Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Après la première partie de l’entretien avec Ablassé Ouédraogo, président du parti Le Faso Autrement, publiée hier 25 juin 2014, nous vous proposons la suite. C’est aussi la fin. Il aborde dans cette interview des questions d’actualité, l’affaire Nébié du nom du Juge membre du Conseil constitutionnel retrouvé mort le 24 mai dernier sur la route de Saponé et aussi la présidentielle de 2015. Dans son franc-parler, il ne manque pas de lancer des piques à ses adversaires politiques sur ceux du Congrès pour la démocratie et le progrès et au président du Faso, Blaise Compaoré, dont il a été le Ministre des Affaires étrangères pendant 5 ans (1994-1999). Lisez !
Le stade était de tout même plein au début…
Le stade a été rempli à un moment donné de la journée tout simplement parce qu’il y avait des chanteurs qui prestaient. Et là encore, pour aller au stade, on vous donnait un tee-shirt et la somme de 2000 FCFA. Tout cela pour un concert gratuit. C’est à la limite comme de la viande d’âne qu’on distribuait gratuitement. Le moment le plus important du meeting était celui des discours. C’est en ce moment que le stade s’est vidé. Au lieu de penser que c’est parce que les gens craignaient de ne pas avoir leurs bus, les dirigeants du CDP devaient plutôt comprendre que c’est parce que les messages n’intéressaient pas les populations. Ils en ont marre. C’est pour cela que je dis que si leur objectif est d’aller prêcher dans le vide et au vide, ils nous font perdre le temps.
Aussi, dans ce que j’ai lu, je remarque que le CDP est maintenant une « vache » comme l’a même souligné l’un des ténors du CDP. Si c’est le cas, est-ce que vous pensez que toute la population trouve son compte dans cela ? Tout cela me convainc que ces gens-là n’ont plus d’idée et ils devaient rendre le tablier et laisser le pays progresser dans la paix avec un nouveau souffle, une nouvelle dynamique et une nouvelle vision du développement. Nous ne voulons pas des comparaisons du genre le CDP est une vache et notre président est un berger. C’est vraiment très réducteur.
Les organisateurs du meeting ont dénoncé la présence d’infiltrés qui ont lancé une fausse alerte…
Ce sont les méthodes du CDP. Quand le CFOP a organisé son meeting le 31 mai dernier à Ouagadougou, j’étais d’ailleurs le coordonnateur général des activités, est-ce que les gens sont partis quand les leaders de l’Opposition parlaient bien qu’un soleil de plomb tapait sur eux ? Non ! Tout simplement parce que le peuple burkinabè est maintenant mûr. Il sait ce qu’il veut. On n’a pas besoin de payer quelqu’un pour aller écouter un message. Des astucieux ont eu l’imagination fertile de se présenter à plusieurs endroits et ont pris à plusieurs reprises l’argent qui était distribué. C’est un gaspillage qui ne se justifie pas. On n’a pas besoin de faire de la corruption le moteur de l’existence d’un parti qui a passé au tant d’années. C’est une honte pour le CDP que de continuer à garder les gens à cause de la misère sous l’emprise de l’argent. Au lieu de donner le poisson tous les jours, nous, les dirigeants consciencieux cherchons à apprendre aux populations à pêcher et à se nourrir tous les temps. Cette méthodologie du CDP doit s’arrêter. De toutes les façons, le mouvement vers l’alternance est en marche et novembre 2015 n’est plus loin. C’est seulement dans 17 mois.
L’Opposition a subi, le 14 juin dernier, son premier revers à Bobo. Comment avez-vous vécu cela ?
Bobo, contrairement à ce qui se dit, a été un succès. Le stade Sangoulé Lamizana compte quand même 35 000 places. La population de Bobo n’est pas aussi grande que celle de Ouagadougou. Et encore une fois, le stade était plein. Il y avait de la qualité chez ceux qui étaient venus écouter le message. L’important dans ces manifestations c’est bien sûr le message mais aussi l’impact. Ceux qui ont écouté le message vont le partager avec d’autres personnes. J’ai aussi remarqué que Bobo est encore plus déterminé que Ouaga pour aller vers le changement. Le message que nous avons passé consistait à dire non au référendum, à la modification de l’article 37, au pouvoir à vie. L’autre fait marquant est que le carton rouge sorti par Arba Diallo contre le joueur Blaise Compaoré se vendait comme de petits pains. Ce qui veut dire que les gens comprennent bien ce que l’Opposition et les autres partis politiques font sur le terrain.
