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11-Décembre 2011 : La capitale économique un an après le cinquantenaire

Publié le vendredi 9 décembre 2011 à 02h03min

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La célébration du cinquantenaire de l’indépendance du Burkina Faso, le 11-Décembre 2010 à Bobo-Dioulasso, a été une occasion pour la ville-hôte de renforcer ses infrastructures. L’Etat et dans une moindre mesure la commune de Bobo-Dioulasso ont consenti des efforts pour renforcer les infrastructures d’accueil, réhabiliter des voies et embellir la capitale économique.

Que vont devenir les infrastructures réalisées dans la ville-hôte du cinquantenaire de l’indépendance du Burkina Faso ? ? C’est la question que beaucoup de concitoyens se sont posés, à propos des investissements réalisés à Bobo-Dioulasso, à la lumière du sort réservé aux infrastructures déjà existantes. Pour Bobo-Dioulasso, les investissements ont permis à la ville de reprendre des couleurs, selon le constat des premiers observateurs, une année après la célébration du cinquantenaire. Il suffit de faire un tour sur le site de l’une des réalisations pour s’en convaincre : la cité des forces vives, au secteur n°23.

Sur les parcelles aménagées par la Société nationale des terrains urbains (SONATUR) à la sortie Ouest de Bobo-Dioulasso pour en faire le «  ?Ouaga 2000 Bobolais ? », l’Etat a fait appel à la générosité et au patriotisme des fils de la Nation, pour bâtir 531 villas d’accueil des invités du cinquantenaire. En dépit de quelques promoteurs qui n’ont pas encore achevé leurs villas un an après le cinquantenaire et ceux qui ont bâclé leurs ouvrages dans la précipitation, nombreux sont ceux qui ont tiré leur épingle du jeu. Une situation qui réjouit le directeur régional de l’Habitat et de l’Urbanisme, Hyppolite Diala. Il indique que «  ?les infrastructures du cinquantenaire sont bien exploitées ? ».

Le directeur régional se dit satisfait de l’amélioration de la ville tant sur le plan des routes que du logement, grâce aux efforts conjugués des autorités burkinabé et de la commune de Bobo. En effet, en plus de la cité des forces vives, l’Hôtel administratif en R+3 est aussi une fierté pour la ville de Sya. Il est destiné à accueillir des services déconcentrés de l’Etat qui, selon les informations reçues, se sont déjà accordés sur les modalités d’occupation et sont en phase de s’installation sur les lieux. Les autorités locales saluent la discipline des mécaniciens qui occupaient le site de cet hôtel depuis 20 ans et qui ont accepté le quitter. Plus discrète, la cinquantaine de villas présidentielles de haut standing, érigées pour renforcer les infrastructures du pied-à-terre du Président du Faso à Samagan, ont considérablement lifté les alentours de l’aéroport international de Bobo-Dioulasso.

Un aéroport qui s’est revêtu de sa stature internationale avec la réhabilitation de la salle d’attente, du salon d’honneur et la réfection du bâtiment. Le Stade omnisports Sangoulé Lamizana et le Stade Wobi, étaient sur le point de tomber en désuétude, suite aux différents vols de câbles électriques et des vestiaires vandalisés. Ils ont été rendus fonctionnels de nouveau, grâce aux réfections effectuées dans le cadre du cinquantenaire. Désormais, les matchs peuvent se prolonger dans la nuit avec le retour de l’électricité. La plus grande réalisation du jubilé d’or de l’indépendance du Burkina Faso, en terme de symbolique est le Monument du cinquantenaire, situé au croisement de l’avenue du gouverneur Louveau et du boulevard Châlons-en-Champagne. Toutefois il est plongé dans le noir, la nuit venue.

