Burkina : L’UPC s’indigne de la catégorisation des citoyens en « patriotes » et en « apatrides »
A l’occasion de la fête du nouvel an 2024, l’Union pour le Progrès et le Changement (UPC) interpelle les autorités de la transition sur le respect des règles et des procédures de l’Etat de droit. Le parti dit constater une division entretenue par des discours de haine entre les fils et fils du Burkina Faso . Aussi, il s’insurge contre des violations flagrantes des libertés individuelles dont l’enlèvement et la séquestration de citoyens.
MESSAGE DE L’UPC A L’OCCASION DU NOUVEL AN 2024
Très chers compatriotes des campagnes, des villes et de la diaspora,
Amis du Burkina Faso,
A l’entame du nouvel an 2024, l’Union pour le Progrès et le Changement (UPC) formule à votre endroit, des vœux de santé, de paix, de cohésion sociale, de prospérité partagée, de succès et de progrès.
2023 aura été une année difficile pour notre pays bien-aimé, sur le plan sécuritaire, notamment. Mais nos Forces de Défense et de Sécurité (FDS) et nos Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP) sous la direction du MPSR II auront fait d’énormes sacrifices, pour contrer l’hydre terroriste. C’est le lieu pour l’UPC de les féliciter vivement, et de les encourager à poursuivre l’œuvre de reconquête du territoire national.
Notre pays a beaucoup payé en détresse humaine, l’irruption du terrorisme sur son sol. Près de deux millions de nos compatriotes sont devenus des déplacés internes, des milliers d’écoliers ont vu leur avenir compromis, les économies locales se sont désarticulées, et notre cohésion a pris un coup.
Il convient de saluer et de magnifier la résilience de nos braves populations et de les exhorter à garder espoir.
La persistance malsaine du phénomène terroriste, et ce, en dépit de la détermination louable affichée par le régime de la Transition, venue à la suite d’un gouvernement civil et d’une autre transition, doit achever de nous convaincre que seule une union sacrée des filles et fils de notre pays, au-delà de nos différences et de nos divergences, peut nous permettre de gagner cette guerre.
Malheureusement, et l’UPC le regrette profondément, notre pays se plaît à s’enfoncer dans une logique de division entretenue par des discours de haine, de stigmatisation, de catégorisation des citoyens en « patriotes » et en « apatrides », et des appels à la violence entre Burkinabè.
L’UPC demande instamment aux autorités de la Transition, détentrices du pouvoir et garants de l’unité nationale, de mettre un terme à ce climat de suspicion, de tension et de violence qui caractérise actuellement notre vie publique, et dont l’expression quotidienne est visible sur nos réseaux sociaux.
De même, notre parti s’inquiète des violations flagrantes des libertés individuelles que l’on observe, dont la forme la plus dangereuse est l’enlèvement et la séquestration de citoyens par des hommes non identifiés et pour des motifs non expliqués.
Comme il a eu l’occasion de le faire dans un passé récent, l’UPC condamne ces pratiques et invite à nouveau les autorités de la Transition, en tant que garantes de la sécurité des citoyens et de leurs libertés individuelles, à prendre les mesures appropriées pour que cessent ces pratiques qui, en plus de déshonorer l’Etat de droit, sont un supplice insoutenable pour les proches des personnes concernées.
Notre parti appelle au respect strict, dans toutes les circonstances, des règles et des procédures de l’Etat de droit, qui prévoient de manière expresse les conditions et les formes sous lesquelles un citoyen peut être interpellé, et qui posent comme postulat de base, la présomption d’innocence.
En ce début de nouvel an, l’UPC se joint à toutes nos autorités coutumières et religieuses, pour souhaiter que la providence et les efforts des forces vives de la Nation tracent pour notre pays, le chemin de la paix, de l’unité et du progrès.
Très bonne et très heureuse année 2024 !
Ouagadougou, le 02 janvier 2024
Le Bureau Exécutif Central de l’UPC
Vos commentaires
1. Le 4 janvier à 12:56, par HUG En réponse à : Burkina : L’UPC s’indigne de la catégorisation des citoyens en « patriotes » et en « apatrides »
Quittez labas.C est par votre comportement qui permet aux militaires de prendre le pouvoir méme s il.y a pas trop de difference entre vous.On.vous a.vu au mpp donc grace a vos.comportements les.putschistes peuvent facilement prendre le.pouvoir sans crainte.
