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Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

Publié le vendredi 13 avril 2018 à 21h57min

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Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

Dans la tribune ci-après, Bougassè Charles ZOUBIRE et Valentin ZONGO s’intéressent à la gestion des emplois d’infirmiers et de sages-femmes dans la fonction publique burkinabè.

S’il y a une thématique qui alimente l’actualité administrative au ministère de la santé, c’est bel et bien celle relative à la gestion des emplois d’infirmiers et de sages-femmes dans la fonction publique burkinabè, aussi bien pour la gestion de leurs carrières que pour l’utilisation et la valorisation des compétences. Le dernier achoppement fut relatif au reclassement des Attachés de santé en A1 conformément aux accords entre le gouvernement et le Syndicat des travailleurs de la santé humaine et animale de Mars 2017 et celui des conseillers de santé en PC en toute logique légale et de bon sens. Mais certains acteurs de l’administration publique et d’organisations professionnelles veulent ramer à contrecourant de ce bon sens avec des arguments un peu adolescents. Quelques exemples pourront suffire pour éclairer la lanterne.

Le Samedi 24 février 2018, dans une interview accordée par la Radio Omega, le SG du syndicat des médecins du Burkina (SYMEB) a tenu des propos tendant à justifier leur opposition à l’évolution normale de ceux qu’ils appellent « paramédicaux » dans leur carrière. Cette opposition concerne en particulier l’emploi des Conseillers de santé que le SYMEB et son représentant ne désirent pas voir reclassés en PC. Ces propos s’inscrivent dans une démarche purement égocentrique et visent à confisquer à jamais le système de santé au profit d’une seule catégorie professionnelle : le médecin. Aussi, devrions-nous participer à l’éclairage de l’opinion publique sur ce débat qui, au delà de l’opposition entre infirmiers et SYMEB et particulièrement son SG, entravera, si rien n’est fait, le bon fonctionnement du système de santé et par-dessus tout, l’accès des populations aux soins de santé de qualité.

A l’entame des échanges, le SG du SYMEB semble reconnaitre que les Attachés de santé ont pendant longtemps été victimes d’une injustice du fait de leur reclassement en A2 et affirme l’approbation de son mouvement pour leur reclassement en A1. Il établit un parallèle avec les Administrateurs des hôpitaux reclassés en A1, après trois années de formation à l’ENSP et détenteur du BAC au moment de leur entrée dans la fonction publique comme gestionnaires des hôpitaux. Ce qu’il n’a pas dit, c’est que les Administrateurs des hôpitaux sont tous actuellement formés à l’ENAM, pour une durée de deux années académiques, afin de réparer également l’injustice de départ. Il omet aussi, volontairement ou par inculture, que l’accès à l’emploi des Administrateurs des hôpitaux n’est pas conditionné forcement par le BAC. Les Adjoints des cadres hospitaliers, recrutés niveau BEPC + deux années de formations, y ont accès bien sûr en passant d’abord par la formation professionnelle des Gestionnaires des hôpitaux, puis sont reclassés en A1. Qu’est-ce qui se cache derrière ces omissions ou déclarations partielles de demi-vérités ?

Ensuite, le SG du SYMEB, affiche une volonté ferme sur la question de reclassement des Conseillers de santé que lui et son mouvement ne désirent pas voir en PC. Il prétend que l’Attaché de santé et le Conseiller de santé ont tous un niveau Master pour justifier le maintien du Conseiller de santé en A1. Ce qu’il ne dit pas encore ici, c’est que pour être Conseiller de santé, il faut avoir été Attaché de santé, donc détenteur d’un premier Master. L’emploi de Conseiller de santé est alors sanctionné par un deuxième Master après un stage de formation de deux ans. On ne peut donc pas parler d’avenant dans ce cas, comme le prétend le SG du SYMEB, pour l’accès du Conseiller de santé en PC. Autrement, pourquoi et comment les emplois des Attachés et Conseillers de santé seraient-ils dans une même catégorie, alors que le changement de catégorie ou d’échelle intervient suite à un concours pour un stage de formation qui fait changer d’emploi ? D’attaché de santé à conseiller de santé, il s’agit bien d’un stage de formation qui donne droit au changement de catégorie ou d’échelle, et non d’un stage de spécialisation dans le même emploi qui ne donne droit qu’à une bonification d’échelon. La question du master semble une mesquinerie car il y a des emplois de niveau doctoral normal classés en PC qui changent de catégorie après avoir fait un master avec les mêmes élèves conseillers de santé. C’est le cas de certains médecins spécialistes en santé publique, qui quittent PC (position des médecins généralistes) à PB après un master. Pourquoi la même règle ne s’appliquerait pas aux conseillers de santé ?

D’ailleurs, même avec l’ancienne position injuste des Attachés de santé en A2, le Conseiller de santé devrait être normalement reclassé en PC après son stage de formation de deux ans. Où est donc l’avenant ? C’est l’évolution normale dans sa carrière qui le conduit en PC. Et même dans cette position, il faut manquer de volonté d’analyse dans la gestion des ressources humaines pour prétendre classer l’Attaché de santé et le Conseiller de santé dans une même catégorie. Mieux, si l’on considère la nouvelle formule avec le reclassement des Attachés de santé en A1, celui des Conseiller en PC est plus que chose normale. Et c’est cette évolution normale que le SG du SYMEB et sa base (comme il l’appelle ordinairement) combattent de tous leurs efforts pour la mise en extinction de l’emploi des Conseillers de santé.

En effet, avec le système Licence -Master –Doctorat (LMD), l’emploi de Conseiller de santé, est désormais un emploi-hospitalo-universitaire dans le cadre de rattachement de la filière de formation des IDE et SFME à l’université. Et puisque les emplois hospitalo-universitaires sont maintenus dans le décret portant organisation des emplois spécifiques du ministère de la santé (voir statuts particuliers prescrits par la loi 081/CNT de 2015 portant Fonction publique d’Etat), celui des conseillers de santé doit être classé en catégorie PC correspondant aux emplois dont le diplôme d’accès est le doctorat ou le Baccalauréat plus 7 ans de formation professionnelle cumulée selon l’article 14 de ladite loi. C’est un principe général qui a été annoncé dans lequel s’insère le cas des conseillers de santé. Il n’est pas nécessaire de se demander quels sont les emplois qui sont en PC pour en apprécier une certaine compatibilité sauf si c’est par condescendance.

Ainsi, la notion d’équité dans le traitement des agents dont a parlé le SG du SYMEB au cours de l’entretien devrait-elle être redéfinie. Si l’équité consiste à bloquer à jamais ceux qui ont toujours été marginalisés sur tous les plans, il va falloir la définir sous deux angles : l’équité selon le fort et l’influent, et l’équité selon l’opprimé. La vraie équité consiste à traiter d’abord chaque famille professionnelle selon son mérite, ensuite à démystifier les emplois, les mettre côte à côte, considérer l’équité dans les postes de responsabilité pour plus d’efficacité dans les actions. Car si l’infirmier ne mérite pas la grandeur, il faut craindre que son rapetissement fasse du mal au système de santé et à la population burkinabè qui attend du système de santé des soins de bonne qualité.

En définitive, l’emploi de Conseiller de santé est fondamental pour le système de santé aussi bien pour les prestations de soins que pour la formation des infirmiers et sages-femmes/Maïeuticiens. Les curricula de formation de l’Organisation Ouest Africaine de la Santé structurent la formation dans les emplois infirmiers et sages-femmes en LMD. Les mêmes curricula donnent pour directive que, pour être enseignant dans les filières de niveau Licence en sciences infirmières et obstétricales, il faut avoir le niveau minimum du Master. Il va donc sans dire que pour assurer la formation en Master dans les emplois infirmiers, il faut avoir des enseignants de niveau doctoral minimum. C’est ce niveau doctoral qui devrait correspondre à l’emploi de conseiller de santé en tant que emploi hospitalo-universitaire. Autrement, l’emploi de Conseiller est d’un niveau suffisamment élevé pour continuer à assurer de façon efficace la formation des Attachés de santé comme dans le système classique.

Du reste, la réflexion sur la carrière dans l’emploi d’infirmier n’est pas à proprement parler une préoccupation de médecin, parce que l’un n’est pas dérivé de l’autre. Les principes de la Fonction publique, en matière de gestion des carrières des fonctionnaires d’Etat, dépassent de très loin les questions de médecin ou d’infirmier, et ne sont aucunement centrés sur un emploi autour duquel devraient graviter les autres et qui seraient la boussole pour définir le juste et l’injuste.

Les innombrables explications du SG du SYMEB deviennent en définitive suspectes de fantaisie et pourraient procéder d’un « moi trop grandiose » dont tout esprit encore bien portant doit s’en méfier. Peut-être que les propos d’un tel activiste n’engagent que lui seul, mais nous tenons à attirer l’attention du grand public, et surtout des premières autorités des Ministères en charge de la Fonction publique et de la santé, que ce type de courant de pensée au sein du Ministère de la santé menace gravement la stabilité et la cohésion entre professionnels issus de familles professionnelles différentes, et qui sont pourtant appelés à former une équipe de travail au bénéfice des communautés. L’attitude du SG du SYMEB élucide à souhait l’idéologie libérale de l’organisation, et consiste à dire à ses membres qu’il n’est pas possible d’augmenter sa satisfaction sans réduire celle de l’autre. Ou alors, plutôt en avoir moins, pourvu que l’autre n’ait pas autant que moi. Sa stratégie consiste à marginaliser, dévaloriser les collaborateurs en leur servant la misère contre leur trop grande production. Les infirmiers ont-ils commis l’erreur de lutter pour la reconnaissance et la réparation d’injustices subies par les médecins bien avant la naissance du SYMEB ? Ont-ils fait l’erreur de ne pas discuter des avantages en termes de traitement pour un travail d’équipe ? Par exemple, l’indemnité de garde du médecin a toujours été plus élevée que celle de l’infirmier, même dans les structures où le médecin est quasi-absent au service, encore moins assure une garde. Les organisations valent toujours mieux que les individus et il serait mineur de juger ou apprécier le SYMEB à l’aune des gesticulations de certains individus qui l’animent, SG soient-ils.

Nous osons croire que les autorités sanitaires et ceux en charge de la Fonction publique prendront les mesures idoines pour arrêter à temps les agressions multiples du SYMEB à l’endroit des emplois d’infirmiers et de sages-femmes/Maïeuticiens.
Aussi, dans la recherche de la performance réelle du système de santé, n’est-il pas temps de dépasser les considérations corporatistes en valorisant les compétences des cadres infirmiers qui, jusque là, sont exclus de la gestion du système de santé en termes de responsabilités, alors qu’ils disposent d’atouts fondés sur des formations qualifiantes, parfois à l’extérieur, donc, qui coutent aussi cher à l’Etat ?

Ont signé :
Bougassè Charles ZOUBIRE, 70675135
Valentin ZONGO, 73190479

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Vos commentaires

  • Le 13 avril 2018 à 20:10, par Leicora En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Merci chers camarades pour cette initiative qui a le mérite de lever le lièvre. Ensemble nous l’abattrons . Je crois cependant que vous accordez trop d’importance au SYMED et à son SG, ce qui peut nous faire perdre de vue l’orientation réelle de la lutte. Nous n’avons que faire du point de vue d’un syndicat fantoche et de son SG mégalomane. Nous n’implorons personne pour qu’il nous prenne en pitié, pas mème le gouvernement. Nous exigeons simplement qu’on nous applique les TOES de la fonction publique et du Ministère de la santé. Les attachés de santé sont en A1 conformément aux accords SYNTSHA/Gouvernement de 2017 , le conseiller de santé est un attaché de santé qui a réussi à un concours professionnel et a subi une formation de 24 mois, il ne peut plus être dans la mème catégorie, il est en PC d’office. Que le gouvernement prenne très rapidement les mesures idoines avant qu’un autre foyer de tension sociale ne s’embrase. A bon entendeur salut.

