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Alpha Barry, ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur : « Je n’ai aucun complexe à occuper ce poste »

Publié le mardi 22 mars 2016 à 12h31min

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Alpha Barry, ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur : « Je n’ai aucun complexe à occuper ce poste »

Après les pays du Golf et en Asie, le ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur, Alpha Barry a bouclé sa tournée par un séjour de quelques jours à Paris où il a rencontré les officiels français pour préparer la visite du président du Faso en France début avril. Dans la matinée du 19 mars, il s’est entretenu avec les étudiants Burkinabè à leur résidence, 12 rue Fessart dans le 19e arrondissent, puis avec le personnel diplomatique local. Dans l’après-midi, il a eu des séances de travail avec les consuls du Burkina, et des délégués du Conseil supérieur des Burkinabè de l’extérieur (CSBE). Pressé par un agenda très chargé, le patron de la diplomatie burkinabè a néanmoins pu faire le point de son périple. En toute sincérité.

Le ministère que vous occupez prend enfin en compte les Burkinabè de l’extérieur, une revendication longtemps formulée par la diaspora. Quelle est la feuille de route qui vous été confiée ?

Le fil rouge de ce ministère est d’impliquer davantage les Burkinabè de l’extérieur dans la gestion et la construction du pays. Bien qu’ils soient physiquement loin du Burkina, ils sont présents dans le débat national à travers les médias et les réseaux sociaux, et il est impossible de distinguer celui qui intervient depuis Koudougou, Ouaga, Ouahigouya ou depuis Libreville, Montréal, Milan, etc. Plus qu’avant, les Burkinabè de l’extérieur s’intéressent à la gestion de leur pays d’origine et il y a comme une uniformisation de l’esprit burkinabè. Derrière cet intérêt, se pose aussi d’une certaine manière la problématique de leur insertion, leur possible retour au pays pour ceux qui en ont envie ou le projet. Il s’agit donc de voir comment les inciter à investir dans leur pays d’origine et également comment mieux orienter les fonds qu’ils transfèrent vers l’investissement productif. Nous souhaitons également détecter toutes les compétences qui sont à l’extérieur pour mieux les utiliser et les placer dans les endroits où ils peuvent exprimer leurs talents. On entend régulièrement qu’un Burkinabè est spécialiste dans un domaine pointu ou qu’il a réussi, à force de travail dans tel pays. Nous avons besoin de toutes les ressources éparpillées dans le monde, de l’ouvrier agricole dans les plantations agricoles qui, en revenant au pays peut apporter un plus dans le développement du pays, à celui qui travaille dans des domaines pointues de la technologie. Notre diaspora est très nombreuse, on parle de 4 millions en Côte d’Ivoire, quelques millions au Ghana, 50 000 au Gabon, en Italie, etc., et nous devons tenir compte de leurs avis dans la construction de la nation.

Pouvez-vous garantir aux Burkinabè de la diaspora qu’ils pourront enfin voter en 2020 ?

Le droit de vote est un acquis et il y a une vraie volonté politique de faire voter nos compatriotes de l’extérieur en 2020. J’ai déjà reçu des instructions fermes du président du Faso sur ce sujet et je travaille déjà à réunir les conditions pour qu’ils puissent voter. Nous avons commencé à faire le recensement parce que c’est notre devoir d’avoir une bonne connaissance de nos ressortissants à l’extérieur, une bonne cartographie de cette population et sa répartition dans le monde. Ce travail a déjà commencé.

Vous avez rencontré les Consuls généraux et honoraires du Burkina, les délégués du Conseil supérieur des Burkinabè de l’extérieur (CSBE) et les étudiants. Quel message aviez-vous à faire passer à tout ce monde ?

J’ai rencontré les consuls parce que je souhaite que nous soyons en phase quant au discours à tenir sur notre pays, surtout après les attentats de janvier dernier. Beaucoup de gens se demandent si la sécurité règne au pays, et comme ce sont les consuls qui délivrent les visas, il était important de les rencontrer et leur dire que le Burkina est un pays toujours fréquentable. J’ai constaté lors des discussions que chacun est très engagé à défendre le Burkina dans sa juridiction, et je leur ai donné l’assurance que des dispositions ont été prises pour garantir la sécurité à tous ceux vivent au Burkinabè et à tous ceux qui nous font l’amitié de visiter notre pays.

Ce message s’adresse aussi aux partenaires de développement, notamment à tous ceux qui sont dans la coopération décentralisée, mais aussi dans les associations et ONG intervenant au Burkina.