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2. Le 4 janvier à 14:55, par Passakziri En réponse à : Burkina : L’UPC s’indigne de la catégorisation des citoyens en « patriotes » et en « apatrides »
"Malheureusement, et l’UPC le regrette profondément, notre pays se plaît à s’enfoncer dans une logique de division entretenue par des discours de haine, de stigmatisation, de catégorisation des citoyens en « patriotes » et en « apatrides », et des appels à la violence entre Burkinabè."
Les premiers apatrides sont ceux là qui qualifient les autres d’apatrides , parce que quelqu’un qui vagabonde à longeur de journée dans les rond points sans produire , se laisse prendre en charge par des structures sombres peut-être au détriment des caisses de l’état n’est pas plus patriote qu’un citoyen qui critique, paie ses impôts et contribue directement à l’éffort de guerre financiérement et matériellement. Donc ces termes n’engages que ceux qui les utilisent, mais effectivement c’est pas fait pour faciliter l’union des fils et filles du pays pour aller dans le même sens, union que personne n’obtiendra par voie de ménaces ou de violences.
„Notre parti appelle au respect strict, dans toutes les circonstances, des règles et des procédures de l’Etat de droit, qui prévoient de manière expresse les conditions et les formes sous lesquelles un citoyen peut être interpellé, et qui posent comme postulat de base, la présomption d’innocence.“
C’est un appel sage, mais qui risque de tomber dans des oreilles de sourds dans un pays où on semble n’avoir pas encore compris que la constitution est ce consensus minimal , le plus petit denominateur commun à tous les citoyens qui mérite d’être respectée et protegée. Quand les gardiens de la constitutions eux-mêmes deviennent complices de son viol, comprennez que c’est trop compliqué .
Passakziri
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Le 4 janvier à 15:49, par Savadogo Daouda En réponse à : Burkina : L’UPC s’indigne de la catégorisation des citoyens en « patriotes » et en « apatrides »
J’espère que les terros qui sèment la mo.rt dans notre pays depuis plus de dix ans respectent aussi la construction.?
J’espère aussi que les milliers de villages que nos jeunes frères, enfants , et petits enfants luttent pour récupérer au prix de leur vie la constitution est respectèe en ses lieux.? À quelle page est t’il écrit dans la constitution qu’un pays peut être occupé à plus de soixante pour cent par des tue&urs et on parle de constitution ? Depuis quant un pays avec deux millions de deplacés peut respecter sa constitution dans les normes ?.
Est ce que le respect de (votre ) constitution a pu garantir la securité aux Burkinabe , si non POURQOUI ?
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Le 4 janvier à 19:58, par Gallyam En réponse à : Burkina : L’UPC s’indigne de la catégorisation des citoyens en « patriotes » et en « apatrides »
Internaute @sawadogo Daouda,usez un peu de votre substance grise,la constitution fixe les règles de la société si elle n’existe pas ça devient le farwest ou celui qui peut fait(la jungle) et dans ce cas c’est pas évident que tu pointes ton nez dehors parceque des hommes(les vrais) te l’interdiront
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Le 5 janvier à 07:05, par Passakziri En réponse à : Burkina : L’UPC s’indigne de la catégorisation des citoyens en « patriotes » et en « apatrides »
@ Sawadogo Daouda,
je pense que Gallyam a dejá apporté une reponse adéquate à votre commentaire qui d’ailleur me laisse un peu perplexe. relisez le dernier paragraphe de mon commentaire et vous verez que le votre est la confirmation parfaite de ce que je soulevait comme conclusion.
C’est attristant de constater chaque jour que notre pays a vraiment de hautes montagnes devant lui à surmonter , et que malheureusement rares sont ceux qui semblent avoir compris que cette manoeuvre sera presqu’impossible sans les bons gestes.
Voulons nous être une nation ? Si votre reponse est oui, quelle serait la base qui fonde cette nation en dehors de la constitution ?
