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Syndicat des agents du Trésor : Le fonds commun divise les travailleurs

Publié le mercredi 25 juillet 2007 à 08h02min

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Le Syndicat des agents du Trésor du Burkina (SATEB) a tenu une Assemblée générale qui a connu une forte participation des travailleurs de l’institution le mardi 23 juillet 2007, à la Bourse du travail à Ouagadougou.

Fait majeur de cette rencontre vespérale qui s’est terminée en queue de poisson, les agents communaux et les contractuels du Trésor se sont opposés aux agents spécifiques qu’ils accusent de vouloir les écarter du partage du fonds commun.

C’est autour de 18 heures que les agents du Trésor, tous statuts et catégories confondus ont pris place dans la salle de conférences de la Bourse du travail pleine à craquer. Après des slogans de mobilisation, les premiers responsables du Syndicat des agents du Trésor du Burkina (SATEB) ont pris la parole pour camper le décor de la rencontre avec pour ordre du jour : "Grève du 18 juillet 2007 ; compte rendu de la rencontre avec le ministre sur le fonds commun et divers.

"Au sujet de la grève générale des travailleurs le 18 juillet 2007, sur la vie chère (principalement le prix de l’essence) et les libertés syndicales, il a été expliqué aux militants que la structure n’ayant pas pu signer le préavis de grève, n’a pas voulu entraîner les agents dans cette manifestation par mesure de prudence.

Ce sujet rapidement évacué, c’est la question du fonds commun qui a déchaîné les passions et a laissé apparaître, paradoxalement une division profonde dans la salle. D’un côté, les agents communaux et les agents contractuels du Trésor accusaient les agents spécifiques, c’est-à-dire ceux issus de l’Ecole nationale des régies financières (ENAREF) de vouloir les écarter injustement du partage du "gombo".

Ces derniers pour leur défense estiment que les textes qui définissent les emplois spécifiques au sein du ministère de l’Economie et des Finances ne sont pas de leur fait. Le bureau du SATEB qui défend la position des agents spécifiques pense que la diversité de la grande famille du Trésor est une richesse, mais ne doit pas empêcher le respect des statuts et celui de la hiérarchie.

Pas question de discriminer

Pour le chauffeur, Tégawendé Sawadogo, soutenu par beaucoup de ses camarades, le syndicat va au-delà de sa sacro-sainte mission qui est de défendre les intérêts moraux et matériels de tous les travailleurs sans distinction.

"Si vous êtes là seulement pour les grands en voulant brimer les petits, vous n’avez pas votre raison d’être", a-t-il lancé aux leaders syndicaux. L’inspecteur du Trésor, Michel Naon, en service à la mairie de Ouagadougou ne dit pas le contraire.

Selon lui, le fonds commun est le fruit du dur labeur des agents dits spécifiques, des communaux, et de tout le personnel de soutien. C’est sur la base des recettes recouvrées qu’on leur alloue ce fonds comme prime d’encouragement. Il n’est donc pas question de faire de la discrimination dans le partage.

A l’en croire, 60% dudit fonds est reparti équitablement et le partage des 40% restants, tient compte des catégories et de l’ancienneté de l’agent. C’est donc dans une atmosphère pour le moins surchauffée que les échanges ont eu lieu sans pouvoir concilier les deux camps dont les positions étaient, on ne peut plus tranchées.

Sachant que rien de productif ne pouvait se faire dans ces conditions, les responsables du SATEB ont levé la séance. Malheureusement ils n’ont pas voulu se prêter à nos questions sur le champ et leur promesse de nous contacter hier à 12 heures pour nous donner des éclairages n’a pas été tenue pour des raisons que nous ignorons.

Il faut regretter au passage le comportement digne de loubards de certaines personnes présentes lundi soir à la Bourse du travail. En effet, d’aucuns n’ont pas trouvé mieux à faire que de tomber à bras raccourcis sur l’équipe de reportage de l’Observateur, traitée de tous les noms d’oiseaux, quand elle a voulu, par souci d’équilibre et d’équité, avoir leur son de cloche sur le problème.

Qu’à cela ne tienne, nous souhaitons vivement qu’un modus vivendi soit trouvé pour que la quiétude revienne dans cette régie indispensable à notre économie. Il convient de souligner que le secrétaire général du Syndicat autonome des agents du ministère des Affaires étrangères (SAMAE), Désiré Boniface Somé, et son adjoint, Mamadou Ilboudo, sont venus solliciter la solidarité de leurs camarades du SATEB.