  • Le 13 avril 2018 à 20:14, par Raago En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Juste vous rappelez que la formation des attachés dure 18 mois et celui des conseillers 18 mois et non 2 ans. Pour que le conseiller passe en PC, il faut un doctorat en soins infirmiers et obstétricaux donc il faut faire 3 ans de formation après le master2. L’ENSP à intérêt à aller vite dans le système LMD au lieu de chercher des raccourcis pour aller en PC. ce que vous dites n’est pas vrais , les médecins de santé publique sont et PA parce qu’ils ont le doctorat plus un master2, c’est pas le master seulement qui le classe en PA. depassionons les débats et que L’ENSP se conforme au LMD et tout va se résoudre. juste ma contribution au débats.

    • Le 13 avril 2018 à 22:22, par Le Boss En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

      Mon ami, les infirmiers sage-femmes ont le mérite de réussir toujours à un concours à tous les niveaux de leur parcourt. Au wBurkina Faso, il n’y a que les médecins qui sont intégrés sans concours. Conséquences, tous les médiocres sont engagés.
      Monsieur je vous dit que la formation des Attachés n’a jamais duré 18 mois. Tous les Attachés ont fait au moins 24 mois et les autorités ont toujours obligé l’ENSP a antidater pour garder 28 mous. Depuis 2015, la transition a tranché en ramenant toutes les formations de 18 mois à 24 mois. Beaucoup de fonctionnaires qui vous côtoient savent que le médecin Burkinabé est très peu cultivé. Dans le système LMD, votre doctorat d’État tel sue le médecin Burkinabé le brandit fièrement n’est qu’une licence professionnelle au même titre que la licence en sois infirmiers ou obstétricaux ou même en sociologie et psychologie. La preuve mon cher médecin, allez y à l’USTA vous verrez des médecins assis dans la même classe avec des titulaires d’une licence en sociologie de la santé ou en psychologie de la santé ou même en économie sociale pour fait le même Master 2 en santé publique. Le savez vous ? On sait que beaucoup de médecins Burkinabé ont fait 9 mois à widah au Bénin ou à Dakar du ce n’est à Bruxelles ou à Paris d’où ils sont revenus avec des pseudo master qu’ils appellent master 1et qu’on nous contrait à accepter comme une formation professionnelle. La fonction publique a accordé trop de largesses à ces médecins qui en réalité doivent pour la plupart faire la preuve de leur importance dans ce système de santé qui repose presqu’entièrement sur tout autre corps de ce ministère que celui du médecin. Vous abusée du faux mythe qui a caractérisé ce corps à un moment donné de notre système de soins. Depuis sue j’ai été sauvé par un infirmier alors sue j’avais le tour d’hôpitaux et cliniques, j’ai une idée arrêtée de ces gens au gros dos inutile. Un frère souffrait de la tuberculose et a séjourné 2 semaines dans une clinique de la place où des médecins se sont succède pour raconter bien de choses fausses avec des examens à n’en pas finir. Quand l’infirmier est venu nous rendre visite, il m’a soufflé qu’il s’agit de la tuberculose et qu’il fallait quitter et aller au public pour bénéficier de la gratuité de la prise en charge. Effectivement, arrivé au CMA à quelques encablures, le 1er prélèvement à confirmé le diagnostic de l’infirmier. De puis lors, je présente mes ordonnances de médecins à des infirmiers pour avis et je ne suis pas seul. Laissez les nous soigner et occupez vous de vos séminaires RT autres paperasses administratives des fonctions que vous occupez souvent abusivement. On est nombreux à nous méfier de beaucoup d’entre vous même si certains semblent être très compétents. Mais combien sont ils ? Et où sont ils ? En cliniques ou au public ?

    • Le 13 avril 2018 à 23:26, par Le conseiller En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

      Quand on n’a pas la vraie info,on se renseigne au lieu de dire des contrevérités. L’USTA est à Saaba à ouaga,tu peux donc facilement prendre contact pour savoir combien de temps dure la formation des conseillers de santé. Merci

    • Le 13 avril 2018 à 23:40, par Leicora En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

      Quand on ignore de quoi parle les gens , on se tait, merci de rester hors de ce débat.

    • Le 14 avril 2018 à 02:00, par Sam En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

      Si tu maitrisais le sujet, tu aurais pu te rendre compte que la formation des attaches de santé dure même plus de 24 mois. Pour les conseillers de santé, il suffit de se renseigner auprès de l’université qui les forme (USTA). Supposons meme que ce soit juste qu’il ne faut pas reclasser les conseillers de santé en PC, est ce que c’est au SYMEB de défendre cela ? Les médecins n’ont donc plus de preoccupations ? Vous avez les conditions optimales de travail dans vos hôpitaux ? Le système de santé se porte a merveille ? Si oui, vos sociétés savantes ont-elles épuisé tous les sujets de recherche dans vos facultés ? OK, donc votre combat aujourd’hui est d’empêcher les infirmier d’aller en PC ! Je vous y encourage fortement. Seulement, sachez que votre lutte vat se retourner contre vous demain. Beaucoup d’infirmiers ont aujourd’hui des enfants qui sont médecins, tout comme beaucoup de médecins ont des enfants infirmier ou sage femme. Puisse Dieu continuer d’élever les magistrats afin qu’ils soient un jour les fonctionnaires les mieux payes malgré leur BAC+6. Que Dieu recompense la lutte des travailleurs du ministère des finances qui dans l’unite défendent leurs acquis. Honte aux travailleurs qui sont contre leurs camarade travailleurs du même ministère. Grandissons un peu car l’inimitié n’a jamais construit le monde. C’est ensemble que nous pourrions remporter des victoires.

    • Le 14 avril 2018 à 06:54, par wedaga En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

      Avez-vous été un attaché de Santé. Informez vous svp. La durée minimale est de 26 mois. Ce fut les seuls qui ont subi un double examen : l’examen de fin d’année et la soutenance

    • Le 14 avril 2018 à 07:48, par Losseni En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

      Apparemment vous n étés pas au parfum des choses. Pour votre gouverne, la formation de conseiller est passé de 18 mois a 24 mois. Même les attachés ne sont plus formés en 18 mois. Ce que souvent vous oubliez, si ce n est sciemment fait, pour être attaché de santé, il faut être d abord infirmier ou Sage femme/ maieuticien, donc avoir ce diplôme après trois ans de formation. Si tu sais compter, il faut sept ans de formation pour être conseiller. Faisons nos preuves sur le terrain au lieu de nous ramener chaque fois à des débats dépassés.

    • Le 14 avril 2018 à 23:51, par le véridique En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

      Mon ami ce sont des idées comme les vôtres qui troublent la paix sociale.On a mare des revendications maintenant. pourquoi ne pas lier le terrorisme à votre raisonnement. Depuis quand une année scolaire est de 12 mois ? On a toujours connu 09 mois ; donc 02 années scolaires seront 18 mois. Et puis tenez-vous bien chacun a son rôle dans le système ; donc n’envoulez pas à celui qui a écourté ses études pour se retrouver à la même destination que certains. Il faut savoir exploiter son intelligence

    • Le 15 avril 2018 à 10:31, par l’indien En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

      Mon cher Raago,
      J’imagine que tu es médecin, mais la platitude de ton raisonnement me laisse perplexe sur ta compétence. Première chose évocatrice de ta carence intellectuelle, c’est Quant on dit 2 ans c’est en terme d’année de formation, vacances et congés et y compris. Donc du point de vue de la fonction publique, 18 mois ou 2 ans peuvent s’employer indifféremment. Deuxième élément qui rend compte de ta carence, c’est lorsque tu dis que pour que le conseiller passe en PC, il faut un doctorat en soins infirmiers et obstétricaux. La loi stipule que pour accéder à la catégorie P, il faut détenteur du diplôme de doctorat ou avoir cumulé 7 années d’études professionnelles. C’est en application de cette loi que les conseillers et inspecteurs de l’enseignement sont en P sans être détenteur d’un doctorat. C’est donc te dire que personne ne cherche un raccourci pour aller en P comme tu le prétend. Enfin, je te rappelle que c’est seulement en raison de leur master que les médecins passe de PC à PB ; là encore cherche à actualiser tes connaissances sur la question.
      Je termine mon propos pour te dire qu’on ne dis doctorat en soins infirmiers et obstétricaux mais doctorat en sciences infirmières et obstétricales. C’est une noble discipline à part entière qui a ses postulats, son paradigme, ses buts et ses finalités.

    • Le 16 avril 2018 à 12:25, par YACSON En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

      Rassurez-vous mon cher, la formation des Conseillers de santé dure vingt-et-quatre (24) mois pleins. Cela est une exigence de l’OOAS et elle est appliquée depuis 2015. Et ce n’est pas l’ENSP qui forme les Conseillers de santé. Ceux-ci étaient formés à l’extérieur et depuis 2015, c’est l’Institut de formation et de recherches interdisciplinaires en sciences de la santé et de l’éducation (IFRISSE) au niveau de l’USTA qui assure désormais cette formation qui leur donne à un Master 2. La formation des Attachés de santé dure en réalité plus de 24 mois aussi. En plus,c’est où le problème ? Je pense qu’il n’appartient pas à un syndicat d’une profession fut-il le SYMEB de décider de la carrière d’une autre profession. Y’a t-il une tutelle ou une hiérarchie entre les professions ?(sauf quand il y’ a nomination) Lorsque les magistrats ont réclamé, lutté et obtenu les avantages dont ils jouissent aujourd’hui, ils n’ont pas remis en cause un quelconque avantage des greffiers et autres collaborateurs de justice.
      Je respecte le corps médical et les médecins. Je suis infirmier, je connais et j’ai collaboré avec beaucoup de médecins dans le cadre et en dehors du cadre professionnel. Ils ont un raisonnement et une façon de voir très différente de notre ’’cher’’ SG du SYMEB. Et tous ces médecins qui se reconnaitront voudront bien m’en excuser, car le zèle débordant, le mépris criard et l’égoïsme avec lesquels il aborde les questions de gestion des carrières des infirmiers et sage-femmes imposent de lui rappeler que les préoccupations des hôpitaux et services de santé sont telles qu’il doit, plus interpeller le gouvernement et les autorités sanitaires à gérer diligemment ces questions que de se lamenter sur un logique reclassement des Conseillers de santé en PC. Quand les médecins et les Conseillers de santé étaient tous en A1, y’ avait-il un problème ? Le temps où il fallait sacrifier une profession pour promouvoir une autre est révolu. Pour une solidarité de corps et de profession, en avant. Non à l’ingérence dans la gestion des carrières des uns par les autres. Nos populations ont plus besoin de nous unis que divisés.

  • Le 13 avril 2018 à 21:29, par Kondo ousseni En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    merci chers collègues de l’éclairage que vous apportez, l’individu dont vous parlez je l’ai toujours considéré comme une caisse de raisonnance . Mais qui sonne cette caisse ? Question facile, sinon pourquoi lui seul peut décider de la composition de l’équipe de travail sur le révision des TOES . Mieux qu’est ce qui lui donne le droit de décider de la carrière des autres corps ? est ce un excès de zèle( dont il ne manque) ou détient-il un mandat caché . Vraisemblablement oui, puisque souvent il joue au directeur de la lutte contre les maladies en parlant de la fièvre LASSA.
    restons vigilants et mobilisés nous finirons par débusquer ceux qui tirent sur la marionnette Alfred le médecin

  • Le 13 avril 2018 à 21:31, par un avis En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Voici une très belle et grande analyse en lien avec la carrière de ce grand corps de metier à savoir les infirmiers et sage femme. Ce corps a longtemps été marginalisé, pourtant il reste et demeure le pilier du système de santé au BF. Tout est vraiment fait pour freiner les agents de se corps à progresser dans leur carrière. Maintenant que la formation relève de l’université, je pense que les choses vont vraiment changer. Je suis infirmier en cours de formation niveau attaché de santé, que je puisse lire un tel article me donne beaucoup d’espoir. Il reste à ce corps de rester vigilant, solidaire de lutter afin que les injustices qu’elle subit soient éliminées. Merci aux auteurs de message. HSM. 

