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Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

Publié le mardi 15 février 2022 à 15h58min

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Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

Dans le cadre des travaux de la Commission technique d’élaboration de projet de textes et de l’agenda de la Transition, il est lancé un appel à contributions des citoyennes et des citoyens en vue d’alimenter lesdits travaux.

Toutes celles et tous ceux désireux d’apporter leurs contributions peuvent le faire à travers ce lien et ce jusqu’au 15 février 2022.

La Présidente de la Commission
Madame OUATTARA Mariamé

https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSdYG_H2sZgxs55HxvfzGUVOb2Oryr39td6CyCqs3XN1MWh7yg/viewform?usp=pp_url

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Vos commentaires

  • Le 10 février 2022 à 16:21, par A qui la faute ? En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Il faut arrêter tout ça. C’est mouta mouta à la sauce putschiste. Si on est dans un Etat d’exception pour le court terme focalisons nous sur l’unique raison de cette situation. Trop d’énergie dispersée au service de la bureaucratie alors que le problème reste entier. Les secrétaires généraux expédient les affaires courante et 100% du programme Damiba c’est pour la paix.
    - Sinon ma seule contribution c’est récupérer tout ce qui est volé, juger les affaires de corruption, investiguer pour déceler les corrompus charbon fin, marie de Ouaga, l’immobilier du Sénégal, audiences facturées, etc, il y a de quoi faire.

    • Le 10 février 2022 à 21:30, par S.M. En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

      A qui la faute, c’est trop facile à dire. Vous voyez déjà qu’avec votre seule contribution, 100/100 du Programme Damiba ne va pas être consacré à la paix comme vous le dites. Revoyez donc votre 100/100 et répartissez le à tous les points que vous proposez. Cela nous tendra plus réaliste, n’est-ce pas ?

    • Le 12 février 2022 à 09:16, par Un avis En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

      VOICI MES PROPOSITIONS
      I. Quelles seraient les grandes missions à assigner à la Transition ?
      La sécurisation de tout le territoire, le retour des PDI, la lutte contre la corruption (juger tous les cas avérés de détournement et que les ressources soient remboursées), régler le problème de l’accaparement des terrains, réduire le train de vie de l’État en suivant l’exemple sankariste du Rwanda. Il faut des gens travailleurs, désintéressés et compétents.

      II. Quels seraient les organes essentiels de la Transition ?
      Une présidence, un gouvernement de 15-18 membres respectant un équilibre par région, une assemblée législative restreinte (2 représentants par province Homme et Femme), moins budgétivore (rémunération par session).

      III. Quels seraient les axes de reformes prioritaires pour le pays ?
      1. Réformes de la constitution (la rendre locale, simple, compréhensible et accessible à tous) …
      2. Réformes de la justice (idem que pour la constitution) …
      3. Réformes de la fonction publique (dépolitisation et revoir la question du traitement salarial de tout agent émargeant au budget de l’État : du Président du Faso au fonctionnaire ayant le revenu le plus modeste) …
      4. Réformes de l’éducation (réadapter l’enseignement vers les métiers) …
      5. Réformes de la santé (Clarifier surtout le statut des personnels intervenant dans le public et dans les cliniques) …
      6. Réformes dans le secteur minier (revoir les contrats) …
      7. Réformes du secteur de l’Agriculture : mécaniser avec beaucoup de volonté l’agriculture…
      8. La réconciliation nationale : Interroger véritablement notre volonté de vivre ensemble. Le malaise est profond et lointain. Je recommande de contacter un monsieur, un burkinabé, sociologue de formation, il se nomme DA Sié De Bindouté. Je l’ai découvert à travers une émission sur la télévision AFRIQUEMEDIATV. Il sera de mon point de vue, d’un grand apport sur cette question est sur bien d’autres.

      IV. Quelle proposition de chronogramme faites-vous pour une Transition réussie ?
      Durée totale de la transition = 3 ans
      Sécurisation = 2 ans au maximum en coopérant rapidement avec des partenaires qui veulent et peuvent effectivement en finir avec ce terrorisme
      Réformes = 1 an au maximum

      V. Quelles seraient les valeurs à promouvoir au Burkina Faso ?
      L’amour du travail, l’exemplarité en un mot il faut enseigner les valeurs que laissait transparaitre le Père de la nation Thomas SANKARA.

  • Le 10 février 2022 à 16:37, par Ben Dera En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Je ne vois pas un lien dans ce message. Est ce que quelqu’un peut m’aider. Je veut contribuer. S’il vous plait aider moi.

    • Le 10 février 2022 à 19:10, par LE VIGILANT En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

      Il faut regarder en bas, après l’image. Il faut toujours bien lire avant de sauter sur les sujets.

    • Le 10 février 2022 à 19:13, par LE VIGILANT En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

      C’est plutôt en bas, à la fin du message, après la signature de Madame OUATTARA Mariamé. Toutes mes excuses.

    • Le 11 février 2022 à 11:05, par Elhadji Beloum Sayouba Lomé TOGO En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

      Ma contribution est que je souhaite qu.on revienne aux GIE pour tous les groupes sociaux professionnels en matière des marchés et commandes publiques.Et songe à la sous .traitance.et tous les ouvriers.et tâcherons seront tous en activités.et vous verrez la fin du chômage au Burkina Faso.
      Excellente journée à la Commission
      La Patrie ou la mort
      Nous vaincrons

  • Le 10 février 2022 à 16:48, par HUG En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Message floue.De quel contribution s agit il ? Financiere, technique ????

  • Le 10 février 2022 à 16:49, par Konfé En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Faites tout pour nous épargner du scénario malien : le nationalisme populiste : Nous n’avons pas surtout besoin de Wagner mais on peut avoir besoin de la coopération militaire avec tous les pays sérieux du monde

    • Le 13 février 2022 à 07:47, par Eugène SOMDA En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

      Je partage cet avis. Évitons la présence d’armées étrangères (Françaises, Russes, ...) sur notre sol afin d’épargner nos enfants et petits enfants des désagréments. Nous avons juste besoin d’armes, d’équipements de protection et de renseignement.
      Merci.

  • Le 10 février 2022 à 17:05, par LINGANI En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Salut la commission et utile réflexion pour la restauration et la refondation de la Nation. Ma contribution est la suivante. D’abord, la suppression des institutions inutiles et budgetivores comme le CES, le HCRUN, le médiateur du Faso, le HCDS pour ne citer que cela. Ensuite revoir le rémunération des agents du publics de telle sorte à arrimer le principe, à diplôme égal, salaire égal afin d’éviter toute frustration au sein de administration et un souci d’équité. Troisièmement, travailler à revoir le système de passation des marchés afin que les agents de l’administration soit mise à l’écart mais en mettent une cellule interdisciplinaire animée par des hommes intègres et probes. Quatriement revoir la rémunération des députés et hauts responsables y compris évidemment les ministres et présidents d’institutions afin de susciter l’esprit patriotique. Finalement, il faut travailler à abroger les textes qui donnent certains privilèges aux hauts fonctionnaires dans le but de créer des institutions fortes, gage dans un État démocratique

    • Le 11 février 2022 à 10:29, par kwiliga En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

      Bonjour Lingani
      Certainement intéressantes, vos propositions mériteraient d’être faites sur le site adapté.
      Il vous faut donc cliquer sur le lien approprié en bas du texte de présentation.

