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Conduite de la Transition au Burkina Faso : Et si Le colonel Auguste Denise Barry était l’homme de la situation ?

Publié le lundi 10 octobre 2022 à 20h57min

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Conduite de la Transition au Burkina Faso : Et si Le colonel Auguste Denise Barry était l’homme de la situation ?

Pour Abdoul Salam Ouédraogo, Burkinabè résidant aux Etats Unis, le colonel Auguste Denise Barry pourrait être d’une grande importance dans la gestion de la transition au regard de son background. Lisez plutôt.

Fin stratège et bien connu du milieu de la défense et de la sécurité, le colonel Auguste Denise Barry est un officier supérieur de l’armé burkinabè originaire de Ouahigouya dans le Nord du Burkina Faso. Très INTEGRE, réputé RIGOUREUX, l’homme a été, entre autres, ancien ministre de l’Administration territoriale, de la Décentralisation et de la Sécurité et Fondateur et Directeur Exécutif du Centre d’Etudes Stratégiques en Défense et Sécurité Burkina Faso.

Doctorant en stratégie (histoire militaire) à l’Institut des Relations Internationales du Cameroun (IRIC), de l’Université de Yaoundé II Soa, Cameroun (2021), le colonel Barry est titulaire d’un Master II en Stratégie-Défense-Sécurité, option Gestion des Conflits et des Catastrophes (2009-2010 ) de la même université, du Brevet du Cours Supérieur Interarmées de Défense (École de Guerre) de Yaoundé au Cameroun et de plusieurs autres diplômes militaires et civils. L’enfant de la cité de Naaba Kango va aussi bâtir la plus grande partie de sa formation de militaire sur les questions de défenses et de sécurité en Afrique surtout dans sa partie subsaharienne.

Il est aussi Expert en Sécurité et Médiation de l’Association des Médiateurs de la République de l’UEMOA (AMP-UEMOA), personne ressource de l’Association des Stagiaires et Etudiants Africains en France (ASEAF) et de l’Institut Mandela de Paris, Expert et Personne ressource de la Fondation Konrad Adenauer pour le Dialogue politique. Ses connaissances du milieu de la défense et de la sécurité et son expérience vont lui ouvrir les portes onusiennes. Le colonel Auguste Denise Barry est copté courant 2022, comme expert pour préparer une nouvelle approche des Nations Unies dans le Sahel sur la sécurité.

En plus d’être un fin connaisseur militaire, le natif de Ouahigouya traine derrière lui une expertise d’un super pédagogue. En effet, il est un enseignant vacataire à l’Université Joseph KI-ZERBO, en « Stratégie et Géopolitique » au Master de Macroéconomie Appliquée et Finances Internationales (MAFI) de l’Unité de Formation et de Recherche en Sciences Économiques et de Gestion, en « Processus de stabilisation, reconstruction, sécurisation post-conflit » au Master Professionnel de Médiation et Management des conflits (MMC) de l’Unité de Formation et de Recherche en Sciences Humaines, en « Stratégie-Politique de Défense des États » à l’Institut des Hautes Études Internationales (INHEI) de Ouagadougou. Son management des hommes est sans égal. En plus de ses fonctions de ministre en 2011 et 2014-2015. L’homme est nanti d’une très bonne expérience civilo-militaire car il va occuper de hautes fonctions civiles et militaires. Il sera entre autres :

Conseiller Technique du ministre de la Défense nationale et des Anciens combattants,

Point focal pour le Burkina auprès de la Capacité Africaine de Réponses Immédiates aux Crises (CARIC) de l’Union Africaine,

Chef de la Division Planification/Suivi des Opérations de l’état-major Général des Armées,

Point Focal du Comité des Chefs d’état-major de la CEDEAO pour le Burkina Faso,
Chef de Cabinet de l’état-major de l’Armée de terre,

Chef du Bureau Opérations de la 1re Région Militaire, et Chef de corps du 11e Régiment d’Infanterie Commando de Dori, du Groupement d’Instruction des Forces Armées de Bobo puis de l’Académie Militaire Georges Namoano de Pô,

