Recherche clinique sur l’Apivirine au Burkina : L’Ordre des médecins pose plainte contre toutes les personnes impliquées

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Vos réactions (4)

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• par Burkimbila, 29 décembre 2020 16:16

  Ce qu’on vous demande, c’est d’être des trouveurs de solutions aux malades. Pas d’être des poseurs de problèmes aux chercheurs. Une loi de 1994 gagnerai à être relue pour s’adapter aux différents changements intervenus sur le plan médical depuis. Laissez tomber ces querelles en ces temps ci où la maladie gagne du terrain : cela découragera et réduira le nombre de contributeurs potentiels à la recherche de solution et n’arrange personne, les plaignants compris.

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• par Testeur, 29 décembre 2020 21:56

  On sent que les tractations pour la formation du gouvernement sont en cours. Tous les coups sont permis.

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• par Testeur, 30 décembre 2020 04:53

  Ces deux Pr peuvent avoir pêché dans la forme, mais de là traiter le directeur de l’IRSS himself d’aventurier dans la recherche, c’est insulté la recherche au Burkinabè. Montrez nous vos trouvailles, nous sauront qui de lui à vous est aventurier. Les chercheurs Burkinabè doivent croiser les bras, attendre les grandes firmes, vous vous prenez vos pourcentage sur les produits ! Les revenus des % sur les produits locaux sont négligeables puisque leurs prix seront négligeables comparés à ceux proposés par ces firmes. Expliciter nous davantage la procédure à suivre pour les tests expérimentaux, nous sommes tous des aventuriers chercheurs. Charlemagne allons doucement. Dans tous les cas c’est le Burkina qui gagne pour peu que vous contrôlez aussi les essais cliniques administrés clandestinement par ces firmes internationales sur nos populations.

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• par The KING, 4 janvier 2021 11:16

  COVID-19 : un problème de santé publique qui préoccupe le monde entier. Partout dans le monde, l’on uni les forces pour rechercher les solutions les plus appropriées pour faire face à la situation. Plus d’une centaine de vaccins auraient déjà été développés par d’autres. Des orientations et des soutiens stratégiques, voire opérationnels pour trouver des solutions africaines à ce mal auraient été une option salutaire en lieu et place de...................

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