Est-il logique d’utiliser le mepris de la constitution par les terroristes ( tous les actes posés par ces sinistres sont contraires à la constitution) pour justifier votre propre mépris pour la constitution ? NON ! À moins de poursuivre les mêmes objectifs à savoir fragiliser ou détruire la nation burkinabè, le bon sens recommanderait plutôt d’agir dans le sens contraire que les terroristes c’est en dire en se fondant sur la constitution pour les combattre , puisque tout y est encadré. je ne cesse de le repeter, si nous apprenons à connaitre la constitution et à la prendre comme orientation, nous éviterons beaucoup de problèmes inutiles. Malheureusement , je dois constater que même au sommet de l’état, on ne semble pas lire ce texte fondamental, ce qui explique certains agissements incompréhensible.Ceci n#est pas propre au régime MPSR2 . RMCK aussi ne semble pas avoir pris connaissance de la constitution, (sinon il n’yaurait pas de base militaire francaise au Burkina ) ou il l’a bien lue, ce qui explique certaines contreverités qu’il nous a servies ( RMCK a publiquement nié la présence militaire francaise au Burkina, sachant peut-être que la constitution prescrit les présences militaires étrangères au Burkina ? cf Art 59 de la constitution)
En tout état de cause mon frére, je vous invite à lire la constitution du Burkina Faso que vous trouverez gratuitement sur google. Chaque burkinabé sachant lire devrait s#efforcer de le faire une fois, et on devrait la rendre accessible à ceux et celles ne sachant pas lire.
Fraternellement,
Passakziri
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Le 5 janvier à 10:22, par Savadogo Daouda En réponse à : Burkina : L’UPC s’indigne de la catégorisation des citoyens en « patriotes » et en « apatrides »
A l’internaute GALLYAM , entre le far west des cowboys et les dizaines de milliers de
terros, qui tuent , egor.gent , viol.ent , déguerpissement plus de deux millions de deplacés plus de sic milles écoles et déscolarisent plus un million d’enfants de choisirais-vous. ?
La constitution c’est tout juste quelques feuilles et accessible à TOUS.
Il est mentionné quelque part dans cette constitution en substence que le président élu JURE SUR LA CONSTRUCTION DE DÉFENDRE , PROTEGER :
* LE PAYS
* LES PERSONNES
* LES BIENS
* L’INTÉGRITÉ DU TERRITOIRE
est ce le cas ?? Si les terros envahissent le pays même la ville où vous êtes on le souhaite pas allez vous allez fouiller les textes de la constitution pour voir si vous devez chercher une arme pour vous défendre vous et vos proches ?
Un pays au bord de la disparition, dite moi entre VOTRE patrie et LES TEXTES lesquels sont importants pour vous .Mon gar si nous RECUPERONS NOTRE TERRITOIRE VOUS AUREZ LA LATITUDE DE CRÉER MÊME UN AMPHIE POUR DEBATTRE DES TEXTES TOUS LES JOURS , JE DIS BIEN MÊME EN DEBATTRE À LA PLACE DE LA RÉVOLUTION TOUS LES JOURS
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Le 5 janvier à 08:39, par Bala Wenceslas SANOU En réponse à : Burkina : L’UPC s’indigne de la catégorisation des citoyens en « patriotes » et en « apatrides »
Une suggestion à vous concitoyen Daouda SAVADOGO,
économiser votre énergie pour échanger avec des concitoyens qui ont le courage d’assumer leurs propos en s’identifiant. Quand vous répondez à quelqu’un qui écrit en masquant son identité, c’est du temps perdu ; car rien ne vous prouve qu’il ou elle ne fait pas partie des terroristes. Avançons avec ceux qui ont le courage de défendre de façon claire leurs arguments.
Cordialement
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Le 5 janvier à 10:17, par Passakziri En réponse à : Burkina : L’UPC s’indigne de la catégorisation des citoyens en « patriotes » et en « apatrides »
@ Bala Wenceslas SANOU,
S’il fallait une preuve qu’il ne suffit pas d’afficher un nom ( encore difficile à vérifier de l’effectivité) pour apporter des arguments, encore moins convaincre. Alors pourquoi ne pas continuer silencieusement son chemin ? A moins que la strategie d’afficher ses coordonnées soit une prévision pour un quelconque retour ? Bref, vous n’allez pas imposer à qui que ce soit comment s#afficher sur le forum, vu que vous n’en n’êtes ni le créateur du site , ni un modérateur, alors Avancez monsieur !