Directeur du Bureau du Suivi/Traitement de l’Information du Secrétariat d’État à la Présidence du Faso,

Chargé de Missions et Conseiller à la Présidence du Faso,

Directeur de l’École Nationale de Police,

Conseiller Militaire du Représentant Spécial du Secrétaire Général de l’ONU en RCA et du BONUCA,

Commandant Adjoint de la Compagnie burkinabè de la MINURCA,

Officier logistique du Contingent burkinabè de la MINURCA,

Officier Rédacteur du Commandant de la Force et du Chef d’État-major de la MINURCA,

Officier de sécurité par intérim du système des Nations Unies en RCA ;

Président du Groupe Opérationnel d’Experts de Prospective sur la cohésion sociale au Burkina Faso, étude commanditée par la Présidence du Faso,

Secrétaire Permanent du Secrétariat Permanent du Suivi des Résolutions, recommandations et Décisions des Cadres de Concertation des Forces Armées Nationales et Point focal de l’Amicale de la Communauté du Centre d’Études Stratégiques de l’Afrique (ACCESA) des États-Unis d’Amérique pour le Ministère de la Défense Nationale et des Anciens Combattants,

Personne ressource et Représentant du Burkina Faso au Conseil d’Administration du Centre pour le Contrôle Démocratique des Forces Armées à Genève en Suisse (DCAF).

En tant que militaire, Le colonel Auguste Denise Barry sera amener à occupé des fonctions stratégique au sin de l’armée Burkina. Il sera :

1997-2000 : Chef de Corps du 11ème Régiment d’Infanterie Commando à Dori, Burkina Faso.

Responsabilités :

Assurer le commandement et l’administration du corps de troupe, en tant que chef de corps ;

Accomplir les missions opérationnelles confiées au corps.

1995-1997 : Chef du Bureau Opérations de la 1ère Région Militaire à Kaya, Burkina Faso.

Responsabilités :

Assurer la préparation opérationnelle et la planification opérationnelle des unités et des personnels composant la région militaire ;

Concevoir et faire mettre en œuvre les plans de protection des infrastructures d’importance vitale, les plans d’opérations et d’engagement des troupes ;

Elaborer les orientations opératives et tactiques et mettre en œuvre les concepts d’emploi des forces ;

Contribuer à la défense de l’intégrité du territoire et à la lutte contre l’insécurité.

1995-1996 : Cumulativement, Chef de Détachement et Commandant de la Compagnie du Poste de Commandement de la 1ère Région Militaire à Kaya, Burkina Faso ;

Responsabilités :

Assurer le commandant et l’administration de l’unité ;
Accomplir les missions confiées à la compagnie.

1994 : Chef de Cabinet de l’Etat-Major de l’Armée de Terre, Burkina Faso.

Responsabilités :

Animer le cabinet du Chef d’état-major ;

Contribuer à la mise en place et à l’opérationnalisation de l’instance de commandant nouvellement crée ;

Appui-conseils au chef d’Etat-major…

1992-1994 : Commandant de la Brigade d’Application des Officiers et Instructeur à l’Ecole des Cadres des Forces Armées (ECFA) de Kamboinsé, Burkina Faso.
Responsabilités : assurer le fonctionnement de la Brigade d’Application des Officiers par l’organisation des stages et dispenser des cours aux stagiaires dans les matières retenues dans les programmes de formation des stages accueillis à l’école.

1990-1992 :

Directeur du Bureau du Suivi et Traitement de l’Information à la Présidence du Faso :

Responsabilités :

Faire la synthèse des fiches des services de renseignements pour le Chef de l’Etat ;
Suivre les dossiers spécifiques sur instruction du Chef de l’Etat ;

Elaborer les guides d’orientations stratégiques du cycle de renseignement ;

Coordonner en cas de besoin, certaines actions des services de renseignement.

Chargé de Missions à la Présidence du Faso :

Responsabilités :

Etudier des dossiers à lui confiés par le Chef de l’Etat ;
Suivre les dossiers spécifiques sur instruction du Chef de l’Etat ;
Accomplir les missions à lui confiées par le Chef de l’Etat.