Certains commentaires laissent croire que l’Opposition a changé son discours parlant maintenant d’appeler à voter NON s’il y a référendum…
Il y a plusieurs scenarii. Nous disons que si le référendum doit suivre le chemin normal, il devra respecter les articles 163 et 164 qui disent que le président du Faso, avant d’appeler le référendum doit obtenir l’appréciation du parlement. Mais un travail sera fait au niveau des parlementaires pour bloquer ce projet et tuer le poussin dans l’œuf. Ce qui ne laissera même pas une chance que le président convoque le référendum. Maintenant s’il veut faire ce qu’il ne faut pas en utilisant l’article 49 en fonction de ses prérogatives personnelles, c’est là que les choses peuvent basculer. Il en est conscient et tout le monde le sait. Nous sommes en République, nous avons une Constitution, nous demandons qu’elle soit respectée et soit appliquée dans son entièreté. Il n’y a donc pas de difficultés en cela. Tout le monde sait ce qu’il faut faire et ce qu’il faut éviter. J’aime à le dire que le sort du Burkina Faso est entre les mains des Burkinabè mais la clé de la paix sociale est entre les mains du président Compaoré. Et il le sait très bien, nous le savons, tous, aussi.
Pour avoir travaillé pendant longtemps avec le président du Faso. Pensez-vous qu’il va effectivement aller au référendum ?
Même avant de collaborer avec lui, on se connaissait. Si j’ai un souhait à formuler, c’est que le président du Faso, compte tenu de l’aspiration de son peuple à aller vers l’alternance et le changement, qu’il n’appelle pas à un référendum qui va modifier l’article 37. C’est là où le pays pourrait aller vers une situation difficile. C’est un souhait que je formule et j’espère qu’il le lira.
Mais maintenant le président du Faso est un grand homme, il est un stratège et il a aussi de la vision. Il aime et a beaucoup fait pour le pays. Je suis donc convaincu qu’il ne posera pas des actions qui feront basculer notre pays dans le chaos. Ce n’est pas l’homme que je connais qui va prendre cette décision. Mais il est un homme politique qui doit vivre avec son entourage, ses ouailles. Il doit s’occuper d’eux. Ce qui pourrait l’encourager à appeler au référendum. Ce qui est important, le temps passe et toute modification de la Constitution deviendra difficile bientôt.
Dans le paysage politique actuel, l’ADF/RDA fait office de faiseur de roi. Comment appréciez-vous la position du parti de l’Eléphant ?
Ce sont des amis politiques qui ont leur point de vue. Ils ne veulent pas de la modification de l’article 37. Ils disent aussi qu’en cas de référendum, ils battront campagne pour le NON. C’est leur position. Ils rejoignent l’Opposition sur la question de l’article 37. Nous, au niveau de l’opposition, refusons le référendum pour des raisons évidentes.
Primo, nous considérons que le référendum est une ineptie politique et un coup d’Etat constitutionnel. En tant que tel, le référendum est un facteur de division. C’est un facteur d’élargissement de la fracture sociale. Parce qu’avec le référendum, on ne peut pas avoir une solution définitive. Il y aura toujours deux bords alors que le Burkina n’a pas besoin de se diviser au tour d’une question qui ne concerne qu’une seule personne : le président Blaise Compaoré. Tous les 17 autres millions de citoyens ne sont pas concernés par la modification de l’article 37.
Nous disons aussi que c’est coûteux. Au moins 30 milliards FCFA à investir pour donner satisfaction à un seul individu, sur 17 millions de personnes. C’est grotesque, inacceptable. Ce n’est d’ailleurs pas utile pour le Burkina d’aller à un référendum maintenant parce que nous avons des priorités que sont entre autres la nourriture, l’eau, la santé, l’école, le logement, etc. Ce qui est plus grave pour notre pays, c’est que le référendum pour modifier l’article 37 est un coup d’Etat constitutionnel, lui même assimilable à un coup d’Etat militaire. Alors que modifier la Constitution pour garder le pouvoir n’est plus accepté par les institutions sous régionales, continentales ou même internationales. Le Burkina tombera dans l’isolement. Et ce sont encore les pauvres populations qui vont en partir parce que si on sait que 75% des financements de notre économie viennent de nos partenaires étrangers. Et si du jour au lendemain ces derniers nous disent que parce que nous sommes dans une situation inacceptable, ils arrêtent leur aide. Que fera le Burkina qui, plus, est un pays enclavé ? Nous voulons appeler la conscience de ceux qui gèrent actuellement le pays afin qu’ils comprennent que l’intérêt général doit être supérieur à l’intérêt particulier. En dehors des points de convergence avec l’ADF/RDA, à l’Opposition, nous ne voulons pas entendre parler de référendum parce que c’est inopportun, couteux et inutile.
Vous parlez de coup d’Etat alors que la Constitution n’interdit pas la révision de l’article 37. N’y a-t-il pas une contradiction ?
C’est la procédure qui fait qu’on tombe dans l’illégalité. Ce n’est pas que la Constitution interdit la modification de l’article 37. Si le président du Faso veut utiliser l’article 49, la prérogative personnelle, il faut que le sujet ne touche pas à la modification de la Constitution dans son ensemble. Alors que nous savons que si l’article 37 est modifié, c’est la Constitution qui est modifiée. Si c’était par exemple, un référendum pour demander au peuple s’il est pour ou contre la réduction du prix du maïs, personne ne s’en plaindrait puisque le référendum ne modifiera pas la Constitution.
