BRAQUAGES SUR LES ROUTES : Et si l’on voyageait sans argent ?
Voyager sans argent ? Est-ce possible ? Généralement, quand un homme ou une femme se déplace, c’est soit pour aller régler un problème en famille soit pour faire des transactions commerciales ou autre chose. Que ce soit dans le premier ou le second cas, il lui faut de l’argent. L’argent y joue un grand rôle. Donc, à première vue, il semble difficile, voire impossible de se déplacer sans argent. Et c’est justement parce que les braqueurs savent bien que quand les commerçants se rendent à un marché et quand ils en reviennent, ils transportent sur eux des sommes d’argent, parfois de fortes sommes. Ce sont les commerçants qui sont les principales victimes des malfrats qui, en une matinée, un soir ou une nuit, les en dépouillent sur les routes.
Lesquels malfrats deviennent des millionnaires sans nullement avoir travaillé. Devant la multiplication des braquages au cours des dernières semaines, peut-on initier des mesures pour combattre les braquages ? C’est parce que les braqueurs gagnent beaucoup dans ces coups osés qu’ils le font.
Il faut faire en sorte qu’ils trouvent le moins de liquidités sur leurs victimes. Mais comment ? L’une des mesures à laquelle on peut penser, est que les gens voyagent avec le minimum de liquidité sur eux. Il existe à travers le Burkina Faso, un réseau fiable de caisses populaires. Les commerçants et les commerçantes, les plus grands perdants au cours des braquages, doivent utiliser ce réseau. Une entente avec les responsables des caisses populaires pourrait leur permettre d’entrer en possession de la somme qu’ils veulent une fois qu’ils sont à destination. Mais avant les caisses populaires, il existait les bureaux de poste où le commerçant pouvait ouvrir un compte d’épargne. Là aussi, il faut que les responsables de la poste pensent à des mesures qui faciliteront au maximum les transactions des commerçants. Parfois des sociétés qui se trouvent en dehors des grands centres urbains transportent de grosses sommes destinées à la paie de leurs personnels. Toujours pour éviter de transporter des sommes d’argent importantes lorsqu’on se déplace d’une localité à une autre, on peut mettre à contribution les trésoriers payeurs de nos mairies et communes. L’État, dans ce cas, peut penser à trouver des dispositions qui permettent aux trésoriers d’accepter des fonds privés dans leurs coffres-forts. On pourrait de même penser à la création de sociétés de transport de fonds d’une localité à l’autre avec toutes les mesures de sécurité requises.
D’aucuns trouveront ces mesures ou une bonne partie de ces mesures utopiques. C’est leur droit et nous les invitons à proposer d’autres plus efficientes. Nous sommes confrontés à un phénomène devant lequel la puissance publique s’est révélée jusque-là impuissante. Certes des efforts ont été faits pour lutter contre cette sorte de banditisme. Le gouvernement du Burkina Faso a acquis deux petits avions appelés autogires. Tout un chacun pensait que l’arme fatale contre les braqueurs avait été enfin trouvée. Malheureusement, que constatons-nous ? Une recrudescence des opérations de braquages, des opérations souvent très osées qui se passent dans les centres urbains ou à proximité ; disons-le, au nez et à la barbe des services commis à la lutte contre ce fléau.
Pour la réussite des mesures ci-dessus évoquées, il y a un grand travail de sensibilisation et d’éducation à réussir d’abord. Les hommes et les femmes de ce pays et d’autres pays aussi aiment avoir un contact charnel avec les billets de banque. Ils aiment sentir leur crissement quand ils marchent. A leur réveil ou chaque fois qu’ils sont seuls, ils les palpent, les comptent et les recomptent. Ils aiment sentir leur argent près d’eux, tout près d’eux. Il faudrait les éduquer pour qu’ils aient confiance aux institutions officielles : banques, caisses populaires, bureaux de poste, etc. Une fois que cette confiance sera établie, ils peuvent leur confier la garde de leur trésor. Ainsi, ils ne trembleront plus comme Harpagon quand ils voyagent. Il faut qu’ils sentent et sachent que leur argent est en parfaite sécurité. Il faut insister sur cette question de confiance car si elle venait à être créée, elle pourrait révolutionner tout un pan de notre économie, en même temps qu’elle faucherait l’herbe sous les pieds des braqueurs. La question est très importante, elle requiert l’engagement de tous les acteurs impliqués dans la lutte pour l’éradication du fléau caractérisé aujourd’hui par les braquages sur les routes, avec l’Etat au premier plan.