Conseiller du Président du Faso :
Responsabilités :

Etudes techniques de dossiers au profit du Chef de l’Etat ;
Délégation pour le Suivi de certaines missions par le Président du Faso ;
Appui-conseil au Président du Faso.

1988-1989 : Instructeur au Groupement d’Instruction des Forces Armées Populaires.

Responsabilité : Dispenser des cours aux stagiaires dans les matières retenues dans les programmes de formation des stages accueillis à l’école.

1989-1990 : Directeur de l’Ecole Nationale de Police de Ouagadougou, Burkina Faso ;

Responsabilités :

Assurer le commandement et l’administration de cette école ;

Assurer la formation initiale et le perfectionnement des agents et cadres supérieurs de la police nationale.

1984-1985 : Commissaire Politique au Haut-Commissariat de la Province du Bam, à Koungoussi, Burkina Faso.

Responsabilités : Assurer la formation politique du peuple et la mobilisation populaire pour la réalisation des projets et programmes de la Révolution Démocratique et Populaire.

Du haut de ses fonctions riches et diversifiées, l’homme a reçu plusieurs distinctions, notamment il sera : Commandeur de l’ordre national ; Officier de l’ordre national ; Chevalier de l’ordre national ; Médaille d’honneur militaire ; Médaille d’honneur des sapeurs-pompiers ; Médaille d’honneur de la police nationale ; Médaille commémorative avec agrafe Centrafrique 1(MINURCA) ; Médaille commémorative avec agrafe Centrafrique 2 (BONUCA) et Médaille commémorative de la MINURCA. Toue chose qui serait un atout pour le Burkina dans cette période charnière de son histoire surtout dans la lutte contre le terrorisme. Ayant déjà fait ses preuves, Auguste Denise Barry pourrait être d’une grande importance dans la gestion de la transition et pour sa réussite.

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Vos commentaires

  • Le 10 octobre 2022 à 21:19, par Sacksida En réponse à : Conduite de la Transition au Burkina Faso : Et si Le colonel Auguste Denise Barry était l’homme de la situation ?

    De toute facon, tout dependra du President du MPSR2 et Chef de l’Etat actuel afin de l’interer dans le prochain Gouvernement de Transition dans le domaine securitaire et de l’Administration du Territoire National. Alors, c’est le Capitaine Ibrahim Traore et ses compagnons devraient prendre une decision a l’issue des Assises Nationales des 14 et 15 octobre prochain. De meme, sur les probables 25 membres de l’executif, quelques ex Ministres tres competents et Integres du Gouvernement de l’ex PM Albert Ouedraogo pourraient etre rappeles pourquoi pas ? En tout etat de cause, les Autorites actuelles ont toutes les Cartes mains pour operer des choix judicieux dans l’interet General du Peuple Burkinabe et de la Transition actuelle qui doit aller tres vite et bien car le temps presse. Courage et Inchallah que Dieu Sublime aide notre Peuple Burkinabe. Salut

  • Le 10 octobre 2022 à 21:31, par Ka En réponse à : Conduite de la Transition au Burkina Faso : Et si Le colonel Auguste Denise Barry était l’homme de la situation ?

    Très belle analyse enrichissante sur un homme qu’il faut, à la place qu’il faut, au moment qu’il faut. Prenez des dispositions pour qu’elle puisse être une proposition de la présidence de la transition au moment des assises a venir.

    A. Barry a déjà fait ses preuves au moment de la transition après le soulèvement populaire de 2014 apprécié par le peuple. ’’’’’’’’’’’’’En tant que militaire, Le colonel Auguste Denise Barry sera amener à occuper des fonctions stratégique au sin de l’armée Burkina. Il sera :’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’
    1997-2000 : Chef de Corps du 11ème Régiment d’Infanterie Commando à Dori, Burkina Faso.’’’’’’’’’’’’’’’’ Je confirme : de passage à Dori en 1998 j’ai eu à discuter avec ce jeune officier qui maitrisait ses responsabilités pour une armée Burkinabé qui protège son peuple. Il saura mener cette transition pour une alternance politique saine.