La gerbe lumineuse symbolisant les couleurs nationales et le monument de la Place de la femme sont encore éclairés. La commune a, en revanche, fourni des efforts jamais égalés aux côtés de l’Etat, pour réaliser plusieurs dizaines de kilomètres de bitume. L’Etat a mis fin au calvaire des Bobolais, en aménageant l’Avenue du Colonel Jamot (rebaptisée Avenue du cinquantenaire), longue d’environ 4,78 km, le tronçon Place de la Femme au pont d’Accart-Ville (rebaptisé Avenue de l’Indépendance) et la rue Issa Hayatou (1 Km). La mairie, pour sa partition, a refait la rue Sakidi Sanou, l’Avenue de l’Unité et celle de la Liberté. Du coup, les voies auparavant infréquentables sont devenues de véritables "marchés", avec les commerces qui poussent progressivement aux abords.

Mahamadi TIEGNA (camerlingue78@yahoo.fr)

Sidwaya

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Vos commentaires

  • Le 9 décembre 2011 à 09:02, par mackiavel En réponse à : 11-Décembre 2011 : La capitale économique un an après le cinquantenaire

    article incomplet. Il faut demander à ceux qui ont mis leur argent ce qu’ils y ont tiré et ce qu’ils pensent.

  • Le 9 décembre 2011 à 11:24 En réponse à : 11-Décembre 2011 : La capitale économique un an après le cinquantenaire

    Ca ressemble a un publi-reportage où tout est beau tout est magnifique a Bobo.Du n’importe quoi comme article

  • Le 9 décembre 2011 à 11:51, par Yacou En réponse à : 11-Décembre 2011 : La capitale économique un an après le cinquantenaire

    "Que vont devenir les infrastructures réalisées dans la ville-hôte du cinquantenaire de l’indépendance du Burkina Faso ?"
    Mr le journaliste de Sidwaya, vous avez posé une bonne question mais vous n’avez pas cherchez les bonnes réponses ou du moins vous avez filtré seulement les réponses qui arrangent votre quotidien d’Etat

  • Le 9 décembre 2011 à 12:14 En réponse à : 11-Décembre 2011 : La capitale économique un an après le cinquantenaire

    J’attire l’attention des autorités notamment municipales sur les investissements réalisés pour l’embellissement de la ville à l’occasion de cette fête du cinquantenaire. C’est écœurant de voir que les parterres aménagés sont en train de sécher simplement parce que les plantes ne sont pas arrosées. Il n’y a qu’à faire un tour de la place de la femme jusqu’au croisement de la route de Nasso pour s’en convaincre. C’est vraiment indigne d’une ville comme Bobo-Dioulasso où le problème d’eau ne se pose pas. Si ailleurs on peut parler de difficultés pour avoir l’eau ici à Bobo c’est la chose que l’on peut avoir facilement et il est inadmissible de voir ce qui se passe sans avoir un pincement au cœur. J’invite le maire de la commune de Bobo et son Conseil à un sursaut.

  • Le 9 décembre 2011 à 12:26, par Tonton Cool En réponse à : 11-Décembre 2011 : La capitale économique un an après le cinquantenaire

    Réalisations du cinquantenaire dans la ville de Bobo-Dioulasso ? Pour moi c’est nul.
    - rues construites pas assez futuristes pour une ville en pleine expansion (pas assez larges) ;
    - le truc bizarroïde à la place de la nation : vraiment zéro. (moi-même je pouvais proposer dix fois mieux) Il ne représente rien ;
    - le monument de la place de la femme : là on peut dire que le symbole est bon (bien sûr si les femmes sont d’accord) : car comme c’est une femme ça se voit bien surtout la nuit ;
    - Cité forcée des forces vives : ceux qui y ont mis leurs sous vont juger.
    - Et quoi d’autre ? Aéroport ? Hum !
    Conclusion : Bobo-Dioulasso méritait mieux.

  • Le 9 décembre 2011 à 13:08, par NABIIGA En réponse à : 11-Décembre 2011 : La capitale économique un an après le cinquantenaire

    De quelles infrastructures parle -t - on ? Si rien n’est fait, dans 10 ans, bobo deviendra comme une ville delabrée et fantôme. Dommage mais c’est ainsi au faso. Maires merdants et des villes ......