Tant et si bien que l’insécurité routière ne se pose plus seulement en termes de routes carrossables, de respect du Code de la route, du civisme des automobilistes sur les voies, etc. L’insécurité routière, c’est aussi celle de savoir qu’au cours d’un voyage, on ne sera pas dépouillé de ses biens. Mais n’oublions pas que la sécurité routière dépend des forces de police et de gendarmerie. L’armée nationale pourrait leur donner de temps à autre un coup de main précieux pour l’éradication des braquages qui sont en passe de devenir un véritable job pour des hommes sans foi ni loi.
Le Fou
Le Pays
Vos commentaires
1. Le 20 novembre 2009 à 06:11, par KaÏ En réponse à : BRAQUAGES SUR LES ROUTES : Et si l’on voyageait sans argent ?
La responsabilité première de la lutte contre ce fléau incombe au GOUVERNEMENT. C’est une de ses missions prioritaires... Mais face à ces anciens militaires devenus Braqueurs et autrea apprentis-bandits, il ne semble pas encore avoir trouvé la bonne réponse, malgré le fameux bureau d’aide à la reconversion à la vie civile !...
2. Le 20 novembre 2009 à 07:08, par Konaté de l’Espagne En réponse à : BRAQUAGES SUR LES ROUTES : Et si l’on voyageait sans argent ?
Le Fou a tout perdu sauf la raison.De belles idées mais cela prendra du temps pour éduquer et convaicre une population qui est majoritairement illettrée.Sinon en Europe
il est rare de voir une somme importante sur des gens ;presque tous les achats quelle qu’en soit leur valeur,
par le système de la carte banquaire ou la carte de crédit.
Le 21 novembre 2009 à 06:35, par mousbil En réponse à : BRAQUAGES SUR LES ROUTES : Et si l’on voyageait sans argent ?
Je pense que tu ne sait pas que tu vit au BF et que le systeme de carte bancaire ne sont pas developper.
Mousbil depuis USA
3. Le 20 novembre 2009 à 07:14 En réponse à : BRAQUAGES SUR LES ROUTES : Et si l’on voyageait sans argent ?
Hey vous savez la situation est tres simple. les memes societes de transport qui transportent ces passagers victimes du braquages ont un systeme aussi facile dont les gents profitent souvant pour envoyer de l’argent genre de Ouaga a un ami a Bobo.Donc les passagers n’ont cas utiliser ce systeme pour deposer leur somme dans leur lieux de depart et arrive a destination ils prennent leur argent a la meme gare de cette societe. C’est tres simple. Et puis les societes qui ont deja commence a faire ceci, elles n’ont pas besoin de transporter toute cette somme avec le car jusq’a la destination, mais il ya un numero qu’on va tout just donner a la gare genre un numero de western union et a l’arrive le passager prendra son argent.
Voila c’est ca notre problem en afrique, a chaque fois qu’il ya un tel problem nous courons pour aller informer la nouvelle a l’exterieur pour demander de l’aide. No et no !! n’allons nule part pour des choses comme ceci.Vous allez en europe pour demander de l’aide parceque vous avez des coupeurs de routes. En europe ils ne connaissent pas ca. Trouvons cette fois ci la solution au Bukina et je souhaiterais que le Burkina Faso soit le premier pays a organiser se system la. A chaque chose il faut reflechir et creer. Meme Les Western Union et Money Gramm La, WALAY ca comence comme ca. Et petit a petit ca peut devenir de grandes compangnies
Si on essait de developper ce system les societes qui vont metriser le travail auront de nombreux passagers. Vous developpez la procedure avec une grande securite, de plusiere employes et ca va reduire le chaumages aussi. Et c’est petit a petit qu’on arrive a creer des emploits que ceux de l’exterieur ne connaissent pas.
La maintenat si par hazare il y Braquage, le chauffer demunie la vitesse et s’arrete .Il peut meme descendre pour mieux manger ses gateaux qu’il avait achete a Boromo et revenir dire Good Baye aux Braquers et puis prender son volant.
