Coopération Burkina Faso-Russie : séance de travail entre le capitaine Ibrahim TRAORE et Vladimir POUTINE au Palais Constantin
(Saint Pétersbourg, 29 juillet 2023, GMT+3). Le Président de la Transition, Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim TRAORE et sa délégation ont eu le samedi en fin de matinée, une séance de travail avec le Président de la Fédération de Russie, Vladimir POUTINE qui était à l’occasion entouré de ses proches collaborateurs.
Cette séance de travail a été une occasion pour les deux Chefs d’Etat de réaffirmer la solidité de leur relation et la ferme volonté de travailler à son renforcement. A cette occasion le Président de la Transition a signifié l’amitié ardente entre les peuples burkinabè et russes. Le Président Vladimir POUTINE qui a remercié le président de la Transition pour sa participation au 2e sommet Russie-Afrique a souligné que « les liens entre nos pays sont amicaux ».
Dans le cadre du renforcement de la coopération entre les deux pays, le président POUTINE a décidé de la réouverture de l’ambassade de Russie fermée depuis 1992. « Le travail de notre ambassadeur va donner un élan au développement de nos relations », a-t-il soutenu.
Au cours des travaux, le Chef de l’Etat le Capitaine Ibrahim TRAORE a souhaité également un renforcement des échanges commerciaux entre la Fédération de Russie et le Burkina Faso. En effet, notre pays dispose d’une grande diversité de produits qui pourraient intéresser les partenaires russes.
Selon le Chef de l’Etat, à l’occasion des rencontres bilatérales pendant le Forum économique, les produits comme la mangue, l’anacarde et d’autres produits agricoles ont suscité de l’intérêt chez les partenaires russes.
Aussi, le Chef de l’Etat a-t-il invité les entrepreneurs russes à la construction d’usines de transformation de certains de ces produits au Burkina. « Ce qui va contribuer à intensifier nos échanges commerciaux », a expliqué le Président de la Transition.
Les questions d’énergie électrique et des hydrocarbures ont été abordées par le Capitaine Ibrahim TRAORE qui a soutenu la volonté du Burkina Faso de faciliter la construction si possible d’une centrale nucléaire dans notre pays pour produire de l’électricité et, de réorienter « la majorité de nos importations en hydrocarbures vers la Russie ».
« Nous accorderons une importance particulière au développement des relations avec le Burkina Faso », a déclaré le Président de la Fédération de Russie, Vladimir POUTINE. A cet effet « nous sommes prêts à travailler ensemble pour développer les coopérations économique et commerciale entre nos deux pays », a soutenu le Président POUTINE.
Le Président de la Fédération de Russie a noté une bonne collaboration des deux pays au sein de l’ONU et au sein d’autres organisations internationales. Il a annoncé l’octroi d’une aide humanitaire de 10 millions de dollars à plusieurs pays africains à travers le Programme alimentaire mondiale (PAM) dont 2,5 millions de dollars seront destinés au Burkina Faso.
Direction de la communication de la Présidence du Faso
Vos commentaires
1. Le 30 juillet 2023 à 15:55, par Fretback En réponse à : Coopération Burkina Faso-Russie : séance de travail entre le capitaine Ibrahim TRAORE et Vladimir POUTINE au Palais Constantin
"invité les entrepreneurs russes à la construction d’usines de transformation de certains de ces produits au Burkina". Haha, comme c’est rigolo... ça me rappelle l’époque des chasse-neige pour Sékou Touré, ancêtre de tous ces kakis sans colonne vertébrale ! Etrange que ce communiqué ne cite pas le golpiste approuvant l’invasion coloniale et prédatrice de la vaillante Ukraine (grande productrice et pourvoyeuse de blé à l’Afrique avant que le Tarass Boulba mafieux ne vienne voler et raser) par l’impérialiste Russie poutinienne ; étrange... Beaucoup, en temps et heure, comme moi, se souviendront de cette inféodation. Ne sont pas Erdogan, Ramaphosa, Modi ou même Sissi qui veut ; ou peut... Le masque de "l’alignement" tombe, enfin !
