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Les ONG au Burkina Faso : s’accommoder aux référentiels de développement pour développer.

Publié le jeudi 7 décembre 2023 à 15h17min

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Résumé.

Les Organisations Non Gouvernementales (ONG) sont des acteurs importants dans la promotion du développement. Elles participent au côté de l’Etat dans la conception, la mise en œuvre et le suivi évaluation des actions de développement. Présentes depuis la veille des indépendances, elles se présentent comme une passerelle entre l’Etat et la population dans l’accompagnement pour le développement, mieux, une alternative à la faible couverture des prestations de l’Etat tant dans l’espace que dans la gamme des problèmes à traiter. Leur omniprésence aux côtés de l’Etat fait d’elles des maillons incontournables dans la chaine du développement et sont considérées comme des pourvoyeuses de fonds.

L’objectif de cette contribution est d’explorer les mécanismes de l’inscription des pratiques d’ONG dans l’action publique en guise de contribution au développement ciblant des secteurs définis comme prioritaires par les politiques publiques.

Introduction

En dépit de leur présence fort remarquable, la mise en œuvre des projets de développement connait des fortunes différentes. Si les rapports des structures intervenant donnent le plus souvent des résultats positifs, la réalité montre que les objectifs initiaux sont rarement atteints. Le « retour sur investissement » ne semble pas bien perçu par ces mêmes populations et qui justifie du même coup leur échec dans de nombreuses situations.

Ainsi, on se retrouve alors dans un éternel recommencement pour les mêmes actions/interventions et pour les mêmes bénéficiaires. Après le départ de ces « investisseurs locaux » la population se trouve confronté de nouveau aux mêmes défis. Très souvent elle semble sombrer dans la précarité. C’est bien cette réalité qui contraste d’avec la réussite des programmes et projets des acteurs du développement et qu’il convient de questionner pour rendre compte.

Qu’est ce qui explique l’insuccès des interventions de développement, surtout dans les milieux ruraux ? certains pointent du doigt la non prise en compte des réalités locales, et d’autres contre soulignent un certain rejet de la logique même des projets.
A partir de là, une question mérite d’être posée : le choix du type d’intervention des ONG est-il dicté par leurs orientations spécifiques ou par les priorités nationales en matière de développement ? La question est d’autant plus pertinente que l’action publique se planifie à partir d’un référentiel de développement.

1. Méthodologie de la recherche

L’étude est fondée sur une approche qualitative. Dans la conduite de la recherche, nous avons procédé à une analyse de politique publique combinée à une analyse de contenu de données empiriques. Ainsi, il s’est agi de conduire une enquête socio-anthropologique qui a permis de donner la parole aux acteurs afin de recueillir leur point de vue et de donner sens au discours produit. Dans cette optique, il a été réalisé des entretiens semi-directifs avec des responsables d’ONG, de structures de gouvernance de ces ONG comme la DP-ONG et les services techniques du Ministère en charge de l’administration territoriale qui délivre les agréments et de celui en charge de l’économie et des finances. La contribution des personnes ressources a également été essentielle pour éclairer la problématique. Un guide d’entretien a été élaboré pour chacun de ces acteurs. Les référentiels de développement que sont les politiques nationales, les stratégies nationales, les politiques sectorielles et les textes de lois ont été exploité.

2. Quelques résultats et discussions

La problématique de la contribution des ONG à la promotion du développement peut s’appréhendée à partir de plusieurs angles. Le positionnement des ONG par rapport aux priorités nationales. Il s’agit ici d’explorer les mécanismes existants et qui orientent le choix du type d’intervention des ONG. Les enjeux pour ses ONG se posent en termes d’appropriation des objectifs nationaux d’une part et de légitimation de l’action aux yeux des pouvoirs publics d’autre part.

