Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Burkina Faso : Les dessous d’un attentat meurtrier
19 mars 2018, 19:29, par
Michel BASSINGUE
Je suis ravi de savoir qu’il existe des personnes comme Beton qui ont des têtes biens pleines. Le 1 janvier 2018 j’affichais partout cette lettre que je nommais " Lettre au peuple" dans laquelle je criais hautement que nous ne sommes pas une nation. Je disais également que que notre pays est tombé malade durant les 365 jours de 2017 et que ni nos routes modernes, échangeurs, ni nos moto et voitures neuves ne pourront exorcisé cette maladie qui a atteinte comme des virus les globules blancs d’un corps humain. Je suis très sceptique quand à l’acquisition d’une liberté totale des peuples de mon continent qui après 60 ans rechignent et vivotent au bord du gouffre infernale. Notre continent est un échiquier de jeu de dame où les occidentaux déguisés en agneaux nous étouffe mortellement à petit feu. Nous, nous croyons toujours comme des filles pubertes en leurs sourires peint en blanc, en leurs paumes gantées de douceurs. Et nous pensons que nous les connaissons et que notre force contre eux doit être celle de la poitrine. Non braves gens... Il nous faut des stratégies comme eux ils le font avec nous. Pendant que nous passons le temps a dormir, eux ils nourrissent des experts pour étudier notre futur afin de pouvoir nous tendre des piège.Cela fait neuf ans que je vie au Burkina Faso, J’ai pris le temps d’observer la métamorphose de mon pays. Et croyez-moi fortement, les verres ont déjà possédé le fruit et nous sommes loin chers, de respirer de l’oxygène potable. Je reviendrai.....
Je suis ravi de savoir qu’il existe des personnes comme Beton qui ont des têtes biens pleines. Le 1 janvier 2018 j’affichais partout cette lettre que je nommais " Lettre au peuple" dans laquelle je criais hautement que nous ne sommes pas une nation. Je disais également que que notre pays est tombé malade durant les 365 jours de 2017 et que ni nos routes modernes, échangeurs, ni nos moto et voitures neuves ne pourront exorcisé cette maladie qui a atteinte comme des virus les globules blancs d’un corps humain. Je suis très sceptique quand à l’acquisition d’une liberté totale des peuples de mon continent qui après 60 ans rechignent et vivotent au bord du gouffre infernale. Notre continent est un échiquier de jeu de dame où les occidentaux déguisés en agneaux nous étouffe mortellement à petit feu. Nous, nous croyons toujours comme des filles pubertes en leurs sourires peint en blanc, en leurs paumes gantées de douceurs. Et nous pensons que nous les connaissons et que notre force contre eux doit être celle de la poitrine. Non braves gens... Il nous faut des stratégies comme eux ils le font avec nous. Pendant que nous passons le temps a dormir, eux ils nourrissent des experts pour étudier notre futur afin de pouvoir nous tendre des piège.Cela fait neuf ans que je vie au Burkina Faso, J’ai pris le temps d’observer la métamorphose de mon pays. Et croyez-moi fortement, les verres ont déjà possédé le fruit et nous sommes loin chers, de respirer de l’oxygène potable. Je reviendrai.....