise gestion de l’AEBG devrait-elle l’empêcher de débattre sur la gouvernance/démocratie ou tout autre sujet ? Comment parviens-tu à faire un tel lien ???
Et puis, si tu étais vraiment proche de l’association, tu saurais que le bureau a toujours été renouvellé après un an de fonction. Si l’actuel bureau est toujours en place, cela ne veut pas dire que ça fait 20 ans qu’il est là !
Pour ton information, l’université de Genève n’a pas été la seule institution à contribuer à la mise en place de la salle d’informatique de l’UFR/SJP comme tu le laisses entendre.
Au fait ce serait intéressant de savoir ce que tu espérais comme réaction/résultat avec cet article.
Une burkinabè en Suisse