Quant aux délégués CSBE, ils sont les principaux relais dans la communauté burkinabè en France ou en Europe. Il était aussi important de les rencontrer et les mettre en phase avec la vision du gouvernement, leur expliquer les grands lignes de la politique que nous voulons mener même s’ils suivent l’actualité grâce aux médias, et les informer sur les difficultés que nous rencontrons. Je souhaitais aussi écouter leurs préoccupations et voir les solutions à leur apporter.

C’est dans la même optique que j’ai rencontré les étudiants qui sont à la résidence, Rue Fessart à Paris. Même étant étudiants, ce sont des Burkinabè qui résident à l’étranger et je me dois de les écouter et être le relais de certaines de leurs préoccupations auprès du gouvernement. A travers ces rencontres, j’ai souhaité inaugurer un dialogue qui doit être permanant avec les Burkinabè de l’extérieur.

Vous vous êtes rendu Abu Dhabi, à Djeddah, au Turkménistan et en Inde pour parler de développement et de financement de projets. C’est la diplomatie économique que vous souhaitez incarner ?

C’est pour élargir le cercle de nos amis et partenaires. Le Turkménistan est bien entendu loin du Burkina, mais c’est un grand pays producteur d’hydrocarbures, puisqu’il est 4e exportateur mondial de gaz. Vous savez bien qu’actuellement, notre facture énergétique est lourde, notamment pour le fioul que nous utilisons dans les groupes électrogènes que nous louons durant la période de forte chaleur. Or, la location est une chose, le carburant en est une autre ! Nous devons donc mettre en place une stratégie pour l’approvisionnement en carburant. L’année dernière, le Burkina a connu des problèmes d’alimentation en énergie parce que la Sonabhy n’arrivait pas approvisionner la Sonabel. C’est pour trouver une solution à ce problème que j’ai eu des discussions avec les dirigeants du Turkménistan qui pourraient bien nous livrer du gaz ou du pétrole à des conditions intéressantes.

En Arabie Saoudite, j’ai rencontré les responsables de la Banque islamique de développement (BID), ceux de l’Organisation de la conférence islamique (OCI) à Riad, le Fond saoudien de développement, et aussi le Fond d’Abu Dhabi pour relancer des projets que nous avons en souffrance avec eux. C’était l’occasion d’introduire aussi de nouvelles requêtes par rapport aux besoins que nous avons actuellement dans le pays, sans oublier bien entendu, les questions de sécurité au regard de l’actualité récente en Afrique de l’ouest.

Au conclave de New-Delhi, nous n’avons parlé que de développement pendant deux jours. Nous avons discuté avec des chefs d’entreprises, des responsables publics Indiens sur les possibilités d’accroitre leurs interventions au Burkina. Même si nous avons été cueillis à froid par les questions de sécurité, on ne doit pas oublier les questions de développement. Donc, oui, il s’agit de conduire une diplomatique économique dans le but d’améliorer les conditions de vie des Burkinabè

Les attentats ont-ils inversé les priorités du gouvernement ?

Non, ils ont plutôt imposé la priorité sécuritaire, mais les gens qui sont sortis dans les rues et se sont battus, veulent aussi le développement, la justice sociale et le travail. Pour assurer un mieux-être à tous, il faut bien mobiliser les moyens financiers pour financer les projets. Nous explorons toutes les pistes, y compris les niches de partenariat qui pourraient nous aider parce que les interlocuteurs traditionnels sont essoufflés

Le ministre de l’Intérieur français Bernard Cazeneuve a annoncé le 15 mars à Abidjan, que le Groupement d’intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) sera déployé à Ouagadougou pour aider à lutter contre le terrorisme. Vous parlez plutôt d’une « piste de coopération ». Qu’en est-il exactement ?

J’ai rencontré mon homologue français, Jean-Marc Ayrault, puis Hélène Le Gal, la conseillère Afrique du président Hollande, les conseillers du premier ministre Valls avec lesquels j’ai évoqué la prochaine visite en France du président Kaboré. C’est la France qui est à l’initiative de cette visite et ce sera l’occasion pour les deux chefs d’Etat de se rencontrer, mais aussi pour le président du Faso d’avoir des échanges avec les hommes d’affaires, le Mouvement des entreprises de France (Medeef) et tous les acteurs de développement.

Nous avons aussi évoqué la question que vous posez, et sur ce point, aucune décision n’a encore été prise d’installer le GIGN au Burkina. Il y a des rendez-vous pour des discussions entre le ministre français Bernard Cazeneuve et le ministre d’Etat Simon Compaoré et la décision interviendra à l’issue des concertations.

Avez-vous été surpris quand le président vous a proposé d’être son ministre des Affaires étrangères ?

