Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Décès de Salifou Diallo : Le comité interparlementaire de l’UEMOA présente ses condoléances au parlement burkinabè
28 août 2017, 23:59, par
warzat
Pendant que vous receviez les condoléances de vos collègues de la sous région ; certains vous sommes de voter un nouveau président pour remplacer le défunt qui a bossé jusqu’à ce que cela affecte sa santé. Au lieu d’enterrer sa maman et ses frères ainés, c’est plutôt eux qui enterrent un fils, un petit frère. Que les jeunes qui veulent faire de la politique voient jusqu’où la morale et toute humanité, a disparu de ce milieu. Ce sont ces choses, cette manière de faire et de penser qui font que les révoltes populaires sont et seront sans pitié pour les hommes politiques de ce type(ceux de la politique politicienne, les spoliateurs, les voleurs) et leurs ayants droits nourris et donc empoisonnés avec de la nourriture imméritée. Les vrais révoltés n’oublient pas, ils n’oublient rien, surtout les Burkinabè ; ils font semblant de ne pas voir, de ne pas entendre et ne parlent pas ; ils encaissent jusqu’à ce que ça pète. Leur pardon est aussi certain, il est lent et ne se décrète pas ; si fait que ceux qui ont déjà pardonné ont peur de l’exprimer car ils ne sont pas majoritaire et le savent.
Pendant que vous receviez les condoléances de vos collègues de la sous région ; certains vous sommes de voter un nouveau président pour remplacer le défunt qui a bossé jusqu’à ce que cela affecte sa santé. Au lieu d’enterrer sa maman et ses frères ainés, c’est plutôt eux qui enterrent un fils, un petit frère. Que les jeunes qui veulent faire de la politique voient jusqu’où la morale et toute humanité, a disparu de ce milieu. Ce sont ces choses, cette manière de faire et de penser qui font que les révoltes populaires sont et seront sans pitié pour les hommes politiques de ce type(ceux de la politique politicienne, les spoliateurs, les voleurs) et leurs ayants droits nourris et donc empoisonnés avec de la nourriture imméritée. Les vrais révoltés n’oublient pas, ils n’oublient rien, surtout les Burkinabè ; ils font semblant de ne pas voir, de ne pas entendre et ne parlent pas ; ils encaissent jusqu’à ce que ça pète. Leur pardon est aussi certain, il est lent et ne se décrète pas ; si fait que ceux qui ont déjà pardonné ont peur de l’exprimer car ils ne sont pas majoritaire et le savent.