Il les a informé qu’aujourd’hui ils seront en audience pour les trois (3) requêtes auprès du tribunal administratif de Ouagadougou. Ce sont le sursis à exécution ; l’annulation pure et simple des sanctions et l’annulation des blâmes et avertissements contre les militants du SAMAE.

Abdou Karim Sawadogo

L’Observateur

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Vos commentaires

  • Le 25 juillet 2007 à 11:03, par Un agent du Trésor En réponse à : > Syndicat des agents du Trésor : Le fonds commun divise les travailleurs

    D’abord, ce n’est SATEB mais plutôt SATB (Syndicat des Agents du Trésor du Burkina).

    Il ne s’agit pas d’écarter qui que ce soit. Mais les réalités existent sur le terrain que ce soit selon la réglementation ou les traitements mêmes que la Direction au Trésor infligent à ces agents.

    D’abord sur le plan de la réglementation, les contractuels, les communaux et autres ne font pas partie du corps des inspecteurs, des contrôleurs ou des agents de recouvrement du Trésor. Même avec un diplôme de l’ENAREF, tant qu’on n’est pas de la fonction publique on ne fait pas partie du corps. C’est un corps qui a des spécificités propres et des responsabilités ; par exemple saisir les biens de votre femme en cas de malversations même si vous n’êtes pas en communauté de biens avec elle. Ces règles ne sont pas valables pour les autres qui ne sont pas du corps même s’ils travaillent 100 ans au Trésor.

    Mais pour ce qui s’agit des autres fonctionnaires, le SATB a accepté d’avoir le même traitement qu’eux car venant de concours transparents de la fonction publique (voie normale pour être recruté). Sur ce plan, le SATB ne voit aucun problème.

    Mais pour ce qui s’agit des contractuels communément appelés vacataires (petits frères, copines, cousins et autres jardiniers des directeurs) recrutés on ne soit où, comment, pourquoi ou par qui, le SATB dit non. Car ils sont comme des prestataires de services. Ils ont été recrutés pour des tâches particulières au Trésor que les agents du Trésor ne doivent pas faire et sont déjà payés pour cela. La preuve est que les vigiles qui sont au Trésor ne touche pas le fonds commun. Le SATB dit qu’ils vont prendre la moitié.

    Pour ce qui concerne les communaux, ils ont un fonds commun de la commune. S’ils veulent une égalité entre nous, fusionnons les 2 fonds et partageons. Pourquoi ont-ils refusé cette option ? Voila des gars qui sont en train de manger dans 2 plats. Alors que nous, agents du Trésor, le règlement nous interdit d’avoir le fonds si jamais on a un fonds similaire ailleurs. Par exemple si un agent du Trésor touche une partie de fonds du ministère du commerce, il ne peut plus prendre le fonds commun du Trésor. Mais comment voulez vous qu’un étranger soit mieux traité que nous chez nous en transgressant même la réglementation en sa faveur.

    Maintenant du point de vue de l’administration, si ces différentes catégories de personnes pensent que nous sommes d’une même famille, pourquoi l’administration les traite différemment. Lorsque tous les agents du Trésor présentent leurs vœux au DG, ils sont avec ceux sortis de l’ENAREF. Et après les secrétaires et les chauffeurs ont leurs jours pour présenter leurs vœux et leurs doléances. Ils ont d’autres cadres de concertations propres à eux et avec le DG sortant qui les écoutaient. Voila des gars qui jouent sur 2 tableaux. C’est comme si le jour de la fête, l’enfant adoptif mange avec toute la famille à midi, et à 14 il y a un autre cadre pour l’enfant adoptif pour manger seul à seul avec notre père. Qui a même été adopté en ce moment.

    Protéger un faible, ne consiste pas à lui donner le pouvoir de brimer le fort. Le DG a créé des injustices dans cette maison au point que les choses les plus simples et les plus justes deviennent incompréhensibles pour certains vauriens telllement qu’on les a écoutés.

    • Le 25 juillet 2007 à 13:25, par Un agent du trésor En réponse à : > Syndicat des agents du Trésor : Le fonds commun divise les travailleurs

      Je voudrais m’interroger sur la qualité de ce prétendu journaliste. Où étiez vous quand les agents étaient gazés et brutalisés par les CRS ? Subitement tu sembles t’intéresser à l’AG en parlant de division. Soyez honnête cher journaliste. Je me demande si c’est quelqu’un n’a pas écrit cet article pour vous.
      Il y a d’autres régies qui ont écarté les communaux et vacatiares du fonds. Mais le SATB a accepté partager le fonds avec les vacataires à hauteur de 50%, n’est ce pas un signe de reconnaissance à leur endroit ?
      Je pense que quelqu’un à intérêt qu’il y’ait divergence au Trésor,j’ai nommé le directeur sortant qui a instrumentalisé une catégorie d’agents. Un exemple simple : un cadre A part en mission et figurez vous que c’est le chauffeur qui chef de mission au Trésor. Est ce qu’un bon manager va mettre ses chauffeurs et vacataires au dessus de ses cadres ?
      Pourquoi traine t’il les pieds à passer le relai qui a été nommé pour le remplacer à son poste de directeur du Trésor. Il a déjà rejoint son poste de ministre délégué, alors qu’il laisse son remplaçant venir continuer le travail. Mais notre directeur veut fêter ses 10 ans de reformes avant de partir !Dans quel monde sommes nous ?

