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Faits divers : Rira bien qui rira le dernier...

Publié le mercredi 11 février 2009 à 00h16min

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Alain avait-il voulu se payer la tête de son ancienne maîtresse, une serveuse dans un grand maquis de la ville . En définitive, c’est lui qui a eu la tête trop petite pour porter la tonne de honte qui lui est tombée dessus. Le courant ne passait plus entre Alain et Raïssa. Le pourquoi n’est pas important pour la suite de l’histoire. Raïssa s’était même attrapé un autre amant avec qui elle s’affichait carrément, surtout lorsque son ex se trouvait dans le bar.

Alain qui prenait cette attitude pour de la haute foutaise, cherchait le moyen de lui rendre sa monnaie à cette mi-journée qui avait eu le très mauvais goût de le plaquer et la très mauvaise inspiration de s’attraper une espèce de gros benêt rigolard et dépensier pour le bonheur de Raïssa bien entendu.

Alain ne savait pas que l’attitude de la fille provenait de ce qu’elle voulait lui faire mal comme si elle voulait lui faire payer une faute. Il l’apprendra à ses dépens et de surcroît à son corps défendant ; car lorsqu’Alain en cette soirée du 25 décembre allait dans ce maquis avec son épouse et une amie de la famille, il était loin, très loin de se douter de l’accueil qui leur sera réservé. A partir d’ici, c’est Alain qui parle : "Nous sommes arrivés et nous nous sommes assis et avons passé nos commandes. C’est pendant que nous étions dans une délicieuse explication avec un poulet au "rabilé" que je la vis avancer vers nous de son pas traînant".

Elle vient s’arrêter à ma hauteur et après nous avoir salué, elle posa sa main sur mon épaule. Mon cœur faillit s’arrêter. Jusque-là, je ne savais pas que cette fille était un démon. En même temps qu’elle me caressait l’épaule, elle me tua carrément par un "chéri il y a longtemps hein ! Tu ne viens plus me voir avec ton long bakari-là !". C’est pour adoucir les choses que moi Sacré, je dis "bakari" sinon, elle a appelé la chose-là par son nom courant. Revenons à Alain :

"Cette sorcière-là m’a ainsi poignardé puis s’en est allée en m’achevant avec un dernier : "il faut venir demain faux-type wâ !". Je n’osais pas lever la tête du plateau. Je remuais les lèvres mais je ne parlais pas. Ce fut mon épouse qui eut le mot de la fin. Voici ce qu’elle me dit : "bon, on va rentrer maintenant puisque tu as fini de nous donner notre cadeau de Noël !".

Elle venait de m’enterrer vivant !! Je me levai et les suivit comme un mouton qu’on mène à l’abattoir. Fin du récit d’Alain au long..." Ça ne sortira pas de ma bouche" Bonne et heureuse année 2009 à tous et à mon éditeur de qui j’attends le recueil pour ce début d’année.

Sacré Chedou

Sidwaya

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Vos commentaires

  • Le 11 février 2009 à 12:02, par oceane Richesse En réponse à : Faits divers : Rira bien qui rira le dernier...

    c’est bien fait pour cet Alain tu n’asrien vu d’abord !!! coment peux tu te permettre d’amener ton épouse dans tes maquis que tu fréquentes tout en sachant bien que tu as eu affaire à une serveuse labas...
    Ta femme à un bon coeur et un self control sinon elle t’aurait cogné la tete avec une bouteille et saurait été ton cadeau de noel !!!!!!

    • Le 12 février 2009 à 17:35, par Rponseàoceanne En réponse à : Faits divers : Rira bien qui rira le dernier...

      Cela peut arriver il ne faut pas en vouloir à ce pauvre Alain qui lui a été une victime au mauvais moment. ça arrive !!!
      Seulement le bon sens c’est proteger son épouse de ces genres de situations, il aurait tout simplement pu venir avec une nouvelle conquête,

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