  • Le 10 octobre 2022 à 21:38, par Trasoré ou Rien En réponse à : Conduite de la Transition au Burkina Faso : Et si Le colonel Auguste Denise Barry était l’homme de la situation ?

    L’homme de la situation est ni plus ni mopins Ibrahim Traoré Arretez vos propositions farfelues.

  • Le 10 octobre 2022 à 21:41, par Roch En réponse à : Conduite de la Transition au Burkina Faso : Et si Le colonel Auguste Denise Barry était l’homme de la situation ?

    Voilà problème du pays là. On parle de ce dont on ne sait pas. Le CV que tu cites a apporté quoi au bf ? La réalité est qu il a fait carrière dans l armée et aujourd’hui on a 60% du territoire occupé. Ils ont tous fait l’école de guerre de ceci et cela mais ca donné quoi ? RIEN. Ceux qui occupent le territoire n’ont jamais fait une ecole de guerre.
    DONC laisse tomber ta publicité.

  • Le 11 octobre 2022 à 01:57, par Youss Le Yadebila En réponse à : Conduite de la Transition au Burkina Faso : Et si Le colonel Auguste Denise Barry était l’homme de la situation ?

    Mon chere, ton experience est vielle et si elle devrait nous faire avancer on ne sera pas la. Alors arretons de proposer des gens sur la base de leur experience surtout si ses experience proviennent de regime precedent. Pour un burkina nouveaux, il faudra un changement d’indivdu a la tete de l’Etat. Pas meme gens. Ton experience t’a disquilifie.....Issouf Savadogo

  • Le 11 octobre 2022 à 02:35, par Nabiiga En réponse à : Conduite de la Transition au Burkina Faso : Et si Le colonel Auguste Denise Barry était l’homme de la situation ?

    RAISON DE PLUS LES ASSISEES S’AVÈRENT DANGÉREUX POUR VOUS.

    Raison de plus pourquoi ces assises nationales ne sont pas nécessaires, voire même dangereux, car pourraient s’avérer un élément déclencheur de la zizanie nationale car, chacun a son homme qu’il croit être au-dessus de tous. Du coup, sans le vouloir par exemple, une guerre d’influence se déclare entre le cheval d’un tel contre le cheval d’un tel et chaque groupuscule ayant à une tendance, cette guerre d’influence finit par éclater au grand jour où un groupe, sûr de son homme, voudra même tout défaire afin que son homme prenne le pouvoir de vos mains afiin d’y placer bonnement son homme.

    Ce frère résidant aux Étants Unis qui nous étale le CV de ce soldatesque Barry est, sans doute, proche à ce dernier pour le connaître ainsi sinon, qu’il nous étale les CV de tous les militaires au Burkina. Bref, c’est un proche de Barry et pour cette raison, on ne saurait lui faire confiance car déjà, il mise pour son homme. Il y a bien d’autres dans l’ombre qui en font autant mais en coulisse.

    Prenons par exemple Damiba de triste mémoire :

    Étant ancienne milice de Blaise, à l’avènement de son pouvoir, nous nourrissions nos soupçons selons lesquels il fut une marionnette de ce dernier du fait d’avoir été membre de la milice RSP mais, nous n’avions rien sur quoi appuyer pour confirmer nos soupçons. C’est Damiba lui-même qui nous a fourni la preuve de ce que nous craignions en nommant nul autre que Yaro Boly, an ancien cacique et bras droit de Blaise au poste de réconciliation.

    - Pourquoi Boly Yaro ?
    - Comment son nom s’est-il parvenu aux oreilles de Damiba ?
    - Qui d’autre fut considéré ?
    - Est-ce Blaise lui-même ou les membres de ce qui reste de son parti qui ont donné le nom ?
    - Ces derniers furent-ils ses conseillers dans l’ombre ?
    Mystère, toujours est-il que Boly fut le heureux gagnant.