      • Le 25 juillet 2007 à 15:04, par un agent du trésor En réponse à : Laisser les journalistes écrire ce qu’ils ont vu et entendu

        Vous avez quand on s’engage dans une logique de "laver le linge sale au bord du barrage", il faut s’attendre à ce que ceux qui ne sont pas invités à la lessive viennent ! Quand les journalistes couvrent un événement (ils ne pas sont pas obligés d’y avoir été invités d’ailleurs), ils cherchent l’information vendable), ils disent et écrivent ce qu’ils ont vu et entendu sur place. Donc ne nous plaignons pas que nos bagarres internes soient étalées au grand jour ; ne nous attendons pas à ce que les journalistes écrivent toujours ce que nous souhaitons qu’ils écrivent ; avant tout ils disent de manière sensationnelle ce qu’ils ont vu et entendu, pour mieux le vendre, souvent à notre grand dam ! Evitons surtout de les agresser. Ils ont écrit bien d’autres choses sur ce sujet, ils n’ont pas été agressés ! Donc restons courtois et évitons de nous enfoncer !
        A bon entendeur, salut.

        • Le 25 juillet 2007 à 21:02 En réponse à : > Laisser les journalistes écrire ce qu’ils ont vu et entendu

          Je me demande si notre ami n’est pas un imposteur. Le style qu’il emploie ne peut emaner de quelqu’un qui est à la quête permanente de l’excellence. Par ailleurs je crois que comptablement c’est une mauvaise imputation que de verser le débat sur le FC dans le compte de l’éthique ou du professionnalisme du journaliste. Je crois sincèrement que ça ne fait pas serieux. Soyons nous-mêmes. J’aurais passé sous silence son intervention s’il s’exprimait comme toute personne exterieure au Trésor Public et qui préoccupée par l’évènement couvert par le journaliste en question, essayait de comprendre ce qui a pu bien se passer pour que les banquiers de l’Etat Burkinabé connus pour leur reserve et leur devouement dans l’accomplissement des missions à eux assignées. Cher ami, c’est ce même devoir de reserve qui les empêche de devoiler le contenu de quelque compte financier que ce soit. Vu de l’intérieur voilà ce que vous devez savoir : Il y a eu plusieurs cadres de concertation entre le ministre en charge de l’économie et des finances et les représentants aussi bien des administrateurs des différentes régies financières que ceux des syndicats. Globalement un consensus s’est degagé dont l’application sur le terrain suscite des remous de la part de certaines catégories d’agents. Il revient à mon humble avis au ministre en charge du dossier de prendre ses responsabilités rien que ses responsabilités conformément à la feuille de route desdits cadres.
          Par ailleurs,ce qui est reproché à l’ex-premier responsable du Trésor Public (qui s’accroche desèsperement à un fauteuil sur lequel il n’est pas né même s’il y en a qui préfèrent mourir sur le leur) par ses agents c’est d’avoir dérivé des nobles objectifs qu’il s’était fixés quand il lançait la réforme il y a dix (10) ans. L’adage dit que le pouvoir use. Pour ne pas se laisser user par le pouvoir il faut savoir partir. Même quand on ne part pas de sa propre autorité, il faut faire contre mauvaise fortune bon coeur. D’ailleurs si ce n’est pas au Faso ici, ne devient pas ministre qui le veut. A mon humble avis, il devrait s’estimer trop (et non très) honoré de la nouvelle mission qu’il vient de se voir confier.... Bref cher ami il y a beaucoup de choses qui si elles étaient dites ici pourraient corser le débat. Mais entre nous de la même famille nous saurons tôt ou tard trouver un point d’accord sur le dossier. Je demande avant de prendre congé de notre ami à tous ceux qui ne comprennent rien à ce dossier de ne pas pousser les agents du trésor jusque dans leurs derniers retranchements au risque de reveler certaines choses à l’opinion nationale et internationale qui pourraient salir davantage l’image de marque de cette institution qui fait la fierté du Burkina.