Est-ce à dire que vous êtes pour un référendum qui ne toucherait pas à l’article 37 ?
Toutes les questions d’intérêt national peuvent être soumises à référendum. Mais comme si ce référendum concerne la Constitution, il faut utiliser les articles 163 et 164. C’est-à-dire obtenir d’abord l’appréciation du parlement. Et si le référendum ne touche pas la Constitution, il peut utiliser l’article 49 et s’adresser directement au peuple.
Allez-vous donner votre caution pour un référendum qui ne touche pas à la Constitution ?
Nous sommes pour l’intérêt général. Si les questions abordées ont une certaine importance pour toute la population, nous sommes concernés.
Vous aviez écrit dans la presse que la grosse erreur de Blaise Compaoré était le CCRP. Le maintenez-vous ?
Oui. C’est parce qu’il y a eu les conclusions du CCRP que nous sommes dans cette situation d’incertitude. Son existence n’était pas légale. Ce qui est pris comme conclusions n’avaient pas un caractère obligatoire. Malheureusement, le pouvoir s’est servi de ces conclusions pour faire ce qu’il a bien voulu notamment entre autres la tentative de mise en place du Sénat. Mais il est allé tout droit dans le mur puisque le Sénat n’a pas pu être mis en place.
Vous aviez également traité d’arnaques les mesures sociales du gouvernement. Mais on constate qu’elles ont fait des heureux…
Je ne condamne pas l’opérationnalisation de ces mesures. C’est plutôt la démarche pour y arriver qui me pose problème. C’est sur le budget 2014 qui est en cours d’exécution que le gouvernement entend prélèver les 114 milliards FCFA. Ce qui signifie que nous sommes en face d’un gouvernement qui manque de vision. Avec l’état de la Nation, ils auraient pu mettre dans le budget de l’Etat des lignes pour ces mesures sociales. En plus, cette révision budgétaire n’est même pas encore passée à l’appréciation de l’Assemblée nationale. Ce qui fait qu’on ne sait toujours pas les lignes sur lesquelles ils ont prélevé ces presque 200 milliards. C’est dangereux. Ils le font parce que nous sommes en précampagne et ils veulent montrer au peuple qu’ils s’occupent de lui. Mais nous estimons que les choses ne se font pas ainsi. Le développement consiste à prévoir sur le long terme. Comment rattraper ce qui avait prévu comme investissements et qui se retrouve aujourd’hui dans la casserole des mesures sociales ? Il ne faut pas être sorcier pour voir. Mais nous sommes confiants que le peuple saura marquer la différence.
Le médecin-légiste français, Stéphane Chochois, après l’autopsie sur le corps du juge Nébié, a conclu à une mort accidentelle. Quel commentaire faites-vous ?
Je suis ahuri et choqué par ce qui est arrivé à l’ambassadeur Salif Nébié. Je l’appelle ainsi parce que j’ai eu le bonheur et le plaisir de travailler avec Salif Nébié quand il était ambassadeur à Cuba et moi ministre des Affaires étrangères. Ce qui lui est arrivé est inacceptable. Personne ne peut accepter que dans un pays comme le nôtre qu’on vive ce qu’il a vécu. La justice s’est saisie du dossier. C’est déjà un pas et tous les Burkinabè attendent de voir que la lumière soit rapidement faite sur cette affaire.
Nous estimons, dans la gestion de cette affaire, que ce n’est pas Jeune Afrique qui aurait dû informer le Burkina du contenu de cette autopsie qui a été commanditée par les autorités de notre pays. Mais ce sont ces dernières qui auraient dû nous en informer.
J’espère que le Syndicat des magistrats et l’Ordre des médecins du Burkina Faso donneront les réactions appropriées à ce rapport du Dr Chochois. Car il ne faut pas être un expert en sécurité routière pour comprendre qu’il ne s’agit pas d’un accident de la circulation. Si on parle d’accident, il y a toujours des traces sur le sol. Mais je ne pense pas que quelqu’un en ait fait écho. Salif Nébié ne peut pas être mort comme cela. C’est pour cela que nous espérons que les autorités judiciaires prendront les dispositions appropriées pour que la vérité soit dite et pour que la justice soit faite. Le Burkina va vers des échéances importantes et si tout le monde doit vivre dans la peur, ce sera difficile. Nous souhaitons donc que ceux qui ont le devoir de clarifier ce dossier le fassent le plus rapidement possible pour que le peuple sache ce qui est arrivé à Nébié Salif. Il ne méritait pas de mourir comme cela.
On a l’impression que ce dossier est politique que judiciaire…
C’est le contexte qui l’impose. J’étais au cimetière de Gounghin pour son enterrement, et j’ai pu voir la colère de la population et tout le chahut dont ont fait objet le président du Conseil constitutionnel et ses collaborateurs. Si cette institution est ainsi mise à mal, cela indique que beaucoup de choses ne vont pas dans notre pays. Et nous avons le devoir d’assurer à notre peuple, la paix sociale, la justice, la sécurité. C’est la première responsabilité de ceux qui sont aux affaires. Qu’ils assument.