  • Le 10 février 2022 à 17:07, par KOUSSOUBE Harouna En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Bonsoir cher comité,
    Je serai un peu directe. Mes propositions sont les suivantes :
    1- les revenus des sites miniers doivent être bénéfique pour tout le peuple Burkinabè
    2- chaque société minière doit participer à l’effort de guerre, en achetant un hélicoptère de combat pour l’armée. J’ai bien dis de combat.
    3- faire la remise à plat des salaires dans la fonction publique. On ne peut pas recruter des gens avec les mêmes niveau d’études et les traités autrement. Exemple, un Technicien Supérieur d’agriculture n’a même pas 200000f comme salaire, c’est très injuste

    • Le 11 février 2022 à 06:59, par allonsy En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

      Dans ce cas il faut quitter l’agriculture pour faire le commerce. Là-bas, il y a beaucoup d’argent. Tu pense que les autres on combien ? chacun s’assoie et pense que remise à plat signifie augmentation de son salaire. Ça peut être le contraire pour beaucoup.

    • Le 11 février 2022 à 10:30, par kwiliga En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

      Bonjour KOUSSOUBE Harouna
      Certainement intéressantes, vos propositions mériteraient d’être faites sur le site adapté.
      Il vous faut donc cliquer sur le lien approprié en bas du texte de présentation.

  • Le 10 février 2022 à 17:10, par Konfé En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Format : un président militaire chargé surtout des questions militaires ; un premier ministre civile neutre, compétent , moins populiste, patriote intègre sans distinction d’âge ni de sexe chargé des questions politiques internes et externes avec un pouvoir fort ; on garde le format du dernier gouvernement avec de nouvelles têtes pas un ministre de l’ancien régime.
    CNT : bénévolat composé de lettrés en l’occurrence des fonctionnaires militaires, policiers, gendarmes , enseignants infirmiers et autres de l’État qui bénéficieront uniquement que de leur salaire pour travailler. 127 membres ou bien on garde la commission de réconciliation que l’ancien régime a installé.
    Durée de la transition : 16 mois

    • Le 11 février 2022 à 10:31, par kwiliga En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

      Bonjour Konfé
      Certainement intéressantes, vos propositions mériteraient d’être faites sur le site adapté.
      Il vous faut donc cliquer sur le lien approprié en bas du texte de présentation.

  • Le 10 février 2022 à 17:19, par KOUSSOUBE Harouna En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Bonsoir cher comité,
    Je serai un peu directe. Mes propositions sont les suivantes :
    1- les revenus des sites miniers doivent être bénéfique pour tout le peuple Burkinabè
    2- chaque société minière doit participer à l’effort de guerre, en achetant un hélicoptère de combat pour l’armée. J’ai bien dis de combat.
    3- faire la remise à plat des salaires dans la fonction publique. On ne peut pas recruter des gens avec les mêmes niveau d’études et les traités autrement. Exemple, un Technicien Supérieur d’agriculture n’a même pas 200000f comme salaire, c’est très injuste

  • Le 10 février 2022 à 17:22, par Bazi Alin daba En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Salut à la commission mise en place pour tracer la route à suivre pour sauver le Faso et restaurer ce qui le nécessite, merci à la présidente et à tout les membres pour cette initiative qui est vraiment noble.Avant tout,je pense que les premières priorités assignées à la transition sont essentiellement la reconquête de la totalité du territoire suivie l’occupation des zones conquises par les forces du mal,une autre priorité est de repenser les relations Burkina-france en posant des bases solides pour l’avenir du pays.
    Pour le chronogramme à mon niveau et à ce que mes parents m’ont dit la semaine passée tout va dépendre de l’évolution de la situation sécuritaire,si ce pouvoir arrive à reconquérir le territoire et que tout les déplacés sont repartis chez eux en moins d’une année je pense qu’on peut leur accorder même plus 05 ans comme durée de la transition.
    Pour les organes je pense qu’un gouvernement de 15 membres peut faire l’affaire du Burkina et une assemblée qui dépasse pas 80membres.
    Lutter contre la corruption,le favoritisme, la mauvaise gouvernance dans nos administrations publiques,la mauvaise gestion du foncier, réduire dans la mesure du possible les coûts élevés des denrées de première nécessité,

    • Le 11 février 2022 à 10:32, par kwiliga En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

      Bonjour Bazi Alin daba
      Certainement intéressantes, vos propositions mériteraient d’être faites sur le site adapté.
      Il vous faut donc cliquer sur le lien approprié en bas du texte de présentation.

  • Le 10 février 2022 à 17:29, par Sione En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Priorité accordée à la sécurité et au retour de déplacés
    Une dépolitisation totale de l’ administration..
    Faire un appel a candidature pour certains postes techniques.

  • Le 10 février 2022 à 17:50, par Diongwale En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    .
    J’aurais une seule proposition : passer au détecteur de mensonge tous ceux qui prétendent vouloir "aider"

  • Le 10 février 2022 à 17:55, par SONG-NABA Mahamoudou En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Deuxièmement, je vous propose d’emboîter les pas de Sankara, de Paul Kagmé et d’Assimi Goïta. Ne cherchez pas très loin, il yen a des compagnons de Sankara toujours vivant. Approchez les, copiez tous les projets de Sankara puis appliquez. Sankara avait déjà fondé le pays il reste maintenant à mettre les briques pour construire.
    Troisièmement je propose une durée de 5 ans avec possibilité de prolonger pour la transition. Cela va nous permettre de renouveler la classe politique puisque les seront déjà au paradis.
    Quatrième la collaboration du Burkina Faso avec la Russie est une condition sine qua non pour la restauration du territoire. Ne nous trompons pas en disant que nous allons compter sur nous même. Non non et non. Là où est l’affaire et à l’allure où vont les choses ne sommes incapable. Ça dépasse vraiment notre force. Cinquième, quitter définitivement la France n’est pas à réfléchir. C’est un vipère. Le temps que vous êtes entrain de réfléchir, elle est déjà prête pour vous mater. Donc sans négociation, la France doit quitter.
    En ce qui concerne le développement du pays dans les domaines, Sankara en a déjà tracé. Ne vous trompez pas en disant que c’est révolu, non. Puisque le pays n’est pas bouger depuis le départ de Sankara. Alors reprenez sa fondation puis Continuez. Merci ! Vive le MPSR, vive le Burkina Faso. Que la paix revienne au Faso !!!! La partie ou la mort nous vaincrons
    💪💪💪💪💪

    • Le 11 février 2022 à 10:44, par kwiliga En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

      @SONG-NABA Mahamoudou
      Tiens, j’essaie d’expliquer aux autres internautes que ce n’est pas ici qu’il faut faire les propositions, mais vous, c’est mieux d’en rester à ce niveau.
      Vous écrivez : " Sankara en a déjà tracé. Ne vous trompez pas en disant que c’est révolu, non. Puisque le pays n’est pas bouger depuis le départ de Sankara"
      Tout d’abord, si vous ne vous rendez pas compte que le pays a bougé depuis 1987, je me demande où vous vivez. Pour exemple, en 1987, vous n’aviez pas accès au net pour y déployer votre colère.
      Quand on ne veut pas voir, c’est qu’on est de mauvaise foi.
      Ensuite, il est grand temps de vous rendre compte que le monde, lui, a considérablement changé. Dans notre univers capitaliste, le Burkina ne pourra vivre en autarcie.