    Boly Yaro, une fois au poste, n’a pas trouvé mieux car, aussitôt nommé, aussitôt parti en Côte d’Ivoire pour rencontrer Blaise et comme si cela ne nous offensait pas assez, avant qu’on ne le sache, suffisamment culotté, il a fait descendre Blaise à Ouaga contre toute attente. Avec l’arrivée de Blaise à Ouaga, Damiba et son équipe, nous faisait comprendre qu’il s’enfichaient mal de la justice Burkinabè et pire, qu’il n’avait aucun intérêt dans la lutte contre le terrorisme, mais plutôt la restauration du régime Blaise et l’installation de ce dernier dans son palais à Ziniare avec impunité.

    Vous autres au pouvoir, vous êtes putschites donc, illégale dans les yeux de la loi. En temps normal on vous juge et on vous jette à la MACA comme bien d’autres putschistes malfrats à commencer justement par Barry August et consorts mais, nous balayons cette illégalité pour vous soutenir car toute situation exceptionnelle exige une remède exceptionnelle .

    Putschistes, quoi que vous disiez, quoi que vous fassiez, vous serez indexés d’une manière ou d’une autre d’être du bord d’un tel ou d’un autre comme l’exemple cité ci-haut.

    Ne tombez dans cette piège.

    Je vous conseil, restez au-dessus de tout soupçon et d’ indexation en ne créant pas des situations qui vous placerons au beau milieu d’indexation.

    - que les secrétaires généraux de nos ministères continuent à exercer les fonctions des ministes sans que vous soyez obligés de nommer des ministres car nous, lambda burkinabè, la lecture que nous donnerons sera de vous placer soit, du côté d’un tel, soit d’un autre ; rien qu’ à la nomination d’un individu donné pour s’occuper d’un ministère.

    - les militaires ont fait un coup d’état, hé ben qu’il en soit ainsi. À la rigueur, pour éviter d’être indexés, nommez des militaires comme ministres pour remplacer les secréatires généreaux. Affaire militaire entre militaire,

    - N’oubliez pas, surtout pas, que votre soutien n’est pas à 100% parmi les populations. La population du Burkina ne se resume pas aux populations de Ouaga et de Bobo. Si les populations de ces deux villes urbaines se mobilisent, ne croyez pas que c’est le Burkina entier qui se mobilise en bloc derrière vous ; bien loin s’en faut. N’gaw

    - Haya, le chat s’est déjà échappé, impossible d’annuler les assisses annoncées. Faites le maximum pour rester au-dessus de toute indexation.

    -Il y va de votre succès dans cette lutte contre le terrorisme pour laquelle nous vous soutenons.

    Je suis de très bonne foi.

    Signé Nabiiga

  • Le 11 octobre 2022 à 03:42, par Hakiika En réponse à : Conduite de la Transition au Burkina Faso : Et si Le colonel Auguste Denise Barry était l’homme de la situation ?

    Tu as vu juste ! Dire haut ce que d’autres pensent bas

  • Le 11 octobre 2022 à 07:28, par Banga En réponse à : Conduite de la Transition au Burkina Faso : Et si Le colonel Auguste Denise Barry était l’homme de la situation ?

    Une publicité gratuite une défaite assurée qu’il se rend au Nord sur le terrain nous aider lui avec tous les généraux qui sont à Ouagadougou qui ne savent plus tirer un AK 47 ni prévenir où anticiper une attaque terrorists

  • Le 11 octobre 2022 à 07:32, par HUG En réponse à : Conduite de la Transition au Burkina Faso : Et si Le colonel Auguste Denise Barry était l’homme de la situation ?

    En tout cas lui au moins peut nous tirer d affaires. Il.n a pas été moulé.par blaise compaoré meme s il a travaillé avec blaise compaoré..A ce qu je sache il.n est affilié a aucun.parti politique qui est a l origine de nos malheur.bonne chance

  • Le 11 octobre 2022 à 08:22, par Palingyoba En réponse à : Conduite de la Transition au Burkina Faso : Et si Le colonel Auguste Denise Barry était l’homme de la situation ?