Ahiiiii !!! Je Suis Aux Etat Units (New York)
Le 22 novembre 2009 à 12:43 En réponse à : BRAQUAGES SUR LES ROUTES : Et si l’on voyageait sans argent ?
va vivre sur maars si tu veux on s’en tape
mahdou
Le 22 novembre 2009 à 17:46, par Koudougoulais En réponse à : BRAQUAGES SUR LES ROUTES : Et si l’on voyageait sans argent ?
Tres exellente idée. Pas couteuse, simple à mettre en ouvre.
4. Le 20 novembre 2009 à 08:35, par MAXWEL En réponse à : BRAQUAGES SUR LES ROUTES : Et si l’on voyageait sans argent ?
Et si l’on mettait des policiers armés dans chaque car de ligne ?
Les nombreux policiers qui contrôlent à tout bout de champ les pauvres ouagalais ne seraient-ils pas mieux à leur place dans ces cars pour assurer la sécurité physique de nos concitoyens ?
5. Le 20 novembre 2009 à 09:15, par LeConseiller En réponse à : BRAQUAGES SUR LES ROUTES : Et si l’on voyageait sans argent ?
Bien vu.
La diminution de la circulation de l’argent liquide est la meilleure stratégie de lutte contre ces bracages fréquents.
Sous d’autres cieux (Kenya par exemple), le téléphone portable est sur le point de devenir un porte-monnaie électronique qui se vulgarise de plus en plus. Au Burkina nous gagnerions certainement à encourager et à accompagner les acteurs dans ce domaine.
LeConseiller
Le 21 novembre 2009 à 17:41 En réponse à : BRAQUAGES SUR LES ROUTES : Et si l’on voyageait sans argent ?
c’est bien comme proposition mais soyons logiques avec notre societe au burkina il y a beaucoup d’analphabetes et l’université a été detruite l’education est rien du tout, etc les services de banques restent beaucoup a evoluer, etc comment voulez vous que les gens fassent ? dans le sud ouest, alors que fait-on ? a d’autres periodes les populations elles memes se seraient occupees de ces bandits
somé
Le 22 novembre 2009 à 16:33 En réponse à : BRAQUAGES SUR LES ROUTES : Et si l’on voyageait sans argent ?
Non non non non non. Arretons ca maitenant. Depuis des milliers de sciecles on ne fait que dire que les Burkinabe sont analphabetes. Quant meme, le systeme des cardes bancaires ne sont pas des chauses aussi dure pour qu’on considereles gents comme animaux. En 1996, y’avait combient de burkinabe qui ont Cellulaire ? et maintenant tout le monde en a, meme ceux qui ne sont alles a l’ecole. De la meme facon, une fois qu’on met le system de card bancaire un peu partout et bien sure avec des agents bien formes qui vont aider certaines personnes., d’ici 2020 ca deviendra une chose dont les gent n’aurons plus a s’inquieter. Quant est ce nous on va evoluer et a chaque fois on entand le mot analphabet.
Est ce que le fait que certaines personnes sont analphabetes commes vous le dites, on ne fait pas des votes au Faso. Et les bulletin nulles se reduce de plus en plus. Une fois que ya le commencement, il y aura le depart. Merci
6. Le 20 novembre 2009 à 09:17 En réponse à : BRAQUAGES SUR LES ROUTES : Et si l’on voyageait sans argent ?
Géniale comme idée mais où se trouvent les caisses populaires dans tout ca ? Que font-elles pour sensibiliser les commerçants ? les banques quel travail font-elles pour interesser les gens à leur activités ? c’est dommage on ne sent pas une vraie démarche de toutes ces structures qui ont pourtant des inté^rêts. C’est ça le sous développement, au Burkina on ne cherche pas à être excellent on veut juste être le meilleur. Il est bien vrai qu’au pays des aveeugles les borgnes sont rois mais enfin cultiver l’excellence de vos activités, cessez l’amaturisme.
7. Le 20 novembre 2009 à 09:48, par MIK En réponse à : BRAQUAGES SUR LES ROUTES : Et si l’on voyageait sans argent ?
Bonjour, et merci à "Le fou" pour ses propositions ! Je suis parfaitement d’accord avec lui. Il faut plus de sensibilisation ! Il faut que les institutions financières aillent vers les commerçants voyageurs, les arguments sont là. Ces commerçants ne sont pas bêtes ils sauront faire la part des choses car mieux vaut confier son argent à une institution et ne perdre que 5% du montant au lieu de se faire braquer et tout perdre !