Non, je n’ai pas été surpris parce que j’étais dans les arcanes de la diplomatie depuis cinq ans en tant que conseiller spécial du président guinéen Alpha Condé. J’accomplissais des missions auprès de certains chefs d’Etat, donc j’étais déjà dedans. Et puis, ce qui est important en diplomatie l’est également en journalisme : le contact. Le bon diplomate doit avoir un bon réseau comme le journaliste doit avoir un bon carnet d’adresses sans lequel il n’est rien. Je me sens l’aise à ce poste et j’estime que celui qui m’a nommé sait ce qu’il fait. Il a été plusieurs fois ministre, puis premier ministre, vice-président et président de l’Assemblée nationale pendant dix ans. C’est quelqu’un qui connait l’Etat, l’importance des différentes fonctions et s’il a pensé à moi, c’est qu’il a vu en moi des qualités qui font que je peux occuper ce poste

Comment s’est passé votre accueil au ministère, vous qui n’êtes pas un diplomate de carrière ?

Tout s’est bien passé et j’ai été bien accueilli par le personnel du ministère. Ne pas être un diplomate de carrière n’est pas un problème en soi. D’ailleurs, combien de gens se souviennent du dernier ministre des Affaires étrangères ayant un profil de diplomate de carrière ? Mes prédécesseurs Issouf Ouédraogo, Ablassé Ouédraogo, Alain Yoda sont des économistes et Djibril Bassolé un gendarme. Pourtant, le Burkina a connu de grands moments de diplomatie qui ont été salués sur le continent ! Je n’ai aucun complexe à occuper ce poste. Ce qui compte, ce sont les résultats et je me battrai pour qu’on ne dise pas que le président du Faso a eu tort de m’avoir confié ce portefeuille.

Interview réalisée par Joachim Vokouma
Lefaso.net (France)

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Vos commentaires

  • Le 21 mars 2016 à 20:49, par Dibi En réponse à : Alpha Barry, ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur : « Je n’ai aucun complexe à occuper ce poste »

    Ministre des affaires étrangères, oui ! Mais pas ministre de la putasserie et la continuité néocoloniale françafricaine. Avoir servi le Bachagal de Guinée et autres satrapes françafricains ne vous honore en rien. Cela prouve tout simplement, votre ascendance sur le régime MPP et on vous voit prêt à renforcer la base étrangère de barbouzes qui est sise à Ouagadougou. Vous n’êtes pas neuf. On l’a cru à tort. Vous êtes un homme de ces réseaux de connivence qui truffent le continent et hypothèquent l’avenir de ses peuples. Vous avez quoi comme vision neuve à proposer à notre peuple dans le sillage du bancocrate R. C. Kaboré ? Rien, on peut le dire sans se tromper. A moins d’opérer une rupture, ce dont on peut douter de la part d’une ex-plume mercenaire en Guinée et ailleurs.

  • Le 21 mars 2016 à 21:53, par Pardon En réponse à : Alpha Barry, ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur : « Je n’ai aucun complexe à occuper ce poste »

    C’est vraiment un gouvernement de four tout, franchement si le Faso n’a que ces faire valoir pur nous gouverner ???????

  • Le 21 mars 2016 à 22:11, par ngoonga En réponse à : Alpha Barry, ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur : « Je n’ai aucun complexe à occuper ce poste »

    C’est propre Monsieur le Ministre. Pourquoi avoir ce complexe ??? C’est une question d’éducation et de bagage intellectuel ( vous l’aviez) ; rien ne prouve que vous êtes moins que les autres qui ont succédé avant vous n’en déplaise aux manchots. Ne perder pas votre temps à vous expliquer sur les humeurs de certaines personnes peu importe leurs bords politique. ALLAH vous accompagne ainsi que le BURKINA ’’ vérité’’

    Courage

  • Le 21 mars 2016 à 22:36, par bikutu En réponse à : Alpha Barry, ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur : « Je n’ai aucun complexe à occuper ce poste »

    Tous mes respects M. le Ministre des Affaires étrangères Alpha Barry ! Nous sommes avec vous ! Puisse le Seigneur vous guider pour que vous puissiez à notre bénéfice à tous produire de très très bons résultats !

    Que le Seigneur vous guide M. Alpha Barry

  • Le 22 mars 2016 à 02:20, par AnonymeX En réponse à : Alpha Barry, ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur : « Je n’ai aucun complexe à occuper ce poste »

    N’écorchez pas la mémoire de Arba Diallo, ce fut un brillant diplomate de carrière et un excellent ministre des Affaires. Beaucoup s’en souviennent. Il y a également Léandre Bassolé. Plus près de nous Nébié Moussa qui a fait ce qu’il pouvait en une année. Avant d’être ministre, c’est également un excellent diplomate que je respecte. Avant lui, les gens se souviennent de Jean de Dieu Somda, diplomate de carrière qui a marqué les esprits en tant que ministre délégué avant de faire valoir ses compétences à la CEDEAO.

