Femmes burkinabè de New York : La fête malgré l’absence de Chantal Compaoré
Les femmes burkinabè vivant à New York ont célébré le 24 mars dernier la journée internationale de la femme. A l’occasion, les Burkinabè se sont retrouvés en communauté pour rendre hommage à la femme burkinabè.
Après un premier coup d’essai l’année dernière, les femmes burkinabè de New York semblent avoir décidé d’institutionnaliser la célébration du 8-Mars, la journée internationale de la femme. Pour marquer leur solidarité avec leurs soeurs au pays, elles en font un événement essentiel de leur agenda. C’est logiquement en grand nombre qu’elles ont effectué le déplacement le week-end des 24 et 25 mars derniers au Cocao House dans le Bronx à New York pour commémorer le 8-Mars en différé.
La représentante du ministre de la Promotion de la femme, Mme Clémentine Ilboudo, les a invitées à réfléchir sur le thème de cette journée "impunité, violences faites aux femmes". Elle les a surtout encouragées à relever le défi de l’éducation, clé de succès de leur combat à son avis.
Pour soutenir les femmes burkinabè dans leur combat, les ambassadeurs Tertus Zongo auprès des Etats-Unis d’Amérique, Michel Kafando auprès des Nations unies sont venus à la cérémonie, accompagnés par leur homologue du Niger auprès de l’ONU.
L’ambassadeur Tertus Zongo a saisi l’occasion pour appeler les Burkinabè à plus de solidarité, soulignant que "même si personne n’a payé le billet de personne pour qu’il vienne aux Etats-Unis d’Amérique", les Burkinabè doivent rester toujours solidaires et ne doivent surtout pas oublier le pays. Des Burkinabè qui sont restés mobilisés lors de l’accusation de pédophilie portée contre un de leurs compatriotes, Alassane Bagayan.
Une action qui a été fortement soutenue par un avocat américain, Maître Stephene Pockart, devenu grand ami du pays des hommes intègres et qui, à l’occasion, a reçu des Burkinabè de New York des cadeaux. Les femmes avaient espéré avoir Chantal Compaoré à New York, finalement elle n’est pas venue. Invité aussi pour ses pas de takiborsé, l’artiste Hamed Smani n’ a pas pu obtenir un visa.
Correspondance spéciale de Ouézen Louis Oulon à New York
Le Pays
Vos commentaires
1. Le 29 mars 2007 à 12:56, par Le Gonze En réponse à : > Femmes burkinabè de New York : La fête malgré l’absence de Chantal Compaoré
Et dire qu’avec ca, les USA prétendent avoir donné aux Burkinabés la possibilité d’avoir des visas de 5 ans. Smani n’était probablement pas un "citoyen qualifié"...
Le 3 avril 2007 à 14:43, par ADJIBADE En réponse à : > Femmes burkinabè de New York : La fête malgré l’absence de Chantal Compaoré
Immigration choisie a l’Americaine sans doute !
Le 5 avril 2007 à 22:50 En réponse à : > Femmes burkinabè de New York : La fête malgré l’absence de Chantal Compaoré
ah nous les africains,toujours entrain de se plaindre.les usa donnent leur visa a celui qui leur presente des preuves demander,pour dire que le consul donne son visa a qui le merite.si hamed n’a pas eu le visa cette foici,peut’etre que la prochaine fois avec une tres bonne preparation il l’aura.qui etes vous pour vouloir vous plaindre.
2. Le 29 mars 2007 à 15:22 En réponse à : > Femmes burkinabè de New York : La fête malgré l’absence de Chantal Compaoré
Les promesses d’obtention de visa n’engagent que ceux qui y croient.
3. Le 4 avril 2007 à 10:26, par kikiman En réponse à : > Femmes burkinabè de New York : La fête malgré l’absence de Chantal Compaoré
Je ne comprend pas ; il s’est annoncer pour la cerenomie avant d’avoir son visa ou koi ? C tres grave comme erreur....Faut tuer l’ours avant de vendre sa peau.
Le 22 avril 2007 à 17:04, par Calao En réponse à : > Femmes burkinabè de New York : La fête malgré l’absence de Chantal Compaoré
Mr le consul,
Je suis vache déçu de la diplomatie que vous exerver au Burkina avec le refus du visa à l’Artiste Smani et cela est dû a la médiocriter des autorités du Burkina pour n’avoir pas repondu à ce refus. N’oublier pas que vous n’êtes pas le maître des USA au Burkina. Et dites-vous que Smani fier de son pays n’a pas l’intention d’aller rester au USA pour laver les WC ni les plats dans un restaurant car il est toujours heureux auprès de cette population qui l’admire, vous pouvez le lire sur son visage.
Donc reparter chez vous en tant que patriote j’ai vomi les Usa la première fois que j’ai mis les pieds là-bas.
Le 19 novembre 2009 à 18:14 En réponse à : > Femmes burkinabè de New York : La fête malgré l’absence de Chantal Compaoré
Peut etre tu n’a pas connu aucune personne aux USA et voila pouquoi a ton arrive, tu as lave les WC si non la majorite des Burkinabe residant Aux USA roulent avec des voitures que certian presidents africains ne peuvent pas avoir.