  • Le 10 février 2022 à 18:31, par FANDÉ Sammuel En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Ma contribution est la suivante :
    1. Dépolitiser l’administration.
    2. Mettre des cellules de veille au sein des services publiques pour lutter contre la corruption.
    3. Envisager un texte qui empêchera la spéculation sur les parcelles à usage d’habitations. Faciliter la procédure administrative pour l’obtention d’une parcelle en évitant les intermédiaires.
    4. Baisser les prix de parcelles à usage d’habitations et limiter le nombre par habitants et par ville.
    6. Règlementer la fixation des prix des articles et sanctionner sans pitié les commerçants véreux qui augmentent anarchiquement les prix des denrées de grande consommation.
    7. Règlementer le prix des loyers.

  • Le 10 février 2022 à 18:47, par Kaboré wendlassida Nestor En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Bonsoir moi personnellement je vous propose d’écart les osc,les partis politiques et religieuses dans la jante.Dresser la douane diminution des brigade la suppression de la brigade du commerce,la police municipale non dans les feux tricolore et les sur les avenues,et même la police nationale.je pense que aux feux tricolore plus un agent de police et VADS c’est trop charge pour l’état.

  • Le 10 février 2022 à 20:03, par Lustre En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Une seule proposition :
    Le président de la république, les ministres, les juges, et les haut fonctionnaires prêtent serment tous sur les fétiches de leurs villages respectifs.

  • Le 10 février 2022 à 20:19, par HUG En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    1. Depolutiser l administration,sanctionner sans pitié les cellules politiques dans les ministeres,Sanctionner sans pitie les detournements,Si le fonctionnaire veut faire la politique qu il demissionne de la fonction publique.2. Faire en sorte qque les autorites coutumieres et religieuses fuient la politique comme la peste.3. Faire en sorte que les autorités ne detournent pas les fonds.4.revenir a la remise a plat des salaires.Sous le mpp certains fonctionnaires de categorie B ont des salaires plus que certains fonctionnaires de la categorie A.vous ne verrez cela dans aucun pays du monde.5.TTravaillez a ce que la justice soit impartiale.6 dotez les Fds et vdp en moyens suffisants pour combattre les terroristes.7. Eviter la corruption electorale, les achats de conscience lors des elections.8.combattre sans pitié les commercants vereux.9.redistribuer les fruits de la croissance à tous les burkinabes.10.Assainir la classe politique.Etre sans pour les partis politiques n ayant pas de siege, qui ne tiennent pas des sessions et autres., Eviter le nomadisme politique.plafonner les fonds pour les campagnes electorables.11 reduire les nombres de ministeres et supprimé certaines institutions budgdtivores.12.Remettre l organisation des elections a l administration territoriale debarasser des fonctionnaires politiciens.la ceni est budgetivore

  • Le 10 février 2022 à 20:20, par Ouédraogo Saidou En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Je propose une réconciliation véritable entre l’État et ses fonctionnaires, l’administration et le contribuable, le citoyen et l’administration, les villageois et les différentes détachement administratif. Car y’a un manque de confiance entre ces corps c’est à dire rétablir la confiance entre l’État et le citoyen. Réconciliation entre les politiciens est un fait divers. Une rupture franche ou une collaboration franche contre ou avec la France. Transition base sur une vérité absolue. Dure de 5ans minimum. Une modernisation de notre justice en puisant ses racines dans notre tradition, le rejet catégorique de notre constitution en se basant sur la constitution traditionnelle et religieux. La transition doit être dirigé par des valeureux jeunes, non à la vieilleries sauf par consultation. La récupération de tout les bien volé,

  • Le 10 février 2022 à 20:25, par Sacksida En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Tous les Internautes, appuyez sur le liens Goolge Rouge pour faire apparaitre les Tableaux et Contribuez. Si vous avez finit, APPUYEZ sur Envoi. C’est simple

    • Le 11 février 2022 à 10:55, par kwiliga En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

      Bonjour Sacksida
      Haaaaa ! Merci !!! Il y en a un qui a compris.
      En fait c’est peut-être une espèce de sélection, si tu n’as pas compris où exprimer tes propositions, tu n’as pas le niveau requis.
      Non, pardon, c’était une blague méchante,...Désolé.
      Sinon, puisque vous avez compris, je voudrais vous poser de questions, j’espère que vous aurez le temps d’y répondre ou, tout au moins d’y réfléchir :
      Que pensez-vous du fait qu’en entête du questionnaire apparaisse notre adresse mail ?
      Quelle équipe sera chargée de dépouiller, structurer, établir des statistiques,... (censurer ?),... les millions de propositions recueillies, lorsque tout le monde aura compris qu’il faut cliquer sur le lien ?
      Cela me rappelle un peu ce que Macron à fait aux français avec le "grand débat.

  • Le 10 février 2022 à 20:33, par Moumouni sawadogo En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Bonsoir la commission.
    C’est un plaisir pour moi de vous apporter mes idées pour le Burkina.
    Pour êtres bref je n’irai pas dans les détails mais mon adresse reste disponible pour des éventuels détails sur les points ci dessous énumérés.
    - donner une place importante a la parenté a plaisanterie dans la résolution des problèmes sociaux.
    Ex un problème a fada peut plus facilement accepté une médiation yadega
    - mettre toutes les ethnie sur le même pied d’égalité, la pollution et l’accaparement des terres par les agriculteurs est la sources de radicalisation des éleveurs et même certains ethnie qui cherchait une occasion pour se venger de l’injustice suite a la résolution de problèmes agriculteurs et éleveurs.
    - réintégré les élèves gendarmes en fin de formation radies.il faut que l’armée trouves des sanctions a l’intérieur pour corriger et mettre dans rangs ses éléments qui déconne que de mettre des hommes formé en maniement d’armes dans la rue,c’est même dangereux et inquiétante, et inexplicable dans un pays en guerre.
    - réintégré les militaire et policier radié de 2011 qui veulent participé a l’effort de guerre.leur participation a la libération du pays doit êtres leur considéré comme la sentence de leur manquement.
    - abrogé les textes qui octroie les avantages aux anciens ministres et autre commis de l’État après leur passage a la tête des institutions.
    - exigé le CV avant toutes candidature a élection législatives et présidentielle. Quelqu’un qui n’a jamais travailler pour le pays n’est peut pas être éligibles. En plus le diplôme de snd ou la dispense en plus dun certificat de travail doit faire parti du dossier.
    - l’Assemblée national n’est doit pas être un refuge pour des retraite, la retraite c’est pour se reposé par conséquent il serra judicieux de proposé une âge limite pour le poste de président surtout, priorité a ceux disposant de moyen physique pour affronter les chantier
    Travailler a redonner la confiance entre gouverné et gouvernant en mettant l’accent sur l’intégrité, la dignité et l’humilité.
    Je m’arrête là pour l’instant
    Bonne réception Mme la présidente

  • Le 10 février 2022 à 20:45, par Wibdos En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Bonjour. Je reviens sur ma proposition de la dernière fois. Pas de premier ministre. Tous ceux nommés ministres rendent compte directement au président du MPSR. Plus de militaires ministres que les civils pour qu ils soient sérieux. Continuez avec les drones armes pour traquer les terroristes.