Passakziri
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3. Le 4 janvier à 15:50, par Piiga En réponse à : Burkina : L’UPC s’indigne de la catégorisation des citoyens en « patriotes » et en « apatrides »
Très propre mon président pure vérité il faut la cohésion l’entente .faut cultiver la courtoisie,le respect ,la gentillesse l’amour entre nous. L’humilité.avant quand on prononçait le nom Burkina . On était vu comme un peuple accueillant, qui aime les étrangers.travalleur, intègre , humble. Waouh
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4. Le 4 janvier à 17:02, par Oh que non ! En réponse à : Burkina : L’UPC s’indigne de la catégorisation des citoyens en « patriotes » et en « apatrides »
Pour dénoncer la catégorisation, vous commencez votre texte par une catégorisation ? "Chers compatriotes" était largement suffisant. Pourquoi des campagnes et des villes ? Vous venez juste de réveiller ma rancœur contre ceux dits des villes...
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5. Le 4 janvier à 19:27, par Citoyen ordinaire En réponse à : Burkina : L’UPC s’indigne de la catégorisation des citoyens en « patriotes » et en « apatrides »
Dois-je comprendre que les djihadistes terroristes qui tuent depuis 8 ans des Burkinabe sont des patriotes et que personne n’est apatride parmi eux ? J’aurais bien voulu que l’on me donne la meilleure définition du patriote et de l’apatride afin que je puisse comprendre la logique de cet écrit de l’UPC. Je pense qu’il est mieux que les Burkinabè fassent l’effort d’éviter des débats inutiles car de tous les temps, il y a toujours eu des apatrides et l’avènement du djihadisme terroriste nous a révélé d’autres aspects de ce phénomène car nous ne pouvons pas comprendre que des concitoyens acceptent de prendre de l’argent et des armes de personnes étrangères aux Burkina, que des animateurs de médias prennent leurs micros ou leurs plumes de.journalistes pour tuer leurs propres frères pour des intérêts étrangers à la communauté nationale !
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Le 5 janvier à 08:45, par J.E. Sonde En réponse à : Burkina : L’UPC s’indigne de la catégorisation des citoyens en « patriotes » et en « apatrides »
"... nous ne pouvons pas comprendre que des concitoyens acceptent de prendre de l’argent et des armes de personnes étrangères aux Burkina ..."
Réflexion particulièrement intéressante ? Effectivement, pourquoi de jeunes citoyens Burkinabè rejoignent les rangs djihadistes et acceptent de prendre des armes pour les tourner contre leur propre pays ?
Sans répondre à cette question, peut-on vraiment espérer une résolution de la crise actuelle ?
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6. Le 4 janvier à 22:49, par Renault HÉLIE En réponse à : Burkina : L’UPC s’indigne de la catégorisation des citoyens en « patriotes » et en « apatrides »
C’est une politique de « clivage », appelons cela plus crûment « politique de la haine ».
« les bons contre les méchants »,
« les honnêtes citoyens contre les terroristes »,
« qui n’est pas avec nous est contre nous »,
« patriotes contre apatrides »,
« vrais XXX contre infâmes valets du YYY »,
« bons et vrais croyants contre mécréants adorateurs de Satan ».
Les gouvernements dictatoriaux manquant d’imagination, et manquant surtout de légitimité démocratique, y ont souvent recours. Lisez ou relisez « 1984 » de George ORWELL, ou encore « la ferme des animaux » du même auteur. J’espère qu’on peut encore le trouver en bibliothèque au BF ; si vous saviez combien j’ai pu lire en Afrique !
Variantes :
Quand cela se double de violence, de menaces, d’enlèvements, de conscription forcées, d’émeutiers suspects cherchant à « manger » malgré leur QI de poisson séché-fumé, on passe au stade du fascisme pur et simple. Quant aux vieilles recettes fascisantes de type marxiste-guévariste, on sait depuis un siècle à quels échecs économiques elles mènent.
Si le gouvernement imposé obtient quelques résultats, il arrive à faire un peu oublier ses excès.
C’est aux citoyens eux-mêmes de voir si un gouvernement a passé le cap du facisme intolérable, ou bien s’il garde une efficacité extraordinaire qui compense ses « petits » abus.
Hélas, ces gouvernements basés sur la force et non pas l’adhésion peuvent durer des décennies, même s’ils sont inefficaces ; et cela laisse du temps à leurs profiteurs d’engranger des francs suisses dans les discrètes banques helvétiques ...
