Burkina/Média : Le CSC rappelle les organes de presse qui n’ont pas encore fait de dépôt légal à s’exécuter
Au regard des impératifs de régulation et du contenu socio-sécutitaire en cours, le Conseil supérieur de la communication (CSC), dans un présent communiqué, invite les organes de presse qui n’ont pas encore fait de dépôt légal au respect des dispositions de la loi y relatives.
Pour rappel, le dépôt légal est régi par l’article 32 de la loi N057-2015CNT portant régime juridique de la presse écrite au Burkina Faso.
Cette loi dispose que : " Tout journal ou périodique imprimé fait l’objet de dépôt légal en deux exemplaires signés du directeur de publication ou de son représentant le jour de sa publication ainsi qu’il suit :
au Procureur de Faso près le tribunal de grande instance du siège du journal ou périodique ;
au ministère en charge de la Communication ;
à l’organe national chargé de la régulation de la communication ;
à la bibliothèque nationale".
Détails dans le communiqué !
Lefaso.net
Vos commentaires
1. Le 25 septembre 2023 à 20:25, par Indjaba En réponse à : Burkina/Média : Le CSC rappelle les organes de presse qui n’ont pas encore fait de dépôt légal à s’exécuter
Finalement quel a été le point de vue du CSC vis à vis du gouvernement concernant la suspension de Omega ? Le gouvernement a donné son point de vue. Omega a donné son point de vue. Même les citoyens lambda ont donné leur point de vue dans la presse et sur les réseaux sociaux. Certains ont trouvé que c’est le gouvernement qui devait fermer Omega et d’autres ont trouvé que c’est le CSC qui devait le faire. Omega a dit haut et fort que le CSC a été saisi pour la question. Ce dernier ne peut pas se réfugier derrière le confort du silence pour ne pas rendre compte aux Burkinabè. Il faut qu’il se prononce. Ne serait ce que pour dire qu’on est en guerre et que l’exécutif avait raison de suspendre Omega. Ce ne n’est pas possible pour une institution comme celle là de jouer à l’équilibriste et se cachant derrière le silence. Si le boss de cette institution a peur de parler à haute voix aux burkinabè et à leur rendre compte, il doit être viré avec la plus grande énergie et remplacé par quelqu’un d’autre..
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Le 26 septembre 2023 à 05:08, par beli En réponse à : Burkina/Média : Le CSC rappelle les organes de presse qui n’ont pas encore fait de dépôt légal à s’exécuter
avec Indjaba, tout article publié sur le le fasonet est une belle occasion pour faire du hors sujet et atterrir "biiiim" encore et encore pour denigrer le Burkina et les autorité de la transition. Chapeau a toi pour la gymnsatique
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2. Le 26 septembre 2023 à 12:10, par Mauvais français En réponse à : Burkina/Média : Le CSC rappelle les organes de presse qui n’ont pas encore fait de dépôt légal à s’exécuter
CSC (Conseil Supérieur de la Communication), il faudrait songer à faire de la formation continue pour certains agents de la presse afin qu’ils évitent de faire certaines fautes banales en live à la radio, à la télé et même dans les journaux.
Les expressions suivantes :
1- Quelque part et non à quelque part (remarque aux journalistes Kientega, Oulon lors des émissions Presse Echo de BF1 les dimanches à 11h, Ouédraogo de Canal 3 de l’émission l’Habitat en question)
2- Je leur ai expliqué, Je leur ai dit, je leur ai souhaité, je leur ai permis, etc. J’ai expliqué à qui (Je lui ai expliqué ou je leur ai expliqué) et non Je les ai expliqué ou je l’ai dit, etc.
3- Après que tu es parti, Après que nous sommes allés, etc. Et non Après que tu sois parti / Après que nous soyions allés. Après que appelle le passé (passé composé, passé anterieur, etc.) Et non le subjonctif comme Avant que (Avant que tu ne partes, Avant que nous n’allions, etc.).
4- Et bien d’autres fautes. Ce n’est pas tolérable pour des hommes de médias lors des débats où des élèves et étudiants sont branchés. Et même pour l’honneur de ces hommes de médias et certains hommes publics, hommes politiques voire ministres, Chef d’État. S’ils ne veulent pas s’améliorer alors qu’ils ne prennent plus la parole en public, dans les médias, etc. Ou bien qu’ils le fassent en mooré, en dioula ou en fufuldé. Nous, on est scientifique avec Bac D obtenu grâce aux Maths, SVT, Français, Philo, EPS, etc. Fo pa fassé, nou veu arensé.
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