Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Burkina : « Pendant que des ethnies entières s’entretuent, le président du Faso envisage un passage en catimini à une cinquième République », déclare Ablassé Ouédraogo
25 avril 2019, 15:03, par
Attention
Cher Dr Ouédraogo
Je n’ai pas pour habitude de réagir à vos écrits, mais je n’ai pu m’en empêcher cette fois-ci. Les drames que vit le pays ne sauraient être analysés dans l’optique dans laquelle vous vous placez. Vous faites mine de vous appesantir sur le sort des burkinabès mais en réalité votre objectif qui transparaît à travers les lignes c’est de régler des comptes avec le Président Kaboré sur la place publique. Qui autrefois à ouvert publiquement la voie au surf sur l’esprit communautaire, confessionnel et géographique ? Je ne vous en attribue pas la paternité, mais vous en avez fait usage dans un contexte médiatique sensible. Nous déplorons tous avec vous ce que vivent nos braves populations en province. Ayez l’humilité de reconnaître votre part de responsabilité, et surtout de vous en excuser. Je vous prie de bien vouloir faire la part des choses dans vos écrits à venir, en évitant de prendre le raccourci de ces conflits, au risque d’envenimer davantage une situation déjà fort regrettable pour l’ensemble des burkinabès sans distinction.
Cher Dr Ouédraogo
Je n’ai pas pour habitude de réagir à vos écrits, mais je n’ai pu m’en empêcher cette fois-ci. Les drames que vit le pays ne sauraient être analysés dans l’optique dans laquelle vous vous placez. Vous faites mine de vous appesantir sur le sort des burkinabès mais en réalité votre objectif qui transparaît à travers les lignes c’est de régler des comptes avec le Président Kaboré sur la place publique. Qui autrefois à ouvert publiquement la voie au surf sur l’esprit communautaire, confessionnel et géographique ? Je ne vous en attribue pas la paternité, mais vous en avez fait usage dans un contexte médiatique sensible. Nous déplorons tous avec vous ce que vivent nos braves populations en province. Ayez l’humilité de reconnaître votre part de responsabilité, et surtout de vous en excuser. Je vous prie de bien vouloir faire la part des choses dans vos écrits à venir, en évitant de prendre le raccourci de ces conflits, au risque d’envenimer davantage une situation déjà fort regrettable pour l’ensemble des burkinabès sans distinction.