    Bref ! à votre place, j’aurais argumenté autrement. En fait, n’oubliez pas que vous êtes diplomate dès lors que vous êtes ministre de Affaires étrangères. Donc, veuillez à avoir le langage diplomatique et à avoir une grandeur d’esprit. Ce que vous avez dit "combien de gens se souviennent du dernier ministre des Affaires étrangères ayant un profil de diplomate de carrière ?" est probablement dit sous la pulsion. Mais cela ne se dit pas en diplomatie. Pour moi, Djibril Bassolet a été excellent en tant que ministre des Affaires étrangères - je ne parle pas de Djibril Bassolet le politique. Ce n’était pas un diplomate de carrière mais il a vite appris le métier. Il ne se serait jamais exprimé comme vous l’avez fait. Sous-pesez chaque mot et chaque phrase. De plus, vous n’aviez pas besoin de dire que vous n’avez aucun complexe. Je ne pense même pas que la question du journaliste allait dans ce sens. Conseil d’un ancien diplomate toujours en activité mais hors du ministère des affaires étrangères..

  • Le 22 mars 2016 à 07:31, par Truman En réponse à : Alpha Barry, ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur : « Je n’ai aucun complexe à occuper ce poste »

    Petit Peul, il faut faire ton travail seulement. Quel que soit là on te mettra, tu seras toujours critiqué positivement ou négativement. Fais ce que tu as à faire seulement.

  • Le 22 mars 2016 à 07:36, par ngoonga En réponse à : Alpha Barry, ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur : « Je n’ai aucun complexe à occuper ce poste »

    A l’internaute N° 1 (Dibi). A chaque fois que le Ministre Alpha Barry apparaît vous semblez chagriner. Attendez vous ( ou un proche) une nomination à ce poste et qui vs a échappé ? si non que de proposes qui ne sont pas pas à votre honneur. Souffrez une fois encore de voir notre Ministre briller par la qualité de ses prestations au bonheur de notre diplomatie et du peuple Burkinabé.

  • Le 22 mars 2016 à 07:40, par Paribrusefas cp1 En réponse à : Alpha Barry, ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur : « Je n’ai aucun complexe à occuper ce poste »

    Du courage monsieur le minister ! Et surtout faitez attention a votre syndicat du ministre .
    Je les classe comme des petits COMMUNISTE la ou il non pas leurs place
    Comme diplomate. . Attention a votre syndicat ! Il sont tous COMMUNISTES.

  • Le 22 mars 2016 à 07:48, par Nazemse’ En réponse à : Alpha Barry, ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur : « Je n’ai aucun complexe à occuper ce poste »

    Je souhaite beaucoup de courage au Ministre Alpha Barry pour toutes les missions qu’il effectue pour le developpement de notre cher Faso. Je profite de cette occasion pour lancer un cri de coeur au ministre Alpha Barry pour qu’il fasse en sorte pour venir en aide a nous de la disapora Burkinabe afin que nous puissions avoir l’opportunite’ de proroger nos passports dans nos ambassades ou consulats du pays de residence comme le font certaines ambassades africaines pour leurs ressortissants . On est confronte’ a vrai probleme losqu’on se retrouve avec un passport expire’ ou en voie d’expiration, ca devient un vrai parcourt du combattant. J’espere que certains freres de la diaspora ne me diront pas le contraire . Je demande au ministre Barry de bien vouloir prendre ma doleance en consideration car c’est un probleme qui nous tient beaucoup a coeur .

  • Le 22 mars 2016 à 08:38, par RV En réponse à : Alpha Barry, ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur : « Je n’ai aucun complexe à occuper ce poste »

    Le fait de dire que vous n’avez pas e complexe et déjà un complexe ! Que Dieu abrège nos souffrances !

  • Le 22 mars 2016 à 09:00 En réponse à : Alpha Barry, ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur : « Je n’ai aucun complexe à occuper ce poste »

    Bonjour
    Un grand merci à ce diplomate discret .Mr Barry je suis un Barry du Burkina résidant au Mali , mais de loin votre ainé . cher ministre comprenez que vous êtes l’œil et l’oreille d’une grande nation qui est le Burkina Faso .
    Merci

  • Le 22 mars 2016 à 09:11, par L’Etalon Enragé En réponse à : Alpha Barry, ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur : « Je n’ai aucun complexe à occuper ce poste »