    Merci pour la contribution. Le BURKINA a le potentiel humain pour resoudre nos problèmes. Malheureusement, ceux qui nous gouvernent sont animés de mauvaises volontés. Ils travaillent à saper les initiatives de ceux qui peuvent nous aider. Notre grand mal aujourd’hui est lié aux problèmes de renseignements. C’est ce que le colonel BARRY a essayé de mettre en place. Les gens de bonnes fois savaient que ce qu’il faisait était pertinent. Au lieu de reconnaitre et encourager ce qu’il faisait, on l’a accusé de vouloir faire un coup d’état et on l’a mis en prison. Un ténor du régime avait promis nous édifier avec des preuves et jusqu’aujourd’hui, il n’y a pas eu de suite et notre pays est au bord de l’abime.
    Les BURKINABES comme le colonel BARRY sont pleins au BURKINA et à l’extérieur. Mais tant que le pays sera géré par les médiocres, des gens qui ne sont là que pour s’enrichir, des personnes qui là pour étouffer les bonnes initiatives, ces hommes de valeurs s’effaceront et le pays disparaitra. A bon entendeur salut

  • Le 11 octobre 2022 à 08:34, par konombo En réponse à : Conduite de la Transition au Burkina Faso : Et si Le colonel Auguste Denise Barry était l’homme de la situation ?

    A mon avis ce monsieur est L Homme de situation.

  • Le 11 octobre 2022 à 08:37, par Passakziri En réponse à : Conduite de la Transition au Burkina Faso : Et si Le colonel Auguste Denise Barry était l’homme de la situation ?

    Vraiment nous sommes durs à comprendre.
    comment peut-on parler d#homme de la situation dans une situation actuelle ? Il n’y a pas d’homme de la situation, nous sommes tous hommes et femmes de la situation et il est urgent que chacun le comprenne et le vive. Même si on reveillait Sankara pour le ramener aujourd’hui, il ne pourrait pas gérer cette situation comme "homme de la situation", parce que sans un sursaut patriotique de tous les fils et toutes les filles du pays, il n’yaura pas d’effets aux actions. Quel qu’en soit celui ou celle qui devrait dirriger la transition, cette personne devrait juste travailler pour une communication intélligente au dessus de la propagande vide , d’une vie basée sur l’exemplarité et la probité. Bref, la démarche devrait être contraire à ce que le MPSR nous a vendu jusqu’à présent. On ne pourra plus parler de montée en puissance d’une armée réduite à parader à Kossyam pendant que des jeunes recrus tombent sous le feu des affamés de nos savanes, il ne saurait être question de nomination de camarades et amis ou de salaires injustifiés et inapopriés. Et comme je l’ai n fois proposé, le travail de ceux qui viendraient à s’engager dans les organes de la transition devrait être essentiellement bénévole pour nous empêcher cette ruer des opportunistes et favoriser l’engagement des gens d’idées et de bonne fois. pour ce fait, ca ne serait pas trop démandé que le chef de l’état, le gouvernement ( qui ne devrait pas exéder 15 membres 9 et tous les acteurs bénéficient de leur salaire d’avant engagement ( qui ne devrait pas excéder celui du plus élévé salaire de la fonction publique), amélioé d’une indemnité forfaitaire plafonée à 100 000 ou maximum 200 000 F. Je pense que ca serait juste pour que personne qui a des engagement pris sur la base de son salaire ne soit obligé de décliner par crainte de ne pouvoir subvenir à ces engagement.
    Maintenant, si le capitaine Traoré pense avoir une aubaine de nommer ses collègues, parents , amis et connaissances à de juteux postes, alors nous serions pris dans notre cercle . Mais espérons que lui est plus réceptif des critiques objectives que son prédécesseur et son entourage.

    Passakziri

  • Le 11 octobre 2022 à 10:01, par Damis En réponse à : Conduite de la Transition au Burkina Faso : Et si Le colonel Auguste Denise Barry était l’homme de la situation ?