2. Le 30 juillet 2023 à 17:15, par Ka En réponse à : Coopération Burkina Faso-Russie : séance de travail entre le capitaine Ibrahim TRAORE et Vladimir POUTINE au Palais Constantin
Mon cher jeune président I. Traoré, tous ceux-ci sont très beau. Mais comme disait mon grand-père ‘’’’il faut remercier Dieu de nous avoir donner deux mains et deux pieds pour mieux avancer ! Si on avait une seule main, ou un seul pied, avancer dans les choses seraient difficiles. Demander à un seul partenaire dont son peuple n’a pas un bon repas par jour, ou qui s’écroule dans une guerre interminable, serait difficile pour lui de réaliser tous dont vous demandez et qu’il vous promet. Il serait mieux pour vous de remercier Dieu de vous avoir donner plusieurs membres pour mieux avancer, dont il vous faut plusieurs partenaires pour mieux avoir ce que vous demandez surtout pouvoir jouer sur la concurrence, nous avons la Russie et Cuba sans concurrent : Surtout que vous êtes là pour éradiquer les terroristes et remettre le pouvoir aux civiles, c’était mieux de quémander des armes.
Comme tout le monde le sait, la Russie n’entend surtout pas gérer l’Afrique à la place des Africains", elle préfère laisser les Africains se vautrer dans leurs errements et leu mauvaise gouvernance comme en Centre Afrique pour qu’ils continuent à stagner dans leur sous-développement et leur gouvernance, tout en se laissant exploiter complaisamment jusqu’à la moelle et piller sans vergogne leurs matières premières et ressources naturelles, pire qu’aucun colonisateur n’a jamais osé le faire. Vouloir faire plaisir à Poutine et mettre la France a genou est légitime et louable. Mais n’oubliez pas le peuple Burkinabé : Il ne s’agit pas pour vous de se donner un mandat que vous n’avez pas reçu du peuple et faire comme vous voulez : Pareil pour tous les tripatouilleurs de constitution avec des commissions aux ordres qui annoncent des taux de 111% comme va annoncer le président du Centre Afrique qui sera un président a vie sans aucune alternance politique avec les jeunes.
Vous avez conclu que votre régime est transitoire avec notre constitution et les textes de la CEDEAO qui n’a pas osé faire une fermeture des frontières pour des sanctions. Respectez la parole donnée pour que le pays avance. démocratiquement.
3. Le 30 juillet 2023 à 17:24, par Paul En réponse à : Coopération Burkina Faso-Russie : séance de travail entre le capitaine Ibrahim TRAORE et Vladimir POUTINE au Palais Constantin
Soyons sérieux dans nos demandes. Une centrale nucléaire au Burkina ! Nous n’avons pas d’eau ! avec quoi vous allez la refroidir à l’heure du réchauffement climatique ?
4. Le 30 juillet 2023 à 17:42, par West En réponse à : Coopération Burkina Faso-Russie : séance de travail entre le capitaine Ibrahim TRAORE et Vladimir POUTINE au Palais Constantin
Aller soutenir Vladimir Putin qui mène en Ukraine une guerre sanglante, impérialiste d’expansion (qui tue et détruit tout ) juste pour avoir un petit don de céréales est tout simplement honteux . Pendant qu’il se la coule douce en Russie, des villageois sont obligés de déguerpir au Burkina !
5. Le 30 juillet 2023 à 18:24, par Raso En réponse à : Coopération Burkina Faso-Russie : séance de travail entre le capitaine Ibrahim TRAORE et Vladimir POUTINE au Palais Constantin
Comment peut-on dénoncer l’impérialisme et soutenir du même coup l’invasion barbare d’un peiple par un autre qui se crois plus puissant que celui-ci. Ceci n’est-il pas la manifestation même de l’impérialisme ? Qu’est-ce que les ukrainiens ont fait de mal au peuple burkinabé ? Tout au plus IB aurait dû faire preuve de neutralité, mais donner un tel support aux bourreaux de Bucha, je dis non, non et non.