  • Le 13 avril 2018 à 21:45, par Le Boss En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Merci à vous pour cet argumentaire assez élaboré et étoffé de preuves d’intelligence bien au dessus du niveau de compréhension de bien de médecins Burkinabé. On le sait, très peu de médecins Burkinabé parlent d’aussi bon français si bien que la question que je me pose est de savoir si 99% d’entre eux ne se retrouveront pas au bord de la chaussé à se demander de quoi parlent ces deux intellectuels reconnus et respectés. Messieurs, vous venez de démontrer si besoin en était que ce sont les plus intelligents qui à un moment donné réussissaient aux concours des infirmiers et sage-femmes. Sans blague, cela est plus que vrai tant et si bien que même sur le terrain des soins et de la santé publique, ils sont très peu à pouvoir rivaliser avec ces infirmiers sahe-femmes dans leur "surface de réparation". Combien de Burkinabé sont nés, grandir, vieillir et mourir sans avoir vu une seule fois un médecin pour quoi que ce soit ? Combien sont ils pour oser nuit autant à ceux qui s’occupent nuit et jour partout à travers ce pays, de nos parents. Même dans les hôpitaux députés rigoureux combien de médecins passent la nuit au chevet d’un patient ? La comédie à trop duré et j’invite le gouvernement à ne pas se laisser divertir et surtout à prendre toutes les dispositions nécessaires pour sortir ceux sue ces médecins appellent allègrement paramédicaux, de toute misère imaginaire entretenue par des gens qui se comportent comme des handicapés à qui on demande d’appliquer la discrimination positive. Aux infirmiers et sage-femmes du Burkina Faso, le peuple vous est reconnaissant et vous soutiendra tant que vous aurez des problèmes aussi discrimatoires.
    Vive nos vrais soignants, ceux qui, jours et nuits ne se lassent de nous apporter leurs soutiens avec le peu de moyens dont ils disposent. Infirmiers et sage-femmes restés mobilisés nous vous soutiendront

  • Le 13 avril 2018 à 22:41, par le Juste En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Dans ce pays il y a des rêveurs, figurez vous les attachés n’ont pas le Master ils demandent un reclassement en A1 ok. Cependant le conseillé de santé à un Master et il veulent êtres hospitalo universitaire sans doctorat aux cotes des medecins Bac +8+4 soit 12ans après le bac vous aussi mane sougri te tenga pas wotto ye. Pour enseigner un master valide il faut avoir un doctorat et cela est valable partout au monde. Si les conseiller viennent en PC pour des besoins d’équité le medecin sera en PY. Ce texte ne convainc personne. La fonction publique doit courageusement mettre le corps des conseillers en extinction. et prendre les Attachés qui auront le Master en Thèse pour sortir des docteurs en nursing.

    • Le 14 avril 2018 à 02:18, par Sam En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

      Le doctorat en médecine est un doctorat d’état, donc l’équivalent d’un master professionnel. La preuve tu ne peut pas diriger meme un simple TD a l’UO avec ce diplôme. Il est donc inférieur a un master de recherche (BAC+5) dans d’autres disciplines universitaire. En faite c’est parce que vos soit disant maitres sont aigris et vous mettent en retard, sinon tu as certainement des amis qui ont fait le Maroc et sont revenu en moins de 7 ans avec les memes "doctorat".

  • Le 13 avril 2018 à 23:21, par AYK En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Pourquoi les gens pensent qu’on les rappetit en les appelant "paramédicaux ? C’est un terme consacré et il n’est en aucun cas péjoratif. Certains sont tellement obnubiles par leur comparaison aux médecins qu’ils ne veulent pas l’accepter. Concernant les postes de responsabilité dont vous parlez, essayez de voir dans le système international de santé, depuis L’OMS les premiers responsables sont des médecins et c’est ainsi, pas que certains infirmiers n’ont pas les compétences pour le faire mais c’est le diplôme avec lequel tu as été recruté. Jusqu’à aujourdhui, on ne peut pas assimiler un diplôme universitaire (doctorat en medecine) à un concours professionnel.
    C’est le rapport de force qui veut faire changer les choses au Burkina Parce que les infirmiers sont plus nombreux que les médecins. Mais avec la création du SYMEB et le nombre grandissant de médecins, cette forfaiture n’aura pas lieu.

    • Le 14 avril 2018 à 02:39, par Sam En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

      Vos professeurs vous ont trop égaré mon ami. Les professions infirmiers et sage femmes ne relèvent pas du paramédical STP. Pour ce qui est de l’international, renseigne toi bien ; certains de vos collègues sont sous la coupe de "paramédicaux" et je sais de quoi je parle. Si rapport de force il y a, il est en faveur des médecins. Au lieu d’utiliser cette force pour créer un environnement favorable (surtout que vous êtes les plus intelligent), vous adoptez une politique de division. Heureusement que BAC +7, 8 , 9..... ne signifie pas être intellectuel puisque si vous étiez des intellectuels, nous ne serions pas dans ces bassesses

    • Le 14 avril 2018 à 11:46, par tre En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

      Le doctorat en médecine est un doctorat d’état, donc l’équivalent d’un master professionnel. La preuve tu ne peut pas diriger meme un simple TD a l’UO avec ce diplôme. Il est donc inférieur a un master de recherche (BAC+5) dans d’autres disciplines universitaire. En faite c’est parce que vos soit disant maitres sont aigris et vous mettent en retard, sinon tu as certainement des amis qui ont fait le Maroc et sont revenu en moins de 7 ans avec les memes "doctorat"

    • Le 15 avril 2018 à 18:18, par Dr En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

      Et dire aussi que les *policiers et autres* ne se plaignent pas quand ils sont appelés *paramilitaires*. Dans tous les pays du monde c’est l’appellation consacrée. Pendant qu’on y est, pourquoi ne pas mettre *ordonnance infirmière* en lieu et place de * médicale* ? Du grand n’importe quoi ce pays.

  • Le 13 avril 2018 à 23:46, par le pays va mieux En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Moi je souscris entièrement à l’écrit et interpelle le Président du Faso à prendre ses responsabilités. Alfred n’est pas un superman au-dessus de vous et du peuple. La formation des conseillers est de 24 mois. Que Alfred et sa bande nous fichent la paix. Es moral d’être en A1 et après 24 mois de formation avec une soutenance à l’issue d’un concours professionnel on reste dans la même catégorie ? Est ce que Alfred peut supporter cela ? Est ce que les plus autorités du pays sont courant de cette injustice qui perdure depuis longtemps ? A mon humble avis si un "médecin" qui a fait 7 longues années d’études honorables à l’université se comporte de la sorte, je crois qu’il est légitime en tant que Burkinabé de s’inquiéter. C’est ridicule qu’un "médecin" qui devrait avoir une hauteur d’esprit se comporte de la sorte. Même le profane sait qu’un syndicat fut-il Symed ne peut aller l’encontre d’un autre syndicat qui lutte pour des conditions meilleures de ses membres. Les infirmiers sont ils recrutés par le SYMEB ou par l’Etat ? L’honnêteté voudrait qu’à l’issue du reclassement des conseillers en PC, Alfred revendique qu’on le reclasse en hors catégorie. Pourquoi, il n’est pas aller en grevé contre le fait que le magistrat avec ses 4 ans à l’université ait un salaire plus que le médecin qui a fait 7 ans ? Pourquoi ne va t-il pas en gréve pour demander à l’État de supprimer les fonds communs chez les financiers, alors ceux qui y sont n’ont pas fait autant d’années de formation comme lui ? Alfred et sa bande sont des individus dangereux pour la paix au Burkina Faso. Le SYNTSHA s’est battu pendant longtemps pour le reclassement du médecin en P. Dans ces luttes plusieurs infirmiers, médecins, sage femmes etc. ont été réduits à la mendicité du fait de coupures pour gréves remesurées. D’autres mêmes sont décédés sans bénéficier de ces avantages. Toi Alfred, tu n’a pas connu ses souffrances. Tu as hérité des fruits de ces luttes. Je manque de qualificatif pour toi. Tout ce que je peux dire est que vous êtes très ingrats et criminels. Vous êtes criminels en ce sens que vous profitez de la sueur des devanciers qui ne sont plus de ce monde et en même temps s’opposent à l’épanouissement des descendants de ces martyrs. Mais sache que le voyage ensemble, je veux parler du passage de l’être humain sur terre, est très court. Tu ne seras rien plus qu’un infirmier.
    Ce qui est marrant, c’est que j’ai l’impression que ce groupuscule est instrumentalisé par les plus hautes autorités du ministère de la santé. Leurs attitudes à travers les nominations signent clairement cela. Il n’ont aucune considération pour l’infirmier et la sage-femme. Nous regrettons Dr Smaila OUEDRAOGO qui n’avait pas été bien compris. En conclusion, comme le "médecin" ne veut pas voir un autre corps immerger à coté de lui pourquoi pas scinder le ministère en deux : un ministère des médecins où ce sont seulement des médecins qui sont nommés et un ministère des autres corps. Le ministère de l’action sociale et de la santé qui étaient ensemble dans un passé récent ont été dissociés. Pour pas cette solution afin que les soi-disant demi-dieu sur terre comme Alfred et compagnie ne soient pas souillés par nous autres.
    Pour finir, il est tant que les médecins vrais et honnêtes sortent pour mettre ce groupuscule à leur place qui ne fait ternir je suis sur l’image de tous les médecins. Aussi, le SYNTSHA sans être tombé bas comme ce machin, devrait se prononcer clairement sur ce comportement irrespectueux d’un autre âge.

  • Le 13 avril 2018 à 23:57, par DIABRE En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    C’est curieux comme les gens adorent les raccourcis ! J’ai cru que vous alliez développer votre idée de LMD dans la Santé ! Mais laissez moi vous aider à la développer... Alors selon vous où se situe un conseillé de santé dans le système LMD ? Ce qui est sûr il ne saurait se prévaloir d’un Doctorat qu’il n’a pas ! Ce débat selon moi ne devrait pas avoir lieu... Que les gens demandent plutôt d’être sanctionné d’un doctorat à la fin de leur formation au lieu de vouloir tout faire pour se classer là où il ne mérite pas d’être ! Même Bac+100 ne peut prétendre être l’équivalent d’un Doctorat ! Mais il faut dire que tout cet amalgame est le fait de faux principes que nous ont légués nos prédécesseurs... Sinon comment un agent recruté comme garçon de salle (niveau CEP) se retrouve Attaché de santé (niveau Master) 15 à 20 ans après, sans avoir fait le BEPC encore moins le BAC... Il faut que tout Cela cesse. Si le concours pour être IDE c’est désormais niveau BAC, alors que les IB (niveau BEPC) cherche le BAC avant de postuler au concours Professionnel lui permettant de devenir IDE. Ce n’est pas pour rien que le Blanc dit que IDE c’est niveau BAC : Il faut un minimum de bagage intellectuel pour bien assimiler sa formation !
    Donc arrêtez les campagnes d’intoxication contre les Médecins et leur syndicat le SYMEB... Cordialement...