  • Le 10 février 2022 à 20:48, par Ed51 En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Quelle désolation de lire certains commentaires !
    Croire que la Russie va aider le Burkina à construire une nation libre est un aveuglement. La Russie s’intéresse avant tout à exercer son pouvoir sur les autres et dans son intérêt.
    Attendre de l’Au-delà de l’aide c’est ne pas vouloir regarder en face la réalité. C’est l’héritage de la colonisation que mettre Dieu à toutes les sauces. C’est ainsi qu’on a pu coloniser les esprits pour leur faire accepter l’inacceptable.
    Que vive le Burkina ! En se construisant avec tous les Burkinabè qui souhaitent le meilleur pour tous.

  • Le 10 février 2022 à 21:28, par SAWADOGO En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Bonsoir cher comité,
    Mes propositions sont les suivantes :
    - La justice doit être impartiale, car je trouve que le pauvre est brimé en justice. Je propose que tout dossier ne dépasse pas un ans sans être jugé totalement.
    - Au niveau du privé, je propose que tout employeur accorde des prêts aux employés qui en veulent et que chacun respecte le droit de travail.
    - Je propose que les travailleurs soient payés en fonction de leur competence au lieu du diplôme

  • Le 10 février 2022 à 21:32, par Sidpawalemde Sebgo En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Oh là là... Je pleure les membres de ce comité qui vont devoir lire toutes les démagogies et aberrations dont des échantillons nous sont donnés ici.

    Donc, il y a des gens qui croient que les fonctionnaires (1% de la population du pays environs) sont représentatifs du Burkina entier et réel...

    Ils pensent qu’un infirmer de Ouaga peut parler en connaissance de cause des problèmes d’un cotonculteur, d’une dolotière, d’un commerçant informel, d’un artisan de Bobo ou d’un paysan de la Gnangnan...

    Ils pensent que les députés et ministres gagnent trop, ignorant visiblement que la plupart des cadres de banque, de sociétés d’état, de sociétés minières, des professeurs d’université, des sociétés de téléphonie mobile, d’ONG, etc, peuvent gagner plus qu’un ministre et qu’en conséquence, si vous réduisez encore leurs traitements vous n’aurez aucun "bon" dans son domaine au gouvernement, sauf peut être ceux qui pourront s’en sortir en "cumulant" comme les magistrats et les universitaires.

    Et surtout, la confusion entre le contenu d’une charte de transition de quelques mois et les réformes économiques, sociétales et culturelles sur le long terme est tel qu’il seront obligé de "jeter" 90% des soit-disant "contributions", mais ils auront quand même souffert à les lire et les trier, les pauvres !

    Peut être devraient-ils faire un communiqué pour bien circonscrire les contributions attendues et demander aux farfelus de s’abstenir ?

    En ce qui concerne le travail de la commission lui même, il suffit de prendre la charte de 2014 et de l’amender légèrement selon le contexte actuel : Origine des membres composant le CNT, mode de désignation du président, durée de la transition. Si les militaires sont sérieux quand à la libération du territoire, on pourrais même garder les 12 mois, vu tout ce qui existe déjà (rapports de 2015 sur les réformes institutionnelles, la corruption, la réconciliation, le foncier, le minier, la constitution, etc)

    Tout ou presque a déjà été passé en revue en 2015, sauf que pas grand chose depuis n’a été mis en œuvre. Éventuellement, ce sera le CNT qui va amender le projet de constitution pour prévoir comment démettre un président avant la fin de son mandat, et relire un code électoral qu’on ne va plus changer à chaque élection.

    Cela prendrait une journée à la commission et puis on va quitter ici...
    Mais c’est vrai que quand on prétend faire une "révolution historique", c’est difficile d’avouer qu’il n’y a rien de nouveau sous le soleil...

    • Le 11 février 2022 à 11:11, par kwiliga En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

      Bonjour Sidpawalemde Sebgo
      C’est horrible, mais qu’est-ce qu’on se marre quand même.
      Ne vous inquiétez pas trop, car, comme vous pouvez le constater ici, il y a déjà une épreuve de présélection que beaucoup vont avoir du mal à franchir : trouver le lien qui a été habilement dissimulé en fin de texte.
      Evidemment, lorsque tout le monde l’aura trouvé, il y aura nécessairement constitution d’une équipe (d’une grande équipe), chargée de trier, structurer, analyser (décrypter, pour certains) , tirer des statistiques,... (censurer) les millions de propositions, dont beaucoup seront farfelues, irréalisables,... et toutes contradictoires entre elles.
      Mais bon, comme je le disais plus haut, ne serait-on pas en train de nous faire le coup que Macron a joué aux français avec le grand débat national ?

  • Le 10 février 2022 à 21:52, par SOMÉ GUY En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Salut cher comité ! Mes propositions de résument en ces points :
    1) Supprimer les institutions budgétivores et inutiles
    2) Corriger l’injustice dans le traitement salarial des agents de la fonction publique ( à catégories égales, salaires égaux)
    3) Revoir les contrats miniers, au besoin, les rompre ou ne plus accorder permis d’exploitation. l’État doit avoir ses propres sociétés minières, ses propres réservés d’or qu’on pourrait vendre en de difficulté financière.
    4) Rompre les coopérations avec la France ( surtout les accords militaires) et nouer de vraies amitiés avec des partenaires francs.
    5) Relever le système éducatif agonisant en incluant les métiers depuis l’école primaire.
    6) Traiter correctement les dossiers de crimes économiques et de sang.
    7) La transition doit durer au moins 5 ans ; nous ne sommes pas encore pour la démocratie à l’occidentale.
    8) Écarter les vautours de politiciens qui ne pensent qu’à leur ventre.

  • Le 10 février 2022 à 22:27, par Compaoré Karim En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    « La transition doit prendre une durée maximum pour permettre au Président de nettoyager l’administration des politiques qui n’ont que ambition de satisfaire leur estomac, aussi voir le cas des directeurs régionaux et provincial surtout du ministère de l’éducation qui usent de leur appartenance politique pour nuire... ce sont les mêmes qui ont crée plus de frustré dans l’administration a tel enseigne que les gens n’avaient plus le goût du patriotisme... réduire les partis politiques, plafonné le salaire des ministres et bien d’autres représentant institutionnel...
    La sécurité reste primordiale... mais elle viendra en nettoyant les Faux responsable.....

  • Le 10 février 2022 à 22:29, par Compaoré Karim En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    « La transition doit prendre une durée maximum pour permettre au Président de nettoyager l’administration des politiques qui n’ont que ambition de satisfaire leur estomac, aussi voir le cas des directeurs régionaux et provincial surtout du ministère de l’éducation qui usent de leur appartenance politique pour nuire... ce sont les mêmes qui ont crée plus de frustré dans l’administration a tel enseigne que les gens n’avaient plus le goût du patriotisme... réduire les partis politiques, plafonné le salaire des ministres et bien d’autres représentant institutionnel...
    La sécurité reste primordiale... mais elle viendra en nettoyant les Faux responsable.....

