Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Sa majesté Kupiendieli, 31e roi du Gulmu : « La situation de deux chefs à Diabo est un défi à ma personne »
11 décembre 2017, 15:54, par
rabo
Cher Rakis,
L’élection et l’intronisation d’un chef étaient assujetties jadis à des règles plus strictes que nos élections modernes actuelles.
Il fallait d’abord obéir à des critères de moralité et de bravoures incontestés entre autres, le principe du fils aîné pouvait aussi céder le pas à d’autres critères. Un chef coutumier de cette époque était avant tout un grand meneur d’hommes, un guerrier capable de protéger son peuple. Des intriques n’étaient pas exclues, cependant, au cours de ses joutes.
C’est ainsi que chez les Zaossé de Diabo, un chef était considéré comme intronisé s’il pouvait répondre à l’appel de son troisième surnom. Dés sa sortie de sa case, au dernier appel, aucune contestation n’existait plus car tous ses adversaires se seraient retirés.
Si l’on se réfère aux pratiques coutumières, des cérémonies ancestrales, toujours praticables de nos jours, permettent de désigner le chef qui doit régner. Personne ne voudra se soumettre à ces cérémonies.
Il y a de moins en moins d’hommes courageux sur la terre de nos ancêtres. Et c’est un vrai gachis !!!!!!!!!!!!
Cher Rakis,
L’élection et l’intronisation d’un chef étaient assujetties jadis à des règles plus strictes que nos élections modernes actuelles.
Il fallait d’abord obéir à des critères de moralité et de bravoures incontestés entre autres, le principe du fils aîné pouvait aussi céder le pas à d’autres critères. Un chef coutumier de cette époque était avant tout un grand meneur d’hommes, un guerrier capable de protéger son peuple. Des intriques n’étaient pas exclues, cependant, au cours de ses joutes.
C’est ainsi que chez les Zaossé de Diabo, un chef était considéré comme intronisé s’il pouvait répondre à l’appel de son troisième surnom. Dés sa sortie de sa case, au dernier appel, aucune contestation n’existait plus car tous ses adversaires se seraient retirés.
Si l’on se réfère aux pratiques coutumières, des cérémonies ancestrales, toujours praticables de nos jours, permettent de désigner le chef qui doit régner. Personne ne voudra se soumettre à ces cérémonies.
Il y a de moins en moins d’hommes courageux sur la terre de nos ancêtres. Et c’est un vrai gachis !!!!!!!!!!!!