Lors du premier congrès de l’UPC, Mahama Sawadogo du CDP a été hué par la foule. Quel commentaire faites-vous sur cet incident ?
Le représentant du CDP a tout simplement été imprudent et provocateur. J’étais là. On l’a hué lorsqu’il a commencé à introduire dans son mot d’encouragement et de soutien au congrès la question du référendum. Est-ce à cet endroit qu’il fallait venir parler du référendum quand on représente le CDP ? Je pense qu’il a eu la réaction à laquelle il fallait s’y attendre.
Les congressistes ne s’attendaient pas à ce qu’il dise qu’il est contre le référendum ?
Il pouvait faire son discours sans parler du référendum. Vous êtes libre de parler ou de ne pas parler lorsque vous êtes invité au congrès d’un parti. Lorsque vous choisissez de parler, il faut éviter les sujets qui fâchent. On n’a pas besoin d’être expert en politique pour le savoir.
Certains observateurs s’inquiètent que les CCR ne soient une voie ouverte à une sorte de « milicisation » dans nos villes et campagnes ; avez-vous pris des dispositions pour éviter un tel dérapage ?
Encore une fois, il faut être clair. La mise en place des comités contre le référendum fait partie de la feuille de route que l’Opposition s’est donnée et qui a été présentée à la presse et au public le 15 mai dernier. C’est une forme d’action pour conscientiser davantage les Burkinabè dans leur lutte contre le référendum. Il n’y a rien au-delà de cet aspect. Si d’aventure, ceux d’en face devenaient un tant soit peu raisonnables et déclaraient qu’il n’y avait pas de référendum, tout ce que nous avons annoncé ce jour-là tombe de lui-même. Personne ne veut amener des perturbations ou des difficultés à notre pays. Mais c’est une forme de lutte. Et comme tout le monde est fatigué et aspire au changement, c’est pour cela que, à travers la mise en place des CCR, nous voulons que tous les Burkinabè comprennent que le référendum n’a pas sa place en ce moment au Burkina Faso. Surtout si c’est pour modifier l’article 37 et permettre la « monarchisation » du pouvoir.
La prochaine grande échéance du Burkina est la présidentielle de 2015. Serez-vous candidat ?
Pour tout homme politique qui aspire à apporter quelque chose à son peuple, la conquête du pouvoir devient l’étape ultime. Nous avons une belle occasion en novembre 2015. Le Faso Autrement présentera un candidat. Nous préparons un congrès qui va se tenir d’ici à la fin de l’année. Nous allons donc officialiser cette candidature parce que nous pensons que nous pouvons apporter un plus à ce qui se fait aujourd’hui compte tenu des atouts que nous avons entre nos mains. Nous serons donc candidat et l’officialisation se fera au cours du premier congrès du parti.
Propos recueillis par Jacques Théodore Balima et Oumar L Ouédraogo
Lefaso.net
Vos commentaires
1. Le 26 juin 2014 à 17:43, par romeo toé En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
ce monsieur se voit pas dèh comme aiment à le dire les filles ,il pense pouvoir faire quoi dans ce pays ,un politicien d’occasion vive le referendum
Le 26 juin 2014 à 23:07, par Bolibana En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Excellence Dr Ablesse,Soyez serieux dans votre argumentation ne tombez pas dans le populisme.En effet, comment pouvez-vous aller jusqu,a donner comme exemple un referendum pour faire baisser le prix du mais ect..en plus vous confimez la legalite du referendum en meme temps vous le qualifiez de putsch"anti-constitutionnel" plus loin vous dites que le referendum est source de chaos bref.Un drole de democrate devant vos contradictions,ni vous ni moi humble paysan de Ouahigouya n,avons pas ce pouvoir de decider a la place des 17millions des Burkinabe.Alors,le Seul viatique qui tient c,est le referendum car,voter ne viole le droit de personne pour paraphraser le philosophe Djibo dans les colonnes du Fasonet.Prennez l,exemple sur le l,ADF/RDA battez-vous pour le NON c,est ainsi vous epargnerez notre cher Faso de l,effondrement que vous tant.
Le 27 juin 2014 à 17:43, par Toto le danger En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Les Burkinabè , yako ! Chez nous aussi , ca commencé comme ca et puis petit a petit, c’est devenu ingérable. On a tout cassé, brulé, détruit. On s est entretué et les plus chanceux ont survécu. Aujourd’hui , on parle de réconciliation chez nous et le moko, ceux qui ne sont pas partis à la CPI savent que meme dans 20 ans, ils n’échapperont pas. La roue tourne , donc attention !!! Webmaster, s’il te plait, on est ensemble. Merci
Le 27 juin 2014 à 18:41, par l’esclave libre En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Ne chercher pas a nier ou a n’est pas reconnaître les faits qui vous sont reproche quand a ce qui concerne les démissions au sein de votre parti car on sait que c’est la vérité et on a eu également les preuves de ces démissions.Je vous rappel que ce sont ceux qui ont démissionné qui on apporté ’information.