    • Le 14 avril 2018 à 02:52, par Sam En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

      Chez le Blanc que tu site en exemple, il y a ce qu’ont appel validation des acquis professionnels. Et c’est des universités qui le font. Le doctorat que tu vente tant est un doctorat d’état, ce qui signifie diplôme professionnel au meme titre que les diplômes d’IDE , attache et conseiller. Nous connaissons tous les vrais doctorats (sociologie, psychologie, droit.....). Revenez sur terre.

    • Le 14 avril 2018 à 11:40, par Reveillez vous En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

      Le diplôme ne vaut que ce que vaut son détenteur. Certaines personnes du plus profond de leurs villages, sans avoir mis pied à l’école font des publications. Si on examine sérieusement toi ta thèse de doctorat, il n’est pas exclue que tu ai plagié des mémoires de l’ENSP, donc des mêmes infirmiers et sages femmes. Après cette thèse à la qualité douteuse je ne suis pas sure que tu puisse même écrire un article scientifique encore moins le publier. Niveau intellectuel n’est pas égal à diplôme mon petit. Réveilles toi !

      • Le 14 avril 2018 à 23:00, par DIABRE En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

        Eh bien mes grands, je n’ai rien à vous prouver ! Je n’ai pas encore rencontré des thèses "plagiant" des mémoires de L’ENSP où enseignent d’ailleurs des Médecins Généralistes... Si vous avez vos preuves de plagiat venez les publier et on va avancer... Quand le complexe d’infériorité nous tient ! Si le Doctorat en Médecine est un faux Doctorat eh bien allez en ramasser et revenez on va discuter... Des usurpateurs de Titres comme ça... Pourquoi dans les quartiers vous vous gonflez tout le temps en vous faisant appeler Docteur alors que vous ne savez même pas comment on gagne Doctorat ? N’importe quoi oui, ko faux Doctorat... Comme pour vous là est vrai faut montrer on va voir ! Après c’est pour dire qu’on vous manque de respect... Méritez votre respect là... Même dans la pratique, de mauvais paramédicaux comme vous racontent des conneries et mettent de faux cachet de Médecins... Les malades vont vous faire découvrir un à un dans ce pays ! En passant je respecte les paramédicaux qui forcent l’admiration et le respect. Que chacun joue son rôle et c’est le malade qui gagne !

  • Le 14 avril 2018 à 00:47, par La sagesse En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Laurent Bado dans "mon expérience politique" disait : "le burkinabé est envieux(cherche tjr ce que le voisin a au-lieu de chercher pour lui)... Jaloux( tu fait un truc demain lui aussi fait mm chose et vient express pour te montrer qu’il a fait pareil) ...égoïste (son soucis c’est lui même, ne pense jamais a l’après lui) ... J’analyse ces mots du vieux et tous les jours et j’ai un exemple illustratif. De grâce que chacun reconnaisse sa place. C’est au burkina on voit infirmier se comparer à un médecin. Pourquoi ne consulter vous pas vos collègues infirmiers quand un membre de votre famille ne se sent pas ? Svp même avec 100ans de formation professionnelle vous ne serez jamais médecin.

    • Le 14 avril 2018 à 02:57, par Sam En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

      Amalgame mon cher ! Garder votre PC, PA, PZ, les magistrats ne sont pas médecins, les agents des finances et des impôts ne sont pas médecins mais qui dis mieux. Cessons ces enfantillages qui ne cessent de mettre le ministère en retard.

    • Le 14 avril 2018 à 08:02, par KOURAOGO En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

      Mon type. Tu as un esprit bouché. J’ai une question à te poser : depuis quand dans le monde un syndicat s’oppose à ce qu’un autre revendique de meilleures conditions de vie et de travail ? Est-ce le médecin qui paie l’infirmier ? Autant dire que le SYMEB est un syndicat du gouvernement. Je crois que cette opposition me convainc qu’il y a un autre problème. Ce n’est pas du syndicalisme.

    • Le 14 avril 2018 à 08:03, par Losseni En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

      Qui parle de devenir médecin ? Ce qu on vous demande de comprendre, si cela ne vous dépasse, nous sommes des collaborateurs. La formation infirmière est différente de la formation médicale. Pourquoi si tu fini de consulter tu ne fais pas les soins toi même. Arrêter ces propos stériles. Pour votre gouverne, l infirmier par dérogation pose des actes médicaux parce que les médecins refusent d aller en profondeur. Est-ce au il a un bonus sur son salaire pour cela.

    • Le 14 avril 2018 à 09:24, par Kaba En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

      Le malade à l’infirmier et la malafie au médecin.
      Voilà qui dit tout sur les deux professions. Il ne s’agit pas d’une comparaison.
      Un bon infirmier n’envira jamais un médecin car ils ne font même pas la même chose.

    • Le 14 avril 2018 à 09:56, par TIENTIKI En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

      Honte à ces infirmiers qui souhaitent devenir des médecins. Je connais des médecins de nos jours qui ont fait le concours des infirmiers avec nous et qui ont échoué. Sachez, Monsieur que ces deux corps sont totalement différents. Vous refusez de voir la réalité, mais sachez qu’en chassant le naturel, il revient au galop avec plein de poussière. l’infirmier connait la place du médecin. Il ne souhait en aucun cas lui ressembler. Le problème c’est vous ! votre manque de lucidité m’amène à mettre en cause votre compétence.(sélectionnés par tir au sort et non par concours pour avoir accès à la fonction publique, on ne dit rien). Les magistrats sont recrutés avec un niveau maitrise. Ils touchent plus que vous. Vous ne vous plaignez pas. Mais c’est les infirmiers que vous ne voulez pas voir. Finalement, c’est ne plus la jalousie mais plutôt de la sorcellerie. Dans certains pays, on a vu des infirmiers qui on défendu corps et âmes le corps médical. Également, on a vu des médecins qui ont refusé dans ces mêmes pays, certains indemnités parce que les infirmiers de ce pays ont été écartés.
      Mais au Burkina c’est autre chose. En quoi le reclassement des conseillers de santé porte préjudice au médecin ? arrêtez ça !

    • Le 14 avril 2018 à 11:04, par ramodtoika En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

      Aucun infirmier ne veut se comparer aux médecin.
      Sais tu qu’il ya des docteurs en santé animal, en environnement, en pédagogie, en philosophie.....
      Le doctorat n’est pas exclusivement pour un corps ; c’est un niveau de formation et n’importe qui peut atteindre ce niveau de formation. Ils ont le doctorat en médecin, d’autres ont le doctorat dans d’autres corps. C’est quoi qui est gênant pour vous dans ce cas la.
      Retenez aussi que le corps infirmier et le corps médical sont distincts, seulement leurs actions sont centrées sur les mêmes cibles.
      Pour illustration, dans les FDS, il y a les militaires, il y a les gendarmes ; est ce qu’un général de l’armée peut interdire qu’il y ait un général dans la gendarmérie ??

  • Le 14 avril 2018 à 04:28, par La vérité En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    De grâce laissez les médecins tranquille. L’unité de formation et de recherche en science de la santé est là pour tout le monde. Certains paramédicaux ont été renvoyés de la fac de médecine et veulent atteindre la catégorie de médecin par tous les moyens. La médecine c’est même BAC +8 ici au Faso. Le BF est le seul pays au monde où infirmiers se comparent à médecin. Heureusement que le SYMEB est là pour veiller au grain. Au lieu de lutter pour vos conditions de vie et travail vous lutter pour intégrer la catégorie des médecins mon oeil wahi..Et puis depuis quand infirmier à lutter pour médecin ici au Faso. C’est toujours contre le médecin. Attendez seulement avec le nombre grandissant des médecins on va vous retirer même les prescriptions. Le médecin est avant tout le titre de concepteur dans le domaine de la santé. Tu es libre de faire le concours d’attaché ou de conseiller mais ne viens pas avec l’esprit d’intégrer la catégorie de médecins. Cmt peut ont integrer la fonction publique avec le niveau CEP et atteindre la catégorie de médecin sans même un diplôme intermediaire (CEP-BEPC-BAC-Licence-master-Doctorat ). Que ce gros désordre soit corrigé par la fonction publique.
    Je passais..........

  • Le 14 avril 2018 à 08:31, par Ange En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    C’est triste de constater que des individus sont prêts au cynisme et au mensonge pour comparer l’incomparable. Dieu Merci les noms sont faits pour désigner deux choses distinctes. Vouloir comparer l’infirmier au Médecin sur la base du nombre de formation professionnelles, c’est manquer de lucidité ou faire preuve d’une jalousie ridicule. Le Médecin sort avec un diplôme DOCTORAT d’Etat. Allez y en France et partout dans le monde demander à vos confrères infirmiers s’ils peuvent se comparer à leurs Médecins. Faites le et vous serez attaqués pour usurpation de titre. Si c’est pas au BURKINA où on voit quelqu’un recruté avec un niveau BPEC ou bac vouloir être classé dans la même catégorie avec un autre recruté avec un DOCTORAT D’ETAT. Pour tous ceux qui considèrent que le DOCTORAT DE MÉDECINE de prendre attache avec le CAMES pour mieux comprendre. On raconte des absurdités et on prétend être cultivé. Cordialement

    • Le 14 avril 2018 à 11:12, par Reveillez vous En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

      Trop imbue de ton titre !!!! Chacun pense vraiment qu’il est important. Allons au Canada et on verra qui de l’infirmier et du médecin pourra travailler avec son diplôme. Va en Taiwan et tu verra si l’infirmier envie le médecin. A la fonction publique, il n’y a pas de catégorie réservée à un emploi donné. C’est triste et ridicule tes insanités !!!

    • Le 14 avril 2018 à 19:56, par la raison En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

      internaute 18. D’abord le médecin sort avec un diplôme d’Etat de docteur en médecine (médecine doctorat MD) et non un doctorat d’Etat (PhD). le doctorat de médecine n’ouvre pas directement sur la recherche pour être assistant ou chercheur. C’est pas pas un doctorat de recherche au sens de l’école doctorale universitaire. votre doctorat cycle doctoral commence véritablement après l’internat et dure 1 an au maximum. Par contre dans les autres UFR le doctorat dure 3 ans clairement après le master 2.
      renseigner au cames sur ce que c’est :
      doctorat de 3e cycle,
      doctorat d’Etat (actuel doctorat unique... ou PhD. ou le HDR l’habilitation à diriger les recherches. le doctorat de médecine n’est pas un doctorat unique)
      le diplôme de docteur ingénieur .
      La preuve est que le médecin fait un DOCTORAT D’EXERCICES pour exercer une profession... quand il veut faire la recherche ou lui exige au moins le DES ou mieux un Master ou encore un doctorat selon les domaines... J’AI SOUS LES YEUX LES CONDITIONS D’AVANCEMENT EN GRADES ET LES DIPLOMES EXIGES ET LES NOMBRES DE PUBLICATIONS des enseignants hospitalo universitaire....
      Alors que dans les autres filières avec le Vrai doctorat de recherche, vous êtes immédiatement chercher... Avec le doctorat unique en sciences économiques, l’assistant peut postuler directement à l’agrégation après deux ans d’ancienneté pour être Maître de conférences agrégé en sciences...
      Est ce que celui qui soutien sa thèse d’exercice qui est ’’un pseudo doctorat ’’ peut postuler directement pour être Maître de conférences....????
      Vous allez évoquer le concours des IDH où l’étudiant sort directement avec son DES... mais il peut pas postuler directement pour être maître de conférence....
      DONC YA DOCTORAT DANS DOCTORAT
      DONC DIPLOME D’ETAT DE DOCTEUR EN MÉDECINE ET NON DOCTORAT D’ETAT... C’est d’ailleurs ce qui est inscrit sur le diplôme que mon grand frère....
      MERCI....

