L’atelier durera cinq jours du 21 au 25 novembre. Il vise à donner aux participants les informations sur la méthodologie d’élaboration de la carte scolaire, les compétences indispensables à sa mise en œuvre. L’outil en question « tout en donnant de la cohérence aux actions, permet la décentralisation des objectifs au niveau régional ainsi que leur suivi aussi bien au plan national que local.

Outil de micro planification par excellence la carte scolaire est un tableau de bord qui permet à la région de faire face de manière efficace et efficiente à l’identification des besoins et des objectifs, à la planification de la mise en œuvre des objectifs locaux ».

Tels ont été les mots de définition du directeur des études et de la planification du ministère des Enseignements secondaire, supérieur et de la Recherche scientifique Auguste Henri Nébié dans le discours d’ouverture des travaux.

Dans le sens d’une meilleure appréhension du thème, le directeur régional du ministère des Enseignements secondaire, supérieur et de la Recherche scientifique Oumar Guidiouma Sanou dira pour sa part : « il est plus que nécessaire que les construction, les ouvertures et les érections de collèges en lycées dans notre pays collent autant que faire se peut à la réalité du terrain afin que cesse le spectacle de classes surchargées d’élèves dans certaines localités pendant que d’autres infrastructures sont à peine au quart de leur capacité d’accueil ».

La carte scolaire comme il a été dit, est un élément au nombre des actions globales du ministère dont le cadre des dépenses à moyen terme sectoriel, la délégation des crédits entre autres.

Jean-Luc BONKIAN
Sidwaya