    Très bonne analyse.
    En fait, je me disais même est-ce que le Président Ibrahim TRAORE allait réussir s’il ne mettait pas cet homme intègre au centre de sa gouvernance !
    Très sincèrement, ce fut du gâchis quand Simon COMPAORE en tant que ministre de la défense s’est laissé embobiné à travers le complot hourdi contre lui par la politique la France et ses complices tapis au niveau de la hiérarchie militaire !
    Si en son temps Simon n’avait pas joué au naïf en acceptant que les forces du mal dépouillent cet homme intègre des équipements sophistiqués en sa possession (il paraît qu’avec ses équipements il arrivait même à intercepter des communications de certaines amrées occidentales basées au Burkina avec des terroristes), le pouvoir de Roch KABORE n’allait pas basculer aussi facilement comme ce que nous avons connu ce 24 janvier dernier.
    Si Auguste Dénise BARRY venait à diriger ce pays, les vrais Burkimbi ne regretteront pas !
    Qu’il en soit ainsi donc !

  • Le 11 octobre 2022 à 10:30, par OPINION En réponse à : Conduite de la Transition au Burkina Faso : Et si Le colonel Auguste Denise Barry était l’homme de la situation ?

    Personnellement je ne pense pas qu’il soit l’homme de la situation mais c’est mon point de vue

  • Le 11 octobre 2022 à 11:02, par billy billy En réponse à : Conduite de la Transition au Burkina Faso : Et si Le colonel Auguste Denise Barry était l’homme de la situation ?

    Le Monsieur on dirait il connaît le colonel comme sa poche.
    Mon frère revient au pays on va choisir ensemble. Loin des balles assassines des voyous on peu tout dire. Revient au pays on va proposer TIPOKO ensemble.

  • Le 11 octobre 2022 à 12:15, par SIDNABA En réponse à : Conduite de la Transition au Burkina Faso : Et si Le colonel Auguste Denise Barry était l’homme de la situation ?

    En quoi ce type est plus méritant que le Capitaine Traoré Ibrahim qui a pris le courage et le risque de destituer le LC DAMIBA ? Un peu de respect pour les hommes valeureux au Burkina Faso. Tous les moutons sont exposés au marché mais n’ont pas le même prix. Si ce colonel est fort, qu’il aille faire son coup d’Etat ? Il n’y a pas un soldat plus méritant que le Colonel Traoré Ibrahim qui a chassé DAMIBA de Ouaga 2000. C’est pour lui la chose, il s’est battu pour cela. C’est sa chose. Point barre.

  • Le 11 octobre 2022 à 12:25, par Insight2dbone En réponse à : Conduite de la Transition au Burkina Faso : Et si Le colonel Auguste Denise Barry était l’homme de la situation ?

    Laissez Ibrahim Traore diriger la transition. Il est ’’ vierge’’ sur tous les plans. Laissez le petit gérer et des gens comme Barry vont l’accompagner. Merci.

  • Le 11 octobre 2022 à 12:44, par OA En réponse à : Conduite de la Transition au Burkina Faso : Et si Le colonel Auguste Denise Barry était l’homme de la situation ?

    L’actuel Burkina n’a plus besoin de ces genres de CV. Il pourra le déposer à l’ONU.

  • Le 11 octobre 2022 à 15:50, par Biata En réponse à : Conduite de la Transition au Burkina Faso : Et si Le colonel Auguste Denise Barry était l’homme de la situation ?