  • Le 10 février 2022 à 22:50, par tiko En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Autoriser le recrutement de mercenaires dans la sous région (Liberia)par exemple pour des opérations spécifiques et limites afin de dépolluer certaines zones et faire occuper ces zones par l’armée après.le temps est derrière nous et je souhaite la suspension des frais de mission a l’extérieur du pays,réduire drastiquement les fonds communs,contrôler les prix des aliments dans les supermarchés,stations service,imposer aux bayeurs des prix abordables, contrôler les prix de consultation et d’examens dans les cliniques privées,réduire les frais de scolarité dans les écoles privées,financer le monde rurale par la promotion dans l’agriculture des denrées de première nécessité, surveillance des recettes avec la création d’un guichet unifiée des amendes ,vider le passif et rendre l’accès des terres à celui qui veut exploiter en définissant les limites de propriété .(a quoi sert toutes ces brousses qui pouvait être des champs de production pour l’auto suffisance alimentaire).voter un salaire net pour chaque vdp au lieu de prime,

  • Le 11 février 2022 à 08:29, par saam En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    - retirer les hectares non mis en valeur des riches propriétaires dans les villages et alentours de Ouaga, les réattribuer aux jeunes villageois qui vont s’associer pour des activités productrices de revenus avec interdiction de vente.
    - système de pointage dans les services publics pour inciter à venir à l’heure au bureau
    - plafonner le bail locatif
    - retirer les réserves volées
    - sport de masse à reprendre
    - stopper l’importation des boissons énergisantes qui foutent la jeunesse en l’air,
    - fouetter tout enfant de moins de 18 ans qui se promène dans la rue après minuit
    - fouetter les jeunes de moins de 18 ans assis dans les maquis et convoquer leurs parents.
    Je reviens.

  • Le 11 février 2022 à 09:46, par Passakziri En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Il y a un lien pour faire des propositions selon un chema pour ceux qui n ont pas pris le temps de lire le texte. Sinon comment un pays peut s organiser avec des propositions nom argumentés comme on le lit ici ? Soyons sérieux dans ce pays.

    Passakziri

  • Le 11 février 2022 à 10:19, par numero1 En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Pour faire simple donc ce sera une institution. Il ne faut pas chercher à réinventer la roue. Les problèmes et solutions sont connus, il faut juste avoir le "courage" de les appliquer.

    N’écouter personne conduit en erreur
    Ecouter tout le monde conduit aussi en erreur.
    il faut donc bien doser.

    Bonne chance

  • Le 11 février 2022 à 10:46, par Yovis En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Ce n’est pas ici qu’il faut verser les contributions. Le comité ne va pas avoir l’opportunité de les lire. Il y a un lien en bas du message qui permet d’accéder à un tableau qui comporte des questions précises. C’est là qu’il faut verser les contributions (réponses aux questions)

  • Le 11 février 2022 à 10:55, par Sanou Saliho En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Bonjour,
    Votre initiative est bien noble, et j’espère qu’elle vous servirait pour le bien du burkina.
    Il faut avant tout noter que Montesquieu a théorisé la gestion du pouvoir politique mais il n’est pas Dieu. Chaque Etat a ses réalités et sa démocratie
    Voici ma contribution, aussi humble soit-elle.
    1/ acter la fin de la comédie politique au Burkina. Que les candidats soient soumis à des testes, enquêtes (de moralité, de patriotisme, d’intégrité, de capacité) et évaluation préalable des projets politiques par une institution saine avant leur admission aux élections de toute nature en tant qu’élgibles. Cela implique aussi la sanction franche et claire des actes de corruption populaire pendant les campagne
    2- l’instauration d’un suffrage restreint (capaciitaire) : ce qui signifie qu’il est temps d’arrêter de confier le sort de notre nation et de nos générations à nos frères et sœurs qui ne savent pas distinguer leur gauche de leur droite quand on parle de politique. Je témoin mon respect pour les non lettrés, et d’ailleurs, la capacité devra se fixer sur des bases dépassant le simple diplôme car certains docteurs, professeurs, brevetés, et ... Sont plus ignares et plus corrompus dans l’esprit que certains de ceux qu’on appelle des analphabètes.
    3- le Burkina n’a pas besoin de 127 députés pour copier-coller les lois et textes français. Que l’Assemblée nationale doit limité à une trentaine ou dizaine de personnes tirées parmi les hommes et femmes instruits et savants de toutes les classes et régions du pays, et qu’ils soient responsables de leurs actes devant le peuple et devant Dieu.
    4- il est temps que nos sols et sousols cessent d’être pillés par les industriels européens. Je préconise une suspension et une renégociation de tous les contrats d’exploitation minières au Burkina, l’institution d’une comité spéciale de gestion des ressources en promenant sous le contrôle du gouvernement.
    5- la réduction du nombre des postes ministériel, la suppression des institutions vide de sens et de substance comme suscitées par un frère dans son intervention, le contrôle absolu de la gestion du pouvoir par le président de la république. Un président est un gardien, pas un chef. Et combien encore les ministres.
    6- la confusion entre le système de déconcentration et celui de la décentralisation territoriale. Le Burkina n’est pas trop grand pour être géré par une seule cohorte. Nous avons vu comment le bien aimé Fé Thomas a dirigé pendant ses quelques années de révolution.
    7- la nomination des ministres et de tous les dirigeants clés doit se faire par mérite, pas par complaisance comme c’est le cas depuis 1988.

    8- que la justice soit rendue selon la justice. Que les délinquants soient traités pareil sans différentiation de classe. Que le riche soit jugé comme le pauvre et que l’un et l’autre soient pareils.
    9- le rapprochement du Burkina avec les États Africains sérieux pour migrer vers la vraie union africaine. Qu’on quitte les organisations hypocrites comme l’UA actuelle et la CEDEAO, ou qu’on en prenne le contrôle avec les autres États en mouvement.
    10- la restructuration du système scolaire est une importance capitale. Que les savants enseignent et que les débrouillards soient ramenés en formation. Que les universités soient contrôles par l’État central dans la gestion. Il est temps de mettre fin à la perversion de notre jeunesse, de contrôler la technologie de communication publique comme facebook, la télévision et autres, les sanctions sont à prévoir contre les parents démissionnaires de leur responsabilité parentale dans l’éducation des enfants. La dignité, la solidarité, l’amour, la fraternité, la correction doivent être érigés et défendus comme les valeurs cardinales de la société

    11- La lutte contre la corruption a tous les moyens pour aboutir au Burkina et cela est une nécessité. Il ne manque que l’élément central : la volonté de celui qui gouverne.
    La mise en disposition des moyens de financement des projets sérieux ne doit pas être négligée car notre vrai développement en dépends. Il serait ainsi honorable de créer un organisme public d’étude et de soutien des projets d’entreprises dans les secteurs clés de notre économique

    12- l’agriculture doit être reconsidéré au Faso. On a des terres et on a les moyens de les faire produire. Il est temps de faire verdure notre nation par des champs collectifs gérés par l’État, employant des personnes n chômage, et fortifiant l’économie du pays.
    Instituer des travaux d’intérêt public obligatoires serait un plus pour bâtir nos villes et villages. Le service civique peut être ainsi mieux exploité.
    13. Il faut pas omettre de mentionner le laxisme qui est prôné au Burkina par la loi du travail copiée de la France. Sachons que jamais un État pauvre ne pourrait se développer en travaillant 35 heures par semaine. Pour ceux qui connaissent pas l’histoire de la France que nos députés, ministres, présidents chérissent sans limites, qu’il se renseignent sur les causes de la révolution française des années 1880. Il faut revoir en hausse la durée minimum de travail au Burkina Faso, cela est une nécessité sans reste.