2.1. Les ONG dans le contexte burkinabé et rapport au priorités nationales en matière de développement

Considérer les ONG comme des entités de promotion de développement est devenu un acquis dans le paysage burkinabè où leur ’intervention croissante dans le processus de développement et l’évolution des sociétés est un fait aujourd’hui largement reconnu. Leurs réalisations dans les zones les plus reculées et les plus vulnérables se donnent à contempler sous divers plans (NANA Ezaï, MOYENGA Paul-Marie (2023). On les retrouve en effet dans presque tous les secteurs d’activité et l’éventail de leurs activités ne cessent de s’élargir et se modifier au gré soit des investissements soit des enjeux du moment. Par rapport au pouvoir public, les ONG se positionnent comme des « soutiens » en tant qu’elles suppléent les insuffisances de l’Etat.

Au fil des années, des référentiels se succèdent au gré des concepts que les gouvernants se font du développement, des orientations et des engagements internationaux. De multiples ONG écumaient déjà les sentiers du développement au Burkina Faso depuis le temps du « Cadre stratégique de lutte contre la pauvreté (2000-2010) », de celui de la « Stratégie de croissance accélérée et de développement durable (2011-2015) » et actuellement dans le cadre du « Plan national de développement économique et social (2016-2020) ». Mais est-ce que le cadre d’intervention de ces ONG a suivi ces variations, si tant est que leur mission est d’accompagner l’action publique dans la délivrance de services publiques ?

Selon les différents acteurs rencontrés, cette question trouve une réponse négative. Les raisons de la non variation de l’orientation de certaines ONG s’expliquent par le fait que les objectifs qu’elles se sont fixées sont « globaux » : ce sont des objectifs de promotion du développement dans un domaine précis ou dans plusieurs domaines dont les évolutions du cadre référentiel du développement au niveau national n’affectent pas au point d’induire un changement de perspectives.

Cela est rendu possible par le fait que la succession des référentiels n’a pas fondamentalement modifié l’objectif global de l’action publique qui est pour un « pays sous- développé » de provoquer le développement. La vision est plus ou moins modifiée au fil des formulations mais l’horizon reste identique : promouvoir le développement des communautés en les sortant de la pauvreté.

C’est cette orientation centrale qui permet aux ONG de rester dans leurs orientations propres en dépit de l’évolution du cadre référentiel au niveau national. Et si d’aventure, le référentiel intègre d’autres dimensions/ priorités nouvelles eu égard aux enjeux dictés par une organisation supra-nationale « l’offre créant la demande », il y a alors pour les ONG une possibilité d’intégrer la nouvelle situation dans leur champ d’intervention sinon le plus souvent on assiste à la création de nouvelles ONG pour soutenir et accompagner l’initiative de l’Etat.

On peut alors retenir que l’exigence de la promotion du développement économique, social et culturel doit être remplie pour prétendre au statut d’ONG quelle que soit la nationalité de l’association. En outre, c’est la conformité des actions de promotion du développement envisagées avec l’orientation de l’action publique nationale qui décide le ministère en charge de l’économie et des finances à autoriser la mise en œuvre de ces actions à travers les différents documents délivrés.

Ces conventions ouvrent des droits pour les ONG mais aussi, et c’est peut-être le plus important dans la gouvernance de ces ONG, des devoirs. C’est un moyen pour l’Etat de s’assurer de l’orientation de l’ONG, d’encadrer ses actions mais aussi de leur renouveler sa confiance. La Direction du partenariat avec les ONG (DP-ONG) constitue le fer de lance de cette entreprise de suivi des ONG, en vue d’évaluer la conformité des actions des ONG avec les clauses de la convention et la participation effective de celles-ci au développement.

De ces constats émergent on peut se demander quels sont les mécanismes d’appropriation des objectifs de développement par les ONG. Ainsi, quelles stratégies les ONG qui ne s’inscrivent pas dans l’accompagnement de l’action publique développent en vue de la légitimation de leur action ?
2.2. Les ONG et les référentiels de développement : l’ouverture vers l’appropriation de ces outils

Plusieurs responsables d’ONG rencontrés présentent la mission de leur structure comme un accompagnement de l’Etat, un soutien à l’Etat qui, seul, ne peut pas tout faire. Ils sont convaincus que « c’est ensemble [l’Etat et ses partenaires au développement] qu’on peut gagner le pari du développement ». Ce cas de figure correspond à la situation où l’orientation de l’ONG s’inscrit dans les orientations stratégiques de l’Etat telles que déclinées dans les référentiels de développement comme le PNDES actuellement.

