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An1 de la disparition de Salif Diallo : « Il n’était ni un saint, ni un diable » Jacob Ouédraogo, ambassadeur du Burkina Faso au Sénégal

22 août 2018, 08:51, par taali soumaré laa maane sougri

Jacob, SE a raison, fils de croyant, ce sont les mots les plus sages pour un protecteur politique. Il reconnait qu’il a bien fait par moment certaines choses et parfois des choses contraires à la morale, à la foi, à la religion et surtout à son prochain.
Moi je suis croyant comme lui, je ne peux chanter des louanges pour lui, ni proférer des injures, mettre à nu ses dérives, seul Dieu a du le faire. Rassurons-nous, quel que soit un homme mauvais, s’ il s’ est confessé et demandé pardon avant sa mort, Dieu le ramène auprès de lui. Personne n’a droit de spéculer sur la vie de quelqu’un après sa mort, pas même les pauvres politiciens aux calculs parfois’malsains.


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