8. Le 20 novembre 2009 à 10:09 En réponse à : BRAQUAGES SUR LES ROUTES : Et si l’on voyageait sans argent ?
en attendant de mûrir la réflexion sur les propositions du fou, il existe déjà des institutions comme la poste et western union qui peuvent permettre de s’envoyer de l’argent à soi-même à la destination de son voyage.
9. Le 20 novembre 2009 à 11:45, par le fauve En réponse à : BRAQUAGES SUR LES ROUTES : Et si l’on voyageait sans argent ?
bonjour, je penses que tous ces soucis de braquage se font parce que les gens continuent de se balader avec de la liquidité sur eux ! freres burkinabés faisons confiances aux TIC voyageons avec nos cartes magnetiques, surtout que de nos jours on peut avoir une carte bancaire sans pour autant avoir un compte bancaire ! par exemple il ya la carte AFRICARDS !!!!!!
merci
10. Le 20 novembre 2009 à 13:41, par Kon Ndoungtouly En réponse à : BRAQUAGES SUR LES ROUTES : Et si l’on voyageait sans argent ?
On peut bien voyager avec de l’argent si toute fois le maillage des forces de sécurité et de défense est bien fait avec le jallonnement de deux agents (un policier avec un gendarme ou militaire) à chaque 50 KM sur les routes nationales et secondaires et bien armés.
11. Le 20 novembre 2009 à 13:46, par Eric En réponse à : BRAQUAGES SUR LES ROUTES : Et si l’on voyageait sans argent ?
Bonjour,
que font nos états, la Banque centrale et les banques primaires ?
Il faut que le système bancaire atteigne tout le pays sinon au moins toutes les régions et villes. Développer le système bancaire et donner des facilités attirerait pleins de clients.
Il faut par exemple arrêter de prélever les frais de tenue de compte des comptes courants et les rémunérer à certaines conditions. Encourager les moyens de paiement électronique (Distributeurs, terminaux de paiement, etc.). On dira que la sécurité doit être renforcée. Oui mais c’est quoi le rôle de l’État ? Qu’il fasse son boulot, il gagnerait en développant le pays. Après tout, il y a des possibilités de perception de taxes et impôts. Parce que celui qui est au village ne paie pas de taxes d’eau, télé (il n’a pas d’électricité)...
Je suis client d’une banque burkinabè qui me prélève 2500FCFA/mois pour le service de e-banking, je crois que je vais résilier le contrat ! C’est trop cher.
Cordialement,
Eric
12. Le 20 novembre 2009 à 14:14, par lezoulou En réponse à : BRAQUAGES SUR LES ROUTES : Et si l’on voyageait sans argent ?
continuez a ecoutez ceux qui nous flatent de supprimer la peine de mort au burkina faso. d ici peu on va braquer des citoyens en pleine circulation a ouaga.le pire reste a venir si on continue a plaisanter avec les grands bandits.
13. Le 20 novembre 2009 à 17:53, par SSR En réponse à : BRAQUAGES SUR LES ROUTES : Et si l’on voyageait sans argent ?
Il faut voyager avec le minimun d’argent. Prendre juste ce qui est necessaire pour se dépanner en route par exemple pour payer une carte téléphonique. Le reste et surtout pour les commerçants qui ont vont faire des achats c’est de rechercher les bureaux de changes. Avant de voyager, un commerçant peut envoyer son argent via un bureau de change à une personne de confiance de l’autre côté qui peut le recuperer sur place et le même jour. C’est plus sûr mais bien sûr c’est moyennant une contribution qui evolue en fonction de la somme envoyée. Et c’est cela qui fait que les gens préfèrenet prendre le risque de voyager avec de forte somme d’argent. On prend donc le risque de tout perdre à cause de cette somme.
Si les institutions financières pouvaient revoir à la baisse les différents taux,elles pouvaient attirer beaucoup plus de clients.
L’état burkinabé doit mettre au service des agents chargés de la sécurité routière plus de moyens et multiplier leur nombre sur les routes afin d’intimider les braqueurs. La population doit également contribuer à arrêter ces personnes. Lorsque ces braqueurs sont arrêtés, on doit leur reservé un traitement particulier de sorte qu’à la sortie ils n’aient plus envie de voler.