    Je ne sais pas si Auguste Denise Barry est l’homme de la situation ou pas. En tout cas, c’est un officier intègre et compétent qu’on n’aurait pas dû écarter comme on l’a fait. Il a un très bon potentiel pour être efficace dans la défense du pays et dans la lutte contre le terrorisme, je pense.
    @Sidnaba, d’abord, Ibrahim Traoré est capitaine et non colonel. Ensuite, permet-moi de souligner ici que le pouvoir n’est "" la chose "" de personne. Arrêtons avec cette expression minable et irrespectueuse de Damiba. Le pouvoir n’a jamais été la propriété de quelqu’un et Damiba l’aura compris à ses dépends. Comment peut-on traiter le pouvoir à la tête d’un Etat de "" chose "" ou de sa "" chose "" ?
    Donc maintenant, tous les matins, un militaire va brandir les armes, faire un putsch et dire que "" lui aussi il a pris sa chose "". C’est ma chose et j’en fait ce que je veux ? Tu penses que le pouvoir à la tête d’un pays est "" une chose "" et tu penses qu’un pays c’est "" une chose "" que chacun peut prendre pour s’amuser avec parce que ce serait sa chose ?
    Venons en au capitaine Ibrahim Traoré. Il a fait un coup d’Etat à la tête d’un groupe de militaires. Au lieu d’être là à tergiverser pour savoir qui va prendre, qui veut prendre, qui peut et qui ne peut pas..., Que Ibrahim Traoré cesse de tergiverser et s’assume en tant que chef d’Etat de cette transition et dirige le pays. On ne lui demande pas de s’approprier une chose car le Burkina n’est pas une chose à s’approprier. On lui demande d’assumer son putsch, d’assumer sa fonction de chef d’Etat, de s’entourer de personnes fiables, de nous gouverner le pays sans les salamalecs du passé et de chasser les terroristes du pays. Il peut oui ou non ?
    Si c’est oui, qu’il s’assume clairement comme chef d’Etat. Si c’est non, qu’il le dise tout de suite au lieu de nous embarquer comme l’autre dans des consultations, des assises, des nominations interminables à venir sûrement, sur lesquelles tous les charognards passés et présents vont venir s’agglutiner pour manger et non pour travailler et nous serons encore au point mort dans un an à tourner en rond face au terrorisme et face aux autres enjeux.
    Au lieu de nous attarder à chercher des hommes de la situation, posons d’abord la question clairement au capitaine Ibrahim Traoré : tu veux t’assumer comme chef de l’Etat ou pas ? Qu’il réponde clairement et agisse en conséquence ! Oui je veux ou non je ne veux pas ! Pour ma part, jusqu’à preuve du contraire, il est "" l’homme de la situation "". Maintenant, si sa réponse c’est "" non je ne veux pas "", on pourra alors chercher un homme de la situation. Pour moi, la balle est dans le camp du capitaine Ibrahim Traoré.

  • Le 11 octobre 2022 à 18:41, par Zango En réponse à : Conduite de la Transition au Burkina Faso : Et si Le colonel Auguste Denise Barry était l’homme de la situation ?

    C’est bien proposé mais moi je souhaite qu’il soit président non bourgeois puisque avec la bourgeoisie il risque d’être le président la classe bourgeoise et non pas pour le peuple meurtri. Il a dit qu’il voulait sauver son peuple meurtri,on peut lui donner une chance d’essayer.

  • Le 12 octobre 2022 à 07:46, par Dabre En réponse à : Conduite de la Transition au Burkina Faso : Et si Le colonel Auguste Denise Barry était l’homme de la situation ?

    Américain, lui là il était où ? Les diplômes ont échoué il y a longtemps au Burkina. Il reste la sincérité, le courage et le sacrifice

  • Le 12 octobre 2022 à 11:00, par jan jan En réponse à : Conduite de la Transition au Burkina Faso : Et si Le colonel Auguste Denise Barry était l’homme de la situation ?

    Comme dit le nouvel emigrant de Lomé, celui qui fait son coup d’état, c’est à lui la chose, alors que Traoré soit notre nouveau PF, M. Barry peut leur venir en aide, car le pays est à nous tous.

  • Le 12 octobre 2022 à 21:52, par Élèves En réponse à : Conduite de la Transition au Burkina Faso : Et si Le colonel Auguste Denise Barry était l’homme de la situation ?

    Diplômé tout comme damiba,le présidentiel n’es pas un concour où il faut tout ces diplômes pour postuler, le Burkina est malade et il a besoin de vrai médecin et non pas des plaisantins,il faut vraiment un homme de terrain très actif pour la situation, Dieu bénisse le Burkina

  • Le 13 octobre 2022 à 01:06, par Djebou En réponse à : Conduite de la Transition au Burkina Faso : Et si Le colonel Auguste Denise Barry était l’homme de la situation ?

    A mon Avis il n est pas l Homme de la situation. La veste de president du Faso sera trop grande pour Lui. La gestion d un pays n est pas seulement militaire mais aussi bcp d autres composantes. Nous avons vu la mediocrite de Damiba militaire. Sa place serait mieux ds le commandment militaire si Les nouvelles aurites Lui font confiance.

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