    • Le 15 avril 2018 à 11:07, par le véridique En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

      Pour vous le classement des conseillers en catégorie Pc qui fait la comparaison entre médecin .Allez y lire la loi 0 81.C est une question de cohérence ,bac+7 ans de formation cumulée à .Peut être que vous cachez quelques chose ou vous en voulez personnellement aux corps paramédicaux.Pourquoi dans les autres corps cette loi est appliqué e sans ambiguïté ?

    • Le 16 avril 2018 à 13:21, par YACSON En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

      Si vous êtes vraiment un médecin, j’ai honte, honte, et honte. Honte de penser que reclasser les Conseillers de santé en P est une comparaison aux médecins. En rappel le classement catégoriel relève de la fonction publique et non du ministère de la santé. Si vous êtes aussi forts que cela, donnez un délai au gouvernement pour ne faire bénéficier de la catégorie P qu’aux seuls médecins. C’est vraiment regrettable qu’avec le niveau que vous prétendez avoir, vous soyez là à pondre ces inepties. Vous parlez de France, mais ignorez certainement que dans ce pays, la profession infirmière est bien indépendante, autonome et ne subit aucun mépris, aucun zèle de médecin. Là-bas, les médecins connaissent la valeur, le rôle et la place de l’infirmier et de la sage-femme dans le système de santé. Un médecin médecin ne s’ingère pas dans la gestion de la carrière des infirmiers. Allez-y dans les pays comme le Canada, des infirmiers sont titulaires de Doctorat en Sciences infirmières ou maïeutiques ; d’autres de PhD. Des médecins immigrés font la formation infirmière pour avoir du travail car la profession infirmière y est plus valorisée. Ici tout le système est médicalisé et on cherche coûte que coûte à sacrifier certains pour promouvoir d’autres. Mon frère, jouez balle à terre car le mythe du médecin est tombé. Et si vous persistez, vous aurez de gros soucis avec la génération montante. Fraternellement.

  • Le 14 avril 2018 à 08:51, par Victoire 2022 En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    A monsieur la Sagesse, je ne pense pas que les infirmiers/SF/ME et autres se comparent aux médecins. Ce sont des emplois distincts qui sont complémentaires. Chacun connait sa place. Ils luttent pour réparer une injustice. C’est seulement à la santé on voit un syndicat qui lutte contre les intérêts d’un autre syndicat. Est-ce vraiment l’esprit du syndicalisme ?
    J’ai vraiment peur d’un affrontement entre ces 2 corps.

  • Le 14 avril 2018 à 08:58, par Ange En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    C’est triste de constater que des individus sont prêts au cynisme et au mensonge pour comparer l’incomparable. Dieu merci les noms sont faits pour désigner deux choses distinctes. Le MÉDECIN sort avec un diplôme de DOCTORAT D’ETAT. Allez y en France et partout dans le monde et demandez à vos confrères infirmiers s’ils peuvent se comparer à leurs Médecins. Vous, faites le et on verra si on ne peut pas vous attaquer pour usurpation de titre. Vouloir comparer le Médecin à l’infirmier c’est manquer de lucidité ou faire preuve d’une jalousie ridicule. Pour ceux qui considèrent que le DOCTORAT de Médecine est une licence je leur demande de prendre attache avec le CAMES pour mieux comprendre parcequ’il y’a le mot licence qui désigne un nombre d’année d’études après le BAC et le mot DOCTORAT qui désigne un autre nombre d’années d’étude après le BAC dans une filière donnée. On raconte des absurdités et on prétend être cultivé. Au demeurant la faculté de médecine est ouverte à toute personne qui le désire. Allez y vous y inscrire et prouvez à tout le monde que c’est une facilité pour quiconque de faire la médecine

  • Le 14 avril 2018 à 09:00, par HUG En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Laisser les gens respirer en paix. La fonction publique hospitalière a été le cadre idéal que l’on vous a donné pour résoudre une bonne fois ces genres de débat OK. Si au lieu de chercher à résoudre les questions au niveau de la santé de manière générale (question de gestion de carrière et autres) vous- vous êtes focalisé à discuter d’augmentation de salaire indiciaire de 20% ce n’est pas de notre faute.

  • Le 14 avril 2018 à 09:26, par Reveillez vous En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Merci à nos deux amis pour avoir levé ce gros livre ! A la lecture de certaines réactions je suis gagné par une profonde tristesse. Tristesse de savoir que dans un même ministre, des travailleurs ont pour adversaires d’autres travailleurs. Pendant ce temps au MENA, les différents syndicats organisés en Coordination viennent de faire courber l’échine au gouvernement en lui arrachant 52 milliard. Au ministre de l’économie et des finances, l’unité d’action syndicale à permis d’améliorer le fond commun qui coûte 56 milliard à l’Etat de nos jours. Au ministère de la santé, la fonction publique hospitalière coût à peine 30 milliard, et à son opérationalisation, il y a déjà une politique d’exclusion. Je suis d’autant plus inquiet que ceux qui sont à la tête des manœuvres d’exclusion se disent syndiqué et intellectuel. Sur le plan syndical pourtant, à défaut de soutenir une lutte, on garde le silence pour être logique avec l’esprit syndical. Quant on pense qu’on est le plus intellectuel dans un groupe, on fait des réflexions et on adopte des positions qui font avancer. La position du SYMEB et de ses médecins tranche donc simplement avec la simple logique. Je me rappel que lors d’une gréve du SYNSHA, l’ordre des médecins s’était déjà érigé en donneur de leçon. Il y a donc une constance dans leur démarche même si cela manque de bon sens. Je ne suis pas intellectuel, mais je vais refuser de tomber très bas comme les intellectuels du ministère de la santé. Je voudrais tout simplement rappeler que le doctorat d’Etat en médecine est l’équivalent d’un master professionnel. Ce diplôme ne permet même pas d’encadrer des étudiants en licence à l’université. Par contre, avec un master de recherche (BAC+5), on est déjà assistant à l’UO. Quand on brandis donc son doctorat d’état pour dire qu’on est le meilleur de sa génération, je dis simplement réveillez-vous. Réveillez-vous parce que la bonne attitude à mon sens aurait été de laisser venir les conseillers en PC et demander à changer simplement de catégorie car en empêchant les autres d’ y accéder, vous vous enfermez en même temps. Ne dit-on pas que celui qui est satisfait de son présent n’as pas d’avenir ? Réveille-vous parce que les magistrats sont aujourd’hui les mieux payé sans avoir les plus hauts diplômes. réveillez-vous parce que même quand on décide de rouler pour le pouvoir, la contre parti doit être conséquente alors que vous vous ne gagnez rien, mais aussi vous n’arrangez pas l’employeur puisque vous vous attaquez à un des plus gros plier du système de santé. Vous venez donc de réveiller une force endormie jusque là et ce réveille va faire mal et même très mal.

  • Le 14 avril 2018 à 09:39, par Sedaogo En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Une écriture emprunte du faux.le conseiller en santé pour l’instant n’est pas titulaire d’un doctorat en soins infirmiers pour prétendre être classé en PC.
    Vs comptez sur la loi du nombre pour vs imposer une catégorie à laquelle vs n’avez pas droit.Un infirmier n’est pas un médecin et ne le sera jamais.arrêtez ces intoxications nauséabondes.

  • Le 14 avril 2018 à 09:49, par Ange En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    C’est triste de constater que des individus sont prêts au cynisme et au mensonge pour comparer l’incomparable. Dieu Merci les noms sont faits pour désigner deux choses distinctes. Le MÉDECIN sort avec un diplôme de DOCTORAT D’ETAT. Allez y en France et partout dans le monde et demander à vos confrères infirmiers s’ils peuvent se comparer à leurs Médecins. Si vous pouvez le faire faîtes le, attribuez vous les prérogatives du Médecin et on verra si on ne peut pas vous attaquer pour usurpation de titre. Pour ceux qui considèrent le DOCTORAT en médecine comme une licence professionnelle, je les conseille de prendre attache avec le CAMES pour mieux comprendre. La licence est un diplôme universitaire qui désigne un BAC+3 ; le DOCTORAT est un diplôme universitaire qui désigne un BAC+8. Le Médecin est recruté avec un niveau DOCTORAT qui est un diplôme universitaire. Que quelqu’un soit recruté avec un niveau BEPC ou niveau BAC et vouloir se comparer avec un niveau DOCTORAT, c’est manquer de lucidité ou faire preuve d’une jalousie ridicule. La base de recrutement des agents de l’État repose sur le diplôme scolaire ou universitaire détenu et non sur la base du diplôme professionnel. Le diplômé professionnel peut vous aider à être classé dans un niveau supérieur dans votre niveau de recrutement mais pas d’être classé dans un niveau correspondant à un diplôme supérieur. Que pendant longtemps le désordre ait régné dans l’administration, les choses ne doivent plus continuer ainsi. Accepter de vous retrouver dans la place qui a toujours été la votre. Allez dans tous les pays où l’administration fonctionne de manière bien ordonnée et voir qu’elle place on accorde au Médecin dans l’administration tout secteur de métier confondu. Ceux qui veulent peuvent aller s’inscrire à l’Université pour obtenir le même diplôme.

  • Le 14 avril 2018 à 10:19, par CPES En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    pas besoin d’un doctorat pour être en catégorie P.
    illustration : Le Professeur Certifié des lycées et collèges est recruté avec la licence plus deux ans de formation à L’ENS UK une université et sort avec un BAC ➕ 5 QUI EST LE CAPES....
    Ensuite devenu Conseiller Pédagogique de l’enseignement secondaire après deux ans de formation soit 7 ans de formation cumulée il se classe en Catégorie PC. Enfin devenu Inspecteur de l’enseignement secondaire après deux ans de formation soit 9 ans de formation cumulée il se classe en catégorie PB...
    inutile de vous que nombreux sont ces profs de lycées ayant Des diplômes de Master et Doctorat... pour preuve ceux qui ont ces diplômes continuent à se faire recrutés comme Assistant Des universités pour devenir enseignants chercheurs...

  • Le 14 avril 2018 à 10:37, par tico En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Si on doit changer de catégorie a chaque fois qu’on fait une formation dite de spécialisation , les lettres de l’alphabet ne suffiront pas pour classer certains. C’est pourquoi on ne prendre en compte qu’une spécialisation. Si vous classez les conseillers niveau master en PC ou allez vous classer les docteurs en sciences infirmières. Est ce par paresse que ces conseillers ne veulent pas poursuivre avec une thèse ? On veut avoir les avantages d’une catégorie mais pas prêt a fournir les efforts et sacrifices qu’ils faut. Vive le Burkina nouveau !!"

  • Le 14 avril 2018 à 10:50, par Vision2030 En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Donc BAC+7= Classe de première+7 = BEPC +8 ??????

  • Le 14 avril 2018 à 10:52, par Bogope45 En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Que ce débat est triste ! Qui nous sauvera de telles élucubrations ? On parle de règles appliquées par la Fonction Publique et certains viennent exposés leurs états d’âme. Qui ne sait pas que la carrière et la classification dans les catégories de la Fonction Publique ne sont pas uniquement fonction du diplôme de base ? Que les infirmiers soient reclassés en PC, en quoi cela porte préjudice à la profession médicale ? Les longues années d’études à l’université ne sont-elles pas reconnues à travers le niveau élevé de recrutement en début de carrière ? Mener un débat sans prendre en compte l’expérience cumulée est forcement une erreur. Nous sommes une nation en devenir. Il est dit que plus de pouvoir exige plus de responsabilité. Comment construire un système de santé exempt de corruption, équitable, juste, sans principes et valeurs. J’ai eu la chance de connaître des médecins qui se souciaient du bien-être de leurs collaborateurs et partenaires. Je ne veux pas voir leur image et toute l’admiration qu’ils méritent salis. En tout état de cause, la Fonction Publique a été construite dans le temps. Je crois à une certaine sagesse immanente en tout regroupement humain basé sur l’honnêteté et la sincérité car comme il est souvent dit "vox popili, vox dei". Appliquer la loi en attendant de l’améliorer, n’est-ce pas ce qui est raisonnable ?