    Bravo notre ministre des Affaires Etrangères. On vous croit et on vous suit. J’ai confiance à ce gouvernement de RMCK et de PKT formé pour la plupart de jeunes qui font leurs premiers pas dans la gestion des affaires du Faso. L’histoire a généralement montré que lorsque l’on vous sous-estime, c’est en ce moment que vous excellez pour prouver que vous êtes capable. Mr le ministre, continuez ainsi, vous êtes sur la bonne voie. Tout ce que je souhaite, c’est demander aux syndicats, surtout celui des magistrats de jouer balle à terre et accorder un temps sabatique de 6 à 12 mois aux nouvelles autorités pour prendre le pouls de la situation financière des caisses de l’Etat avant d’agir. Faisons confiance aux nouvelles autorités du Faso, nos souffrances vont diminuer j’en suis convaincu ; en tout cas on vivra mieux que sous Blaise Compaoré. Les signes de l’espérance seront visibles vers les 6ème à 9ème mois de prise de fonction de cette équipe que moi je qualifie d’Equipe de Jeunes Chocs. Du courage à nous tous, l’avenir est promettant.

  • Le 22 mars 2016 à 10:10, par Nabiiga En réponse à : Alpha Barry, ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur : « Je n’ai aucun complexe à occuper ce poste »

    Dès lors le ministre est ministre qui est à pied d’oeuvre pour le bien de l’état et non pas, un ministre-domestique au service des frères Compaoré pour le bien de ceux-ci,tel que fut la mission de Djirbril pendant des années, je ne vois pas pourquoi faut-il avoir un quelconque complexe. Au contraire, il travaille et vaque à ses responsabilités d’état tête haute car il sait qu’il au service du peuple. Dur courage surtout m. le ministre.

  • Le 22 mars 2016 à 10:14, par Irihaban En réponse à : Alpha Barry, ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur : « Je n’ai aucun complexe à occuper ce poste »

    D’accord pour chercher les financement pour votre programme présidentiel mais attention à ne pas accepter les conditions de ces bailleurs qui ne donnent leur argent que quand vous accepter que votre population se convertie en islam ou bien qu’ils viennent construire des moqués sur des parcelles que vous leur octroierez à des prix symboliques.
    Les projets qui seront financés, qu’ils n’exigent pas aussi qu’on soit islamisé avant d’être recruté.
    Ce sont ces conditions qu’ Alassane Ouattara a accepter pour avoir leur argent.
    A bon entendeur salut !

  • Le 22 mars 2016 à 10:15, par Hakili En réponse à : Alpha Barry, ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur : « Je n’ai aucun complexe à occuper ce poste »

    Gouvernement de four tout. on comprend mieux votre intervention sur RFI, qui n’était pas celle d’un homme de média accomplissement sa tâche avec objectivité et professionnalisme, mais plutôt un subjectivisme intéressé. Pensons que Dandjinou et vous avez votre place au gouvernement ? Devant nombre de diplomates et de journalistes chevronnés, je réponds non mais hélas notre avis ne compte pas, du moins jusqu’à la prochaine élection.

  • Le 22 mars 2016 à 10:59, par VISION En réponse à : Alpha Barry, ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur : « Je n’ai aucun complexe à occuper ce poste »

    "Mes prédécesseurs Issouf Ouédraogo, Ablassé Ouédraogo, Alain Yoda sont des économistes et Djibril Bassolé un gendarme. Pourtant, le Burkina a connu de grands moments de diplomatie qui ont été salués sur le continent ! ". je confirme.

  • Le 22 mars 2016 à 11:45, par Naboho Lassina En réponse à : Alpha Barry, ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur : « Je n’ai aucun complexe à occuper ce poste »

    Je vous félicite , pour votre nomination ,en espérant que votre passage au M.A.E.C.R. sera
    marqué d un cachet particulier ,concernant tous les dossiers en souffrance à la Direction
    des affaires juridiques de votre ministère,il s agit des différends de travail entre les ex- travailleurs et les ambassades ainsi que, les enclaves diplomatiques. Je vous souhaite pleins
    succès ,que Dieu vous aide à surmonter les difficultés.Merci

  • Le 22 mars 2016 à 11:55, par SOGOSSIRA de Tuiré En réponse à : Compte rendu du Conseil des ministres du 24 février 2016

    Encore ce sujet qui fâche de vote des Burkinabe de l’étranger. Nous avons en tant que Burkinabe tous les mêmes droits. Le droit à la vie à la santé à l’éducation au logement au travail descent, le droit de voter si on a la majorité ......etc. Est-ce que tous ces droits peuvent être satisfaits en même temps dans un pays aussi financièrement pauvre que le notre avec une population qui grossi exponentiellement ?. La réponse est non. Si la réponse est non il faut prioriser la satisfaction de ces droits et le droit de vote des Burkinabé de l’étranger ne peut pas être une priorité dans le Burkina d’aujourd’hui qui n’a même plus de queue de diable à tirer parce qu’il a détalé en Côte-d’Ivoire. Les diaspos pardon laissez votre affaire de vote à l’éxterieur pour 2050 quand au Faso il n’y aura plus d’écoles sous paillote, quand nos villageois ne feront plus 5 km pour cherchez de l’eau pour survivre quand nos hôpitaux ne seront plus des mouroirs, quand.....etc. Soufrez que l’on vous dise la vérité.

