Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Il me semble que le plus grand problème de notre nation est notre manque de sincérité de façon générale. Sinon, on devrait mettre un nom sur le problème de réconciliation. En Afrique du Sud, le problème s’appelait "apartheid". Au Rwanda, le problème s’appelait "génocide". De grâce, donnez-nous le nom du problème du Burkina ? En outre, dans les deux pays cités et même ailleurs, il y a un tel clivage entre les peuples au point où ceux-ci ne se fréquentent plus. Dites-moi, qui ne fréquente plus qui ou quel groupe social ne fréquente plus l’autre au Burkina ? Comme le dit l’autre, en dehors de problèmes existentiels, notre pays est très cool. Si réconciliation il y a, quel contenu donnons-nous à cette réconciliation ? Qui a déjà approché des autorités administratives ou coutumières pour avouer une faute grave avec l’intention de demander pardon aux victimes ? Ayons le courage de tirer leçon de la journée de pardon organisée par le Président Blaise Compaoré pour ne pas continuer à saturer l’air de paroles creuses. La demande de pardon est d’abord un comportement, une contrition que les sages entérinent par un acte de conciliation. Les scènes que nous donnent à voir nos demandeurs de réconciliation montrent qu’ils sont plus préoccupés à la conquête du pouvoir et autres avantages qu’à une repentence sincère. Si les gens étaient véritablement animés par un pardon, les pratiques malheureuses de gestion des affaires devraient être aujourd’hui un mauvais souvenir. Hélas ! En tous cas, moi je pense que le type de réconciliation dont a besoin le pays, c’est une réconciliation avec les valeurs telles que la justice, la vérité, le courage, la gestion vertueuse du bien public, l’amour du prochain, le patriotisme, etc. Et ça, on n’a pas besoin de grand’ messe. Il suffit que les gouvernants donnent le top départ..........
Il me semble que le plus grand problème de notre nation est notre manque de sincérité de façon générale. Sinon, on devrait mettre un nom sur le problème de réconciliation. En Afrique du Sud, le problème s’appelait "apartheid". Au Rwanda, le problème s’appelait "génocide". De grâce, donnez-nous le nom du problème du Burkina ? En outre, dans les deux pays cités et même ailleurs, il y a un tel clivage entre les peuples au point où ceux-ci ne se fréquentent plus. Dites-moi, qui ne fréquente plus qui ou quel groupe social ne fréquente plus l’autre au Burkina ? Comme le dit l’autre, en dehors de problèmes existentiels, notre pays est très cool. Si réconciliation il y a, quel contenu donnons-nous à cette réconciliation ? Qui a déjà approché des autorités administratives ou coutumières pour avouer une faute grave avec l’intention de demander pardon aux victimes ? Ayons le courage de tirer leçon de la journée de pardon organisée par le Président Blaise Compaoré pour ne pas continuer à saturer l’air de paroles creuses. La demande de pardon est d’abord un comportement, une contrition que les sages entérinent par un acte de conciliation. Les scènes que nous donnent à voir nos demandeurs de réconciliation montrent qu’ils sont plus préoccupés à la conquête du pouvoir et autres avantages qu’à une repentence sincère. Si les gens étaient véritablement animés par un pardon, les pratiques malheureuses de gestion des affaires devraient être aujourd’hui un mauvais souvenir. Hélas ! En tous cas, moi je pense que le type de réconciliation dont a besoin le pays, c’est une réconciliation avec les valeurs telles que la justice, la vérité, le courage, la gestion vertueuse du bien public, l’amour du prochain, le patriotisme, etc. Et ça, on n’a pas besoin de grand’ messe. Il suffit que les gouvernants donnent le top départ..........