  • Le 14 avril 2018 à 11:05, par relwind En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Pour ma part, je regrette cette guerre contre le SG du SYMEB et que malheureusement certains ramènent à une lutte fraticide infirmiers #médecins. le vrai combat consiste à lutter pour que les IDE et SFE soient recrutés niveau Bac et que l’ENSP soit effectivement rattachée à l’Université de Ouagadougou comme precrit par la Transition. SVP arrêter les combats contre des individus ou d’opposer les corporations. Merci

  • Le 14 avril 2018 à 11:12, par Le Moderateur En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Bonjour à tous. En réalité c’est un bon signe de voir tout le monde s’exprimer librement chacun préchant pour sa cathedrale. Que chacun se mette réellement a la tâche en faisant ce qu’il doit faire car nous la population ne comprenons rien de tout ce que vous dites. Nous on veut être soigné donc celui qui augmente ses connaissances pour nous donner des soins de qualité nous prions Dieu qu’on augmente son salaire. Les categories c’est vous qui en discuter sinon quand nous rentrons dans une structure de soins on appelle tout le monde Docteur et apparemment même certains infirmiers sont fiers d’etre appelés ainsi. Pour terminer je demande aux médecins de recevoir eux même les malades dans les urgences des CMA et CHR car dans mon village il ya plus de 10 médecins generalistes mais ce sont le infirmiers qui reçoive nt examinent et prescrivent. Le Médecin est appelé au cas par cas. Pour d’étendre l’atmosphere moi je voudrais si possible devenir administrateur des hôpitaux pour être nommé Directeur d’hopital car mon père est Médecin et ma maman infirmière, ma femme est à l’ecole de sage femme, mon beau père est conseillé en Santé et sa femme Attaché en anesthesie.

  • Le 14 avril 2018 à 11:32, par Entendez vous parler ? En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Médecins et/ou infirmiers chien mange pas chien. Les vrais problèmes sont ailleurs. Arrêtez çà. Unissons-nous pour le bien être social de tous. N an laara an saara

  • Le 14 avril 2018 à 11:45, par La vérité En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    De grâce laissez les médecins tranquille. L’unité de formation et de recherche en science de la santé est là pour tout le monde. Certains paramédicaux ont été renvoyés de la fac de médecine et veulent atteindre la catégorie de médecin par tous les moyens. La médecine c’est même BAC +8 ici au Faso. Le BF est le seul pays au monde où infirmiers se comparent à médecin. Heureusement que le SYMEB est là pour veiller au grain. Au lieu de lutter pour vos conditions de vie et travail vous lutter pour intégrer la catégorie des médecins mon oeil wahi..Et puis depuis quand infirmier à lutter pour médecin ici au Faso. C’est toujours contre le médecin. Attendez seulement avec le nombre grandissant des médecins on va vous retirer même les prescriptions. Le médecin est avant tout le titre de concepteur dans le domaine de la santé. Tu es libre de faire le concours d’attaché ou de conseiller mais ne viens pas avec l’esprit d’intégrer la catégorie de médecins. Cmt peut ont integrer la fonction publique avec le niveau CEP et atteindre la catégorie de médecin sans même un diplôme intermediaire (CEP-BEPC-BAC-Licence-master-Doctorat ). Que ce gros désordre soit corrigé par la fonction publique.
    Je passais..........

  • Le 14 avril 2018 à 11:48, par l’infirmier juste En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    C’est bien violent cette attaque contre toi et "ta bande". Le problème des Burkinabè, c’est de ne reconnaître l’élite à force de se comparer à elle, de trouver des subterfuges pour lui être égal. Un conseiller en santé n’est pas un médecin, encore moins un hospitalo-universitaire ! Je suis infirmier ayant le BAC avec une formation universitaire, mais hélas il faut se départir des incoherences de ce groupe d’infirmiers de l’Ordre des infirmiers et du syndicats. Ces comparaisons me rappelle cette fable de La Fontaine sur les prétentions du crapaud à égaler le boeuf en se gonflant. La suite, on la connaît. Il a éclaté en morceaux.
    On en aura encore pour longtemps de voir de telles prétentions dans notre fonction publique. Ceux qui sont frustrés de n’avoir pas fait de longues études se perdront toujours dans ces comparaisons.
    Du courage mon frère !

    • Le 16 avril 2018 à 11:53, par Bogope45 En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

      Revois ton point de vue. Un conseiller ne prétend pas au doctorat. On parle d’équité, de justice et de droiture. Penses-tu que les salaires doivent être indexés seulement au diplôme de recrutement ? Chaque deux ans, tu bénéficie d’un avancement. Suivant les dispositions de la Fonction Publique, après une formation professionnelle reconnue, tu dois être reclassé dans la catégorie immédiatement supérieure. L’accès des conseillers à la catégorie P est une conséquence logique de cette disposition. Si elle est appliquée dans d’autres corps de métier, pourquoi refuser de la mettre en oeuvre au profit des infirmiers et sage-femmes ? Il faut aussi considérer que les emplois n’indiquent pas qui est plus intelligent que qui. Il ne faut pas enfermer les gens dans des catégories mais récompenser ceux qui font des efforts pour se changer et changer le monde. Tu es "infirmier avec une formation universitaire". Je ne sais pas ce que tu veux dire par là. Je te souhaite de réussir tes concours : attaché et conseiller. Après tu pourras débattre vraiment en toute connaissance de cause. J’espère qu’après ces formations, tu ne tombera dans l’excès en te révoltant. Je te souhaite de travailler à ce qu’il y ait plus de justice et d’équité au sein des corps de la santé. Du courage, lances-toi !

    • Le 16 avril 2018 à 14:23, par YACSON En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

      Avec des infirmiers comme toi, c’est mal parti pour la profession infirmière. Une platitude de raisonnement. Aucun infirmier ne se compare aux médecins. Juste là, je n’ai lu l’écrit d’aucun médecin se démarquant ni remettant en cause les propos du SG du SYMEB. DUreste, il n’y a pas d’opposition entre Infirmiers et médecins, mais plutôt un groupuscule de médecins qui s’érige en spécialiste de droit pour dénier aux Conseillers de santé ce que la loi leur octroie. Il est clairement stipulé que pour accéder à la catégorie P, il faut avoir BAC+7 ou sept (7) de formation professionnelle cumulée. Si tu es vraiment infirmier, tu dois faire partie de cette bande de lèche-bottes, d’incompétents ou de dealers, prêts à calomnier ou à vilipender leurs collègues pour de petits avantages égoïstes. Relève-toi vite mon frère car tu es entrain de t’égarer. Un infirmier qui dit Conseiller en santé au de Conseiller de santé, j’en doute fort. Collégialement

  • Le 14 avril 2018 à 11:54, par Yam En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Bal a terre, on résoud le problème sans tapage. Il faut qu’il ait une bonne collaboration entre vous pour la bonne marche du système sanitaire. C’est à l’État de décider et non vous les syndicats. Le communiqué du concours précise le nombre de mois de la formation et la catégorie à l’issue de la formation. Ou est le debat.?

  • Le 14 avril 2018 à 12:17, par citoyen En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Paroles teintées de jalousie. Pourquoi vouloir forcément se comparer au médecin ? Autant aller à la FAC de médecine.
    Aussi, trop de références au SG du SYMEB. En quoi ses paroles vous inquiètent ? D’autant plus qu’il n’est pas ministre ni quoi que ce soit dans l’administration ? Ses propos sont ils aussi importants pour motiver "une si longue lettre" ?
    Je termine en disant ceci : l’infirmier a sa place, le médecin à sa place. Que chacun se tienne à sa place.
    En tant que citoyen, laissez nous tranquille. On vous voit venir.

  • Le 14 avril 2018 à 12:36, par Bienvenu En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    convaincreellerautoritesu’il n ya pas opouriceluientre medecins etconvaincres. Malheureusement ,certains medecins n’ont pas compris le role d’un syndicat. Sinon pourquoi vouloir s’oppser aux acquis d’une lutte syndicale ? C’est parce que c’est le meme ministere ou quoi ? Allez y vous opposer aux acquis des magistrats ou aux financiers. Chacun litte avec ses moyens et ses argument et arrive a convaincre les autorites ou non.Tampis pour celui qui ne peut pas convaincre. plus responsables au lieu de se quereller

  • Le 14 avril 2018 à 14:01, par Libre penseur En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Un Doctorat est un Doctorat. Il ne peut être assimilé à une succession de concours professionnel .tu es infirmier tu veut être dans la mm catégorie que le médecin alors va faire ton Doctorat en soins infirmiers.
    Et également La faculté de médecine est tjrs ouverte si tu peut vas y.... Bcp n’ont mm pas le BAC recruté au maximum niveau Terminale et vous voulez un jour être dans la mm catégorie que des Docteurs. On appelle cela de la mauvaise foi.
    Si Vous voulez que les conseillers soit en PC avec les médecins alors les docteurs en soins infirmiers vous les metrrez ou ??
    Si les conseillers viennent en PC alors les médecins iront en Z.
    Tjrs la à combattre les médecins. Les choses ont changées. Le réveil et la mobilisation des médecins vs inquiète mais c’est comme ça. C’est la révolution médicale. Chacun retrouvera ça vraie place

  • Le 14 avril 2018 à 15:17, par infirmier En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    DOCTORAT D’ÉTAT EN MÉDECINE EST UN DOCTORAT D’APPLICATION , C’EST LE PLUS PETIT DES DOCTORATS

  • Le 14 avril 2018 à 15:24, par O H En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Heureusement qu’il y a des médecins compétents ; si non si tous les médecins du BF étaient au même niveau de raisonnement que certains de leurs collègues ha là…
    Aller comprendre, un être humain qui est sensé, bien éduqué, après des études universitaires, qui est devant un arbre qui l’appartient, au lieu de monter cueillir ses fruits, il dit à son voisin qui est devant son arbre de ne pas monter et même s’il monte de ne pas cueillir les fruits. C’est au BF et au ministère de la santé que nous voyons cela.
    Revenons aux textes ignorés par certains ou que certains font semblant d’ignorer : la loi 81 à son article 14 dit […] « Les emplois de fonctionnaire pour lesquels le recrutement se fait à partir du doctorat ou d’un diplôme exigeant le baccalauréat plus sept ans de formation professionnelle cumulée sont classés dans la catégorie P » […]. L’OAS, applique le système LMD à la formation des infirmiers et sages-femmes. Le BF seul pays à la traine est en voie de suivre le droit chemin. Dorénavant pour ces 2 corps du système de santé,
    -  le niveau de base est désormais Bac+3. (Ce qui ne veut pas dire que les anciens qui ont subi avec succès les mêmes formations ne sont pas aussi compétents).
    -  Attaché = diplôme d’état+ 18 mois (sur papier) et 24 à 30 mois en réalité (comme certains le clament haut et fort qu’ils font 8ans alors que…)
    -  Conseillers = attaché+ 24 mois sur papier (cf communiquer du concours prof 2017)
    Les textes de la fonction publique burkinabè indiquent clairement les modalités de changement de catégorie ; et croyez-moi, vous ne trouverez nulle part un article qui stipule qu’un agent de l’état après concours professionnel suivi de 24 mois de formation reste dans sa catégorie avec bonification d’échelon.
    Les textes de la fonction publique sont donc clairs et les agents du ministère de la santé sont régis par les mêmes textes et non par d’autres agents.
    J’imagine un peu les policiers réclamer que les textes de leur corps soient conforment aux textes généraux et les gendarmes se lèvent pour dire comme ce sont des « simples » policiers donc ils ne méritent pas cela.
    Pour ceux qui ne savent pas : l’infirmier ou la sage-femme n’est pas un petit médecin mais un infirmier ou une sage-femme tout court. Ce sont trois corps différents qui doivent travailler en tandem pour la santé de la population. Hélas à cause de la pauvreté de mon pays, l’infirmier et la sage-femme sont obligés, en plus de leur rôle propre, de faire le travail d’un autre corps.
    Pour un député de la république : dans tout corps il faut aussi des cadres pour assurer la formation de la relève.
    Merci ! Que Dieu bénissent le BF, gloire éternel à ceux qui œuvrent pour la santé de la population dans l’intégrité, la loyauté la dignité et le respect de ces semblables.