  • Le 22 mars 2016 à 12:00, par crocodile En réponse à : Alpha Barry, ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur : « Je n’ai aucun complexe à occuper ce poste »

    Mr. le Ministre Alpha BARRY, après 90 jours de travail ,vous et tout le gouvernement de ROCK n’etes pas convainquants. En France ,on vous voit comme un mendiant : Tonton HOLLAND, on besoin de l’aide pour le budjet, on a besoin de l’aide pour la securite ,on besoin de l’aide pour ceci ou pour cela . Arretez de mendier de part le monde .Ce n’est pas de la diplomatie. Vous montrez par la que vous etes pret a faire pleinement et jusqu’au bout
    mais dans la naivete la politique de la France en Afrique . le ministre de l’interieur Francais
    Mr. CAZNEUVE a annonce a Abidjan pour la 1ere fois que les gendarmes francais vont patrouiller dans la ville de Ouagadougou et d’Abidjan ; et SIMON COMPAORE ajoute :
    toute cooperation, grande ou petite dans le domaine de la securite ,sera la bien venue. Cela signifie que la decision d’envoyer les GIGN francais est deja prise sans l’accord du people Burkinabe .Pourquoi agir ainsi ? .parce que Blaise Compaore ,dans sa politique de francafrique , a implante l’armee francaise sur le sol Burkinabe sans l’avis du people Burkinabe . C’est exactement cette politique francafricaine de Blaise Compaore que ROCK et son gouvernement veulent poursuivre dans notre pays.Mr le Ministre ,je vous informe que ,le jour ou on verra les gendarmes francais, sillonner les rues de Ouagadougou pour des controles ou des fouilles ,ce jour la grogne du peuple Burkinabe sera a son comble.
    nous n’accepterons jamais le retour du neoclonialisme francais dans notre pays.

  • Le 22 mars 2016 à 12:55 En réponse à : Alpha Barry, ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur : « Je n’ai aucun complexe à occuper ce poste »

    Tonton Alpha,

    c’est Allah qui vous a mis Ministre. Laissez les gens parler, les jaloux vont maigrir.

    Petit Mouss Diallo

  • Le 22 mars 2016 à 14:20 En réponse à : Alpha Barry, ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur : « Je n’ai aucun complexe à occuper ce poste »

    Il est en train d’emboiter le pas de Ablassé OUEDRAOGO qui se croyait tojours obligé de parler tant qu’il y a un micro. finalement il s’est brulé les ailes en abusant des micros. la diplomatie ce n’est pas forcement quand on est ministre. un lamda peut être diplomatique pourvu qu’il ait de la hauteur d’esprit et de l’humilité. ce qui vous manque énormément. Albert Nagrego de votre "fameuse omega fm" méritait votre place pour avoir lutté à visage découvert. pour mieux profiter des dividendes de son combat, qu’est ce que vous lui offert en retour : de l’humiliation et des conneries. c’est diplomatique ça ? la révolution continue.

  • Le 22 mars 2016 à 14:47, par NGONGA (le vrai) En réponse à : Alpha Barry, ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur : « Je n’ai aucun complexe à occuper ce poste »

    Trop de jaloux dans ce pays des hommes intègres. A peine un poste confié à quelqu’un qui a une autre vision à faire valoir, et voilà les vieux vautours (diplomates de carrières) entrain de s’acharner sur lui pour saper son moral et faire échec à ses ambitions pour son peuple. Le ministère des affaires étrangères n’est pas la chasse gardée des diplomates de carrière ad vitam æternam, tout comme les autres ministères d’ailleurs ne peuvent être la chasse gardée de spécialiste du champ d’action desdits ministères. c’est d’ailleurs ce qui justifie la présence de Secrétaires Généraux dans tous les ministères (eux, sont des spécialistes) . Donc foutez la paix à Alpha BARRY qui pour l’instant n’est qu’au pied du mur. Il est donc prématuré de le juger à cette étape. COURAGE Mr le Ministre. DIEU vous assistera dans votre noble mission
    A l’Internaute NGOONGA, ce pseudo est le mien depuis bien longtemps. Trouvez autre chose ! sans rancune.

