Quand Rosine Coulibaly cite Thomas Sankara : « Vous ne pouvez pas accomplir des changements fondamentaux sans une certaine dose de folie... »

Vous avez tenu ferme malgré les crocs en jambes et les multiples critiques plus subjectives qu’objectives qui vous ont été adressées. Nous autres observateurs, nous devinons qu’il vous a fallu du courage et de la persévérance pour réformer. Ce qui a manqué et manque à beaucoup d’hommes qui vous ont côtoyée. L’homme est instinctivement peu enclin au changement, surtout dans ce secteur qui brasse quotidiennement des milliards de francs. En effet, la main qui a été habituée à palper de l’argent doit certes pouvoir s’en passer, mais on comprend que cela peut lui être souvent difficile (Palé Welté en sait quelque chose). Bon vent à vous et merci pour votre dose de folie combien bienfaitrice pour toute la nation. Fier de vous !