  • Le 14 avril 2018 à 16:11, par le broussard En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Je suis confus de voir que la même fonction publique qui regit les textes Cause des problemes de cathegorisation au ministère de la santé .la cathegorie P n’est pas pr un corps ni pr un titre . En ce que je sais , c’est le ministère qui revalorise et non les travailleurs qui se partagent les cathegories . Laissons le temps en faire le temps . Les gens veulent créer des problemes au M.S . Pour l’instant on vous suit mais on ne vous croit pas .

  • Le 14 avril 2018 à 16:54, par Le maroc En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    C’est du n’importe quoi. Je ne m’en reviens pas quand on veut comparer un infirmier à un médecin. Ce sont deux corps complètement différents et chacun a son rôle à jouer. Mais ce que l’on voit au Burkina, c’est que la délégation de certaines tâches médicales aux paramédicaux du fait du nombre insuffisant des medecins a fait croire à certains que l’infirmier est un médecin. Je dis non. Un faux procès est fait SYMEB car la décision de classification catégorielle revient au gouvernement en classant chacun là où il mérite. C’est tout. En ce qui concerne la compétence de médecins burkinabé, je laisse chaque individu apprecier car chacun ou chacune de nous a eu besoin d’un médecin personnellement ou une proche. Le SYMEB n’est pas le gouvernement, donc allez régler vos problèmes ailleurs et laissez les gens tranquille. Si le gouvernement décide de classer le conseiller de santé en PC ou même PA c’est sa responsabilité. Mais il va devoir trouver là où il va classer les médecins car un médecin n’est pas un infirmier. C’est clair et net. Si chacun reste dans ses prérogatives, le système de santé n’aura aucun problème. C’est la confusion de rôle qui nous donne ce cafouillages aujourd’hui.

  • Le 14 avril 2018 à 17:43, par patriote2000 En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Le gouvernement est donc interpellé et il faut qu’il prenne ses responsabilités. Si un corps de la fonction publique comme celui des infirmiers n’est pas nécessaire, pourquoi ne pas le supprimer purement et simplement. Les médecins se chargeront de faire tout le travail. Si le corps des infirmiers est important, alors penchez vous sérieusement sur la question.
    Il faut qu’il ait des reformes courageuses dans la formation. Par exemple pour les master en santé publique ou épidémiologie, pourquoi ne pas permettre aux autres corps de participer. Cela n’empêchera pas les médecins compétents de passer.
    Le reclassement des conseillers en PC n’est doit pas être à négocier. La négociation devrait se situer au niveau des modalités de mise en œuvre. Doivent ils être reclasser systématiquement ou cela doit être conditionné par l’obtention du PhD ? Les mettre en extinction parce qu’un infirmier ne doit jamais arriver en PC n’est absolument pas une option. C’est à l’Etat de spécifier les besoins chaque année en conseillers santé et procéder à leur recrutement et à leur formation. Le SYMEB ne pourrait se substituer à l’Etat.
    Et il faut que cela soit claire pour tous, aucun infirmier ne veux se comparer aux médecins encore moins devenir médecin.
    De nos jours, il y a 2 types de médecin. Ceux que je connais, les vrais, qui sont prêts à se sacrifier pour le travail, qui accepte collaborer avec les infirmiers dans la prise en charge du patient (respect à eux) et les autres, ceux que j’apprends à connaitre. Ces derniers ont peur. Ils ont si peur qu’il ont créer un syndicat dont le but n’est pas de lutter pour de meilleurs conditions de vie et de travail de ses membres, mais de lutter pour qu’un autre corps ne puisse avancer. Mais sachez que nul ne peut arrêter l’évolution. Tôt ou tard, ce syndicat disparaitra comme il est venu parce qu’il ne pourra jamais atteindre ses objectifs.

  • Le 14 avril 2018 à 18:11, par La vérité En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Mon frère TIENTIKI, saches même que si les inspecteurs de l’enseignement sont classés en P c’est leur P et je suis content pour eux. Ceux qui sont recrutés avec le niveau doctorat dans l’enseignement sont généralement des hospitalo universitaires. Ici au Ministère de la santé ceux qui ont le doctorat sont en P et toi avec ton master tu veux être en P. C’est de la sorcellerie ou bien. Trouve toi une autre catégorie et laisse le P des médecins. Le boit à beau duré dans l’eau il ne sera jamais caiman. Vous trouvez toujours dans le médecin votre problème. Avec la création du SYMEB les médecins ont bcp compri. Ils ont une struture qui lutte pour leurs conditions de vie et de travail n’en deplaisent au jaloux et mesquins.

  • Le 14 avril 2018 à 18:13, par warrior En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Je ne voit pas où se situe le débat. Le SYNTHSA n’a pas demandé au SYMEB de classer les conseillers en catégorie P. Le SYNTSA demande cela au gouvernement de reclasser les conseillers en P selon sa plateforme revendicative et je ne crois pas que l’arbitrage doit etre fait par le SYMEB. S8 actuellement attaché et je ne doute pas que je serai en P. Lorsque l’Etat honorera ses engagements il est loisible à Alfred et à sa bande de changer de catégorie.Ils pourront aller en catégorie Q par exemple et c’est leur droit etant entendu qu’ils estiment pouvoir décider de la catégorie d’un groupe professionnel. Le SYMEB n’est pas le Ministère de la santé encore moins le Ministère de la fonction publique.et lfred n’est pas le Ministre de l’Economie . Le reste demeure une masturbation de l’esprit...

  • Le 14 avril 2018 à 20:21, par la raison En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Catégorie P n’est pas une catégorie de médecins ou de titulaires de doctorat uniquement....
    d’autres y accèdent à la même catégorie P avec des années de formation professionnelle cumulée... c’est le cas des Conseillers pédagogiques de l’enseignement secondaire en catégorie PC comme le médecin généraliste et L’inspecteur de l’enseignement secondaire en catégorie PB.. pas loin du médecin spécialiste...
    Donc pourquoi empêcher les paramédicaux de poser leur revendications.
    pire vous les taxer de jaloux, et qu’ils ne seront jamais médecins. nulle part ils n’ont demander à être médecins...
    Retenez mes médecins qu’on peut accéder en catégorie P sans doctorat par concours professionnels avec des années de formation professionnelle cumulée....
    Infirmiers luttez !!!

  • Le 14 avril 2018 à 20:33, par un avis En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Cet écrit porte sur un sujet dont il fallait debattre un jour ou l’autre. C’est le cas aujourdhui et les différentes réactions le montrent si bien. Je note qu’il ya des opinions sur la question qui sont tellement catégoriques et empruntes de passion. Le texte porte sur l’avenir des conseillers et attachés de santé qui subissent une injustice dans leur carrière. L’internaute No 19 nous apprend qu’on n’a pas forcement besoin d’un doctorat pour être en catégorie PC. Du reste si c’était l’exigence absolue, pourquoi le système de santé ne valorise t-il pas ce doctorat en soins infirmier ?
    Ma suggestion est de demander aux responsables du système sanitaire et ou à l’Etat d’aller jusqu’au bout de la reforme LMD pour eviter ces incompréhensions :
    Les emplois de IDE/SFME, Attaché et Conseiller de santé correspondent-ils respectivement aux niveaux Licence, Master et Doctorat. Si non, préciser clairement les conditions pour être à ces différents niveaux en enlevant toute ambiguité, autrement dit appeler un chat un chat.
    Nous voulons que notre système de santé soi de qualité, il nous faut un personnel médical et non médical de qualité. Il est necessaire de reconnaitre, de valoriser toutes les compétences.
    En fin de compte il sera utile d’établir un véritable partenariat entre personnel médical et non médical qui sont tous les deux faces de la même monnaie. C’est ce qui semble être le plus difficile, pourtant il faut y arriver.

  • Le 15 avril 2018 à 08:52, par Kankeletigui En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Je pense que le SYMEB se trompe de combat. Il doit travailler à fédérer ces militants pour avoir plus que le salaire des magistrats ( Bac+6). au lieu de piétiner les petits. Un syndicat ne lutte pas contre un autre syndicat. C"est dommage !
    Moi je pensais que le doctorat était synonyme d’intelligence. Mais je ne savais pas qu’il y avait aussi des idiots qui sont "Docteurs". Excusez-moi le pays est mal barré avec cette nouvelle génération d’idiots.
    Certains infirmiers m’ont dit que eux ils cherchent à avoir le même salaire que les magistrats avec Bac+6 et qu’ils ne veulent pas ressembler à cette "bande d’idiots" qui ne veut pas progresser sur le plan salarial. Je pense qu’ils voient plus juste que ce Alfred et sa bande d’idiots qui le suivent. Bon wekend !

  • Le 15 avril 2018 à 11:14, par oklm En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    C’est grave. Non contents d’être dans la même catégorie que ceux ayant le doctorat, ils veulent plus, c’est à dire être des enseignants hospitalo-universitaires.

  • Le 15 avril 2018 à 13:02, par RAK En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Je ne comprend rien les lettres de l’alphabet ne sont pas épuisées à ce que je sache.Donc si le symeb ne veut pas voir les conseillers de santé en P qu’il prennent la catégorie "Q" et on va quitter ici.

  • Le 15 avril 2018 à 13:13, par Monsieur KABORE En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Bonjour ! Le débat semble déplacé.Il y a des infirmiers qui s’inscrivent en première année de médecine, font le cursus universitaire et deviennent médecins avec un doctorat plein ! Au lieu de vouloir des raccourcis en se cachant derrière des concours fallacieux, ceux qui veulent la catégorie de médecin pourraient emboiter le pas !
    Mais je signale qu’il y en a qui ont essayé mais ont fui ; ce n’est pas ce qu’on fait ni à L’ENSP ni aux concours ; c’est huit années de combat ! A bon entendeur...