    NB. il est temps que cette transition prenne ses responsabilités, que le cher président que nous soutenons soit fort comme un homme d’armes, qu’il cesse maintenant de recevoir les félicitations et qu’il fasse ce pour quoi il est venu.
    Vive le Burkina Faso, vivement l’indépendance du Burkina et de l’Afrique

  • Le 11 février 2022 à 11:06, par Belem En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Il faut privilégier la réconciliation nationale & travailler pour le retour de la paix. Jeter des bonnes bases pour les générations futures.

  • Le 11 février 2022 à 11:47, par Warba En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Ou allons nous comme ça dans l’improvisation.on ne peut pas gouverner un pays dans des idées coupées collées.que vaudront ces propositions désordonnées sans ligne conductrice.les militaires devront s’atteler a mettre en place le cnt, et un gouvernement de patriotes intègres et acceptables.ce gouvernement va ensuite s’atteler a négocier un programme prioritaire avec des actions fortes telles la suppression des institutions Inutiles et budgétaires,les actions liées a la sécurité,les programmes de développement...tout ça sera soumis au cnt pour adoption.je pense qu’il faut faire de l’armée le 4eme pouvoir autonome a côté du pouvoir législatif, exécutif,judiciaire on aura le pouvoir sécuritaire.il faut également depolitiser la fonction publique.autres choses :
    - adopter 3 langues officielles, français, anglais et arabe,
    - elaborer un seul projet de société pour le Faso,
    ........

  • Le 11 février 2022 à 16:10, par Dominique En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    C’est pitoyable, pour ne pas écrire d’une "connerie sans nom" !
    Vous prenez le pouvoir d’une manière on ne peut plus spécieuse, et maintenant vous ne savez plus quoi ou comment faire ...

  • Le 11 février 2022 à 19:05, par Ouédraogo Sid-Mahamady En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Bonsoir ! J’aimerais donner ma petite pensée quant à la durée de la transition. Pour moi et pour amoindrir la perturbation de la périodicité des élections conséquence de perturbations budgétaire pourquoi ne pas permettre au transition de terminer le mandat de l’ancien président dont la durée restante vaut 3 ans. Peirode assez suffisante pour permettre la sauvegarde et restauration de la nation pou

  • Le 11 février 2022 à 21:18, par Sidpawalemde Sebgo En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Bonjour @Kwiliga. Vous avez vu clair, mais ça, c’est l’apanage de tous les politiques de prendre de bonnes choses et de les galvauder dans leur intérêt.

    Un exemple : Je fais partie de ceux qui ont proposé en 2014 l’instauration de parrainages de citoyens pour "filtrer" les candidats à la présidentielle. "Ils" ont retenu l’idée, mais avec un parrainage par les élus seulement. Ce faisant, la vieille classe politique, qui a ces élus, pouvait bloquer ou faire chanter tout nouveau venu qui ne leur plairait pas, même s’il est populaire. De quoi vous faire regretter d’avoir proposé...

    Dans votre exemple du grand débat national en France, Macron a recueilli les avis, et il a choisi ce qui l’arrangeait et censuré ce qu’il ne voulait pas voir, même si c’était l’option de la majorité des français. Mais ici, on peut se demander si ce n’est pas pire. En effet, on peut voir deux actions contradictoires dans le même temps qui donnent à réfléchir :

    D’une part, une démarche axée sur la neutralité (commission technique faite de personnalités non clivantes) et l’inclusivité (propositions et contribution de tous).

    D’autre part, un ensemble d’actions unilatérales signes d’autoritarisme : Un "acte fondamental" issu de nulle part et supposé supérieur à la constitution, un MPSR aux membres toujours inconnus, et surtout, une volonté de prestation de serment comme Président du Faso sans attendre l’onction d’un comité de validation de la charte de transition.

    Attendre après la rédaction de la charte et un consensus des forces vives aurait pu donner un semblant de suffrage au président, et surtout fixer clairement la durée de son mandat de président de transition. Mais évidement, cela est contradictoire avec la volonté affichée de mettre certains en "chômage technique". Cela fait aussi douter de la volonté de demander leur avis aux "forces vives" ou supposées telles. Vous aurez remarqué que personne ne parle de la façon dont les propositions de textes du comité technique seront amendées et validées, et on pense évidement à la durée de la transition.

    Au regard de tout cela, on peut penser que le MPSR a déjà "son" architecture de la transition prête, mais souhaite lui donner l’air d’être le résultat d’une large concertation et d’un consensus. Chacun qui ne se reconnaitra pas dans ce qui sortira se dira simplement que ses propositions n’ont pas été majoritaires, c’est tout.

    Macron a fait dans le tri, on peut avoir peur qu’on fasse dans la substitution pure et simple. J’espère avoir tort, mais l’insistance pour prêter serment avant toute concertation et en ridiculisant au passage un conseil constitutionnel visiblement aux ordres plaide à charge.

    Hélas, ce n’est pas nouveau. Le colonel DOUMBOUYA a prêté serment en Guinée sans charte de transition et sans durée de mandat. Goîta lui au moins avait une "date de péremption", Février 2022, à sa prestation de serment. Sauf qu’il a changé d’avis en cours de route.

    Alpha Condé aussi a déjà fait le coup à ses concitoyens. Non content de tripatouiller les urnes pour faire passer "sa" constitution qui lui permettait un troisième mandat, il a tout simplement promulgué un texte différent de celui qui avait été mis au vote pour changer ce qu’il voulait !

    Mais on a vu le résultat de toutes ces manipulations... Que ceux qui en rêvent ne se trompent pas : Si on nous impose des textes et une organisation qui ne plaisent pas à la majorité, on subira tant que le rapport des forces l’imposera, mais on les balaiera tous dès qu’ils seront partis. Et tout le monde est appelé à partir, d’une manière ou d’une autre...

  • Le 12 février 2022 à 08:50, par kwiliga En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Bonjour Sidpawalemde Sebgo
    M’ouais, tout ça me laisse fort dubitatif, et il est évident que la prestation de serment, avec l’aval rétroactif du conseil constitutionnel, ne cesse de m’inquiéter.
    De même que l’espèce de cautionnement populaire, majoritaire, et sur les réseaux sociaux de la part de beaucoup de pseudo-intellectuels (moi qui n’en suis pas un).
    Nos peuples sont tellement désespérés, humiliés, dépourvus de formation politique, qu’ils en arrivent à se précipiter sans réfléchir sur le premier putschiste venu, voyant en lui la figure messianique d’un panafricanisme idéalisé.

  • Le 12 février 2022 à 12:00, par FANDÉ Sammuel En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Bonjour,
    Je reviens pour insister sur le fait que les autorités actuelles doivent ouvrir l’œil sur l’augmentation inexpliquée des prix des denrées de grande consommation. Les commerçants véreux doivent être sanctionnés afin de mettre tout le monde au pas. Sinon c’est ce qui peut amener la grogne populaire comme au Mali. Je crois avoir apporté ma modeste contribution.

  • Le 12 février 2022 à 12:57, par FANDÉ Sammuel En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Ma contribution
    1. Il fait que les nouvelles autorités s’assument. Les Gouverneurs,préfets et SG ne sont pas sûrs.
    2. Réglementer les procédures d’acquisition des parcelles à usage d’habitation en facilitant la démarche dans les mairies directement pour éviter les intermédiaires.
    3. Informatiser le fichier du cadastre et limiter le nombre de parcelles par personne et par ville à une seule parcelle a usage d’habitation.
    5. Règlementer les prix des denrées de grande consommation et sanctionner tout commerçant qui augmente de façon inexpliquée les prix depuis l’avènement des nouvelles autorités. Sinon cela pourrait rendre la vie plus chère et révoltera la population contre les nouvelles autorités.
    6. Tout faire pour que les gouvernorats, et préfectures soit occupés par des administrateurs militaires.