6. Le 31 juillet 2023 à 05:50, par West En réponse à : Coopération Burkina Faso-Russie : séance de travail entre le capitaine Ibrahim TRAORE et Vladimir POUTINE au Palais Constantin
@internaute 5, Raso :
J’appuie avec force vos Non , Non, Non. Ce président n’a reçu aucun mandat démocratique du peuple pour signer des accords avec la Russie. Depuis le mois de mars, V. Putin est recherché pour crimes contre l’humanité, ce président doit faire très attention s’il ne veut pas être taxé d’appuyer de manière aveugle un potentiel criminel de guerre. Aux Ukrainiens, je dis le peuple fier du Burkina n’a rien à voir avec prise de position bizarre.
@ Paul, internaute 3 :
Je suis d’accord avec votre remarque sur les centrales nucléaires. Ça montre tout simplement de la part de cette délégation, de l’amateurisme, l’ignorance et de l’incompétence dans le montage des dossiers.
7. Le 31 juillet 2023 à 07:54, par Le Burkina ne soutient pas la Russie En réponse à : Coopération Burkina Faso-Russie : séance de travail entre le capitaine Ibrahim TRAORE et Vladimir POUTINE au Palais Constantin
Faux, le Burkina Faso ne soutient pas la Russie dans sa folie d’agression de l’Ukraine. Si le jeune capitaine veut soutenir la Russie, c’est son droit mais il n’a pas le droit d’aller là-bas parler au nom du peuple du Burkina comme quoi on soutient la Russie de Poutine, pays dictateur, pays de non-respect des droits humains, pays envahisseur.
Il faut que le jeune capitaine se ressaisisse et se concentre sur notre guerre contre les terroristes au Faso. C’est maintenant que la Russie de Poutine sait que le Burkina existe pour nous envoyer des vivres ? Les USA et les autres pays le font depuis bellle lurette et ont même des ambassades au Faso. Jeune capitaine, il ne faut arrêter cette folie qui commence en vous avec l’agression des autres présidents africains. D’abord vous n’êtes pas élu ; c’est par les armes vous êtes au pouvoir. Par conséquent le bon sens recommande que vous vous abstenez de ces propos agressifs à l’endroit des présidents democratiquement élus. C’est quoi ça cette folie subite ?
A bon entendeur, salut !
8. Le 31 juillet 2023 à 08:32, par Alpha2025 En réponse à : Coopération Burkina Faso-Russie : séance de travail entre le capitaine Ibrahim TRAORE et Vladimir POUTINE au Palais Constantin
Je suis consterné par l’amateurisme, voire l’infantilisme du président IB. Comment peut-il nous donner cadeau aux Russes ? Comment peut-il soutenir "l’opération spéciale" en Ukraine ? Qu’est ce qui lui prend de demander la construction d’une centrale nucléaire au Faso, en espérant vendre le courant produit aux voisins avec lesquels nous n’entendons pas les meilleures relations ? Il aurait pu sur ce coup, se taire. Il ne doit pas oublier qu’il n’est qu’un président de transition. Sa mission est de libérer le territoire et de passer la main à un président democratiquement élu. À moins qu’il ne veuille renier ses engagements et rester au pouvoir ad vitam, comme certains le soupçonnent. Si c’est le cas, si c’est le cas, qu’il sache que ce même peuple dont il croit avoir le soutien, ce même peuple l’attend au tournant.
9. Le 31 juillet 2023 à 09:15, par Ka En réponse à : Coopération Burkina Faso-Russie : séance de travail entre le capitaine Ibrahim TRAORE et Vladimir POUTINE au Palais Constantin
C’est une bonne idée d’avoir une centrale Nucléaire pour notre pays, mais c’est irréalisable dans la situation actuelle de notre pays. Et ce qui ne regarde que le vieux Ka, ’’’’’c’’est comme si le jeune président I. Traoré est entouré des conseillers âgés de deux ans, ou n’a pas des conseillers techniques au développement muris qui ne connaissent pas nos archives de bonne gouvernance ou de mauvaise gouvernance de notre pays, ou bien les archives ont toutes été détruites : Ou bien il a un ministre des affaire étrangères qui ne consulte pas nos archives sur des projets de développement de 1960 a nos jours avant de rencontrer des investisseurs étrangers comme la Russie avec son mentor ?