Cet arrimage constitue, aux yeux de certains responsables d’ONG, une condition d’existence ou de survie de la structure. Il est d’autant plus facile à démontrer que selon l’opinion de ces entrepreneurs du développement, le Burkina Faso est « un pays où tout reste à faire », tellement la pauvreté est ambiante et l’action publique insuffisante. Dans ce contexte, l’action publique recouvre tous les aspects, à tel enseigne que quelle que soit l’orientation choisie par l’ONG, elle croise un axe d’intervention décidé par l’Etat dans ses référentiels de développement, vu que le référentiel couvre tous les domaines d’intervention.

L’immensité des problèmes à prendre en charge fait que l’Etat a besoin de partenariat pour relever les multiples défis et pour répondre aux diverses sollicitations de ses communautés. Dans cette bataille tous azimuts pour le développement, l’Etat perd son souffle face à la diversité des fronts. Ainsi, tout se passe alors comme si les ONG constituent des « soupapes de sauvetage » pour l’Etat en contribuant à éviter la grogne sociale face à l’insuffisance de la prise en charge des problèmes existentiels des populations.

Ainsi, on note la focalisation des ONG dans certains secteurs d’intervention plus que d’autres, ces secteurs étant définis comme prioritaires dans le référentiel national de développement. Certains en veulent pour exemple les multiples interventions d’ONG dans le secteur de la sécurité alimentaire : la région du Centre-Nord du Burkina Faso est une illustration de la focalisation des ONG qui pullulent dans la prise en charge du phénomène de l’insécurité alimentaire et nutritionnelle avec ses effets induits en termes de malnutrition infantile et autres.

Dans ce cadre, des ONG déploient diverses actions de lutte allant des filets sociaux à d’autres mécanismes comme le « Cash for work », « Cash + nature », « aide en nature », etc. Une ONG intervenant dans le domaine justifie le bien-fondé de son intervention par le fait que « la sécurité alimentaire reste posée comme une grande question et il faut l’appui des ONG pour aider l’Etat. L’Etat a besoin d’appui ; à lui seul, il ne peut rien faire » (entretien avec le responsable de l’ONG ARCAD).
Vu sous ce jour, on peut dire que les ONG participent effectivement à soulager l’Etat dans sa mission régalienne de promotion du développement économique, social et culturel de la population.

L’information / sensibilisation, à l’image de ce que fait certaine ONG, constitue un axe d’intervention essentiel des ONG. Elle favorise la prise de conscience de la population, participe à leur éveil en vue de la revendication et de l’exercice de leurs droits citoyens. A la veille de l’insurrection populaire qu’a connu le pays (en octobre 2014) aboutissant à la fin du long règne (27 ans) du régime Compaoré, plusieurs ONG nationales ont vu le jour avec cette orientation spécifique. Certains observateurs de la scène sociale nationale voient aussi dans les revendications des communautés rurales autour du partage de la rente aurifère ces dernières années, un impact de l’action de ces ONG fondées sur l’information et la sensibilisation des populations sur leurs droits sur les ressources naturelles de leurs terroirs.

Ces ONG participent ainsi à la promotion de la bonne gouvernance tant au niveau national que local, un instrument de consolidation de la démocratie. Elles participent à cet effet en servant de sorte de « garde-fou » pour les pouvoirs publics à travers la surveillance, le suivi et l’évaluation de l’action publique ainsi que la dénonciation et l’interpellation. La plateforme « Présimètre » mise en place par une coalition d’ONG (ONG Diakonia avec plusieurs organisations de la société civile burkinabè) en vue d’un « suivi citoyen des politiques publiques conduites par le régime Kabore » en est une illustration.