C’est notre modeste contribution qui peut ne pas être appreciée par tout le monde, nous nous en excusons par avance
14. Le 20 novembre 2009 à 22:41, par Sidnoma New York En réponse à : BRAQUAGES SUR LES ROUTES : Et si l’on voyageait sans argent ?
Tres bon article avec des idees plausibles.
15. Le 21 novembre 2009 à 01:01, par x En réponse à : BRAQUAGES SUR LES ROUTES : Et si l’on voyageait sans argent ?
c’est vraiment triste que de telles catastrophes subsistent toujours dans notre chere patrie. Les autorités doivent prendre les mesures idoines pour venir à bout de ce fleau. Pour exemple il pourrait durcir les sanctions contre les braqueurs appréhendés ou mettre les forces de l’ordre en action. Une chasse aux braqueurs est plus que necessaire. Merci. Que le seigneur benisse le burkina faso......
16. Le 22 novembre 2009 à 10:20 En réponse à : BRAQUAGES SUR LES ROUTES : Et si l’on voyageait sans argent ?
Comme tout burkinabe, cette situation m’inquiette tout en me faisant honte.
je voudrais appuyer l’idee qui pense que les miltaires doivent appuyer la police.
vu les armes que les bandits utilisent moi je pense que les militaires sont mieux places pour contre-attaquer.
je me demande aussi si ces bandits sont seulement des burkinabe.
je trouve que le pays doit se montrer un peu severe envers les etrangers car les etrangers sont trop libres chez ns.
ns faisons trop facilement confiance et ns fermons trop les yeux pr ne pas agir(cas des hibos).
nos frontieres sont trop ouvert. qu’on laisse la police controler un peu.(je ne suis pas de la police et meme mon petit fils ne sera pas de la police du BF vu la maniere dont on les traite)
je pense aussi que la MACO en est pour quelque chose:j’aurai appris c’est une grande ecole de Banditisme ; qu’on melange tout le monde labas.Bandit de chenin et voleur de 100cfa se frottent. Pr que le 1er montre a l’autre comment evoluer ds le ``metier`` ?
finalement je pense que le fait de renvoyer les eleves policier a tout moment est une grave erreur. je suis d’accord qu’on les punisse pr leurs fautes ; mais former quelqu’un pendant un an, deux ans sur les techniques policieres et le mettre a la porte ? je pense que cela peut etre tres dangereux. Que Dieu nous protege !
17. Le 22 novembre 2009 à 18:27, par Koudougoulais En réponse à : BRAQUAGES SUR LES ROUTES : Et si l’on voyageait sans argent ?
Voila, n’allons pas chercher loin. Quelqu’un plus haut a suggeré l’idée suivante que j’avais aussi. Le plus simple, c’est de voir avec les sociétes de transport, afin d’inciter (ou obliger) tous les passagers de faire consigner leur argent avant de partir, en ne gardant avec eux que que le minimum necessaire pendant le voyage. Puisque les transporteurs demandent 5% de commission pour des envois à de tièrces personnes, ici on voyage dans le car, il s’agit d’un service spécial pour mesure de sécurité. Donc un pourcent (1%) de frais devraient suffire. L’identité du remettant sera enregistré et un reçu lui sera remis. Arrivé à destination, il retire son argent à la gare. Facile, puisque le même car partira avec la liste des sommes consignées, pas besoin de moyens de communication développés, genre TIC ou téléphone qui demanderaient encore de gros moyens. Le gouvernement devrait obliger toutes les entreprises de transport de disposer de ce service. Si on mettait cela en oeuvre,en plus des moyens classiques de sécurisation, les braquers gagnant moins de revenus dans chaque braquage vont se reconvertir ailleurs.
Un Koudougoulais.
18. Le 22 novembre 2009 à 21:16, par Monsieur Gilles En réponse à : BRAQUAGES SUR LES ROUTES : Et si l’on voyageait sans argent ?
où est le bon temps de la haute volta où ces choses étaient rarissimes, vous pouviez vous promener tranquillement même la nuit que ce soit à Ouaga Bobo ou la brousse, il fallait seulement faire attention au lion et à l’éléphant solitaire, les animaux maintenant ce sont les hommes
Le vieux Gilles