Beaucoup des spécialistes en développement de construction des centrales nucléaire, Français, Ivoiriens, Allemands Anglais, Américains et même Maliens rigoleront et se moqueront de nous qui demandons une centrale Nucléaire au Burkina. Ce n’est pas par ce que les Russes ont promis au jeune Traoré qu’en ayant le Niger en poche avec son minerai d’uranium transformé va permettre de produire de l’électricité qu’on peut construire cette centrale ! C’est plus compliqué avec un pays très enclaver comme le nôtre. Si c’était possible, avant de démarrer les travaux de notre nouveau aéroport, Blaise Compaoré avec son équipe dit de ’’’bâtisseur’’’ chevronné, et qui a été approché pour ce type de projet, allait le faire a Ziniaré avant de parler du nouveau aéroport. Croire naïvement a cette promesse des Russes c’est d’être ignorant. Amélioré le système des panneaux solaire à travers le pays comme le Maroc Oui ! mais pas une centrale Nucléaire.
Merci internaute ’’’’’Paul’’’’’’ de poser des bonnes questions en disant : ’’Une centrale nucléaire au Burkina ! Nous n’avons pas d’eau ! avec quoi vous allez la refroidir à l’heure du réchauffement climatique ?’’
Aucune nation ne nait grande : Les grandes nations sont l’œuvre de leurs citoyens intelligents de toute sorte. Internaute Paul, tu as raison, car les pères fondateurs de notre Faso a ne ne cité que le premier président Maurice Yaméogo avait eu cette idée d’avoir une centrale nucléaire dans notre pays avec les conseils des vrais conseillers technique au développement diplômés du CHEC (Centre des Hautes études de la Construction.) Mais ils ont conseillé au jeune président de l’époque Maurice Yaméogo, qui avait refusé qu’un camp militaire Français soit installé sur le sol Burkinabé, d’utilisé un des trois fleuves, Volta Noir, Blanche ou Rouge, et creuser un canal avec nos pays voisins côtiers pour avoir son propre port de déboucher maritime, et profiter construire cette centrale nucléaire qui consomme beaucoup d’eau bien traité pour son refroidissement : Car, avoir l’uranium moins chère ne suffit pas. Ces conseillers Français l’on fait à contre cœur, mais au nom des liens entre Burkinabé et Français depuis la nuit du temps oblige : Ces liens a une habitude de vivre ensemble, une langue, une culture quasi communes qui nous prédisposent a se fraterniser. Même si aujourd’hui la politique d’éradiquer les terroristes de Macron a été un échec, nous pouvons dire que tous les présidents Français ne peuvent pas être un Hollande avec sa SERVAL.
Malheureusement concernant le projet du président Yaméogo, a cause des contrats d’exploitation de notre sous-sol pour rembourser la réalisation du canal, surtout des accords coloniaux dû a nos conventions pour avoir notre indépendance, les Français et les Allemands et d’autres partenaires se sont chamaillés et ce projet est tombé a l’eau. A présent avec les caprices du climat qui perturbent les saisons, comment avoir un barrage filable et sans tarissable pour une centrale nucléaire qui risque d’explosé par manque d’eau de refroidissement ? Mon promotionnel le feu Amadou Gon Coulibaly ministre Ivoirien, amoureux de construction surtout des centrales nucléaires ne sera pas tranquille dans sa tombe en lisant l’enfantillage de nos autorités qui veut une centrale nucléaire au Burkina. Surtout qui refusait de confirmer a son peuple qu’il n’y a pas un groupe Wagner au Burkina et qui ne le dément pas de nos jours, car le président Ghanéen avait raison de s’inquiéter. Le mensonge court vite et prend l’ascenseur, mais la vérité qui va beaucoup plus lentement, et qui prend les escaliers finis toujours par rattraper et même dépasser le mensonge. Un régime doit être claire avec son peuple pour mieux le servir dans la confiance. Car, le libéralisme conduit inexorablement à la dérive morale. L’homme ne peut pas être libre de faire tout ce qu’il veut, sinon, ça devient de l’anarchie totale.