  • Le 9 décembre 2011 à 14:45, par Veritas En réponse à : 11-Décembre 2011 : La capitale économique un an après le cinquantenaire

    N’importe quoi. Je me demande ce qui se passe dans la tête de nos dirigeants. Je n’ai rien contre la construction des logements mais je dis qu’il faut faire utile. On aurait dit aux gens de construire des HLM, des celibatorium, des minis villas, des cités pour étudiants que j’aurai applaudi. On construit des villas hors de la ville et hors de portée du 1er fonctionnaire. Faite un tour à Colma voir. Du vide, de la désuétude. N’importe quoi. Il faut construire utile. De la même façon dans les autres régions, à l’heure où on ouvre les universités sur papier sans que les autres conditions ne suivent, il faut faire utile. Voyez Fada, on a lancé a revente des logements à coup de 20 à 40 millions. Pitié, faut avoir pas vous foutre des gens. La CNSS encore qui a plein de sous, au lieu de faire utile, prête aux bonzes du CDP. N’importe quoi. On gagnerait à construire utile, les logements utiles aussi bien les simples chambres salons douche, des mini-villa, des logements pour étudiants et des HLM. D’ailleurs faut qu’on commence à parler du coût de la location dans le pays. Les loyers sont super exorbitants pour une augmentation de 5% des salaires. C’est ça au Faso.

  • Le 9 décembre 2011 à 15:29 En réponse à : 11-Décembre 2011 : La capitale économique un an après le cinquantenaire

    SALUT ! CE N’EST PAS NECESSAIRE. DANS L’IIMMEDIAT ON PEUT PENSER QUE LES REALISATIONS SONT UNE PERTE ; MAIS LA CONSTRUCTION D’UNE MAISON QUELQUE SOIT SON USAGE N’EST JAMAIS UNE PERTE. NON SEULEMENT CES REALISATIONS CONTRIBUENT A DESENCLAVER ET VIABILISER DAVANTAGE LA LOCALITE, MAIS ELLES RESTENT UTILENT TOUTE LA VIE AINSI QUE DES GENERATIONS. LES RETOMBEES SONT SOUVENT A MOYEN OU LONG TERMES.

  • Le 9 décembre 2011 à 17:17, par Diarradougou En réponse à : 11-Décembre 2011 : La capitale économique un an après le cinquantenaire

    A y voir de pres, la somme d’investissement faite a Bobo a l’occasion du dernier 11 decembre aurait pu etre largement plus efficace, en termes de depenses publiques. Mais etant entendu que nul responsable national n’est evalue pour ces travaux, comme a ’l’accoutume au demeurant, l’on se "congratulera" plutot pour les "gombos" gagnes a l’occasion. "Businees as ususl", comme a Fada, comme a OHG, comme a KDG (en cours ..).

    Autrement, apres quatre exercices de commemoration, on aurait pu et du faire un bilan de ces "betises" qu’on appelle pompeusement des investissements. Quels objectifs recherche-t-on ? les investissement realises y contribuent-ils ? Il est evident que les reponses ne peuvent ete que non. Mais, en se les posant, l’Etat pourrait au moins se rendre compte de la "betise abyssale".

    Mais dans ce Faso de la morale agonisee et dorenavant decedee, on prefere jouer les croques morts.....

    Bobo, "yaakoo" ...!!!!

    NB : Webmaster, censure ca aussi pour avoir la paix ....

    • Le 10 décembre 2011 à 11:12, par Myriam En réponse à : 11-Décembre 2011 : La capitale économique un an après le cinquantenaire

      ce sont toujours les mêmes qui font les commentaires , et jamais nous montrent du positif ; pour temps Dieu seul sait que tout n’est pas négatif. Arrêté de toujours cherché à découragé les gens, et à montrer que le Burkina ne vaut rien , il y a pire ailleurs ouvrer les yeux et positivé un peux monsieur . Les pays européens ne se sont pas construits en un jour où en quelques années. Ceux qui aiment toujours voire le négatif Qu’ont-ils faits de leurs parts pour le développement du Burkina. Que chacun ballait devant sa porte et tout ira mieux.Nous n’avons pas de ressource mais nous avançons qu’à même.Surtout cherchons à cultiver la paix dans les cœurs et non la haine. Vive le Burkina Faso, vive BoBo-Dioulasso. j’aime mon pays que Dieu en soit Bénit.

