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Covid-19 au Burkina : L’étude CHLORAZ indique des signes d’espoir pour les patients

Publié le mardi 22 décembre 2020 à 12h04min

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Covid-19 au Burkina :  L’étude CHLORAZ indique des signes d’espoir pour les patients



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Vos commentaires

  • Le 22 décembre 2020 à 13:46, par boinga En réponse à : Covid-19 au Burkina : L’étude CHLORAZ indique des signes d’espoir chez les patients

    Sur la boite de chloraz on lit chlorpromazine et non hydroxychloroquine.

  • Le 22 décembre 2020 à 13:56, par Le Roi En réponse à : Covid-19 au Burkina : L’étude CHLORAZ indique des signes d’espoir chez les patients

    Félicitations à nos chercheurs.
    Rien que la réduction de la quarantaine de 14j à 7j fait gagner à l’économie nationale des milliards de FCFA.

  • Le 22 décembre 2020 à 14:31, par caca En réponse à : Covid-19 au Burkina : L’étude CHLORAZ indique des signes d’espoir chez les patients

    Voilà le résultat d’une étude autant entendue pour sauver la peaux du professeur Raoult Didier en France. Que diront les sceptiques français ? Le débat sur la qualité du résultat burkinabé ferait certaine tâche huile dans un milieu sectaire de la médecine.

    • Le 22 décembre 2020 à 14:55, par MLK En réponse à : Covid-19 au Burkina : L’étude CHLORAZ indique des signes d’espoir chez les patients

      Caca, ne vous faites pas d’illusions car cette étude n’a aucun poids. C’est sûrement une publication commandée par le ministère pour divertir sir les bruits qui courent sur l’Apivirine.

      MLK.

      • Le 22 décembre 2020 à 19:31, par caca En réponse à : Covid-19 au Burkina : L’étude CHLORAZ indique des signes d’espoir chez les patients

        Mon ami, que cette étude du Burkina ait du poids ou pas. Le professeur Raoult se réjouit quand même qu’une étude emboite son pas. L’étude du Burkina ne dit pas qu’elle est scientifique, mais confirme une tendance qui fait de la chloroquine un traitement contre la covid 19. C’est sûr après le Burkina d’autres pays auront le courage de publier leur recherche. Le poids scientifique commence toujours avec un seul. Les contemporains de Noé avaient aussi contester sa technologie pour se sauver les eaux du déluge, jusqu’au jour où les nuages commençaient à se former et la pluie tombait. A ce jour, on sait l’utilité des bateaux à travers le monde. Les chercheurs burkinabé viennent des mois après pour confirmer ce que le professeur a dit.

  • Le 22 décembre 2020 à 14:48, par MLK En réponse à : Covid-19 au Burkina : L’étude CHLORAZ indique des signes d’espoir chez les patients

    Cette communication vise quoi ?
    Curieusement j’endendais ce matin sur une Radio un responsable de la ligue des consommateur interpeller le ministère en Charge de la santé sur le fait que l’apivirine serait administré à des Patient de COVID à l’hopital alors que l’essai clinique n’a pas été homologué.
    Bref , je vois à travers cette sortie une tentative de détourner les gens de l’éssentiel , car ceux qui savent lire entre les lignes des études comprendront que cette étude dans sa forme n’a aucun poids scientifique et que les débats sur les traitements à l’hydoxychloroquine et Azythromycine sont clos depuis, hormis les tapages médiatiques d’un certain Prof Raoult qui emballe Avec lui certains scientifiques du continent. Mais les sciences sont les sciences et les critères qui définissent l’éfficacité ou non d’un traitement sont les mêmes pour tous les chercheurs.
    Donc si vous voulez vous faire respecter dans le monde, prenez nous au sérieux. Vous pensez que les gens de moins de 42 ans ont souvent besoin de traitement pour une infection à COVID ? Vous même avez souligné l une des faiblesse et même une capitale de cette étude qui est son design inadapté à savoir l absence d’un groupe de contrôle.
    Donc chers scientifiques du Burkina , faites votre travail avec objectivité dans le respect de l’éthique sans vous laisser mettre Sous Pression afin de produire prématurement des résultats à présenter au public.

    MLK

  • Le 22 décembre 2020 à 15:55, par Sidpawalemde Sebgo En réponse à : Covid-19 au Burkina : L’étude CHLORAZ indique des signes d’espoir pour les patients

    Fantastique !!! Bravo !!!

    Et tant pis pour ceux qui préfèrent entretenir le mythe de la chloroquine "dangereuse" afin de mieux vendre leurs vaccins coûteux. C’est vrai que entre un générique à 100 F la plaquette et un vaccin à double dose à 40.000 F, ces messieurs de la haute politique et de la haute finance occidentale préfèrent là où "ça donne".

    En plus, il faut des "super-congélateurs" pour maintenir ces vaccins à moins 70 degrés de froid. Autant dire que chez nous, le coût de la logistique risque même de dépasser celui du vaccin. Donc, vive la chloroquine !

    Non, cette étude ne peut pas "aider" le professeur Raoult. Comme lui, notre étude a choisi de ne pas faire de test en double aveugle, c’est à dire ne pas traiter volontairement des gens (le fameux "groupe témoin") pour pouvoir comparer avec ceux qu’on traite. Pour les "grands chercheurs", cela enlève toute "rigueur" à une étude.

    C’est une question d’étique et de morale contre une affaire de "vérité scientifique". Un médecin qui a prêté le serment d’Hippocrate ou simplement un homme conscient peut-il accepter de voir des morts dans le groupe témoin, sachant qu’on aurait peut être pu l’éviter, cela au nom d’une "méthode de recherche" pour avoir l’aval d’une certaine "communauté scientifique" à l’évidence peu douée d’humanité ?

    Un bémol toutefois sur l’analyse du "profil (profile ???) du groupe d’étude", l’éternelle "corrélation mais pas de cause à effet" en statistique.

    La population de Burkina est jeune, très jeune. La moitié de la population a moins de 17 ans, et 77% ont moins de 35 ans. Si on mets la barre à 42 ans, on doit être à plus de 90%.

    Donc, si les malades du Covid-19 ont généralement moins de 42 ans, c’est parce que les Burkinabè même ont généralement moins de 42 ans, et pas parce que c’est la "tranche la plus frappée par la maladie".

    Encore félicitations à nos chercheurs, nos médecins et nos autorités pour cette initiative, et surtout de ne pas s’être laissé distraire par les dictats d’une certaine presse en l’Europe sur l’hydroxychloroquine, "pas efficace" voire "dangereuse" au point d’arrêter cette étude.

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