Cette initiative a d’ailleurs été reconnue et ovationnée à l’assemblée générale des Nations unies le jeudi 27 septembre 2018 lors d’une session spéciale, pour distinguer et promouvoir les initiatives exemplaires ayant un effet positif sur les droits humains, la participation citoyenne et la redevabilité. Le présimétre informe, alerte les décideurs sur leurs actions. En témoigne se sondage d’opinion réalisé en 2020 sur les actions du président du Faso. https://www.presimetre.bf/actualite/sondage-dopinion-juin-2020

Une autre analyse peut être faite de l’arrimage des interventions propres à chaque ONG par rapport à l’orientation de l’action publique. Selon la Direction générale de la coopération (DGCOOP), il faut appréhender la contribution des ONG à l’action publique de façon large, notamment au travers des effets et des impacts de leurs actions.

Ainsi, on peut dire que l’ensemble des ONG au Burkina Faso participent actuellement à la mise en œuvre du Plan national de développement économique et social (PNDES). Cela, dans la mesure où ces ONG investissent pour la plupart du temps dans des domaines porteurs à même de booster le développement du pays. Ainsi, en jouant sur ces secteurs, les chances de se voir comme un acteur incontournable dans l’arène du développement sont élevées.

On retrouve les ONG dans les secteurs jugés prioritaires par l’Etat comme, par exemple, le secteur de la production agro-sylvo-pastorale, de l’environnement, de l’eau et assainissement, de l’éducation et la formation, …

Rappelons que le Plan national de développement économique et social (PNDES) constitue le référentiel national des interventions de l’État et de ses partenaires sur la période 2016-2020, et appelle l’avènement d’un développement économique et social du Burkina Faso qui va permettre durablement et cumulativement la croissance du revenu moyen, la satisfaction des besoins fondamentaux, la réduction de la pauvreté, l’amélioration des capacités humaines, la viabilité environnementale et l’équité sociale. Il apparait que le bien-être de la population reste le premier leitmotiv de ces ONG qui investissent en moyenne 70% de leurs ressources dans les secteurs sociaux (DGCOOP, 2017).

Bien que présentes dans la quasi-totalité des secteurs sociaux, les ONG, ces dernières années, semblent affectionner un secteur particulier : il s’agit principalement de l’accès à l’eau et a l’assainissement.

Station de pompage d’eau

Le Burkina Faso est en effet un pays où l’accès à l’eau et l’assainissement du cadre de vie constituent un défi majeur au regard de la situation actuelle des communautés. En alignement avec les engagements et les directives internationaux, le pays s’est engagé à en faire son cheval de bataille, dans la perspective d’une amélioration des conditions de vie de ses citoyens, surtout qu’il s’agit, du même coup, d’une bataille contre les maladies et la morbidité. L’accès à l’eau potable et l’assainissement, qui s’intègre dans le sixième Objectif de développement durable (ODD), l’est décliné dans le PNDES (dans l’axe 2) avec pour objectif stratégique d’améliorer le cadre de vie, l’accès à l’eau, à l’assainissement et aux services énergétiques de qualité.

A cet effet, le PNDES, tout en montrant l’orientation prise par l’action publique, sollicite clairement la contribution des ONG à l’atteinte des objectifs qu’il s’est fixés dans l’horizon temporel indiqué. Il précise alors que :

La préoccupation centrale est de combler de manière urgente les besoins en eau et assainissement des populations et de renforcer les capacités d’intervention des services de l’Etat, ceci avec l’appui des collectivités, des Partenaires Techniques et Financiers (PTF), des Organisations non gouvernementales (ONG) et du privé. Les efforts conjugués des acteurs visent à porter le taux d’accès à l’eau potable à 79% et celui de l’assainissement à 34% en 2020 (DGCOOP, 2017, p. 32).

