Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Crise à l’hôtel Silmandé : L’Unité d’Action Syndicale aux côtés des agents licenciés de l’hôtel
8 septembre 2017, 13:26, par
fasobiiga
@ Indjaba , je dirai que vous êtes un apatride qu’il faut fusiller en public. A vous lire j’ai eu envie de vomir. Dans tous les pays, on combat ensemble et après on règle les comptes en interne. Il n’y qu’au Faso que des individus peuvent se délecter du malheur de leurs propres frères dont la cause vient d’étrangers. Vous êtes le genre d’individus qui vendaient leurs parents au temps de l’esclavage pour quelques bricoles.
@ Lionceau. C’est la réalité et vous trouvez ça normal ? et au lieu de lutter pour que ça change, vous encourager cet état de fait. De même la solution que vous proposez pour la reconversion des salariés licenciés relève de l’Etat et non des centrales syndicales. Enfin, Si je comprends bien, n’importe quel individu peut venir au Burkina et fouler au pieds les lois, refuser d’appliquer les décisions des autorités compétentes et repartir comme bon lui semble ? Allez-y faire ça au Sénégal et revenez nous dire. Commencez donc par vous respecter pour vous faire respecter.
@ Indjaba , je dirai que vous êtes un apatride qu’il faut fusiller en public. A vous lire j’ai eu envie de vomir. Dans tous les pays, on combat ensemble et après on règle les comptes en interne. Il n’y qu’au Faso que des individus peuvent se délecter du malheur de leurs propres frères dont la cause vient d’étrangers. Vous êtes le genre d’individus qui vendaient leurs parents au temps de l’esclavage pour quelques bricoles.
@ Lionceau. C’est la réalité et vous trouvez ça normal ? et au lieu de lutter pour que ça change, vous encourager cet état de fait. De même la solution que vous proposez pour la reconversion des salariés licenciés relève de l’Etat et non des centrales syndicales. Enfin, Si je comprends bien, n’importe quel individu peut venir au Burkina et fouler au pieds les lois, refuser d’appliquer les décisions des autorités compétentes et repartir comme bon lui semble ? Allez-y faire ça au Sénégal et revenez nous dire. Commencez donc par vous respecter pour vous faire respecter.