  • Le 12 février 2022 à 16:48, par KingBabu En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Trip de tatonnements et d’approximations…Donc PSD en se saisissant du pouvoir, n’avait pas de plan ?

  • Le 15 février 2022 à 16:36, par Le patriote burkinabè mobilisé En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Bien joué, Kalagane ! Vous avez tout dit. Internaute "Un avis", nous avons à peu près les mêmes idées. Voici les miennes :

    I- Quelles seraient les grandes missions à assigner à la Transition ?
    1- Faire disparaître définitivement et durablement les djihadistes et autres terroristes de notre sol, de notre territoire, de notre Faso, de notre patrie, faire revenir la sécurité et la sûreté de l’Etat et faire occuper les espaces libérés par leurs anciens occupants et cela, dans des conditions qui puissent leur assurer une occupation durable et définitive de leurs terres retrouvées.

    2- Juger et sanctionner tout de suite les personnes impliquées dans des affaires actuelles de corruption et d’infractions assimilées, de blanchiment de capitaux, etc...(charbon fin, affaire fraude de carburant, affaires blanchiment de capitaux à Manga, en Côte d’Ivoire, au Sénégal, à la douane, à la coordination de lutte contre la fraude, etc...).
    3- Doter les organes de lutte contre la corruption de textes et moyens forts et conséquents (par exemple permettre aux corps de contrôle d’avoir des ressources humaines, matérielles et financières très conséquentes ; réformer les inspections techniques de services pour les rendre indépendants des ministres et plus nantis en ressources humaines, matériels et financières de qualité) et procéder à une lutte continue sans répit contre la corruption et les infractions assimilées.

    4- Faire disparaître la petite corruption sur nos routes (tracasserie policière, de la douane, etc...) car il en va de l’image de notre pays, la police, la gendarmerie et la douane étant notre vitrine.

    5- Asseoir les conseils de discipline dans les administrations publiques (ministères, sociétés d’Etat, EPE, etc.), faire mettre en oeuvre les recommandations des corps de contrôle et procéder aux sanctions des agents et autres personnes indélicats.

    6- Procéder sur une période de 5 à 6 mois à un audit financier exhaustif approfondi de tous les ministères, de leurs structures centrales rattachées et de leurs structures déconcentrées sans oublier les sociétés d’Etat et EPE qui sont sous leur tutelle.

    6- Faire auditer profondément par l’inspection technique des impôts et l’ASCE les recettes recouvrées par la Direction générale des impôts ainsi que les différentes créances de l’Etat (de 2012 à nos jours par exemple) et situer les responsabilités (écart entre base imposable normale et impôts payés par les grandes sociétés, surtout celles minières ; Restes à recouvrer des moyennes et grandes entreprises).

    7- Faire l’audit de la gestion du MPRS et de l’armée sur leur gestion 2016 à la fin de la Transition sur les ressources financières mises à leur disposition par l’Etat et les partenaires techniques et financiers.

    8- Désamorcer durablement la bombe de l’absence d’équité entre les salaires et les avantages des fonctionnaires.

    II- Quels seraient les organes essentiels de la Transition ?
    Les organes essentiels de notre Transition pourraient être :

    1- Le MPRS
    2- Le MPRS
    3- Le MPRS
    Le MPRS doit s’assumer et ne surtout pas composer avec les politiciens dans le partage du pouvoir car cela va effriter sérieusement son action et sa crédibilité. Le Burkina a besoin d’hommes forts actuellement pour le redresser et les politiciens ne peuvent pas faire l’affaire car ils ont toujours montré qu’ils sont calculateurs, corrompus et ne sont guidés que par leurs intérêts personnels.
    Par ailleurs, le pouvoir judiciaire doit revenir au MPRS (cour suprême de la magistrature et autres) dont le président procèdera par voie d’ordonnances pour la prise de certains textes.

    III- Quels seraient les axes de réformes prioritaires pour le pays ?
    1- Réforme de l’armée pour lui donner tous les moyens institutionnels, stratégiques, républicains, humains, matériels, financiers et opérationnels à même de lui permettre d’être une vraie armée.
    2- Réforme de la constitution pour réintroduire la peine de mort (cela réduira les braquages meurtriers et même le terrorisme) et introduire l’enquête de moralité approfondie de toute personne qui veut se faire élire à une instance politique ou publique et ce, avant son élection pour ce qui concerne le Président du Faso et après leur élection pour les députés et les maires, etc...) ; Recruter les présidents d’institution, les DG des sociétés d’Etat et les DG des EPE par concours ou sélection de dossiers suivis d’une enquête approfondie avant installation et prise de service si admis.
    2- Réforme de la justice pour la rendre plus vertueuse et efficace dans la satisfaction des besoins des burkinabè et de ses usagers en retirant le pouvoir des mains du Conseil supérieur de la magistrature (CSM) afin de nettoyer les écuries d’ogias pour installer des juges patriotes plus vertueux, intègres, et désintéressés qui vont asseoir un nouveau conseil de la magistrature qui sera rendu maintenant indépendant du pouvoir exécutif.
    3- Réforme de l’administration publique en rendant fonctionnel les conseils de discipline pour la rendre plus vertueuse et efficace dans la satisfaction des besoins des burkinabè et de ses usagers ; Procéder à des nominations des responsables de structure (SG, Dircab, ITS, Directeurs, Chefs de service) par des appels à candidature suivis de concours en interne ou de sélection de dossiers suivis d’enquête de moralité avant installation si admission.
    4- Réforme du secteur privé pour le rendre plus civique, plus vertueux pour contribuer au financement de notre économie par le règlement adéquat de ses impôts, taxes et douanes. Faire recouvrer à hu et à dia les restes à recouvrer des grandes et moyennes entreprises au niveau des impôts.

    IV- Quelle proposition de chronogramme faites vous pour une Transition réussie ?
    - Année 2022 : Libération totale des zones occupées par les djihadistes et les terroristes réinstallation des populations déplacées internes et de façon durable. Jugements concomitants des dossiers pendants de crimes économiques et financiers. Jugement de l’ancien PF Rock KABORE pour refus de secourir des compatriotes en danger et haute trahison
    - Année 2023 : Toilettage des textes pour asseoir une gouvernance politique, administrative et financière vertueuse suivi d’actions vigoureuses continues de lutte contre la corruption et les infractions assimilées.
    - Année 2024 : Préparation d’élections démocratiques libres et très transparentes (relire les textes et prévoir une enquête de moralité approfondie pour tout candidat à la présidentielle, aux législatives et aux municipales ; encadrer le financement des partis par le secteur privé)
    V- Quelles seraient les valeurs à promouvoir au Burkina Faso ?
    L’intégrité, l’abnégation au travail, la discipline, l’exemplarité, la bravoure, la dignité et l’entraide sociale.