      • Le 25 juillet 2007 à 15:21, par Inspecteur En réponse à : > Syndicat des agents du Trésor : Le fonds commun divise les travailleurs

        Mes deux prédécesseurs sont des membres du bureau du SATB et ça se ressent à leur plume. C’est connu, chers trouillards, vous avez perdu la bataille du terrain au Trésor parce que vous n’arrivez pas à mobiliser. Donc, vous vous réfugiez derrière les médias pour envénimer la situation. Vous avez toujours refusé le débat en interne, vous convoquez votre bande d’amis dans la clandesnité à une soi disant AG qui en fait n’est qu’une représentation fantoche, une bande d’égarrés, de personnes qui disent à tout va qu’ils sont des "kabris morts". Nous ne vous laisserons pas brader notre FC.

        Il faut vraiment être au Burkina pour voir un syndicat qui divise au lieu de fédérer et qui, curieusement, est soutenu par les centrales syndicales. Au nom de quelle solidarité ? C’est quel syndicat où il n’y a aucun cadre ? Bizarre.

        Voila, mesdames et messieurs, une bande d’amis, mus par je ne sais quels intérêts, qui se retrouvent au nom d’un Bureau syndical né sur des bases ségrégationnistes, qui veut mettre en péril le "gombo" de la grande majorité des agents du Trésor. Nous disons non ! Les agents du Trésor sont débout - c’est peut être un peu tard- mais il n’est jamais trop tard pour redresser une injustice ! Vous n’avez aucun scrupule, au point de vouloir diaboliser, aux yeux de l’opinion, votre bienfaiteur, celui-là même qui s’est battu pour que vous soyez rassasiés au point de mettre le pied au plat. Il faut être borné intellectuellement et moralement pour refuser de voir que la fierté que la majorité des agents de la DGTCP éprouvent aujourd’hui est le fait d’une gestion participative, qui prône la cohésion et le dialogue social. Il faut être médiocre pour vraiment demander la suppression d’un système qui valorise beaucoup plus les méritants !

        Vous verrez bientôt le vrai syndicat des agents du Trésor, le syndicat rassembleur, le syndicat responsable, le syndicat qui comprend toutes les catégories d’agents, tous statuts confondus.

        De toute façon, on se sait tous au Trésor. Quand on voit le passé "tristement glorieux de certains membres de ce Bureau, on se demande comment des gens responsables peuvent les suivre comme des moutons !

        Nous, les agents du Trésor, plus mobilisés que jamais, disons non à un syndicalisme irresponsable !
        Non à l’attitude divisionniste et égoïste d’une bande de copains !
        Non à la précarisation de notre FC !!!

        Si jamais.... !!!

        • Le 25 juillet 2007 à 20:18, par Rodrigue En réponse à : > Syndicat des agents du Trésor : Le fonds commun divise les travailleurs

          Voila quelqu’un qui se cache derrière sa mère pour traiter ces grands frères de trouillards. Ce sont des individus sans dignité comme celui là qui vont brûler le Trésor.

          Tu parles de tes prédécesseurs que ce sont des membres et amis du SATB, alors que toi, à ta plume on ressent un valet local du protocole du DG. Tu parles de bande d’amis, est ce qu’il y a plus bandes d’amis que vous l’entourage du DG qui avez recruté des copines et leurs petits frères pour gracieusement les payer. Si le syndicat est une bande d’amis (nous vous le concédons), cela traduit qu’il partagent la même âme. Mais vous, vous êtes des copains et des copines (je vous laisse traduire).

          Vous avez atteint maintenant la phase la plus achevée de l’indignité. C’est qui vous traiter de « celui-là même qui s’est battu pour que vous soyez rassasiés au point de mettre le pied au plat ». Vous pensez que les agents du Trésor touchent plus que ceux des impôts, des finances ou du commerce. Si il y a des gens pour qui il s’est toujours battu, c’est pour des griots comme toi et autres petits frères de copines et anciens jardiniers qu’on veut nous imposer au Trésor. Pourquoi les autres régies n’ont pas ce problème ? Pourquoi le fonds du Trésor n’est pas géré comme dans les autres régies ? Votre ange diabolique est parti au Budget maintenant, vous allez voir comment ce pyromane va mettre le feu à cette baraque.

          C’est à voir même si vous n’êtes un de ces petits frères de copines. Vous, le faux inspecteur, qui voit au syndicats le diable en personne, en quoi vous vous sentez écarté lorsque vos collègues refusent le partage avec les communaux qui ont un autre fonds ailleurs et que votre part augmente ? Le vrai syndicat va venir ? Ah bon !? Et ce syndicat déjà voit au directeur un ange ? Repartez à l’école primaire. Ne gâtez pas le nom des inspecteurs. Un inspecteur vient de l’ENAREF, pas des jupes d’une sœur. Vous ne savez pas encore ce que veut dire syndicat. Ce n’est pas fait pour les petits frères de copines qui gagnent du boulot en rentrant par la petite porte.