  • Le 22 mars 2016 à 15:22, par Hakili En réponse à : Alpha Barry, ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur : « Je n’ai aucun complexe à occuper ce poste »

    ce n’est plus la peine de donner son avis sur votre forum si c’est toujours récaler

  • Le 22 mars 2016 à 15:30, par ZG En réponse à : Alpha Barry, ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur : « Je n’ai aucun complexe à occuper ce poste »

    Le Ministre a bien raison de dire qu’il n’a aucun complexe !!! Souvenez-vous, il y a pas longtemps sur ce même site web (lefaso.net), quelqu’un écrivait pour dire que les épaules de M. Barry étaient peu solides pour supporter la charge de la diplomatie du Burkina. Je trouvais cette déclaration prétentieuse et arrogante. Le maçon se juge au pied du mur ! Pas ailleurs !! Certains commentateurs avaient par ailleurs ajouté par ignorance ou par mauvaise foi, qu’il n’était qu’un journaliste !! Un journaliste n’est-il pas qualifié pour être Ministre ? Drole de raisonnement ! Souvenez-vous de Luc Adolph TIAO, ancien Premier ministre, de Mahamoudou Ouédraogo, brillant ministre de la communication, de Raymond Edouard Ouédraogo pour ne citer que ces trois là. En ce qui concerne le ministère des affaires étrangères, si vous faites le compte, vous verez bien qu’il y a eu plus de ministres non diplomates de carrière que de ministres ayant la diplomatie comme formation de base. le Ministre n’a pas tord ! Cependant, les diplomates de carrière ont généralement occupé le poste de ministre délégué pendant de longues années.
    Dans les grands pays comme les USA, la France le constat est le même.

    Oui, M. le ministre, vous avez raison de repondre à ces gens là sur ce même site d’information. Vous "n’écorchez pas la mémoire de Arba Diallo" en rien ! D’ailleurs Arba Diallo (Paix à son âme) est fier de vous là ou il se trouve. Du royaume des cieux, il vous envoie ses bénédictions. N’en deplaise à "l’ancien diplomate toujours en activité mais hors du ministère des affaires étrangères", qui curieusement veut donner des conseils en se nommant "anonymeX". Un conseil à vous aussi : A votre place, je ne ferais pas ça, je donnerais mon vrai nom !!

  • Le 22 mars 2016 à 15:34, par LITA En réponse à : Alpha Barry, ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur : « Je n’ai aucun complexe à occuper ce poste »

    Merci M le Ministre ! votre mot de conclusion est très éloquent et tout le monde doit avoir l’humilité de l’admettre. Seuls les résultats comptent et je pense qu’avec cette diplomatie du développement que vous avez mis en branle et avec l’assistance de notre Dieu, les choses vont bien se dérouler.
    Les gens sont souvent mesquins, jaloux et intolérants.De grâce, accordez-leur (tout le gouvernement) le bénéfice des compétences, de la bonne foi et de la volonté de changer positivement les choses et vous pourrez les jugerez après.
    A bon entendeur salut

    Lita

  • Le 22 mars 2016 à 20:17 En réponse à : Alpha Barry, ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur : « Je n’ai aucun complexe à occuper ce poste »

    Attention à ne pas compromettre le pays avec des aides qui ne nous aideront pas à etre nous memes. vaut mieux etre pauvre avec une dignité que riche sans dignité ni liberté. Pourquoi des gendarmes français pour nous proteger ? Ils n’ont qu’à réussir d’abord à proteger la France. Et vous savez que les terroistes frappent plus là où sont les occidentaux.

  • Le 23 mars 2016 à 17:43, par Paul Kéré, Avocat au Barreau de Nancy En réponse à : Alpha Barry, ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur : « Je n’ai aucun complexe à occuper ce poste »

    En ma qualité de Délégué CSBE de la Région n° 6, je me dois d’énoncer en tant que témoin direct de la rencontre que lors de cette invitation à l’Ambassade du Burkina Faso à Paris, ce Ministre-là nous a fait une très belle impression par la prise en compte de nos doléances et, notamment la mise en place d’une véritable diplomatie offensive de développement. Il s’est montré prêt et déterminé sincèrement à impliquer les burkinabè de l’étranger dans le développement du Burkina Faso comme il l’a dit par le recours aux compétences. Et c’est cela qui compte et non pas ses origines professionnelles de journaliste ou de diplomate. Nous l’avons donc à l’oeil car très souvent, les hommes politiques ont une forme de dichotomie entre la parole et l’acte. Nous espérons que la parole sera jointe à l’acte dans l’intérêt général.
    Il est déplorable par ailleurs que certains diplomates se battent des pieds et des mains pour sortir du pays dans le seul but unique d’affiner leur propre plan personnel de carrière ou pour juste terminer leur villa à Ouaga 2000 pour leurs vieux jours (on peut faire les deux), plutôt que de défendre l’intérêt général en favorisant l’implication des associations et des ONG et autres partenaires techniques et financiers pour insuffler une véritable politique diplomatique de développement.
    Enfin, a-ton besoin (avec tout le respect je je dois aux diplomates de carrières) d’être diplomate pour aider au développement de notre pays avec encore des localités qui ont des écoles sous paillote alors que le loyer annuel de certains diplomates de carrières peut construire 5 écoles ? A chacun son échelle de valeurs ! Paul Kéré, Avocat au Barreau de Nancy, Délégué CSBE Région n° 6, France.