Le 31 juillet 2023 à 11:53, par kwiliga En réponse à : Coopération Burkina Faso-Russie : séance de travail entre le capitaine Ibrahim TRAORE et Vladimir POUTINE au Palais Constantin
Bonjour Ka,
Le traitement
L’enrichissement
La fabrication du combustible
Ce n’est pas parce qu’il y a de l’uranium brut au Niger, que l’on peut l’utiliser pour faire fonctionner des centrales nucléaires :
Le minerai est réduit en petits morceaux, finement broyé et soumis à des opérations chimiques pour en extraire l’uranium. Cela permet d’obtenir un uranium très concentré, sous forme d’une poudre jaune appelée yellow cake. 1 000 t de minerai donnent de 1,5 à 10 t de yellow cake, contenant 75 % d’uranium. Le yellow cake est ensuite raffiné pour le débarrasser de ses impuretés et obtenir un uranium complètement pur.
À ce stade, 1 kg d’uranium naturel est composé de 993 g d’uranium 238 et de 7 g d’uranium 235.
Seul l’uranium 235 est fissile mais il n’est pas en proportion suffisante pour être utilisable dans les réacteurs des centrales. L’uranium doit donc être enrichi en uranium 235, de façon à ce qu’il en comporte entre 30 et 50 g.
Une fois enrichi, l’uranium est transformé en poudre noire. Comprimée et cuite au four, elle donne des petits cylindres d’environ 7 g et de 1 cm de long, appelés pastilles. Chaque pastille peut libérer autant d’énergie qu’1 t de charbon.
Les pastilles sont enfilées dans des tubes en métal de 4 m de long dont les extrémités sont bouchées, pour constituer ce que l’on appelle des crayons. Ces crayons sont regroupés par lots dans des assemblages combustibles. Ces assemblages sont placés dans le cœur du réacteur pour le faire fonctionner.
Cela représente des tas de compétences et des milliards de dollars d’investissement, alors qu’à l’heure actuelle, nous ne possédons, ni l’un ni l’autre. Je ne veux même pas aborder le problème des déchets et du retraitement.
Il semble donc probable que les russes prendront tout cela à leur charge, gratuitement, bien entendu, parce que nous sommes des peuples frères.
Quant au refroidissement, élément crucial de la sécurité d’une centrale, on pourra toujours mettre tous nos PDI, équipés d’éventails, autour du noyau du réacteur...
Le 31 juillet 2023 à 15:20, par Ka En réponse à : Coopération Burkina Faso-Russie : séance de travail entre le capitaine Ibrahim TRAORE et Vladimir POUTINE au Palais Constantin
Mon jeune Kwiliga : Merci pour tous ces éclaircissements sur l’Uranium surtout même avec nos grand-mères et grands-pères associés autour d’un réacteur d’une centrale nucléaire avec leurs multiples épouvantails, ils ne pourront pas le refroidir : ’’’’’’’Rire.’’’’’’’ Car, je croyais que sauf Zéphirin Diabré pouvait l’homme du nucléaire pouvait m’éclaircir de tous ces renseignements. Encore une fois mon jeune Kwiliga, je persiste et signe, les Russes s’intéressent seulement a notre sous-sol rien n’est gratuit dans ce bas monde. Et pour que ce projet voit le jour dans un pays très enclavé comme le nôtre, beaucoup y passeront l’autre côté, c’est-à-dire ils seront sous terre. Encore une fois merci pour toutes ses explications enrichissantes.
