Parmi les principales causes de cette situation qui selon le premier ministre « est préoccupante », figure les perturbations des classes du faits d’éléments extrascolaires. Et sont de ces éléments, les manifestations et autres activités de rassemblements populaires pour lesquelles les élèves et les enseignants sont mobilisés pour l’animation au détriment des heures d’apprentissage de nos enfants.

On l’a appris lors de la conférence de presse annonce de la rentrée scolaire, Tertus Zongo premier ministre burkinabè s’en va « en guerre » contre les perturbations des classes par les manifestations diverses. Un arrêté de la primature, invite tout ministre et tout gouverneur, de mettre fin à cette mobilisation abusive des élèves et enseignants, qui est la principale cause des pertes de temps préjudiciable à la qualité des apprentissages.

L’année scolaire démarre sur des chapeaux de roues et les autorités burkinabè veulent prendre le taureau par les cornes. En pleine reformes du système scolaire le gouvernement veut marquer sa détermination à travailler dans pour un enseignement de qualité.

Par Frédéric ILBOUDO

L’Opinion