      • Le 10 décembre 2011 à 20:02 En réponse à : 11-Décembre 2011 : La capitale économique un an après le cinquantenaire

        C’est normal tout ce que tu dis et normal que tu pries que ce système de délinquants perdurent afin que le gombo gluant arrive tjrs dans ta bouche sans glisser afin qu’il ne tombe ailleurs.C’est ton droit mais permet nous de critiquer ce système mafieux dont tu dépends honteusement puisque tu ne l’avoues pas mais rien de surprenant pour le peuple d’en bas

      • Le 12 décembre 2011 à 12:51, par mambia En réponse à : 11-Décembre 2011 : La capitale économique un an après le cinquantenaire

        "Ceux qui aiment toujours voire le négatif Qu’ont-ils faits de leurs parts pour le développement du Burkina. Que chacun ballait devant sa porte et tout ira mieux" Myriam, j’aime bien ce que tu dis là. Mais acceptes que nos dirigeant ont exagéré dans cette histoire de cinquantenaire à Bobo où la route de défilé n’était même pas achevée et ne l’a jamais été plutard après la fête. Aucune route ne ressemble à quelque chose de fait cette année. Faits un tour à Bobo et tu verras.
        Combien de personnes ont perdu un membres ou sont mortes dans cette histoire. Et tout le monde en a conscience c’est pourquoi le gouvernement a suspendu toutes ces choses là. Nous exagerons. Fête tournnte, construction d’infrastructure. A Fada ça semble avoir bien marché peu de gens s’en plaignent en dehors de la CNSS qui s’amuse avec les cotisations des travailleurs. Des réalisations bien ciblées et bien faites.
        Cela a donné un éclat à la ville pour des éternités. ET à Bobo ???

  • Le 9 décembre 2011 à 23:37, par LE_BOBOLAIS En réponse à : 11-Décembre 2011 : La capitale économique un an après le cinquantenaire

    MONSIEUR LE JOURNALISTE PENSER UN JOUR A FAIRE UN ARTICLE SUR LES ACCIDENTS MORTELS SUR LA RN1 DE BOBO-DIOULASSO ALLANT DE LA PLACE DE LA FEMME A LA SORTIE DE LA VILLE, DUS AU MANQUE D’ECLAIRAGE ;VOUS SAURAI QUE CE MAIRE N’A RIEN FAIS DE BON POUR CETTE VILLE.
    MERCI
    NOUS MARCHERONS BIENTÔT

  • Le 10 décembre 2011 à 08:09, par Atrap le Moize En réponse à : 11-Décembre 2011 : La capitale économique un an après le cinquantenaire

    Pourquoi vous aimez tant pleurnicher ? Si on ne fait rien, vous vous plaignez, si on fait quelque chose, vous vous plaignez.
    Vous meme si on vous donne un marche aussi la bas vous aller manger dedans.
    Ceci dit, je n’encourage ni les voleurs, ni les detourneurs mais simplement j’en appelle a des critiques constructives. Certains internautes ont contribue par exemple sur les fleurs qui sechent faute d’eau, sur la necessite de penser a entretenir ces investissements...
    Soyez positifs. Vous etes toujours contents d’aller vivre chez les autres que vous trouvez beau mais quand on essaie de faire de meme chez vous, vous trouvez a redire.Faut savoir a la fin ce que vous voulez !

    • Le 12 décembre 2011 à 12:41, par mambia En réponse à : 11-Décembre 2011 : La capitale économique un an après le cinquantenaire