          Créez votre fameux syndicat, on vous attend. « on se demande comment des gens responsables peuvent les suivre comme des moutons ! » c’est parce qu’ils sont responsables qu’ils les suivent. On verra s’ils vont vous suivre vous, des vauriens et autres homme-lige à la solde du protocole du DG.

  • Le 25 juillet 2007 à 11:07, par Kpris En réponse à : > Syndicat des agents du Trésor : Le fonds commun divise les travailleurs

    La rencontre a eu lieu le mardi c’était le 24.
    Cette histoire de FC ne fait toujours que diviser les travailleurs. Il faut vaille que vaille le Ministre des Finances prenne des dispositions claires et appropriées pour mettre fin aux querelles. Il paraîtrait même qu’il veut mettre fin à ces avantages car il y a trop de bruit autour. Cela ne ferait qu’envenimer la situation déjà chaude. Quiconque touchera aux FC sera frappé par l’épée de Damoclès. A bon entendeur...

  • Le 25 juillet 2007 à 17:48 En réponse à : > Syndicat des agents du Trésor : Le fonds commun divise les travailleurs

    QUELLE MAUVAIS REALISME DES "FRUSTRES" !
    Bonjour l’artiste ! comme c’est bien beau de voir les choses aisement de l’extérieur ! en effet, si je reponds à cet article c’est parce que je vois que les gens comprennent peu ou mal ce que veut le syndicat (SATB) ; voyez vous cher journaliste personne n’est contre personne ; c’est la legalité et la régularité des choses qui font des mecontents et des frustrés.
    D’abord, on n’est pas frustré de voir que l’on enferme un comptable public ou que l’on le licencie facilement ; on ne crée pas de syndicat pour les souténir lorsque pour certaines raisons ou d’autres on les remercie avec poursuite. Je m’adresse particulierement aux agents frustrés et à l’opinion publique ; pour rejoindre mes predecesseurs, je pense que le FC est une chose qui ne doit pas susciter des discordes en ce sens que c’est une prime d’encouragement (que les agents partout ailleurs ont). Ensuite, c’est bien de vouloir riposter aux closes du MEF avec le SATB mais pourquoi ne pas reclamer au et fort un retour simple dans nos services d’origine (mairies, etc)la CSI etant plus recouvrée par le trésor pourquoi certains agents communaux ont tenus à rester au trésor ? Quant aux contractuels sur quel fondement juridique se reclame-t-ilagents du trésor quant on sait que sans les closes du MEF avec le SATB (lutte pour leur intégration dans la fonction publique) rien n’était clair pour leur cas. Quant il ya eu les affectations arbitraires quel agents Contractuel ou des collectivités a été concerné ? Si SATB divisait les agents pourquoi avoir quand même demander la regularisation de la situation des "vacataires" ? Ce n’est pas de l’égoïsme mais c’est de la legalité et du sens de l’objectivité. A bon attendeur salut !

  • Le 25 juillet 2007 à 20:21, par un contrôleur du Trésor indigné En réponse à : > Syndicat des agents du Trésor : Le fonds commun divise les travailleurs

    Le SATB, par son inconscience et son sens de l’irresponsabilté a étalé son imaturité syndicale en réussissant la prouesse de se mettre à dos la presse après l’avoir mis dans la danse. Bravo.

    Voilà ! c’est en fait le résultat de celui qui jette une pierre par-dessus la tête et qui retombe sur lui. Quand les journalistes écrivaient, à tort et à travers, pour vous soutenir sans chercher à comprendre, vous étiez fiers de brandir leurs écrits comme des trophées de guerre. Mais quand ils ont commencé à comprendre la situation pour mieux informer, vous les avez brutalisé. Vous venez là de montrer votre vrai visage : le visage de personnes qui n’admettent pas la contradiction. Quand vous êtes contredits, vous bandez les muscles. Vous êtes, comme l’a si bien dit le pauvree journaliste, des loubards. Ni plus ni moins. Au lieu de passer votre temps à raser les murs du Trésor, à errer dans les couloirs et à écrire des tracts, vous ferez mieux de travailler et mériter le salaire qu’on vous paie. Bandes de médiocres. Continuez seulement, vous finirez par obtenir le résultat que vous recherchez depuis votre création : le retrait pur et simple du FC, et pui il n’y aura RIEN.

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