Le 27 juin 2014 à 18:47, par commando invisible En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Me ABLASSE Ouedraogo garder votre sang froid car on sait bien que ça fait mal tout ça ;mal de voir que le pouvoir en place a la maîtrise de la situation sur tout les points.La force et la détermination du parti du pouvoir en place fait que le opposant ne méritent guerre une place et c’est pour ça il que les opposants sont comprimé et déprimés.
Le 27 juin 2014 à 19:53, par tapis rouge En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Arrêter de tenir de si propos dérégler,insensé et charismatique,vous le savez bien que ça tiens pas ces genres de choses.
Le 28 juin 2014 à 19:49 En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Wow ! L’ humble paysan de Ouahigouya qui surfe sur le net avec un francais soutenu. Quand est=ce que les militants du cdp vont meme etre un tout eptit peu malins ?
Le 27 juin 2014 à 05:21, par Le prof En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Je pense que le Cdp doit poser une plainte contre ceux qui font ces déclarations . Avez vous la preuve de la distribution de 2000 fcfa par participant ? Qui distribuait ces sous. Au cas où vous aurez les preuves , déposez plainte contre le Cdp pour corruption . Sinon , les juristes du Cdp doivent vous attaquer en justice pour diffamation .
Le 27 juin 2014 à 07:13 En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
depuis qu’on le dit,pourquoi vos fameux juristes du cdp ne posent pas plainte ? parceque c’est vrai. que les gens prennent les 2000f et les bons d’essence parceque c’est notre argent que vous volez pour vous amuser avec
Le 27 juin 2014 à 08:06 En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Si les juristes du Cdp comme tu le dis sont sur de l’innocence du CDP, qu’ils aillent poser plainte et va voir la suite. Tu parles comme si tu ne sais pas comment le CDP organise ces meeting. Oubien ya longtemps que tu as quitter le pays ?
Le 27 juin 2014 à 13:47, par boulgou En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Nous étions 104 à nous rendre au stade avec 55 motos et nous avions pas eu besoin d’un seul centime ! Si vous êtes en perte de vitesse, si vous n’avez rien à dire, fermez-les ! Et aussi arrogante et intellectuellement en perte de repère que vous êtes, si ce que vous dites étaient fondé, on verra des image sur la toile. Votre pseudo Dr, n’a pas honte de nous faire lire que des gens se sont poster à plusieurs endroits pour encaisser plusieurs fois : J’AI HONTE ! Cher ami, serais-tu devenu aussi nul et éhonté ?
Le 27 juin 2014 à 18:23, par Brotteaux des Illettes En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Le Burkina sera toujours un pays attardé. Pourquoi, par la faute des gens comme Le prof qui pour leur panse sont obligés de nier l’évidence. Sinon, des photos, il en existe
Le 27 juin 2014 à 19:30, par tchien chè En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Ce qui est sûr et ce qu’ils faudra prendre en considération c’est que même s’il y’a eu distribution de billet on s’entait tout de même la volonté partout dans la ville et au stade également on pouvait remarque cela dans les gradins et surtout l’arriver des leaders du CDP au stade.Je vous rappel que ça c’est pas rien et que désormais on doit savoir qu le peuple Burkinabé est assez mûr pour prendre des décisions ou faire des actes qui pourront aller en contre sens de leur volonté.
Le 30 juin 2014 à 09:53, par Le bon En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Ce sont les gens de votre acabit qui constituez des dangers mortels pour notre peuple. Quand est-ce que vous accepterez la vérité. Si il y a un process je suis sûr que vous aurez des milliers de témoins. Réveillez-vous et acceptez que le vent a tourney. Arrêtez vos mauvaises pratiques.
Le 27 juin 2014 à 05:24, par Le prof En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Dans ce cas , ablassé , allez au référendum puisque vous avez maintenant la preuve que le peuple ne veut plus ni du Cdp , ni de Blaise, ni du référendum. Alors vivement le référendum afin que votre peuple puisse dire vivement non et nous serons quitte.
Le 27 juin 2014 à 19:40, par réciproque fausse En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Me Ablasse arrête de nous faire des chantage surtout de ce genre car on sait très bien qui est qui et qui fait quoi dans ce pays,c’est sûrement parce que le pouvoir n’a plus besoin de vous que vous voulez coûte que coûte les nuire.Laisser moi vous dire que ce n’est comme ça que ça se passe et que vous ferrez bien de vaquer a d’autre préoccupation car ça va jamais marcher.
2. Le 26 juin 2014 à 17:53, par Sofia En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
La peur de l’opposition s’est transformé en paranoïa, une sorte de psychose des urnes. Je me demande quel argument les opposants vont utiliser en 2015 pour les élections présidentielles. Ils parlent de trucage et de bourrages des urnes pour le référendum et ils se disent prêts pour les présidentielles, comme si ces mêmes maux dont ils ont peur vont subitement cesser d’exister dans leur tête en 2015. Souvent je me demande à quoi sert la biométrie dans la tête de nos opposants ? c’est justement pour la transparence des élections que le gouvernement a misé des milliards dans la biométrie.
