Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Connaitre les motivations voire la (les) pensée des gens qui étaient aux funérailles de Salif Diallo, cela n’est pas donné à tout le monde.En France il y a eu Mme Soleil qui jouait ce genre de rôle. Ici j’ai cru un moment que c’étaient les Gourmantchés qui en avaient la paternité. Que nenni il y en a d’autres plus talentueux qu’accompagne un verbe souvent menaçant main plein de certitudes. A quand le prochain à partir et pour avoir des funérailles aussi monstre. Foule dont on qualifie certaines de ses composantes de noms d’oiseau. A oui à Boussé, Yako, Gourci il y en avait , même dans les plus petits hameaux qui jalonnent le trajet ouaga - Ouahigouya. Il paraitrait que du coté de Toma Tougan et Kiembara, les gens sont sortis pensant détourner de façon mystique le convoi. Non c’était pour chacun pour un court moment "une fraction de seconde" de dire que ce sera son tour demain ou après demain et se remémoriser tous ceux qui sont morts avant (de mort naturelle ou de mort violente). C’est çà aussi l’Afrique. Et comme le dit l’enturbanné de chez nous " wen n’a man tond mè rasma yibou".
Connaitre les motivations voire la (les) pensée des gens qui étaient aux funérailles de Salif Diallo, cela n’est pas donné à tout le monde.En France il y a eu Mme Soleil qui jouait ce genre de rôle. Ici j’ai cru un moment que c’étaient les Gourmantchés qui en avaient la paternité. Que nenni il y en a d’autres plus talentueux qu’accompagne un verbe souvent menaçant main plein de certitudes. A quand le prochain à partir et pour avoir des funérailles aussi monstre. Foule dont on qualifie certaines de ses composantes de noms d’oiseau. A oui à Boussé, Yako, Gourci il y en avait , même dans les plus petits hameaux qui jalonnent le trajet ouaga - Ouahigouya. Il paraitrait que du coté de Toma Tougan et Kiembara, les gens sont sortis pensant détourner de façon mystique le convoi. Non c’était pour chacun pour un court moment "une fraction de seconde" de dire que ce sera son tour demain ou après demain et se remémoriser tous ceux qui sont morts avant (de mort naturelle ou de mort violente). C’est çà aussi l’Afrique. Et comme le dit l’enturbanné de chez nous " wen n’a man tond mè rasma yibou".