Du 22 au 27 juin 2023, ils sont au total 54 stagiaires qui vont présenter leurs productions de fin de cycle pour l’obtention du diplôme d’assistant.

Teebkiéta Reine Edith Compaoré, étudiante en communication, a obtenu la note de 18, 5/20 et Gloria Balo, étudiante en journalisme, la note 16/20. Elles ont ouvert le bal des soutenances au siège de l’ISTIC ce jeudi matin.

Teebkiéta Reine Edith Compaoré, étudiante en communication, a soutenu sur l’« Analyse des pratiques de communication de la Chambre de commerce et d’industrie du Burkina Faso portant sur la promotion de la 7e édition de Africallia ».

Teebkiéta Reine Edith Compaoré étudiante en communication

Selon les membres du jury présidé par Victorien A. Sawadogo, le thème est pertinent et le document recevable.

Pour la directrice générale de L’ISTIC. Alizèta Ouoba/ Compaoré, ce matin, elle passe aux impétrants un message d’encouragement et les invite à avoir moins de stress pour pouvoir réussir cette épreuve orale qui est très importante pour l’obtention du diplôme.

« Nous avons lancé la série des soutenances ce matin. Nous avons 54 stagiaires qui doivent présenter leurs productions devant le jury pour qu’il puisse apprécier les productions réalisées après avoir suivi deux années de formation. Ces stagiaires sortent avec le diplôme d’assistant pour être prêts à être employés en tant que journalistes, en tant que techniciens et en tant que communicants aussi bien dans le secteur public que dans le privé », a expliqué Alizèta Ouoba/ Compaoré.
Selon elle pour la première année, il a fallu suivre des cours théoriques, faire un stage pratique et pour la deuxième année présenter des cas pratiques chez les journalistes et les communicants.

Alizèta Ouoba/ Compaoré directrice générale de l’ISTIC

L’étudiante en journalisme Gloria Balo a présenté un production télé dans la catégorie grand reportage de 13 minutes 48 et a obtenu la note de 16/20.

« Je suis contente et je dis merci à tous ceux qui m’ont soutenu, à mon directeur de production et à mes camarades. Cette note je pense que je l’ai mérité vu l’effort que j’ai fourni. J’ai soutenu sur Ouagadougou, la cité du poulet. J’ai choisi de traiter ce sujet parce que j’ai constaté qu’à Ouagadougou, les gens consomment plus le poulet par rapport aux autres viandes et c’est à travers ce constat que j’ai décidé de faire ma production. Dans cette production, on peut retrouver les statistiques du nombre de poulets consommés par jour et également une partie abordant les ethnies ou les premiers de famille ne consomment pas le poulet », a expliqué Gloria Balo.

Gloria Balo étudiante en journalisme

Carine Daramkoum
Lefaso.net