Le 26 juin 2014 à 22:27, par Antidépresseur En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Les élections couplées de 2012, c’était avec la biométrie mais on a vu des transports parallèles d’urnes par l’un des vôtres.
Le 27 juin 2014 à 13:38, par boulgou En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Les opposants sont aussi nuls les uns que les autres.
Cet Ablassé aui a commencé par dire que le peché de Zeph c’est d’être de l’ethnie Bissa, j’ai eu honte et je ne digère toujours pas son arrogance et sa sauvagerie.
Il devrait avoir honte de parler de son passage à la tête du MAECR, je me demande ce qu’il a fait là, tant il sait qui est burkinabé et qui est bissa.
Vivement que Dieu nous épargne de ces escrocs ! J’ai toujours dis que le peuple n’est pas dupe ! Après avoir crié sous tous les toits que la jeunesse s’engage à payer la contribution de rock, ils viennent de trouver un autre plan d’escroquerie ! Mais le peuple est vigilent et plus que jamais mobilisé. Si vous voulez faire de la politique, donnez-vous en les moyens et épargner les pauvres citoyens de cette gigantesque escroquerie ! Je lance un appel pressant à tous afin qu’une grande sensibilisation soit mener pour sauver le peuple de cette escroquerie ! En cette période de paludisme, des gens qui luttent pour le peuple doivent savoir la valeur de 500F dans le quotidien d’1.000.000 de Burkinabé !!!! BIENTOT LE MOUVEMENT HALTE A L’ESCROQUERIE MORALE ET FINANCIERE DU CFOP !
Le 28 juin 2014 à 19:50 En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Moi aussi je pene que Zeph est le meilleur candidat pour l’ instant mais son peche, c’ est de ne pas etre Mossi. Vous ne voulez pas qu’ on prononce le nom de son etnie, on va dire Mossi alors.
3. Le 26 juin 2014 à 17:59, par vérité no1 En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Mr Ablassé a tout dit, de la viande d’âne partagée gratuitement et un jour ils seront obligés de répondre devant les propriétaires d’ânes !!!!
4. Le 26 juin 2014 à 18:00, par Lumière En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Ce qui est désolant et décevant chez les opposants c’est qu’il y’a une contradiction dans leur démarche. Ils disent remplir les stades, que le peuple est avec eux mais pourquoi justement priver ce peuple de son droit d’expression ? à la limite c’est de la dictature. Personne ne peut se substituer au peuple. Seul le Peuple décide des lois qui s’appliquent à lui-même.
Le 27 juin 2014 à 08:02, par Goodman En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
tout est tellement lumineux dans ta tête, que tu ne vois plus clair malheureusement. Le problème , c’est que c’est là où tu te cache pour mettre lumière là que nous on dort. Vous allez bientôt comprendre. Très hâte d’être aux commandes. Ce sera dur, mais il n’y a de victoire facile. Quand le moment viendra, il faudra se serrer les coudes ou perrir.
5. Le 26 juin 2014 à 18:15, par Tifis En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Des politiciens fantoches. ces politiciens ne savent rien de ce qui se passe dans ce pays. Ils se contentent de contester les actions du gouvernement, ce sont tout simplement des contestataires, ils ne connaissent aucun dossier d’Etat, ce ne sont que des opposants moutons comme le disent certaines opinions.
Le 27 juin 2014 à 08:10 En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Les opposants moutons comme tu le dis sont dans le front republicain
6. Le 26 juin 2014 à 18:17, par Atito En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Ablassé, tu as été au CDP, mais tu ignore complètement le CDP, de quoi le CDP est capable, de quoi le président Compaoré est capable. Tu devrais le connaitre pourtant mais tu te contentais de bourrer ton ventre et passer à coté de l’essentiel. Mais continue comme ça, tu risque de vivre un cauchemars bientôt.
7. Le 26 juin 2014 à 19:33, par KONAN En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
N’importe quoi !! comment un referendum peut être source de discorde dans un Etat.Cela n’est possible que si le pays a des pseudo politiciens comme vous en carence de culture démocratique qui intoxiquent atmosphère.Monsieur !!avez oublié que le referendum est un vote ? alors s’il est gage de séparation du peuple alors on ne partirait pas à une quelconque élection alors,donc mon cher monsieur veuillez ne pas insulter la conscience des gens ,le referendum est un moyen sur de départage du peuple en démocratie vive le referendum
Le 27 juin 2014 à 09:54, par Traoré Justin En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Seul le Peuple décide des lois qui s’appliquent à lui-même. Mr Ablassé devrait comprendre ça, mais s’il a une certaine carence de la culture démocratique, qu’il parte se cultiver au lieu de venir conduire notre peuple en erreur ou le transformer en opposant mouton. Le peuple burkinabé a toujours su ce qu’il veut et le CFOP veut cette fois-ci le conduire en brousse.