  • Le 24 mars 2016 à 08:10, par Alhamdou En réponse à : Alpha Barry, ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur : « Je n’ai aucun complexe à occuper ce poste »

    Mes chers, je vous demande de toujours donner le temps au temps car à chaque poste tel quand soit les gens, les diplômes, au delà de ça, c’est les hommes. Ainsi dit, il faut attendre les résultats avant de parler. Il me semble que certaines personnes veulent donner des avis sur des questions qu’ ils ne métrisent pas et en ce moment là, il y a rien de profitable pour l’état.

  • Le 28 mars 2016 à 21:17, par Un Citoyen Républicain. En réponse à : Alpha Barry, ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur : « Je n’ai aucun complexe à occuper ce poste »

    Un Citoyen Républicain répond à "Anonyme X".
    Le fait d’être ancien diplomate en activité et hors du MAECR et d’énoncer votre argument sous un pseudonyme, "anoyme X" vous a totalement disqualifié pour donner un quelconque conseil à qui que ce soit. Djibril Ypène BASSOLE a raconté plus de bêtises et de mensonges que ce que M. BARRY a dit. Oui M. BARRY a dit qu’il n’avait pas de complexe, et alors ? M. Barry a dit que les précédents ministres n’étaient pas des diplomates de carrière, et c’est vrai, qu’est-ce que tu ramènes ta fraise pour nous faire chier. Pourquoi voulez-vous comparer des torchons et des serviettes.
    - 1°) M. Barry est un homme saint, honnête, et une bonne personne. C’est pourquoi sa sincérité, sa bonhomie, sa foi de juste l’aideront incontestablement à réussir sa mission.
    Djibril BASSOLE est un menteur, un fourbe, une mauvaise personne. Il ne respecte jamais sa parole et je sais de quoi je parle. Il ne pouvait aller qu’à sa perte. Entre lui et le Président Blaise Compaoré, qui vaut mieux que qui à l’heure actuelle ? Blaise est tranquille dans sa belle famille à Abidjan et Djibril est en prison à la maca, même dorée. Faites le compte des parties.
    En conclusion, tout le mal que chacun fait, même dans l’anonymat dans ce forum comme "Anonyme X" se paie cash sur cette terre avant d’être "récompensé" devant Dieu. C’est une loi implacable. Heureusement ! Le Sage.

  • Le 29 mars 2016 à 10:08, par Le Sage et le Citoyen Républicain. En réponse à : Alpha Barry, ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur : « Je n’ai aucun complexe à occuper ce poste »

    En fait, le Sage et le Citoyen Républicain, c’est le même internaute.
    1. "Le Citoyen Républicain" pour les choses de la République.
    2. "Le Sage" pour les conseils d’usage et de sagesse.

    A prendre pour mieux se porter ou à laisser pour se perdre. C’est l’homme qui a peur, sinon y a rien. Si tu ne fais aucun mal sur cette terre, tu n’as rien à craindre...sauf Dieu.

    Le Sage dit Le Citoyen Républicain.

  • Le 30 mars 2016 à 09:54, par nouvelle aube En réponse à : Alpha Barry, ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur : « Je n’ai aucun complexe à occuper ce poste »

    Comme quelqu’un l’a deja dit plus haut et comme l’a a dit le ministre ce sont Les resultats qui comptent. Les actes parlent plus fort que Les paroles. Une chose dont je suis sure c’est que Ce n’est pas une bonne idee de laisser Les gendarmes francais venir assumer La securite des burkinabe.Que cache La france derriere ces intentions ? car n’oublions pas elle n’a pas d’amis mais uniquement des interets. Puisse le ministre le comprendre et refuser d’enfoncer le Clou dans la plaie que le peuple burkinabe tente de retirer. Si la France est de bonne volonte qu’elle participe a une meilleure formation de nos gendarmes et qu’elle leur donne le materiel approprie et adapte pour assurer La securite des Burkinabe. Le Burkina n’a pas besoin de la presence des gendarmes francais sur son Sol mais plutot de la transmission de l’expertise et des moyens logistiques a nos gendarmes qui j’en suis sure peuvent faire cette patrouille et de maniere efficace.

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