10. Le 31 juillet 2023 à 19:26, par Alpha2025 En réponse à : Coopération Burkina Faso-Russie : séance de travail entre le capitaine Ibrahim TRAORE et Vladimir POUTINE au Palais Constantin
Capitaine président
Sankara, à qui vous cherchez à vous identifier, avait de nombreux défauts. Mais tout le monde lui reconnaissait une qualité essentielle : il était d’une intelligence à fleur de peau. Vous croyez avoir fait un coup de génie avec votre demande de centrale nucléaire. Mais cette demande révèle une fois de plus vos nombreuses incohérences. Vous appelez une entreprise privée russe à venir implanter une telle centrale chez nous. Avons nous, de façon endogène, évalué toutes les implications d’une telle implantation au Burkina ? Il y a plusieurs technologies pour de telles installations. Laquelle sera utilisée chez nous ? Avons nous la garantie de sécurité de la future installation ? Disposons nous des compétences pour contrôler la société qui va construire la centrale ? Quid du traitement des déchets ? Ou sera t’il exécuté ? Il y a tellement de questions liées à une telle installation que je suis étonné de votre proposition, car à moins d’avoir voulu faire un coup d’éclat, je n’en vois pas la pertinence. Ce n’est pas que nous ne soyons pas dignes d’une telle installation, loin s’en faut. Mais il ne faut pas brûler les étapes. Et comme vous comptez revendre l’excédent d’énergie produite aux voisins, commencez par entretenir avec eux tous, de bonnes relations, sinon votre projet est mort né. Du reste, quelle étude montre la pertinence d’un tel projet dans le cadre du seul Burkina ? Pourquoi ne pas l’envisager dans un cadre communautaire ? A j’oubliai qu’en dehors de l’hypothétique fédération avec le Mali, vous ne connaissez pas d’autre communauté, surtout pas la neocoloniale CEDEAO. Dans ces conditions, il vaut mieux ranger votre projet au placard, avant d’être tourné en ridicule. Assurez vous du contrôle effectif et à notre profit, des exploitations minières, c’est plus urgent, à notre portée, et si vous y arrivez, vous aurez fait un grand pas.
11. Le 31 juillet 2023 à 20:55, par Nick En réponse à : Coopération Burkina Faso-Russie : séance de travail entre le capitaine Ibrahim TRAORE et Vladimir POUTINE au Palais Constantin
Selon NorbertZongo : » Il y a un mensonge, le vrai : Quand un homme applaudit sans comprendre ; Quand un homme ferme les yeux pour ignorer la vérité ; Quand un intellectuel troque sa conscience et son âme pour des biens matériels ; Quand par peur de la mort ou simplement de certains désavantages, un homme sourit au malfaiteur, au tyran et au voleur ; Quand un peuple refuse de se battre, de se responsabiliser parmi les autres ; Et quand un dirigeant agit comme s’il avait inventé son pays, quand il ruse avec les lois. Ce mensonge tue les hommes et les nations. « Quand I , pour quelques tonnes de ble informe les russes que le peuple Burkinabe et son gouvernement soutiennent les crimes russes en Ukraine, ceci est un mensonge n’honore pas une nation. C’est une preuve que nore president nest pas reellement a la hauteur. Son ignorance en geopolique et son manque de culture ne feront que retarder nore pays.
12. Le 1er août 2023 à 16:11, par Kogleweogo De Amerik En réponse à : Coopération Burkina Faso-Russie : séance de travail entre le capitaine Ibrahim TRAORE et Vladimir POUTINE au Palais Constantin
Sankara a toujours supporter les peuples qui luttent contre leur envahisseurs. Pourquoi diable aller supporter la russie dans son invasion de l Ukraine ?
On a pas une source d eau qui peut refroidir une central nucleaire. Sait on de quoi on parle ? Pourquoi nous ridiculiser ainsi ?
Le burkina ne peut pas se developper sans la maitrise d’ eau. Plus de 50% de la population travaille dans l agriculture avec une pluvionometrie alleatoire. Donc plus de 50% de la population est sans travaille pendant plus de 6 mois par an. Il nous faut maitriser l eau pour developper les culture de contre saison. Voila pourquoi que Sankara a commencer par le reboisement, les retenue d eau pour lutter contre le desert.