  • Le 15 février 2022 à 16:56, par yambia En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Voici ma contribution :

    Pour un Pays mieux sécurisé, travailleur, productif, victorieux, il faut :
    1. donner les emplois aux hommes en priorité car, ce sont eux qui s’occupent des familles et mettre en place des cellules sociales dans les quartiers qui s’occuperont de ceux qui ne vont pas jouer le rôle de chef de famille.
    2. Créer des entreprises pour employer uniquement des femmes dans le cadre des activités rémunératrices.

  • Le 16 février 2022 à 10:50, par Tengande François NIADA En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Nous saluons cette initiative d’ouverture consistant à demander aux citoyens de contribuer à nourrir les réflexions de la commission. Pour une telle initiative inédite, il conviendrait de donner un temps supplémentaires aux contributions des citoyens. C’est la première fois qu’un régime /des dirigeants ouvrent l’opportunité à tous les citoyens de ce pays de participer à des réflexions pouvant conduire à la contruction d’une orientation politique, économique et sociale du pays.Toutes réflexions utiles même arrivant après la session de la commission pourraient être valorisées. Nous sommes convaincus que cette demande n’est pas un alibi mais une véritable volonté de changement de paradigme. Bon courage et bonnes réflexions à la commission.

  • Le 16 février 2022 à 12:59, par Tengande François NIADA En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Et si la commission veut bien considérer des propositions qui arrivent tard, nous pensons qu’elles pourraient contribuer à construire notre pays.

    I- Quelles seraient les grandes missions à assigner à la Transition ?
    a) Sécurisation du pays
    b) Engager une autocritique des partis sur leurs responsabilités dans la gouvernance délétère voire la déconfiture du pays
    c) Définir les nouvelles orientations d’une bonne gouvernance du pays
    II- Quels seraient les organes essentiels de la Transition ?
    • Un gouvernement de transition apolitique constitué de personnes intègres identifiées en toute transparence
    • Un comité d’éthique et de suivi
    • Des commissions de réflexion stratégiques
    III- Quels seraient les axes de réformes prioritaires pour le pays ?

    a) Interroger les valeurs essentielles et la vision qui doivent gouverner notre développement en plaçant le burkinabè et le Burkindi au centre de toutes les actions. C’est à dire, faire en sorte qu’un burkinabè n’ait pas honte quand on l’appelle « homme intègre » ; faire en sorte que chaque burkinabè sans distinction de lieu de résidence, d’appartenance religieuse, de sexe, se sente partie intégrante du pays et défende les orientations que le pays se fixe et ses propres droits.
    b) Interroger les piliers fondamentaux de la reconstruction du pays et de son développement :
    Pour l’éducation et formation : quelle forme et quel contenu d’éducation et de formation pour former le burkinabè nouveau, ancré dans sa/ses culture/s, digne, intègre, solidaire, ouvert au monde ? Quelle stratégie d’éducation et de formation pour que le jeune burkinabè qui sort d’une école puisse s’orienter en fonction de son projet de vie en connaissance de cause de ses motivations et des potentialités qui l’entourent ? Quels sont les expériences éducatives/systèmes d’ailleurs qui peuvent nous inspirer pour réorganiser notre système éducatif ? Quelles réformes courageuses pour éviter que notre système éducatif continue de former une majorité de chômeurs plutôt que des entrepreneurs qui développeront le potentiel économique du pays ? Quelle place pour la culture et nos langues nationales dans notre système éducatif et dans la construction de notre identité et notre ouverture à l’autre ? Quelles stratégies pour atteindre un seuil critique de burkinabè éduqués, formés, conscients des enjeux de développement et des relations du pays avec le monde, et qui participent de manière consciente à la construction de la démocratie ?
    Gouvernance : Quels modes de gouvernance locale pour faciliter une participation consciente des citoyens ? Quels sont les mécanismes et la réorganisation administrative la plus pertinente pour une meilleure participation citoyenne et une bonne gestion de notre pays ? Comment optimiser la redistribution des ressources nationales pour que chaque région ou commune bénéficie de ressources pour son développement ? Quelles sont les bases et les actions à poser pour mettre progressivement fin à la corruption et à la complicité avec des entreprises étrangères mal intentionnées pour piller les ressources du pays ?
    c) Interroger la forme de la démocratie telle qu’elle est conduite avec une pléthore de partis politiques dans un pays où les élections ne sont pas faites au regard d’un programme de développement, d’une vision mais plus par clientélisme. Ce sont les plus corrompus disposant davantage de ressources qui peuvent se faire élire par la corruption des populations tenues dans une certaine dépendance économique, alimentaire et financière…

    IV- Quelle proposition de chronogramme faites-vous pour une Transition réussie ?
    Les chantiers sont nombreux et demanderaient plusieurs années au regard de la perte de certaines valeurs intrinsèques de notre pays au niveau de sa gouvernance. Il ne sert à rien de courir, il faut aller à point : Une transition de 2 à 3 ans permettrait d’une part de conduire les réflexions, tout en sécurisant le pays et organiser des élections différentes que celles auxquelles le pays est soumis.
    V- Quelles seraient les valeurs à promouvoir au Burkina Faso ?
    a. L’intégrité
    b. L’altérité et la solidarité
    c. La bonne gouvernance

  • Le 17 février 2022 à 01:07, par Naminba En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    Voici mes propositions :
    1- Développer une pédagogie autour de la pensée et de la vision de SANKARA et l’introduire au programme scolaire. Cela permettra d’avoir des hommes et femmes de bonnes moralité pour demain.

    2- L’environnement et l’agriculture sont en soufrance. Il faut une véritable politique de l’environnement. Il faut planter 5 millions d’arbres par an ( c’est faisable). Il faut restaurer la ceinture verte de Ouagadougou.

    3- Revoir tous les contrats miniers

  • Le 19 février 2022 à 08:32, par jules Kinda En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    PRESENT ET AVENIR
    L’avenir de notre pays passera par notre indépendance véritable : l’indépendance MONÉTAIRE !!!
    PROPOSITION : L’état doit faire une RESERVE D’OR en vue de la création de notre monnaie. c’est l’ ARME ABSOLUE de notre développement.
    .

  • Le 23 février 2022 à 04:07, par Anais Marini En réponse à : Transition au Burkina Faso : Appel à contributions

    COMMENT J’AI RETROUVÉ MON HOMME DANS LES 48 HEURES AVEC L’AIDE DU DR EMWANTA. Je veux faire connaître au monde le Dr Emwanta, le grand lanceur de sorts qui m’a ramené mon mari alors que je pensais que tout espoir était perdu. Dr, Emwanta a utilisé son puissant sort pour me faire sourire en ramenant mon homme avec son sort, au début je pensais que je rêvais quand mon mari est revenu vers moi à genoux en me suppliant de lui pardonner et de l’accepter en retour et depuis lors, il m’aime plus que je ne l’aurais jamais imaginé, alors je me suis juré de faire connaître au monde le Dr Emwanta parce qu’il est un Dieu sur terre. Avez-vous des problèmes dans votre relation ? Votre partenaire a-t-il rompu avec vous et vous l’aimez toujours et vous voulez qu’il revienne ? Avez-vous des problèmes avec votre couple ? ou avez-vous besoin d’aide de quelque nature que ce soit, contactez le Dr Emwanta aujourd’hui car je vous garantis à 100% qu’il vous aidera comme il m’a aidé. Dr, Emwanta email est : dremwanta@gmail.com OU WhatsApp via : +2348163136916

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