De l’avis de certains acteurs et personnes ressources, l’alignement des ONG sur ces priorités relève d’un choix stratégique. En effet, avant le souci d’une participation effective au développement de la nation, constitue en réalité une stratégie de captation de ressources. Etant donné que les ONG tirent leurs ressources des contributions des partenaires financiers (institutions, fondations et autres), il s’avère impérieux de s’orienter vers les objectifs définis par ces organismes de financement en vue de bénéficier de leurs ressources financières.

C’est également cette stratégie qui est au cœur de ce qu’il convient d’appeler "le nomadisme" des ONG, c’est-à-dire le changement d’orientations à travers les plans d’actions ou les missions.
En effet, les acteurs du domaine des ONG constatent un mouvement incessant de celles-ci à travers les secteurs d’intervention au fil des années, la même ONG pouvant commencer dans le secteur de l’éducation pour terminer dans celui de l’assainissement après un passage dans le secteur de l’environnement.

Les observateurs lient ces mouvements aux préoccupations internationales du moment, certaines ONG surfant sur « les nouveautés » dans la perspective de se positionner comme une opportunité d’opérationnalisation des nouvelles directives internationales. Elles se présentent ainsi comme des « courtiers du développement » (Olivier de Sardan, 2008) qui recherchent la maximation de leurs chances de décrocher un financement en se positionnant sur des secteurs relativement nouveaux qui constituent les centres d’intérêt des objectifs internationaux du développement.

NANA Ezaï, Sociologue, Attaché de recherche à l’INSS/CNRST, nana_fils@yahoo.fr
MOYENGA Paul Marie, Sociologue, Enseignant-Chercheur à l’Université Joseph Ki-Zerbo, moyenga_pm@yahoo.fr

Conclusion

Les conditions d’obtention du statut d’ONG peuvent nourrir l’illusion selon laquelle l’action de l’ONG s’inscrit toujours dans l’agenda de l’action publique étatique, puisque la convergence peut être vue comme le moyen qui permet à l’ONG de légitimer sa présence, ses missions et ses interventions aux yeux des services techniques de l’Etat en vue de l’obtention du droit d’établissement ou de la convention. Mais ne peut-on pas rencontrer des situations où les actions envisager par l’ONG ne s’inscrivent pas dans les priorités de l’Etat ?

Cette perspective est d’autant plus pertinente qu’il existe, selon la qualification de certains acteurs du domaine enquêtés, des « ONG qui dérangent » le pouvoir public à travers certaines de leurs missions ou de leurs actions.

Bibliographie

Burkina Faso, 2000, Cadre stratégique de lutte contre la pauvreté (CSLP), Ouagadougou

Burkina Faso, 2011, Stratégie de croissance accélérée et de développement durable (SCADD) 2011-2015, Ouagadougou
Burkina Faso, 2016, Plan national de développement économique et social (PNDES) 2016-2020, Ouagadougou

DGCOOP, 2017, contribution des ong et associations de developpement a la mise en oeuvre des politiques publiques au Burkina Faso rapport général 2016, Ouagadougou.
Deler Jean-Paul, Faurè Yves, Piveteau Alain. et. Roca Pierre-Jean, 1998, ONG et développement : sociéte, économie et politique, Paris, Karthala
Loi n° 064-2015/CNT du 20 octobre 2015 portant liberte d’association
Loi n°10/92/ADP du 15 décembre 1992 portant liberté d’association
Olivier de Sardan Jean Pierre et Bierschenk Thomas, 2008, « Les courtiers locaux du développement », Le bulletin de l’APAD, n° 5, Numéro 5, [En ligne], mis en ligne le : 4 juin. URL : http://apad.revues.org/document3233.html.

NANA Ezaï et MOYENGA Paul-Marie, ONG et Etat : « le sens d’un partenariat pour le développement » in l’avenir des ONG en Afrique de l’Ouest, Hans Peter Hahn (dir), Alain Joseph Sissao, Amado Kaboré et Kathrin Knodel, Paris l’Harmattan, pp.109-126

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