8. Le 26 juin 2014 à 20:01 En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Le CDP n’a plus de vision pour le Burkina car on ne peut comparer le CDP a une vache et le président au berger. Comme s’ils ne savaient pas qu’un bon berger se doit réformer une vache à partir d’un certain âge lorsqu’elle devient improductive. Aujourd’hui, la vache CDP n’a plus de lait et n’intéresse plus personne : cas des élections à l’arrondissement 4 de Ouaga et samedi passé au stade du 4 août. A croire que la folie des grandeurs les ont rendu fous comme se demande Ablassé !
9. Le 26 juin 2014 à 20:19, par la wérité et la vérité. En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Si ce monsieur était toujours aux commandes je paris qu’il ne parlerait pas ainsi.Une fois évincé du navire,ils deviennent des dissidents,des semblants d’opposants etc...Nous voulons le changement avec des gens propres.Nous ne voulons ni du référendum ni de la modification de l"article 37.Nous disons non à ces anciens dignitaires qui fussent autrefois griot,ministre des affaires étrangères pendant 5 ans et conseiller du président du faso et qui ont spolié et amasser l’argent du peuple.Soyons vigilent les gars sinon notre lutte pour le changement sera vaine.
10. Le 26 juin 2014 à 20:46, par sogotere En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Ablasse est devenu fou pour parvenir à ses fins. Mes de grâce attend ton L’heure ! C’est comme ça tu as fait et on t’a chassé à l’organisation mondiale du commerce à cause de ta passion et ton goût effréné pour le pouvoir. Au faso ici , on se commet tu vas devoir banquetter, car ici au faso tout le monde aime le pouvoir, le naam.
11. Le 26 juin 2014 à 20:55, par KONAN En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Le représentant du CDP a tout simplement été imprudent et provocateur. J’étais là. On l’a hué lorsqu’il a commencé à introduire dans son mot d’encouragement et de soutien au congrès la question du référendum. Est-ce à cet endroit qu’il fallait venir parler du référendum quand on représente le CDP ? Je pense qu’il a eu la réaction à laquelle il fallait s’y attendre.Tel est ce qui sort de la bouche d’un responsable ,ses militants se montrent féroces dangereux pour la democratie et il les soutien ,c’est la débauche politique ,vous auriez jamais la voix du peuple digne ,vive le CDP
12. Le 27 juin 2014 à 06:16, par SAFI En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
LE REFERENDUM POUR UNE QUESTION D’INTERET PERSONNEL J DIS NON ET IL Y AURA PAS DE REFERENDUM.UN CDPISTE TAPI DS LOMBRE QUI ATTEND SON HEURE
Le 27 juin 2014 à 10:22 En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
"C’est sur le budget 2014 qui est en cours d’exécution que le gouvernement entend prélever les 114 milliards FCFA. Ce qui signifie que nous sommes en face d’un gouvernement qui manque de vision".Ablassé n’a pas tord sur ce point.comment peut-on réduire les crédits jusqu’à supprimer des investissements clés dans les communes rurales tels que la construction d’écoles, de maternités pour nos pauvres citoyens qui ne demandent que ce minimum, alors même que les entrepreneurs sont sur le terrain pour les travaux et dans le même moment promettre des financements à certains de plusieurs milliards.Vous pouvez comprendre ça ?
Le 27 juin 2014 à 10:37, par SING En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
A chaque que je vois ces jeunes cdpistes raisonner, je me rends vraiment compte qu’ils deviennent amnésiques. Plus rien ne peut sauver ces jeunes. Le ventre quand il nous tient. Au lieu de chercher du travail c’est la politique du ventre vous nous servez tous les jours. Que Dieu ait pitié et sauve vos âmes.
Le 27 juin 2014 à 12:49, par Lumière En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Je dis merci à Mr Ablassé pour les détails apportés à la lumière de ceux qui veiulent la vérité et comprennent ce qui est bon sens.
C’est triste de savoir que tous ceux qui intervellent lors des publication au nom du CDP ressembleent et assemblent les gens du régime.
S’il vous plait CDPistes, relisez bien l’écrit avant de raisonner de la sorte. Faites de votre mieux afin que l’on sache par vos analyses que vous aviez un potentiel dans la substance grise.
Ne restez pas sous l’ombre du parti au pouvoir pendant longtemps de peur, que vous ne devenez des morts dicus, des crocs-morts, des venpires vivants et mème des sans craints de Dieu.
Montrez que vous au moins, vous aviez de la famille à travers laquelle, le bon sens, le sens de la verité, la dignité,le courage, la vision lointaine et l’engagement pour un burkina meilleur nous vienne un jour.
Ne faites comme eux chers intervenants ou militants CDPiste car, vous pourrez courir dans tous les sens en vous cachant, en vous servant des murs du pouvoir mais, il ya toujours une date pour répondre et là, vous payerez de laxisme et autres en tant que destructeur des valeurs cardinales de la République.
