Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Projet de recensement fiscal : Les agents recenseurs ne sont pas d’accord avec la rémunération fixée
28 novembre 2018, 17:14, par
Kouda
C’est très bien fait pour le cabinet IBG et pour les agents recenseurs recrutés. Au Burkina Faso, il est extrêmement rare de voir figurer dans une offre d’emploi le montant de la rémunération, une pratique pourtant courante sous d’autres cieux. Il aurait suffit que le cabinet dise dans son offre de recrutement à combien de francs chacun sera rémunéré et on aurait évité cette situation. Celui ou celle qui accepte l’offre ne peut pas réclamer un autre montant après.
C’est toujours la même rengaine. Quand les postulants s’enquièrent des conditons de rémunération, les employeurs leur répondent : on verra ça après. ça va aller.
Et les candidats au recrutement se contentent de ces paroles vagues qui ne signifient rien concrètement.
ça me rappelle cette histoire d’enrollement biométrique à l’approche d’une élection quand les personnes recrutées et formées ont cru qu’elles pouvaient faire pression (chantage ?) sur la CENI pour avoir une revalorisation de rémunération. Mal leur en prit. Elles furent purement et simplement toutes remerciées.
Des gens qui baclent le travail car ils sont sur plusieurs enquêtes à la fois, mais ont le culot de réclamer plus d’argent.
Des cabinets qui se croient le nombril du monde et qui pensent se sucrer excessivement sur le dos de ceux qui font réellement le travail.
Comme nous aimons patauger dans la médiocrité, la roublardise et le "faux-typisme", continuons seulement...
C’est très bien fait pour le cabinet IBG et pour les agents recenseurs recrutés. Au Burkina Faso, il est extrêmement rare de voir figurer dans une offre d’emploi le montant de la rémunération, une pratique pourtant courante sous d’autres cieux. Il aurait suffit que le cabinet dise dans son offre de recrutement à combien de francs chacun sera rémunéré et on aurait évité cette situation. Celui ou celle qui accepte l’offre ne peut pas réclamer un autre montant après.
C’est toujours la même rengaine. Quand les postulants s’enquièrent des conditons de rémunération, les employeurs leur répondent : on verra ça après. ça va aller.
Et les candidats au recrutement se contentent de ces paroles vagues qui ne signifient rien concrètement.
ça me rappelle cette histoire d’enrollement biométrique à l’approche d’une élection quand les personnes recrutées et formées ont cru qu’elles pouvaient faire pression (chantage ?) sur la CENI pour avoir une revalorisation de rémunération. Mal leur en prit. Elles furent purement et simplement toutes remerciées.
Des gens qui baclent le travail car ils sont sur plusieurs enquêtes à la fois, mais ont le culot de réclamer plus d’argent.
Des cabinets qui se croient le nombril du monde et qui pensent se sucrer excessivement sur le dos de ceux qui font réellement le travail.
Comme nous aimons patauger dans la médiocrité, la roublardise et le "faux-typisme", continuons seulement...