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Le 5 janvier à 14:59, par Savadogo Daouda En réponse à : Burkina : L’UPC s’indigne de la catégorisation des citoyens en « patriotes » et en « apatrides »
À internaute Renault HElIE
Mon frère ne te fatigue pas tant .
Y’a aucune inquiétude concernant le type de gouvernance que ce soit dictature ou democratie.
Ainsi nous avons tout expérienté.
Putch, régime de vingt sept ans , transition ,
revolution et ...sic démocratie.
Aujourd’hui quel que soit le régime la MISSION est UNIQUE aujourd’hui.
Ramener la SÉCURITÉ et RÉTABLIR L’INTÉGRALITÉ DU TERRITOIRE.
Ni vous , ni moi ,ni personne ne sera forcé s’il n’a pas lui même créée les conditions du fait qu’on emploie la force sur lui .
Les terros...qui endeuillent tous les jours et qui ont mis notre pays au bord de la disparition, faut t’il utiliser la FORCE ou l’adhésion. ? Les dizaines de milliers de jeunes Burkinabe qui risquent leurs vie au front dans d’effroyables combats pour sauver leurs pays , et si quelqu’un,jouissant de la sécurité obtenu par le SANG et le SACRIFICE des vies de ces jeunes au frais à Ouaga tient des propos demoralisateurs , et méprisants à l’égard de ces braves , lorsqu’on les dit d’allez montrer aux troupes au front comment on fait , c’est pas la force , il l’auront voulu et leur action est une entrave à la lutte pour la libération de notre pays .
Enfin nous avons eu un président élu ici qui a adopté votre méthode ADHÉSION, je vous laisse apprécier son bilan et les résultats.
Enfin , lors du putch contre lui qui est sorti de plaindre .? L’ensemble des Burkinabe sont restés indifférents sur son sort politique.,POURQOUI. ? On gère pas un pays , de plusieurs dizaines de citoyens comme dans un couvent ou un collège de jeunes filles
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7. Le 5 janvier à 00:09, par Baoyam En réponse à : Burkina : L’UPC s’indigne de la catégorisation des citoyens en « patriotes » et en « apatrides »
Caractériser quelqu’un d’apatride relève de la liberté d’expression, ce n’est pas interdit par la loi. Vous demandez donc au pouvoir de réprimer la liberté d’expression de certains Burkinabè pour que d’autres se sentent moins indexés. En même temps vous demandez au pouvoir de garantir la liberté d’expression (je suppose quand ça vient de ceux qui sont de votre camp). Paradoxe.
Un pouvoir politique peut-il mettre fin à la haine ? Il suffit de décréter la fin de la haine et arrêter tous ceux qui ont de la haine, je suppose. Comment peut-on trouver les citoyens qui ont de la haine ? Peut-on entrer dans le coeur de gens pour savoir s’ils ont de la haine. Et ceux qui haïssent le pouvoir ? On doit sévir contre eux aussi, sans être accusés de porter atteinte aux libertés ?
Depuis quand la loi sanctionne des sentiments ?
L’UPC semble en retard d’un combat. Il faut faire preuve d’imagination pour continuer d’être politiquement utile car cette histoire de haine et stigmatisation, c’est de l’histoire ancienne.
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8. Le 5 janvier à 05:46, par TANGA En réponse à : Burkina : L’UPC s’indigne de la catégorisation des citoyens en « patriotes » et en « apatrides »
Hey, zeph.
Un patride c’est celui qui va à contre courant consciemment pendant que le pays a l’heure grave et que beaucoup cherchent à remettre le pays sur pieds. DONC IL Y A DES APATRIDES, puisque on remarque qu’il y a ceux qui veulent renvoyer le pays vers ’’une vie constitutionnelle normale’’ alors que le pays doit aller vers une vie constitutionnelle normale.