Le 27 juin 2014 à 22:28, par Lumière En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Mon frère laisse mon pseudo "Lumière" tranquille. C’est ma propriété intellectuelle et je ne l’utilise pas pour vomir des sottises.
Le 28 juin 2014 à 18:34, par lumière En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Chère lumière copie.
Tu prétend que LUMIERE est une propriété intellectuelle comme vous le faites avec le CDP.
Je dis bien des sottise comme vous le prétendez vomir mais, sache que des affamés et sans consciences comme vous dans une République détruisez les Valeurs du code de conduite de notre cher Burkina.
Avez-vous déjà assister à la pleine lune les merveilles du combat des guerriers de la liberté.
Je ne parle avec la peur de l’inconnu, je suis le chevalier des messagers de la bonne nouvelle pour le changement dans la dignité et dans l’intégrité de mon âme de mon esprit.
Penses que les miettes du CDP te feront pas survivre durant l’été mais sachez qu’à l’hiver tu auras encore fin et au printemps, tu sera ridicule et à l’automne, le peuple te demandera compte de ta participation avec les oppresseurs à le nuire.
Ne soit pas une honte pour ta famille et pour ta génération car, nous irons au bout de la lumière et on verra ou se trouve votre propriété intellectuelle.
Sans cerceau se réclame de licence mais, le niveau d’instruction ne peut en aucun cas se voiler. Celui qui a une matière grise doit comprendre que se mettre avec le CDP est irresponsable et malveillant et vous vous en réjouissez de votre malheur.
Analysez et comprenez que les idiots n’ont pas de République mais ont toujours une prison pour leur peine et vous en aurez avec les autres complices pour bientôt.
13. Le 27 juin 2014 à 11:46, par Amraw En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Ce monsieur délire c’est plutôt lui le fou car il ne sait pas ce qu’il dit ni ce qu’il veut. A l’écouter parler vous ne voterez jamais ce quidam pour un clou car il ne connait rien de la politique.
Le 27 juin 2014 à 18:37, par Koné En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
HA Ha Ha Ha Ha, kl’aigreur a commencé à gagner les rangs du CDP car leur affaire puante est en train de se foirer
14. Le 27 juin 2014 à 17:39, par NulNestIndispensable En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Mes amis du CDP, la constitution est faite pour être respectée même si certains articles (article 37) ne vous arrangent pas. Sinon il va falloir organiser autant de référendums qu’autant d’articles inscrits dans notre constitution. Soyons sérieux et penser à l’avenir car cet article n’est contre personne parce qu’il s’appliquer à tout Burkinabé désireux diriger ce pays.
15. Le 27 juin 2014 à 20:01, par coco En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Je pense que ce sont les gens qui appellent au référendum qui sont les seuls fous de ce pays. A bas la politique du gosier
16. Le 28 juin 2014 à 13:07, par PIRELEAU En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
S’il vous plait arrêter de pourrir la vie au peuple. les politiciens sont tous les mêmes. nous le savons néanmoins il faut que le dinosaure cède la place a un autre Desmond qui viendra soit nous sucer a sec soit nous blesser par moment nous jeunes nous savons bien que le président COMPAORE aime bien le peuple et na jamais rêver de le laisser dans le chaos ce sont ses accotes qui craignent leurs sort si toute fois COMPAORE perd la commande qui lui sèmes le doute dans sa tête et la mauvaise volonté de dire non quand il le faut et oui quand il le faut également mais nous peuple du Burkina nous sommes ferme et nous leur lançons cet appel si du bruit ce lève dans ce pays leur biens voles leur enfants immigres tous connaitra une chute jamais connue de l’histoire nous sommes ferme et pour cela ils peuvent compter sur notre très très mauvaise volontee nous savons que vous êtes des saints Thomas DACQUIN mais nous vous supplions de tester votre wac ni les armes chimiques de la SYRIE ni les bombes atomique de piong gnong ne peut contre la volontee d,un peuple pour sa liberté et son honneur on attend dire que le peuple burkinabé est un peuple poltron détrompez vous un peureux devenus courageux est un véritable vampire
Le 28 juin 2014 à 19:53, par Kayawoto-Levrai En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Les politiciens sont tous les memes. Comme les blancs, les noirs, les jaunes, sont tous les memes. Mais il y a parmi les memes, des plus mauvais. Le cdp nest pas un parti qu’ on peut reformer car tout est gate dedans.
Le 29 juin 2014 à 20:58 En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Ces vrai il ta est militant de cependant de cote d’ivoire li son parti assiste aller retour gratuit plus un séjour d une a hôtel cédente parle e 10000 par participant. Cependant yako
17. Le 1er juillet 2014 à 01:38 En réponse à : Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso Autrement : « Je me demande si Assimi Kouanda et tous les ténors du CDP ne sont pas devenus fous » (suite et fin)
Non seulement ils sont deveneus fous, mais ils sont aussi atteints d’ otisme. Ils sont dans leur propre monde, ils se parlent a euex- memes et entendent des voix, les leurs dans leur ete. Ils sont possedes par le diable. Il faut les desenvouter.