      Non, non et non un peu du respect. Je ne suis pas Burkinabè jusque là (dans les papiers) mais je le suis dans la tête et dans le coeur car je suis là depuis 17 ans. Mais attention. SI on ne fait rien on se plains= normal si on fait quelque chose on se plaint = c’est facile ça. Va sur la colline de ton village et mets toi à creuser toute la journée. Tu fais quelque chose mais est ce que ce que tu fais est vraiment utile pour ton village. "Soyez positifs. Vous êtes toujours contents d’aller vivre chez les autres que vous trouvez beau mais quand on essaie de faire (...)" Là aussi Vous aimez les réponses faciles mon chers.Ce qui est fait à Bobo pour ce cinquantenaire est simplement révoltant, insultant à la limite apatride.
      Voyez vous aucun goudron n’est attrayant encore moins ne va durer 2 ans, aucun bâtiment ne sert à un Bobolais. Oui les gens se sont partager les fonds et ont fait du saupoudrage c’est tout. Une réalisation de nos jours comme la voie qui va de l’échangeur de l’ESt à Kossodo peut sembler consommateur de ressource mais c’est ça on peut dire "faire quelques chose". la maison de la culture à) Bobo si elle bien faite et achevée comme il se doit Oui. Mais tout le reste ce sont de betises. Oui Nos dirigeant ayant sauvagement piller le pays ont oublié les réalités de 48% des burkinabès. Quand on connait les besoins fondamentaux de l’homme selon de Maslow on peut comprendre. Vraiment c’est decevant pour les fils de pauvres affranchi. Des folis et juste pour faire plaisir à un chef.
      Les réalités des bobolais on les connais et ils le disent. Vous êtes venus faire votre cinquantenaires et repartir nous laissant dans notre quotidien. ATT, au cinquantenaire du Mali a pris des décision courageuses et profitables à tous.
      Bon !! c’est vraiment décevant pour notre pays. Les dirigeant vont à leur rythme sans le peuple. Pendant qu’à l’intérieur du pays les gens risque de se manger du fait de la famine

  • Le 10 décembre 2011 à 09:02 En réponse à : 11-Décembre 2011 : La capitale économique un an après le cinquantenaire

    Bien dit mon frere ou ma soeur, ce pays la est "cadavere" il n’ya plus rien a faire que de l’enterrer et avoire la paix. Rien n’a reussi : les routes mal construite, le truc bizzar qu’ils ont fait a la place de la nation qui ne represente rien dont les ampoules sont deja fable, d’ici peu ca ne va plus s’allumer, j’aurai preferer le monument du cinquantenaire la bas ; toutes les plantes plantees a cette occasion sont en train de secher et personne ne dit rien ! Domage pour ce pays de Maurice, de Lamizana, de Saye, et de Sankara.

  • Le 10 décembre 2011 à 14:16, par Fils du quatier Souroukoukin En réponse à : 11-Décembre 2011 : La capitale économique un an après le cinquantenaire

    Bonjour .

    S’il vous plait arreter cette fausse pub .
    Dites nous combien de kilometres de bitume etaient prevus ? Et combien la ville a recus ? Et il faut aller verifier le bitume . En moins d’un an , tout se degrade .
    Et puis ce que je demande aux autorites . c’est de remettre l’eclairage de l’avenue du colonel Jamot ( rebaptisee avenue du cinquantenaire ) car avant les travaux cette avenue avait son eclairage . Il ne se passe pas une nuit ou un accident ne se produit pas .Etant un fils du quartier souroukoukin je vivais chaque jour des scenes d’accident ou je les entendais . Et puis juste en face du commissariat de Do appele communement commissairiat sans loi il y a un caniveau qui a ete fait lors des travaux . Ce caniveau n’est pas balise . De loin il est confondu a la voie meme en plein jour on peut pas savoir qu’il y a un caniveau surtout qu’il n’existait pas avant les travaux . Faites une enquete vous me direz combien de victimes ce caniveau a fait aux yeux et aux nez de nos policiers . Je suis a l’exterieur mais je vous parle en connaissance de cause . Puisque j’ai quitte il y a 2 mois . En tout cas faites quelque chose pour l’eclairage et le balissement du caniveau en face du commissariat de Do sinon on continuera a endeuiller des familles.

    Par un fils du quartier souroukoukin .

  • Le 10 décembre 2011 à 14:39 En réponse à : 11-Décembre 2011 : La capitale économique un an après le cinquantenaire

    on ne peut pas faire plaisir à tout le monde.un investissement peut être rentable à moyen ou long terme.on se plains trop au faso mais en realité on ne propose rien.Soyons serieux et abordons les questions sans passion svp !!!!!!!!!

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