Il y a nuance ; on ne veut pas retourner à ce qui nous détruit mais on veut aller vers ce qui nous consolide
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9. Le 5 janvier à 10:11, par Lool En réponse à : Burkina : L’UPC s’indigne de la catégorisation des citoyens en « patriotes » et en « apatrides »
L’UPC est un parti politique de notre pays. Les dirigeants de l’UPC vivent et voient au Burkina Faso. Sachez que notre pays a pris un autre envol, politiquement s’entend. Les dirigeants de ce parti feignent de ne rien savoir. Et je m’en vais de leur dire que c’est une révolution qui est en cours actuellement. En révolution, il y a ceux qui sont contre caractérisés de contrerévolutionnaires donc apatrides et il y a les révolutionnaires patriotes qui dirigent le pouvoir actuellement. A titre d’exemple ceux qui font amis amis avec la France de Macron sont contre leur patrie donc sont des apatrides, ceux qui vont prendre des directives à Paris concernant notre pays sont des apatrides.. C’est aussi simple que cela la dialectique. Tous ceux qui parlent de démocratie sont en fait des escrocs politiques. La démocratie est une voie politique pour écraser les pauvres par la corruption en achetant les voies pendant les élections. Donc transformant la majorité silencieuse en minoritaire. Même les démocraties en occident sont toujours truquées. Et puis les élections en Afrique sont toujours gagnées soit par un élément de l’ethnie majoritaire ou sont truquées. Et nous n’apprenons rien en ce sens aux dirigeants de l’UPC qui mordent toujours la poussière pendant les élections au Burkina Faso.
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10. Le 5 janvier à 10:55, par kwiliga En réponse à : Burkina : L’UPC s’indigne de la catégorisation des citoyens en « patriotes » et en « apatrides »
Il est grand temps de supprimer la langue française et d’exprimer ces notions de patriotisme, d’apatride, de panafricanisme,... en langues "nationales". Tiens, d’ailleurs, comment dit-on national en ...?
Patriote : qui aime ardemment sa patrie et le prouve par ses actes. Synonymes : chauvin, cocardier. Ou : Personne qui aime sa patrie et la sert avec dévouement.
L’opposé, le contraire étant, l’antipatriotisme : Opposition au patriotisme, à l’amour de la patrie.
Apatride : Se dit de quelqu’un qui, ayant perdu sa nationalité, n’en a pas légalement acquis une autre. Ou : Personne sans nationalité, aucun État ne la considérant comme son ressortissant. Hum, il semble qu’aucune des personnes incriminées, qu’elles soient terroriste, rebelle, opposant, critique,... ne correspondent à ces définitions.
Parce qu’il semble qu’en français, on maitrise mal le sens de ces termes :
Si l’on s’en réfère à cette définition , on doit considérer que l’amour de la patrie ne suffit pas à démontrer le patriotisme, il est nécessaire de traduire ce sentiment par des des actes et le fait de servir avec dévouement. Du fait la première catégorie de patriotes (et malgré tous les travers que je leur reproche), seraient les agents de l’état, militaires, bien sûr, mais également tous les corps de fonctionnaires... ceux qui ont été empêchés de se réunir par les "patriotes" aiguiseurs des machettes, par exemple.
Doit-on considérer dans cette catégorie tous ceux qui se revendiquent du panafricanisme ? En effet, le fédéralisme est opposé au nationalisme et au patriotisme, en ce sens qu’il restreint la souveraineté nationale et nous oblige à appliquer les règles fédérales, qui deviennent supérieures aux lois nationales.
Il faut donc que notre junte, se consacre à l’écriture du petit lexique de la "novlangue Kyelemo-Traoresque", nous indiquant ainsi les nouvelles définitions des mots. Ce lexique sera bien entendu rédigé dans la soixantaine de langues nationales que comporte notre beau pays, distribué à chacun de nos compatriote, qui aura l’obligation de l’apprendre par cœur et de le réciter sans faute, au risque de se faire traiter d’apatr... Ah ben non !
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11. Le 9 janvier à 07:14, par LOMPO En réponse à : Burkina : L’UPC s’indigne de la catégorisation des citoyens en « patriotes » et en « apatrides »
Les politiciens feraient mieux de se taire jusqu’à ce que les plaies de nos blessures qu’ils ont occasionné se cicatrisent.
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12. Le 9 janvier à 08:48, par HA En réponse à : Burkina : L’UPC s’indigne de la catégorisation des citoyens en « patriotes » et en « apatrides »
"l’UPC le regrette profondément, notre pays se plaît à s’enfoncer dans une logique de division entretenue par des discours de haine, de stigmatisation, de catégorisation des citoyens en « patriotes » et en « apatrides », et des appels à la violence entre Burkinabè."
"De même, notre parti s’inquiète des violations flagrantes des libertés individuelles que l’on observe, dont la forme la plus dangereuse est l’enlèvement et la séquestration de citoyens par des hommes non identifiés et pour des motifs non expliqués."
Du courage à l’UPC !
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