  • Le 15 avril 2018 à 16:32, par KONDITAMDE André En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    C’est malséant, déplacé, inopportun, maladroit, incongru, inconvenant et choquant qu’un Médecin se fixe comme préoccupations la carrière des infirmiers ; sauf s’il fait une confusion effroyable entre le corps des Infirmiers et celui des médecins, au même titre qu’un enseignant du secondaire qui s’en mêlerait de la carrière professionnelle d’un enseignant du primaire, ou d’un gendarme avec un policier ou d’un parce que l’un n’est pas dérivé de l’autre. ARRETONS CA ; ON NE VOIT CELA QU’AU MINISTERE DE LA SANTE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

  • Le 15 avril 2018 à 17:11, par BANGOSMANN En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Moi, je ne comprend rien de la part de nos autorités sanitaires dont la quasi-totalité sont médecins :
    - 1. l’infirmier burkinabé est le seul de la sous région a être recruté à niveau terminal (ailleurs c’est le BAC), c’est le constat de l’OOAS aussi, encore de l’injustice ;
    - 2. l’infirmier (attaché de santé, conseiller de santé) est le seul corps de l’administration publique qui a (rarement) accès à une nomination à un poste de responsabilité, encore une forme d’injustice,
    - 3. l’adjoint de cadre hospitalier peut accéder au corps de gestionnaire des hôpitaux et ensuite administrateur des hôpitaux par concours prof (en A1). L’infirmier est recalé en A2 après avoir fait le même nombre d’années, encore de l’injustice,
    4. l’infirmier (conseiller de santé) a accompli sept ans d’études professionnelles après le BAC, il ne mérite pas toujours le corps P. c’est aussi de l’injustice ;

    FINALEMENT QU’EST CE QU’ON VEUT POUR CE CORPS ? L’INFIRMIER (IDE, attache de santé, conseiller de santé) NE CHERCHE PAS ÊTRE MÉDECIN MAIS IL VEUT ÊTRE TRAITE DE LA MÊME MANIÈRE QUE LES AUTRES CORPS DE L’ADMINISTRATION PUBLIQUE.
    Si on ne prend garde, il peut avoir affrontement entre ces deux corps et ça ne sera pas intéressant
    juste l’analyse d’un citoyen éclairé.

  • Le 15 avril 2018 à 22:07, par Wendkouni En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Doctorat ? C’est l’équivalent d’un Master tout simplement. Des doctorats d’état qu’on présente en 15-20 minutes où les le comité scientifique et les membres du jury aident l’étudiant à répondre aux questions. Des gens soutiennent et ne peuvent même pas produire un bon article . Le ministre de la santé ne se résume pas aux médecins

  • Le 16 avril 2018 à 00:57, par Ange En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Doctorat=Master mon œil whai. DOCTORAT #Master. De grâce renseignez vous sur la valeur des diplômes ou arrêtez le cynisme. Le Médecin doit obligatoirement sortir avec un niveau DOCTORAL. Raison pour laquelle il n’ya pas de Licence ni de Master en Médecine comme en économie ou dans toute autre filière. En rappelle, pour accéder à la faculté de Médecine il faut avoir un BAC avec mention ce qui n’est pas le cas dans les autres filières dont vous accordez de la valeur à leur DOCTORAT. Vouloir diminuer le DOCTORAT médical c’est ridicule.

  • Le 16 avril 2018 à 08:58, par Abèfô En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Un syndicat intelligent ne lutte pas contre les acquis d’un autre. C’est un principe élémentaire syndical. C’est pourquoi, vous voyez qu malgré le débat sur le fonds commun, aucun syndicat sérieux n’a osé s’y opposé. Alors, pourquoi le SYMEB va s’opposer à la lutte des infirmiers et sages-femmes ? Donc vous voyez que le responsable du SYMEB cherche vraiment la courte échelle politique. Mais, le gouvernement n’est pas bête pour donner un poste à un "idiot" comme ça !
    Je dis aux autres syndicats sérieux de faire attention à ce faux médecin du SYMEB qui a failli élimer son propre père avec over-dose de Digoxine, n’eût été l’intervention de la réanimation. On se connait suffisamment dans ce pays. Le Burkina Faso est pays de savane. On connaît les faux médecins de Zogona. kiakiakiakiakia !!!!

    • Le 17 avril 2018 à 22:36, par Ange En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

      Évitons les attaques de personne et les calomnies. Si on est à cours d’arguments, on se tait. Parce-que ici le débat tourne autours d’un sujet précis. Qu’on soit à cours d’arguments et on procède à des insultes, à des diffamations, cela n’est pas bon. Une telle attitude est une bassesse. Au demeurant quand il s’agira de discuter de la compétence des médecins ou des infirmiers chacun aura beaucoup à dire que ça soit les infirmiers à l’égard des médecins ou les médecins à l’égard des infirmiers. Pour l’instant évitons les attaques de personnes. Ce sont ces faux médecins de ZOGONA qui vous soignent ainsi que votre famille pour l’instant ; ce sont eux vos supérieurs que vous le voulez ou pas. Certains ont méprisé ces faux médecins de zogona et ils ont été finalement sauvés par ces même médecins malgré leurs tours dans tous les pays occidentaux

  • Le 16 avril 2018 à 09:48, par Mme Yaméogo En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Je crois que le problème au Burkina Faso réside dans le fait que nos centres de santé ne disposent pas de beaucoup de médecins. Quand on va dans une clinique, cest le médecin qui t’accueille pour le diagostic, qui te fait au besoin le bulletin d’examen, les différentes prescriptions. A l’hôpital par contre, surtout la nuit aux urgences ce sont les infirmiers et défois il y a des erreurs car les diagnostics sont mal faits. Je tenais à souligner cela car j’ai perdu une soeur au CHR de Koudougou comme cela. C’est quand elle mourrait qu’on a su qu’elle était dans un comas diabétique. Ils avaient déjà mis du glucosé.....C’est pour dire que le médecin a sa place et l’infirmier la tienne. Ils doivent collaborer pour la santé des populations. Beaucoup de gens se plaignent des erreurs dans nos centres de santé.

    • Le 16 avril 2018 à 11:03, par dignité En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

      Vous faites vraiment pitié avec vos diplôme et vos différents reclassements ? l’état est entrain de vous vilipendez. attrapez vous les mains dans les mains et lutter ensemble et vous verrez les résultats que de passer votre temps à parler de n’importe quoi. Si vous ne vous entendez c’est le patient qui perd et de toutes les façons le patient peut être votre père, votre mère.... si non que se soit médecins, attachés, conseillers ou autres ça na va toujours pas. aucun médecin ne peut se comparer à un financé niveau CEPE, un diplomate niveau BEPC qui fait 5 ans en Ambassade, à plus forte raison un magistrat donc mes chers pauvres la lutte est longue. Du courage....

  • Le 2 juin 2019 à 10:33, par Hummm En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Waouh !quel bel exemple de solidarité entre agents du ministère de la fonction publique !!! Aucun pour rattraper l’autre (que ce soit médecins ou paramédicaux). Je ne suis pas un intéllectuel à "deux sous" fort heureusement...comme le prétend être l’un ou l’autre des deux corps (infirmiers et médecins), je ne suis qu’un pauvre burkinabè soucieux de sa santé, mais néanmoins je trouves que pour des intéllectuels le comportement que vous avez est à la "limite" déplorable et pathétique et plus d’un de ce vaillant peuple qui vous lit depuis le départ ne s’aurait me dire le contraire...Donc si je comprends bien, en aucun moment, aucun de vous : je parle bien sûre des deux syndicats de la santé, et ça malgré toutes "les grosses têtes" que de part et d’autre vous dites avoir au sein de vos instances(syndicats) dirigentes ne s’est dit qu’au finish ce conflit profite bien à ce gouvernement à qui vous êtes cencés demander des réparations pour votre "dignité " et pour le bien être de la population ??? je pousse même ma réflexion que certain califirait de paranoïde plus loin...Donc vous ne vous êtes jamais demander si la loi (081 si je ne me trompe) en question sur laquelle les uns et les autres s’appuient pour attiser les tensions...et réglementant le reclassement et l’avancement des fonctionnaires de la fonction publique adopté sous la transition n’avait pas pour seul dessein, depuis son élaboration... de sémer la zizanie et de vous opposez les uns aux autres au sein de certains ministères de la fonction publique, en l’occurrence celui de la santé et j’en passe....? Parce que à mon humble avis : "ceux qui vous gouverne vous connaisse bien...et mieux que vous même...."humm ! bon bref, qui sait ? peut être bien que c’est juste une idée délirante qui émane de mon esprit (Rire)....Néanmoins Je vais jusqu’à affirmer qu’il savait que tôt ou tard vous alliez vous livrez une guerre,au lieu de vous unir ; outre cette lutte noble qui est de revendiquer des meilleurs conditions de vie et de travail pour le bien être des populations et qui se trouve être tout à fait légitime, cet autre guerre" du tube digestif" sachant que ce serait les intêrets immorals et égoïstes des uns qui prendraient le dessus sur les revendications nobles des autres conduisant ainsi tout le corps médical dans l’impasse....Sinon comment peut on comprendre que le gouvernement veuille discuté avec tout les acteurs de la santé pour une sorti de crise et l’un comme l’autre vous exigez des discussions exclusives ??? Alors que nul besoin d’être une lumière comme le prétend certains pour comprendre que vos dissidences qui sont moindres d’ailleurs ne se situent que sur certains points de vos revendications respectives....Oh ! Pauvre de nous qui nous reclamions héritier du feu !!! Thomas Sankara...Pauvre de cette population qui pour la majorité vit en dessous d’un dollar et qui en plus de se débattre tous les jours pour survivre sur un continent ou que dis je...?dans un pays où son propre gouvernement n’aime pas assez son peuple pour adopter des politiques de bonnes gouvernances comme dans ces pays d’outre mer, elle est encore obligé de récolter les pots cassés de cette lutte entre acteurs de la santé...Hummm !pour ma part je vous exorte à poursuivre votre lutte fratricide teintée d’égocentrisme, peut être qu’un jour par le miracle des choses vous comprendrez pourquoi bien que étant les plus méritant des agents aux yeux de cette population...(Parce que quoi que l’on dise à travers la presse locale et les plates formes comme internet on se rend compte que seul le mouvement des agents de la santé publique a eu un écho aussi favorable aux yeux du peuple...) vous êtes les derniers de "la classe", qui s’appelle la fonction publique et cela au profit de certains corps qui béneficient de toutes les largesses de ce gouvernement . Commet voulez que le peuple sorte dans les rues pour vous soutenir, si vous êtes incapables en interne de taire vos divergences afin de vous unir pour atteindre un objectif commun ? hein vous aussi ? Chacun rejettant sans vergogne la responsabilité sur l’autre...Permettez moi de terminer en disant que je trouves puéril et indescent que certaines personnes jouent içi au jeu de savoir, du médecin à l’infirmier qui a plus commis des erreurs médicales. Parce que aussi petit que soit votre esprit s’il était doté ne serait ce qu’une graine de bon sens vous aurez compris que c’est le manque de maturités professionnels (collaboration franche et fraternelle ) entre les différents acteurs de la santé qui est à l’origine de ces ratés dont les conséquences sont le plus souvent dramatiques pour nous ...Alors je vous invitent tous autant que vous êtes Symeb, Syntcha à prendre de la hauteur dans vos négociations....Afin de donner aux contribuables que nous sommes et qui avons participés au cas ou vous l’auriez homi à votre formation, des soins de qualités... Et cela ne s’aurait se faire sans l’Union sacrée de tous les acteurs de la santés quels qu’ils soient.

  • Le 24 juin 2019 à 10:14, par Impérial En réponse à : Fonction publique burkinabè : Clarifications sur les questions de gestion des carrières des infirmiers et sages-femmes

    Bonjour à tous ! Je crois que le SG du symeb à donner son point de vue. Ce que je déplore est que les gens ne mène pas le combat où il faut le mener. A ce que je sache,le Symeb n’est ni la DRH,ni le ministère de la fonction publique pour bloquer un quelconque reclassement. En toute honnêteté, si vous voulez votre reclassement, mener votre combat au niveau du ministère de la fonction publique. Si selon les textes ont doit vous reclasser, je ne vois pas comment le symeb pourra le bloquer.

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