Sécurité et défense dans le Sahel : Le centre d’études stratégiques organise son premier colloque international sur le ‘’Sahelistan’’

Toujours dans le même ordre d’idée, on entend souvent nos autorités parler de "djihadiste" alors que c’est le terme "terroriste" qu’il faut employer. Dans cette affaire là, la sémantique compte aussi, car en les nommant "djihadiste", c’est comme si on légitimait leur barbarie, d’autant plus que selon le saint Coran, le djihad c’est autre chose. . Donc Simon Compaoré doit bannir le terme djihad dans ces interviews. Car il ne s’agit que du terroristes qui veulent juste des passages et des zones sous contrôle pour faire leur trafic de drogues, de Marlboro et autres.